[TERMINÉ] family matters
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Maeve Le Noir le07 Octobre 1927 • Club Ecdysis • @Lorenzo De Medici
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La surprise, cette fois, s’avère tempérée par son dépit. Maeve se ferme, pince les lèvres et offre une expression désabusée à Lorenzo, jouant avec les bords de son verre d’alcool. “Déjà vingt ans ? Comme le temps passe quand on s’amuse…” Il faut dire qu’Agnès n’est guère une figure pivot dans son existence à elle, tout au plus une agaçante petite rengaine en fond sonore. Est-ce que ça vaut vraiment la peine de dépenser tant de temps et d’énergie pour elle ? Lorenzo eut pu la cantonner à une demeure de vacance quelconque en Adriatique et l’y oublier. Mais puisque son cousin a décidé qu’il doit s’en défaire, il y a peu de chances qu’il change d’avis. Ne reste qu’à mettre en place le nécessaire.
D’un geste de la main, elle balaie tant les demandes de Lorenzo que son propre ébahissement. “Enfin, ça n’a rien d’abracadabrant. Tu ne seras pas mon premier client à réclamer une mise en scène du genre. Finalement, tout le travail sera surtout de parvenir à leurrer un des Lestranges. Ces gens-là sont paranoïaques. Tu verrais Reine !” Sa tante par alliance est une femme impressionnante, mais il n’en demeure pas moins que les usages filiaux ont la vie dure, très dure. Parfois Maeve se prend à comparer cette famille à un culte - et cela veut tout dire, provenant d’elle. Même au sein de la famille Médici, l’individualité sait s’exprimer, parfois même un peu trop quand on voit Giacomo mais les Lestrange ? C’est parfaitement différent.
Son sourire revient, dans un éclat de ses dents blanches et régulières. “Dis donc, j’espère que ce n’est pas Neith que tu traites de greluche Lorenzaccio, tu me fâcherais !” Sa voix chaude et rieuse dément ce qui est, entre les lignes, une menace bien réelle. Dans un royaume où ses livres de compte alignent les grands noms, tous endettés dans leurs excès auprès de ses services, un autre que Lorenzo eut chèrement regretté de gâter sa belle humeur. En lieu et place, cependant, Maeve pondère la suffisance des deux enfants de son cousin comme assurance de la continuité du nom et de la branche. Deux enfants, c’est fort peu, au regard de bien des grandes maisons.
“Non.” fit-elle, beaucoup plus sérieuse. “Tu as raison. Ce n’est peut-être pas la peine de se remarier.” Les enfants ne requièrent pas réellement de mariage pour se concevoir. Mais Lorenzo n’aime pas non plus les bâtards. En fin de compte, la rencontre entre ses deux sœurs druidesses et son cousin sera peut-être plus nécessaire qu’elle ne le pensa tout d’abord. Sauvegarder l’héritage de Lorenzo loin de tous les regards, au cas où leurs prédictions des affrontements avec les Lestranges viennent à s’avérer fausses, lui semble soudainement beaucoup plus pertinent. Encore faut-il réussir à le délester de ses réticences mais… elles sauront s’en charger, Maeve n’en doute pas.
Morgane triomphante, voilà exactement pourquoi les voies des chrétiens sont si insupportablement inefficaces. Ou alors est-ce simplement - et encore une fois - la preuve de l’inutilité complète de cette sotte d’Agnès. Descendante de César, hein ? Elle s'étouffe tant dans sa fierté inutile qu’elle ne pense pas un instant à la bonne tenue de la famille et c’est elle qui doit s’en charger. Mais soit. Peut-être en parlera-t-elle avec sa tante, Nolwenn, la génitrice de Lorenzo. Deux femmes vaudraient sans doute mieux qu’une pour s’occuper de cette affaire. Maeve eut put réclamer qu’il cède pour son paiement mais c’eut été stupide et mal avisé. Non, il y a d’autres façons d’adoucir un mâle.
Ses lèvres frémissent sur une expression beaucoup plus carnassière. “Ah mais je viens de m’en souvenir. Il est déjà venu une fois. Invité par Camille Delacour, si je ne m’abuse. Je vais devoir m’atteler à le convaincre de l'emmener de nouveau. Agnès sera plus délicate à convaincre mais ce ne sont pas les leviers qui manquent. Reste à savoir si je te fais cadeau de ce service pour fêter ton prochain célibat ou si je garde mon esprit d’entreprise.”
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Lorenzo de Medici lefamily matters
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Thème | Il lève les yeux au ciel, percevant l'ironie tout en la jetant comme une réalité. Dire qu'il s'était amusé aux côtés d'Agnès était un mensonge. Il l'avait visité pourtant. Elle était jeune à l'époque. Belle comme une rose. Alors pourquoi ? Pourquoi n'avait-il réussi à s'attacher ? L'orgueil de la femme ? La puissance de son nom ? Il ne pouvait dire. Il lui avait offert des bijoux, des présents, des instants. Rarement plus. Incapable qu'il fut.
Un jour, ils suivront le chemin d'Alaric. La prophétie est cruelle, dusse Lorenzo y laisser des plumes. Il ne saurait même retrouver jusqu'où remonte la haine entre leurs deux familles et, après tout, il s'en fiche. Mais détester les Lestrange offre un objectif. A long, moyen et court terme.
Lorenzo termine son verre en écoutant sa famille, s'en reservant un en tendant la bouteille pour lui proposer de remplir le sien. Il aimait boire. Sa cousine, bien que bretonne, restait une femme. Tenant moins l'alcoolémie que les vieillards endurcies comme lui. Le sourire se fait charmeur, un rien moqueur. Pourquoi donc parlerai-je de Neith ma chère cousine ? Aurais-tu des informations que je ne maitrise pas de la part de notre égyptienne préférée à tout deux ? Lorenzo se veut joueur mais au fond, la question l'intéresse. Il sait les deux femmes très amies et nulle doute que son rendez-vous a confié leur prochaine entrevue à Maeve. Neith serait-elle donc femme à tomber dans son lit plus facilement qu'il le croyait ? Il se fait prédateur quand proie aussi intéressante se présente.
Installé plus confortablement encore, Lorenzo écoute quand revient sa femme, leur plan, les possibles. Auguste et Agnès. Une idée stupide, il l'imagine. Ils n'iraient pas ensemble et sa femme est bien trop intelligente pour tomber amoureuse d'un imbécile pareil. Mais le piège ne demande pas plus qu'une petite possibilité et quelque mensonges. Qu'importe les vérités : s'ils sont vus ensemble, les commérages feront la suite.
Camille connait décidément tout le monde... Cet homme me surprendra toujours. Serre-toi de Marie pour convaincre sa mère. Leurs relations sont électriques mais ma fille n'a pas son pareil pour manipuler son entourage. Il boit à nouveau, avant de fixer son regard sur sa cousine. On parle d'argent et déjà le parrain offre visage dévoilé. Ta question s'adresse à ton cousin ou à l'homme d'affaire ma chère Maeve ? Les réponses ne seraient pas les mêmes bien que je sais ta pensée rhétorique. Car là où la famille l'encouragerait à demander paiement, le business veut tout sans rien. Lorenzo est amateur de contrat. Pour tout, pour beaucoup. Et Maeve sait parfaitement comment l'homme fonctionne. Un peu trop pour son propre bien.
Un jour, ils suivront le chemin d'Alaric. La prophétie est cruelle, dusse Lorenzo y laisser des plumes. Il ne saurait même retrouver jusqu'où remonte la haine entre leurs deux familles et, après tout, il s'en fiche. Mais détester les Lestrange offre un objectif. A long, moyen et court terme.
Lorenzo termine son verre en écoutant sa famille, s'en reservant un en tendant la bouteille pour lui proposer de remplir le sien. Il aimait boire. Sa cousine, bien que bretonne, restait une femme. Tenant moins l'alcoolémie que les vieillards endurcies comme lui. Le sourire se fait charmeur, un rien moqueur. Pourquoi donc parlerai-je de Neith ma chère cousine ? Aurais-tu des informations que je ne maitrise pas de la part de notre égyptienne préférée à tout deux ? Lorenzo se veut joueur mais au fond, la question l'intéresse. Il sait les deux femmes très amies et nulle doute que son rendez-vous a confié leur prochaine entrevue à Maeve. Neith serait-elle donc femme à tomber dans son lit plus facilement qu'il le croyait ? Il se fait prédateur quand proie aussi intéressante se présente.
Installé plus confortablement encore, Lorenzo écoute quand revient sa femme, leur plan, les possibles. Auguste et Agnès. Une idée stupide, il l'imagine. Ils n'iraient pas ensemble et sa femme est bien trop intelligente pour tomber amoureuse d'un imbécile pareil. Mais le piège ne demande pas plus qu'une petite possibilité et quelque mensonges. Qu'importe les vérités : s'ils sont vus ensemble, les commérages feront la suite.
Camille connait décidément tout le monde... Cet homme me surprendra toujours. Serre-toi de Marie pour convaincre sa mère. Leurs relations sont électriques mais ma fille n'a pas son pareil pour manipuler son entourage. Il boit à nouveau, avant de fixer son regard sur sa cousine. On parle d'argent et déjà le parrain offre visage dévoilé. Ta question s'adresse à ton cousin ou à l'homme d'affaire ma chère Maeve ? Les réponses ne seraient pas les mêmes bien que je sais ta pensée rhétorique. Car là où la famille l'encouragerait à demander paiement, le business veut tout sans rien. Lorenzo est amateur de contrat. Pour tout, pour beaucoup. Et Maeve sait parfaitement comment l'homme fonctionne. Un peu trop pour son propre bien.
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Maeve Le Noir le07 Octobre 1927 • Club Ecdysis • @Lorenzo De Medici
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L'expression de considération permissive qu'elle a maintenue lorsqu'il fut question des Lestrange se dissipe dès l'évocation du prénom de sa meilleure amie. Elle refuse l'alcool, préférant tempérer sa consommation et fait mine de pondérer la question posée par Lorenzo. Bien entendu, son adorable cousin ne recevra aucune réponse, parce que ce serait s'immiscer dans leur jeu et donner un avantage potentiel qu'elle ne désire pas donner. En vérité, l'intérêt de son cousin pour sa meilleure amie n'est pas la nouvelle la moins perturbante qui soit, mais si Neith décide de lui accorder son attention... Et bien, libre à Neith. Elle est seule maîtresse de sa vie, à ce point. Et puis, il faut bien que l'entraînement des mâles serve à quelques choses pour elles.
Aucune sorte de paiement ne lui fera abandonner ses confidences avec Neith, mais puisqu'il est question de paiement, celui pour l'affaire entre Agnès et Lorenzo, lui, l'intéresse. Qu'est-ce qui se passe, dans la petite caboche blonde de son cousin ? Quelles idées le traverse ? Est-il réellement prêt à faire ce qui est nécessaire, tout ce qui est nécessaire, pour parvenir au résultat désiré ? Car si Maeve aime son cousin, il reste un homme, un mâle, et ces curieuses bêtes peuvent se montrer des plus irrationnelles, parfois. Des plus ombrageuses également. Lorenzo acceptera-t-il de voir sa femme touchée par un autre que lui ? Même pour la bonne cause ?
"Camille ne serait pas un Delacour, s'il ne connaissait pas tout le monde."
Bonne humeur, toujours. Le Delacour est un bon client, aux passions fascinantes. Un homme qu'elle surveille de prêt. Sera-t-il capable de lui offrir Auguste Lestrange ? Ça par contre, c'est une autre histoire. Elle devra étudier la question de près dès que l'occasion se présentera.
"Hm. Je retiens."
Marie est une excellente manipulatrice mais pour toute la frustration de Maeve à l'égard d'Agnès, elle sait aussi que cette fibre là ne vient pas des Le Noir ou de Lorenzo. Et on n'apprend pas à un vieux singe à faire la grimace. Marie lui servira sans doute, mais quant à être son cheval de Troie, c'est à voir.
"Ma question s'adresse à l'homme qui vient me réclamer mes services."
Lèvres carmines s'ourlant sur un sourire aussi velouté que le ton de sa voix. Elle offre un geste à l'une de ses petites ombres et celle-ci s'incline avant de disparaître quelques minutes, le temps d'aller lui chercher l'un des sceaux de l'Ecdysis. Un objet rond d'argent ciselé, s'ouvrant par un fermoir sur une surface sculptée, une aiguille en son centre, formant la clef de voute des complexes enchantements qui y sont gravés. Un objet mystique, conçus avec ses spécialistes pour les besoins très spécifiques des affaires du club. Un objet qu'elle tend à Lorenzo, qui en a déjà vu plus d'un lui passer entre les mains. Un objet fait pour sceller une dette, beaucoup plus pratique d'un sort de serment inviolable.
"Si tu es décidé..."
Non qu'elle manque de confiance envers lui. Lorenzo est son cousin. Abrasif, dépensier, violent, dépravé mais à son égard ? Loyal. Non ce n'est pas une question de confiance. C'est une question de principes et de décorum. Les affaires du club doivent être tenues en ordre, qu'il s'agisse de la famille ou de parfaits étrangers. Surtout lorsqu'il s'agit d'un homme aussi inspiré par le calice pourpre. Lorenzo l'irradie presque, sous ses yeux enchantés. C'est pour le protéger de sa propre inconstance qu'elle préfère le lier ainsi, en particulier si elle doit par la suite exiger de lui qu'il produise un autre enfant. Mais cela, Maeve se garde de le lui confier, préférant qu'il ne voie dans cet échange qu'une façon d'entériner leur accord et bien entendu... Lorenzo aime les contrats.
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
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Thème | Le sourire se fait moins charmant quand c'est à l'homme d'affaire que Maeve s'ouvre. Lorenzo s'installe sur son fauteuil. Il ne s'y vautre plus comme un pacha mais le dos droit. Ses faits et gestes parlent pour lui. Et même si tout le monde le traite d'idiot, le Medici n'en demeure pas moins d'une intelligence cruelle dans les moments de crises. Le sang sur les mains. Le sang sur le visage. Il a fait tomber bien des fous qui avaient eu le malheur de s'attaquer à sa famille. Agnes en faisait-elle parti ? Pouvait-elle en faire parti pour l'éternité ? Etait-il plus fort que Dieu, à décider de rompre ses voeux ? Jusqu'où pouvait-il aller par outrage ? Ses yeux ne lâchent pas sa cousine. Son regard qui ne joue plus. Concentré, attentif. Sa bonne humeur a fondu quand ils sont passés de l'autre côté de la discussion. Celui sordide, qui avait fait s'allier les Le Noir et les Medici. Car au fond, c'était pour cela que l'alliance existait. Pour la puissance de ce que le monde comptait d'engeance sordide. Pour que la France se gave de la puissance de l'Italie. Pour que les vices survivent à tout et à tous. Il y aurait toujours des pécheurs. Eux, par leurs noms et leurs rôles, étaient à la tête de ce que l'Humanité comptait de fous, sans même frémir. Ils s'étaient fait croix renversés et Lorenzo, dans toute l'hypocrisie de sa religion, continuait de croire être un bon.
Son âme était depuis longtemps tâchée.
Agnès ne lui répétait que trop.
Mais sa chute ne viendrait pas des cieux. Un ange ne pouvait tomber quand il était né dans le monde mortel, quand il offrait verge comme appenage de sa puissance. Quand il prenait sans jamais offrir.
Tu sais à quel point j'aime les contrats. On ne peut faire confiance, même au sang et même à la famille. C'est l'homme d'affaire qui réponds. Celui qui tient son verre sans le boire. Celui qui observe sans agir. Les mains baladeuses et les regards langoureux sont parti quand l'homme s'est éveillé. Quand l'objet fut sorti. Il le connait par coeur. Il signait lui-même de ce dernier autrefois.
Les doigts du Medici font rouler la bague à son auriculaire. La chevalière de la famille de Medici, qu'un jour Alessandro passera à son propre doigt. Le symbole qui engage la famille mais, surtout, l'honneur et la vie du parrain. L'homme d'affaire ne se détourne pas. Il ne reculera pas, pas maintenant qu'il est allé aussi loin. Il sait tout ce qui est contenue dans ce contrat. L'impossibilité de refuser, de faire marcher arrière. Maeve lui offrira des preuves. Il n'aura qu'à construire le reste. Se servir de tout ça, porter les faits devant Elric puis devant le pape lui-même. L'adultère, si elle est peché, l'est surtout d'une femme. Ne pouvait-elle donc risquer de tomber enceinte ? Ira-t-il jusqu'à mettre en doute la paternité de ses propres enfants ? Non. De ça, Lorenzo s'interdisait. Alessandro et Marie lui ressemblaient bien trop, physiquement, pour qu'il aille se parjurer. Pire encore : son fils, biberonné à la rage et la rancœur, pouvait se montrer dangereux. Ira-t-il jusqu'au parricide ? La question d'Elric trotte encore dans son esprit. L'âge a rendu Lorenzo paranoïaque. Incapable de faire confiance, même à sa propre femme.
Clarifions les termes du contrat avant toute chose. Je n'aime signer ce dont je ne connais les tenants, surtout avec mon sang. Tu me produiras des preuves, sans attenter à la vie de mon épouse. Que veux-tu en échange Maeve ?
Car s'ils avaient, vaguement, évoqué les obligations de sa cousine, il ne l'avait fait des siennes. Elle ne demanderait peut-être pas de l'argent. Il ne le savait et redoutait ce qui pouvait ramper dans l'esprit de Maeve. Les Le Noir n'étaient pas partenaires commerciaux manipulables. Ernesto lu-même en avait fait les frais. Et si Lorenzo avait perdu un commerce face à sa cousine, c'était bien pire qu'il envisageait. Elle ne lui aurait pas cédé aussi facilement.
Son âme était depuis longtemps tâchée.
Agnès ne lui répétait que trop.
Mais sa chute ne viendrait pas des cieux. Un ange ne pouvait tomber quand il était né dans le monde mortel, quand il offrait verge comme appenage de sa puissance. Quand il prenait sans jamais offrir.
Tu sais à quel point j'aime les contrats. On ne peut faire confiance, même au sang et même à la famille. C'est l'homme d'affaire qui réponds. Celui qui tient son verre sans le boire. Celui qui observe sans agir. Les mains baladeuses et les regards langoureux sont parti quand l'homme s'est éveillé. Quand l'objet fut sorti. Il le connait par coeur. Il signait lui-même de ce dernier autrefois.
Les doigts du Medici font rouler la bague à son auriculaire. La chevalière de la famille de Medici, qu'un jour Alessandro passera à son propre doigt. Le symbole qui engage la famille mais, surtout, l'honneur et la vie du parrain. L'homme d'affaire ne se détourne pas. Il ne reculera pas, pas maintenant qu'il est allé aussi loin. Il sait tout ce qui est contenue dans ce contrat. L'impossibilité de refuser, de faire marcher arrière. Maeve lui offrira des preuves. Il n'aura qu'à construire le reste. Se servir de tout ça, porter les faits devant Elric puis devant le pape lui-même. L'adultère, si elle est peché, l'est surtout d'une femme. Ne pouvait-elle donc risquer de tomber enceinte ? Ira-t-il jusqu'à mettre en doute la paternité de ses propres enfants ? Non. De ça, Lorenzo s'interdisait. Alessandro et Marie lui ressemblaient bien trop, physiquement, pour qu'il aille se parjurer. Pire encore : son fils, biberonné à la rage et la rancœur, pouvait se montrer dangereux. Ira-t-il jusqu'au parricide ? La question d'Elric trotte encore dans son esprit. L'âge a rendu Lorenzo paranoïaque. Incapable de faire confiance, même à sa propre femme.
Clarifions les termes du contrat avant toute chose. Je n'aime signer ce dont je ne connais les tenants, surtout avec mon sang. Tu me produiras des preuves, sans attenter à la vie de mon épouse. Que veux-tu en échange Maeve ?
Car s'ils avaient, vaguement, évoqué les obligations de sa cousine, il ne l'avait fait des siennes. Elle ne demanderait peut-être pas de l'argent. Il ne le savait et redoutait ce qui pouvait ramper dans l'esprit de Maeve. Les Le Noir n'étaient pas partenaires commerciaux manipulables. Ernesto lu-même en avait fait les frais. Et si Lorenzo avait perdu un commerce face à sa cousine, c'était bien pire qu'il envisageait. Elle ne lui aurait pas cédé aussi facilement.
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missive rédigée par Maeve Le Noir le07 Octobre 1927 • Club Ecdysis • @Lorenzo De Medici
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Ah, enfin. Le voilà. Maeve ne dit rien, mais Maeve salue, un geste indolent de son porte cigarette, avant de porter l’objet à ses lèvres pour en tirer une profonde bouffée. La mire azurée de son cousin s’est effeuillée de tout jeu, là où le sien reste inchangé. Son domaine ne représente après tout qu’un autre aspect d’une relation tout ce qu’il y a de plus naturel entre eux, aussi sordide puisse-t-il sembler. Mais après tout, l’on a jamais rien sans rien, et le Club ne vit pas d’amour et d’eau fraîche. Et pour tout l’épicurisme de Lorenzo, le Don n’est pas un sot. Il sait, tout comme Maeve sait ce qui se cache dans les méandres de son cœur gangrené sans avoir jamais cessé de le soutenir.
Le fera-t-elle jamais ? Elle-même n’en a rien vu. Aujourd’hui, cependant, elle est encore égale à elle-même, la maîtresse de la croisée des chemins où les âmes en naufrage trouveront toujours un démon pour passer un marché. Et c’est en cette qualité qu’elle présente le sceau du contrat en la forme de la boîte d’argent ciselée. L’affirmation lui arracha une expression à la tendresse vénéneuse, confidence entre ombres corruptrices loin des yeux du seigneur.
“Nous sommes tous humains, après tout. L’humain est une chose faillible et friable. Si ce n’était pas le cas, nous ne serions pas ici, toi et moi.”
Voix basse, confidence dans l’air entêtant qu’ils se partagent tout autant que dans le regard échangé. Elle attend, Maeve, que Lorenzo se décide. Les termes sont simples. Les termes sont aussi vieux que le monde, bien que la société les aient bafoués et dilués, troublés. En un sens, eux sont bien plus purs que ne le sont tous ces bien-pensants au dehors des murs du club. Le contrat est un concept pur sans bien et sans mal, objectif et omnipotent, incapable d’être corrompu, incapable d’être convaincu. Froid et impavide. On ne conclut pas un contrat à la légère. Lorenzo le sait. Mais il faut dire que la volonté de son cousin n’est pas non plus des plus aisées.
Lorenzo lui confie ces noirs secrets, mais c'est une autre question que de se lier comme elle le lui demande. Serment inviolable, si l’on veut l’y comparer. Son sang, apposé sur la froide surface de métal, scellera l’échange par la magie. Il le sait. Une fois enchanté, le sceau ne pourra se rompre qu’une fois l’échange effectué en totalité.
“Une faveur équivalente, bien entendu.” rétorque-t-elle sans avoir besoin de légiférer. “Un jour je viendrais te voir pour te demander un service et tu me l’accordera sans hésiter, car je présenterais ce sceau.”
C’est là l’échange suprême, une faveur contre une faveur pour eux à qui l’argent est si aisé. Ils n’ont pas besoin de quelques centaines de bézants de plus. Ce qu’ils veulent, tous les deux, c’est voir leurs volontés accomplies. Et aucun n’est dupe, s’ils sont alliés, leurs fortes personnalités et leurs ambitions ne sont pas toujours capables de se conjuguer. Maeve ne lui avouera pas un instant avoir déjà une idée bien arrêtée de la faveur qu’elle va lui demander car qui peut jamais savoir avant que les dés ne soient jetés ? Ou dans le cas de son délicieux cousin… que les cartes ne soient révélées.
“Je produirais des preuves irréfutables et je ne ferais aucun mal physique à Agnès, à moins que tu ne me le demande expressément.”
Codage par Libella sur Graphiorum
Lorenzo de MediciATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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Succès
(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Lorenzo de Medici lefamily matters
ft Maeve Le Noir
Thème | Il ne sourit pas même si ces iris approuvent les propros. Il est concentré Lorenzo. Les mains qui se croisent devant lui alors que les coudes se posent sur la table. Maeve n'a jamais réellement assisté à son sacre. Depuis qu'il est parrain, elle ne siège que peu au sein de la famille de Medici. Elle voyait Ernesto. Elle avait vu Lorenzo après les passages de son père, quand il refusait de plier l'échine. Mais là, alors que le regard cesse de jouer, Lorenzo est un autre homme. Et dieu qu'il ressemble à son père à l'instant. Sans vouloir l'accepter. Alessandro est son jumeau. Il fut celui d'Ernesto. Les hommes, chez les Medici, se ressemblent. Qu'importe les gènes, qu'importe les possibles. Il détestait ça. Son fils le fera également.
C'est avec une Le Noir qu'il traite ce soir. Une femme dont les iris ont vu pire qu'il ne peut même imaginer. Maeve est puissante. Maeve est dangereuse. Elle bouillonne de cette énergie prédatrice qu'il lui a toujours appréciée. De cette aura qu'il ne voulait jamais voir disparaitre. Et elle ne dit pas ce qu'elle attends de lui. Nul doute qu'elle a déjà une idée derrière la tête, elle n'aurait pas utiliser ce terme autrement. Faveur. Tout ce qui pouvait se cacher derrière le faisait serrer les dents. Il ne l'offre pourtant pas. Les petits diamants blancs se dévoilent à peine à son sourire bref. Un coin de lèvres, à peine plus. Il n'y a nul trait d'humour mais il réagit comme si.
Rien que ne peut luire à la famille Medici ou à mes enfants. ajoute-t-il. Je te laisse ton secret Maeve mais tu ne me ferais faire ce que je réfute, sommes nous clair ? Je ne cracherai sur la Sainte Croix et je n'offrirai quoi qui puisse mettre les miens en danger.
Il se méfie. Il se méfie de tout le monde le parrain. Il ne serait plus en vie s'il n'avait apprit à être paranoïaque. Que Maeve soit sa cousine n'y change rien. Il lui fait confiance mais signer un contrat implique plus. Lorenzo, malgré tous ces défauts, est homme de parole; Quand bien même le serment ne serait inviolable sitôt qu'il aura apposé sa griffe sur la petite boite. Une fois que son sang s'y épanouira. La mafia n'a qu'une parole et beaucoup d'honneur. C'était ce qui leur offrait l'amour du peuple. C'est ce qui les retenait de chuter. La police, elle-même, n'osait intervenir quand ils décidaient que non.
Et tu auras ton service. Quelqu'il soit.
Les yeux dans les yeux, il jure. Les yeux dans les yeux, il offre sa promesse de la paume de sa main et de la forme caractéristique de la chevalière. Les six boules, dont une chargée de fleur de lys. La maison de Medici, comme autrefois, quand ils se gorgeaient du titre de duc. Son arrière grand père l'avait fait forgé sur le souvenir de la maison dont ils descendaient, quoi qu'en arguent la France. Ils n'étaient peut-être plus noble mais ils possédaient le même passé. La branche batarde avait épousé des rois et donné naissance à des princes. Eux avaient gardé le sang pur, sans plus de titre.
Qu'importait. Ils s'étaient juré de les récupérer un jour venu.
En attendant, c'était d'autre plan qui se jouait. Lorenzo ne soupire même pas alors qu'une fois encore, il vend son âme au diable. Mais sous les traits de Maeve, Lucifer se ferait presque plus tendre. Et Lorenzo signe. De sa main, le destin et le futur de sa propre famille.
C'est avec une Le Noir qu'il traite ce soir. Une femme dont les iris ont vu pire qu'il ne peut même imaginer. Maeve est puissante. Maeve est dangereuse. Elle bouillonne de cette énergie prédatrice qu'il lui a toujours appréciée. De cette aura qu'il ne voulait jamais voir disparaitre. Et elle ne dit pas ce qu'elle attends de lui. Nul doute qu'elle a déjà une idée derrière la tête, elle n'aurait pas utiliser ce terme autrement. Faveur. Tout ce qui pouvait se cacher derrière le faisait serrer les dents. Il ne l'offre pourtant pas. Les petits diamants blancs se dévoilent à peine à son sourire bref. Un coin de lèvres, à peine plus. Il n'y a nul trait d'humour mais il réagit comme si.
Rien que ne peut luire à la famille Medici ou à mes enfants. ajoute-t-il. Je te laisse ton secret Maeve mais tu ne me ferais faire ce que je réfute, sommes nous clair ? Je ne cracherai sur la Sainte Croix et je n'offrirai quoi qui puisse mettre les miens en danger.
Il se méfie. Il se méfie de tout le monde le parrain. Il ne serait plus en vie s'il n'avait apprit à être paranoïaque. Que Maeve soit sa cousine n'y change rien. Il lui fait confiance mais signer un contrat implique plus. Lorenzo, malgré tous ces défauts, est homme de parole; Quand bien même le serment ne serait inviolable sitôt qu'il aura apposé sa griffe sur la petite boite. Une fois que son sang s'y épanouira. La mafia n'a qu'une parole et beaucoup d'honneur. C'était ce qui leur offrait l'amour du peuple. C'est ce qui les retenait de chuter. La police, elle-même, n'osait intervenir quand ils décidaient que non.
Et tu auras ton service. Quelqu'il soit.
Les yeux dans les yeux, il jure. Les yeux dans les yeux, il offre sa promesse de la paume de sa main et de la forme caractéristique de la chevalière. Les six boules, dont une chargée de fleur de lys. La maison de Medici, comme autrefois, quand ils se gorgeaient du titre de duc. Son arrière grand père l'avait fait forgé sur le souvenir de la maison dont ils descendaient, quoi qu'en arguent la France. Ils n'étaient peut-être plus noble mais ils possédaient le même passé. La branche batarde avait épousé des rois et donné naissance à des princes. Eux avaient gardé le sang pur, sans plus de titre.
Qu'importait. Ils s'étaient juré de les récupérer un jour venu.
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@Maeve Le Noir
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(c) DΛNDELION
❝ I could love you with my eyes closed, Kiss you with a blindfold,
Figure you out.
I might hold you with my hands tied and show you I'm the right guy❞
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