periwinkles: remembrance and fidelity (auguste)
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(#) periwinkles: remembrance and fidelity (auguste)
missive rédigée par Rozenn de Valoys leSon corset était trop serré et elle avait du mal à respirer. Ce n’était pas Diane qui l’avait aidée à le mettre car Diane n’était pas avec elle ce matin-là. La domestique qui l'avait remplacée avait été gentille mais ses doigts avaient tremblé. Rozenn l’avait senti. Elle avait aussi senti le regard que tout le monde lui lançait depuis qu’elle s’était réveillée et son mal être avait augmenté. Incapable encore de se regarder dans un miroir, elle avait insisté pour ne pas y être exposée ce qu’on lui avait bien entendu accepté. Diane ne viendrait pas tout de suite lui avait-on dit. Rozenn savait qu’elle devrait encore patienter dans la soirée pour avoir l’occasion de voir sa suite.
Et elle était morte d’inquiétude et de culpabilité d’avoir risqué la vie de tout le monde avec cette tentative de remède contre sa malédiction.
Incapable également de tenir en place, il lui fallait sortir de ces murs qui l’avaient retenue prisonnière pendant des jours entre son coma et son état de rétablissement, les examens passés. Telle une poupée qu’on se passait de main en main, elle avait subi tout cela sans broncher consciente que de toute façon, elle n’avait pas le choix. Elle avait juste attendu, patiente et inquiète, ne sachant pas elle-même ce qui advenait d’elle. Personne n’avait rien trouvé encore ou tout du moins aucun des médicomages ne lui disait quoi que ce soit ce qui devait sûrement être le fait de son père et de sa mère. Rozenn savait qu’elle ne pourrait pas se battre contre cela même s’il s’agissait de sa santé et de son corps… alors, elle décida de laisser cela de côté.
Ses pas se faisaient rapides et derrière elle à un ou deux pas respectueux, elle sentait la présence de la domestique qui la suivait. Rozenn n’était pas dupe : cette femme était les yeux et les oreilles de son père ou de sa mère. Lequel des deux exactement, elle n’en savait rien, mais avec ce qui s’était passé, elle savait qu’il lui faudrait redoubler de vigilance. Dans son sillage également, la présence réconfortante et silencieuse d’Arthur qui ne la quittait plus non plus. Si la présence de son cousin ne la dérangeait pas, elle espérait qu’il aurait la présence d’esprit, une fois qu’elle serait arrivée dans sa serre d’occuper la domestique pour qu’elle ait de l’intimité.
Le froid la saisit immédiatement alors que les portes qui menaient jusqu’aux jardins du domaine s’ouvrirent. Le temps était couvert et en observant la neige, elle a le réflexe de froncer les sourcils à cause de son regard qui fut tant sensible à la lumière. Voyant arriver des domestiques, Rozenn rabat le capuchon de la capuche de sa cape pour cacher son visage au maximum. Regardant ses chaussures et le bas de sa robe, elle suivit le chemin jusqu’aux serres royales qu’elle connaissait par cœur et qu’elle aurait pu faire les yeux fermés.
Tandis qu’elle passe les portes et se laissant happer par la température, Rozenn s’arrêta un instant et eut l’impression de respirer de nouveau. Une partie d’elle était terrorrisée que pendant son absence, sa mère ou qui que ce soit d’autre eût déjà tout déraciné et trouvé deux ou trois fétiches façonnés enterrés là. C’était le seul moyen qu’elle avait trouvé de conserver quelques fétiches ici avec Katell.
Katell, se rappela-t-elle, devenue livide.
Que sa dame de compagnie devait être morte d’inquiétudes ! Katell avait été celle qui l’avait aidée avec le rituel et … Rozenn sentit les larmes lui venir. Bloquant sa respiration, ses mains gantées serrées contre ses cuisses, elle souffle à l’égard d’Arthur :
« Pourrais-je avoir un peu d’intimité ? »
« Princesse… » commença la domestique qui devait certainement être chargée de ne pas la lâcher d’une semelle.
Mais Arthur qui avait compris s’exécuta et fit sortir la domestique qui ne protesta pas d’avantage. Une fois les portes derrière elle fermées, Rozenn se mit à respirer plus fort pour contrôler les larmes qui lui venaient. Le tissu de ses gants l’empêchaient de s’écorcher les paumes de ses mains. Essayant de contrôler la respiration chaotique à cause du corset mal mis, Rozenn ferma les yeux.
Pervenches : emblème du souvenir et de la fidélité… Offertes à un ami, elle promet une estime durable et sincère…, se récite-t-elle pour se calmer. Dans le domaine de l’amour, la pervenche exprime l’impossibilité de vivre sans son aimé qui occupe ses pensées. En Provence, les garçons de la plaine de la Crau déclaraient leur amour en offrant une pervenche à l’élue de leur cœur…
Elle continue ainsi jusqu’à ce que, malgré le corset, elle sente l’air passer mieux dans sa cage thoracique. Retrouvant peu à peu le contrôle et ravalant ses larmes, Rozenn se défait de ses gants. Lorsque son regard se pose sur sa peau, elle a un mouvement de recul avant de se rappeler.
C’est moi. C’est juste moi. Tout va bien.
Son regard cherche les autres gants, ceux qu’elle utilisait pour jardiner et elle les passa, se sentant mieux ainsi. Son regard capta le premier plan de fleurs et plantes et elle s’agenouilla pour commencer à se mettre à jardiner de ce qui avait été délaissé pendant son absence.
Elle ne sait pas combien de temps elle reste à jardiner et faire ce qu’elle a à faire, mais elle entend vaguement la porte s’ouvrir et l’annonce être faite. Ses gestes se figent et son cœur, lui, bat à tout rompre. Elle était tellement inquiète pour sa suite, pour elle-même également qu’elle n’avait absolument aucune idée de ce qui avait été dit ou pas dit à Auguste, et, se rappelant ce qui avait changé chez elle, elle s’empêcha de se relever pour l’accueillir. Le regard rivé sur le sol, la capuche tombant sur son visage et aucune peau ne se dévoilant, Rozenn resta ainsi un court instant. La porte de la serre se referma et elle sut qu’ils étaient seuls.
« Pardon de ne pas t’accueillir comme d’habitude… » finit-elle par souffler. Il lui semblait que s’excuser était déjà la moindre des choses à faire. « Je ne sais pas ce que l’on t’a dit... » confessa-t-elle finalement et son visage bouge légèrement pour se tourner vers lui bien que toujours dans l’ombre.
Elle était incapable de bouger, de se relever ou d’ôter sa capuche. Elle était incapable de soutenir son regard et de voir comme tous les autres cet instant de stupéfaction face à sa nouvelle apparence.
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(#) Re: periwinkles: remembrance and fidelity (auguste)
missive rédigée par Auguste Lestrange leQuand il pénètre dans la serre et avise enfin, enfin, la silhouette pourtant anonyme de Rozenn, Auguste se fige, son élan fauché par un soulagement si violent qu’il lui donne le tournis. Elle est vivante. Ce n’est plus une simple nouvelle, couchée sur un morceau de papier ou un souhait, répété encore et encore dans les moments de désœuvrement où la prédation de l’angoisse n’a cessé de le rattraper. Elle est là, devant lui, quoique occultée par ses atours, et un instant, le voilà qui regrette leur adolescence, l’impossibilité d’avaler la distance qui les sépare pour la serrer dans ses bras, simplement. A la place, Auguste ravale son émoi, inspire profondément, et s’avance de nouveau tandis qu’on l’annonce dans les formes. Monsieur Lestrange sonne alors curieusement.
Et il ne manque pas d’être surpris lorsqu’elle ne se relève pas, refusant de lui faire face, abandonnant lui l’idée d’une révérence de circonstance. Le bref regard interrogateur qui quémande un indice auprès d’Arthur reste lettre morte, et lorsque la porte de la serre se referme, ils sont seuls.
“
La réponse ne fait rien pour apaiser ses doutes mais ce sont les excuses qui lui serrent le coeur. Par habitude, le voilà qui se mure, enferme ses émotions derrière les remparts qu’il a lentement dressé des années durant. Quoi qu’il se passe, et à moins qu’elle ne lui affirme l’inverse, Rozenn n’a pas besoin qu’il s’épanche.
“
Le quotidien de princesse héritière, et de princesse tout court d’ailleurs, n’a rien d’un rêve. Une existence faite de devoirs, d’étiquette, de centaines de paires d’yeux rivées sur elle à l’observer, la décortiquer, l’analyser. Des activités qu’elle ne peut choisir d’effectuer, et des rencontres mondaines impossible à esquiver. Derrière ces hauts murs, elle est aussi contrainte qu’un prisonnier de Fort Invisible. Il n’a aucune envie d’y ajouter. Pourquoi être venu, d’ailleurs ? Parce qu’il l’aime, pas avec romantisme, mais avec tendresse, l’amour pour une proche, une amie, une confidente, une alliée. Une femme qu’il respecte et qu’il espère pouvoir épauler, à défaut de vivre la vie dont lui eut rêvé. Il est là parce qu’il a réellement craint de la perdre.
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(#) Re: periwinkles: remembrance and fidelity (auguste)
missive rédigée par Rozenn de Valoys leElle ferme les yeux à l’entente de son prénom. L’angoisse creuse son ventre et le corset se rappelle à elle. Elle a terriblement envie de s’en libérer mais sait que toute seule c’est impossible, sait aussi qu’il y a peu de chance que ce soit la seule chose qui l’empêche de respirer convenablement. Il lui semblait qu’elle manquait de souffle depuis toujours comme si les entrailles d’Eithne ne l’avait jamais totalement mise au monde. L’étau s’était resserré à maintes reprises mais rien n’avait jamais été comparable à l’étroitesse de cet étau depuis la loi de 1926. Elle paniquait toute seule, elle le savait, se sentant perdue sans sa suite, dans ce corps qui était le même tout en étant complètement différent. Et tandis qu’elle reste de manière à ce qu’il ne voit pas son visage, elle se dit qu’elle était ridicule. Il faudra bien qu’il la voit. Curieux que les rumeurs ne l’avaient pas encore atteint. Rozenn se surprend à penser que peu importait ce qu’avait mis en place Adelstan pour étouffer l’affaire et que cela ne sorte pas des murs de ce château aussi grand et peuplé puisse-t-il être, cela s’était révélé efficace.
Les mots d’Auguste sont autant de baumes qui l’apaisent un peu. Il ne l’accuse pas, ne s’énerve pas mais elle sait très bien qu’il est inquiet. Elle ne sait pas comment lui dire tout ce qui s’est passé parce que ce serait mettre potentiellement en danger toute sa suite et aussi son plus grand secret. Mais était-ce seulement encore utile de cacher ce dernier auprès de son futur époux ? Auguste était un allié, un ami, un confident et il n’en serait pas là si elle ne lui faisait pas confiance. Comment lui expliquer, cependant, sans tout lui révéler, sans dévoiler sa suite et surtout Katell qui risquait tant ?
Ses yeux se fixent sur ses gants de jardinage salis par la terre qu’elle a retourné. Elle ne se sent pas prète de montrer son visage encore mais ses mains, celles-là même qu’elle cachait constamment sous ses paires de gants… Cela lui semblait être un bon compromis.
« Je ne veux pas que tu partes… Mais je pense que tu dois avoir des questions et que tu vas en avoir avec ce que je vais te montrer. » répondit-elle avec autant de calme que possible. « Je… Je ne suis pas sûre de pouvoir tout te dire pour l’instant… je ne suis même pas sûre de tout me rappeler. »
Elle comptait sur Katell pour lui combler les trous, mais pour cela, il lui faudrait patienter. Pour l’heure, elle n’a aucune envie d’éconduire son prétendant parce qu’elle manque de réponses et finalement, elle n’a aucune envie d’être seule en attendant sa suite alors qu’elle avait été si entourée depuis deux jours. Sa présence lui était rassurante, nécessaire même.
Sans un autre mot, elle défait alors un de ses gants, laissant la piqure de la température lui déclencher un frisson. C’est sa main qu’elle lui montre donc, le visage toujours baissé pour ne pas qu’il voit. Et c’est sa main qu’elle fixe également un peu effrayée. La blancheur est totalement différente de ce qu’il lui a connue et il est évident qu’elle ne souffre plus du même mal qu’il l’eût atteint.
« Je ne me sens pas de te montrer mon visage tout de suite. » s’excusa-t-elle doucement. « Mais je ne suis plus… » Elle marque une pause et fait un non de la tête. « En fait, je ne suis même pas sûre de si ma malédiction a totalement disparue ou non. Mais je crois que mon albinisme a disparu. »
Dans ses songes, quand elle discutait avec Katell ou Diane de ce que serait une vie sans cette particularité, elle avait toujours imaginé que ce serait un poids en moins. Elle n’avait pas soupçonné que tout était bien plus complexe que cela, que ce malaise envers elle-même ne disparaitrait pas comme cela.
Le regard rivé sur sa main nue, elle attend une réaction et ne peut s’empêcher de dire plus pour se rassurer elle-même que pour lui :
« C’est toujours moi. »
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(#) Re: periwinkles: remembrance and fidelity (auguste)
missive rédigée par Auguste Lestrange leIl attend patiemment, ne souhaitant pas la brusquer ou lui faire croire qu’elle n’est pas maîtresse de son choix. Après tout, il ne sait pas ce qui s’est passé et n’a aucun désire d’ajouter à l’inconfort à présent évident qu’elle ressent. Il ne l’observe pas tout à fait, en coin, faisant mine d’examiner l’un des troncs noueux sur le côté de la serre. Un des plants qu’il lui a faits parvenir de Chine, si sa mémoire est bonne. Un présent désintéressé et sans même de lettre pour l’accompagner. On lui a simplement dit, un jour, qu’elle s’est prise de l’envie d’un jardin, et l’arbre lui fit immédiatement penser à elle. De toute évidence, elle en a pris immensément soin, car il est bien plus resplendissant que dans ses souvenirs et il en naît presque un sourire à ses lèvres, à l’instant où Rozenn s’exprime.
“
Avec son autorisation de rester, Auguste se tourne de nouveau pleinement vers elle, attend, encore, non sans souci. Une amnésie n’est jamais bon signe après tout. Mais rien ne vient, du moins pas en l’instant. En lieu et place, Rozenn libère l’une de ses mains de l’écrin de son gant. Un geste anodin, sur l’instant, qui n’éveille rien chez Auguste en dépit de l’évidence même. Rozenn doit le lui pointer du doigt, par son ersatz d’explication, des mots qui manquent de défaire sa retenue et de lui arrondir les yeux de surprise. Il s’en garde bien cependant, mais examine de nouveau la peau de sa main, pâle certes, d’un velours diaphane eut pu dire un poète, mais la vérité est toute autre. Elle n’a plus rien de la blancheur étrange de l’albinisme.
“
Un bref instant, il se sent vexé qu’elle ne lui eut pas confié sa décision avant, mais il sait n’avoir aucune légitimité à une telle revendication. Ils se retrouvent à peine, quelques mois, après un silence qu’il lui a imposé pendant des années. Il ne peut pas prétendre à sa pleine et entière confiance, elle a vécu, tout ce temps, et a sans doute un entourage bien plus endurant et fidèle que lui l’a été. Et après tout qu’importe, c’est elle qui a subi cette tentative comme les contre-coups de celle-ci. Alors il approche, d’un pas, puis d’un autre, attentif à ses réactions, baisse la tête, le regard rivé sur sa main, s’arrête après quelques instants, pour ne pas la brusquer. Pensif. Pondérant la meilleure tenue à adopter face au fait accompli. Et lorsqu’elle s’exprime à nouveau, il ose enfin.
“
Il sourit, même s’il se force. Crepus lui a toujours seriné qu’un sourire s’entend, même dans la voix.
“
En un sens, Auguste ne s’attend pas à la convaincre, comprend qu’elle a besoin de temps et de certitudes qui ne peuvent venir qu’avec les expériences qu’elle fera prochainement, mais il ne peut la laisser seule avec le silence pour réponse quand elle est si vulnérable. Egrenant quelques instants pour ne pas la noyer, Auguste décide finalement de s’installer sur le bord d’un imposant pot qui contient une plante oiseau du paradis, suffisamment proche pour qu’elle ne se sente pas seule et puisse le rejoindre si elle le désir, mais de sorte à lui laisser de l’espace également. De toute façon, si elle a besoin de lui, elle saura l’exiger, il en est convaincu. Ou bien aimerait sans convaincre ? Incertain, en vérité, Auguste inspire profondément, s’aidant ainsi à la tenue.
"
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(#) Re: periwinkles: remembrance and fidelity (auguste)
missive rédigée par Rozenn de Valoys leLa compréhension d’Auguste la touche et pourtant, elle a peur que tout vole en éclat sans savoir pourquoi. Peut-être parce qu’elle a honte de ne lui avoir rien dit, honte que cela se soit passé ainsi. Elle ne sait pas tout, mais elle ment aussi et Rozenn n’a jamais aimé cela, mentir même pour protéger ceux qu’elle aime. Lui dire cela aurait été impliqué quelqu’un d’autre et même si elle savait Auguste intelligente, plus il y avait de personnes au courant, plus elle prenait de risques. Mais contrairement à tout le monde, son père, sa mère, tous les autres, elle ne pouvait pas mentir autant à Auguste. Alors, elle attend le regard figé sur cette main qui est la sienne. Elle a la même petitesse et la même finesse, mais elle est à la fois si différente, si autre.
Dans le léger silence qu’elle pense être celle de la stupéfaction qui s’exprime, Rozenn est surprise que lui fait immédiatement le lien. Peut-être est-ce l’une de leur dernière conversation qui l’a trahie. Il faut dire que le sujet est tellement récurrent, tellement pressant ces derniers temps qu’elle a peut-être été plus transparente qu’elle n’aurait dû. Elle ne sait quoi penser de sa tonalité mais elle se sent minable de lui avoir caché quelque chose d’aussi important. Elle avait ses raison, mais cela n’empêche qu’elle a inquiété tout le monde et lui était la dernière personne qu’elle voulait inquiéter.
Il y a autre chose sans doute. Quelque chose de plus intime à ce silence volontaire. Hormis le danger, les gens impliqués qu’elle se devait de protéger autant qu’ils la protégeaient, c’était aussi une promesse scellée sur une tombe, celle d’une jeune fille qui n’avait pas dix-sept ans et qui adorait les papillons. Ce sens à la mort de Drisella qu’elle avait peu exprimé. Il était toujours très difficile et douloureux de parler d’elle. Elle avait eu besoin de ne le dire à personne sauf à ceux qui auraient pu l’aider et en l’état, Auguste n’aurait rien pu faire.
« Oui. » souffle-t-elle néanmoins avant de baisser sa main qui retombe le long de son corps.
Elle le sent s’approcher mais ne relève pas la tête, ne bouge pas non plus. Elle attend qu’il dise autre chose tout en espérant qu’il ne la déteste pas. Ses mots la touchent. À toutes ces questions qu’il lui pose, tous ses centres d’intérêts qu’il énonce, elle sait qu’elle répondra oui. Rien n’a changé. Ni l’amour des plantes, la passion des chevaux et des faucons, et malgré les dissentions, son amour pour ses frères et sœurs, morts, vivantes, sains ou maudits. Il parvient même à la faire sourire à la connaître si bien, elle sent que c’est son cas aussi.
« Merci. » répond-t-elle d’une voix émue.
Cela ne réglait pas tout, mais ses mots étaient un premier baume qui ferait son chemin. Une première graine plantée dans les terreaux fertile de son esprit. Suivant le mouvement d’Auguste, elle ne sait que faire. Ses appréhensions se sont un peu calmées et elle l’écoute non sans se mordre la lèvre. Évidemment que Cyrius allait faire son travail. Elle se doutait qu’il était déjà sur le coup.
Réfléchissant, un court instant, Rozenn finit par répondre :
« Nous pouvons faire les deux. Tu me donnes les graines et je t’explique au mieux. »
Ne se détournant pas totalement mais faisant attention à ce qu’il ne la voit pas tout à fait, Rozenn s’approche d’un endroit de terre disponible. De sa main nue, elle touche la terre pour la sentir se sentant apaisée ainsi et constatant qu’elle était parfaite pour accueillir quelques graines.
« Ce sont des graines de quoi ? »
Elle tend la main pour pouvoir réceptionner les graines mais sa posture la gêne. Elle ne peut pas se cacher de lui et pour autant être tournée vers lui pour ne pas faire tomber le précieux petit paquet. Alors, parce que son esprit est occulté par la gêne plus que par son visuel d’elle-même, elle a le réflexe de défaire sa capuche pour mieux voir et ainsi dévoiler son visage. Lorsqu’elle se rend compte de cela, elle se fige un peu mais ne détache pas son regard toujours clair mais plus foncé qu’auparavant d’Auguste.
« Je suis désolée, je ne voulais inquiéter personne. »
Par réflexe, elle observe l’entrée de la serre d’où il venait d’arriver. Elle ne voit que l’ombre d’Arthur qui est de dos et trop loin pour entendre quoi que ce soit. Rozenn chuchotte.
« C’était trop dangereux de t’en parler. Je pensais que tu étais mieux dans l’ignorance mais je me rends compte que c’était stupide… même si je n’avais pas imaginé que cela allait se passer comme ça. » Elle détourne le regard. « Ça aussi c’était idiot de le penser. On ne tente pas de détourner le cour d’une malédiction sans qu’il n’y ait de conséquence. »
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(#) Re: periwinkles: remembrance and fidelity (auguste)
missive rédigée par Auguste Lestrange leLes deux. Ils peuvent, en effet, n’avoir pas à choisir, si c’est là ce que Rozenn désire. Alors Auguste opine, sans certitude qu’elle perçoive le geste. Sa mire trouve les formes colorées de la plante oiseau de paradis, admirant le nuancier pendant les quelques instants de silence qui voient la princesse se déplacer. Sans la protection de la serre, la plante n’eut pu pousser ici, très certainement. Et sans les bons soins de Rozenn, elle n’eut pas prospéré ainsi.
“
Il est sur le point de tendre le petit sachet mais le mouvement inattendu de Rozenn près de lui attire son attention, et son regard. Capuche abaissée, la voilà qui découvre un visage qu’il reconnaît, et qui pourtant lui étranger. Et Auguste entrevoit pourquoi elle hésite, pourquoi elle est incertaine. Il comprend, parce qu’il s’agit de sa plus grande peur, celle de se lever un beau matin et de voir un étranger dans la glace, familier et inconnu tout à la fois.
Et il lui sourit, opine lorsqu’elle s’ouvre davantage, et soupire profondément, sans pour autant s’ouvrir de plus de sentiments qu’une tendresse sincère, patinée d’un soupçon involontaire de tristesse. Le voilà écartelé, entre l’envie de se montrer aussi franc qu’il le peut tout en souhaitant avant tout la préserver, la laisser intégrer ce qu’elle a vécu sans l’ennuyer de ses affects personnels. Elle n’en a pas besoin. Et lui est là avant tout autre chose pour l’épauler.
“
Hésitant un instant sur le choix de ses mots, il en vint à lui proposer une place sur le bord du pot, auprès de lui, avant de s’exprimer à nouveau.
“
Il eut un geste ouvert des mains, de la tête, et lui coula une œillade de côté, soucieux pour elle. Elle a raison, détourner le cours d’une malédiction n’a pas l’air d’être un acte anodin.
“
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(#) Re: periwinkles: remembrance and fidelity (auguste)
missive rédigée par Rozenn de Valoys leDes séquoias de Chine. Le regard de Rozenn se met à briller d’une certaine excitation. Voilà qui allait agrandir cet espace dédié à la Chine ici. La serre était en réalité très organisée, Rozenn ayant mis à cœur de faire en sorte que les espèces soient rassemblées par leur aire géographique. C’était plus facile ainsi d’en prendre soin et avec les savoirs des sorcières des landes ajoutés, la végétation prospérait encore et encore. Rozenn était fière de cet endroit d’autant plus quand, des personnes comme Auguste pensaient à elle. C’était sa façon à elle de lui dire que ses cadeaux étaient appréciés tout en continuant d’avoir la main aussi verte que possible. Une façon aussi de faire continuer à s’exercer dans son domaine à la barbe de tout le monde aussi. Il y avait là quelque chose de transgressif sur lequel elle avait du contrôle alors que sa vie en manquait tant.
Elle récupère les graines en laissant tomber sa capuche et voit sa réaction. Que pense-t-il d’elle maintenant ? Est-elle toujours aussi hideuse ? Elle, elle n’arrive pas à se voir. Tout lui semble disgracieux, pas plus qu’avant mais différemment. Ce sentiment de malaise la remplit au même titre que le malaise de l’avoir déçu. Son sourire la rassure un peu mais pas le soupir. Rozenn se met à observer le petit sachet de graines et se raccroche à cela. Où elle allait les mettre, comment elle allait planter cela, à quoi ils ressembleraient d’ici quelques temps. Si elle l’entend ne pas l’accabler, elle n’est pas tout à fait d’accord. Elle aurait pu faire mieux. Elle aurait pu lui dire sans lui dire au moins. Ils étaient censés être des alliés, non ? Mais les secrets, comme il le disait si bien, auraient toujours leur place entre eux. Pour se protéger l’un l’autre, peut-être aussi pour que l’autre ne constate pas toute la laideur.
« Je sais. Les secrets ne sont pas dérangeants. Mais j’ai tout de même pris une décision pour toi, à ta place en pensant bien faire. Cela ne doit pas être agréable pour toi. »
Elle s’approche et vient s’appuyer également sur le pot à côté de lui. Son regard l’observe un peu et elle constate qu’il évoque Nikolaï. Elle lui adresse un petit sourire compréhensif et sent son cœur fondre de tendresse pour lui à sa dernière réplique.
« Bien sûr que je te veux à mes côtés. » dit-elle avec sincérité et douceur.
Son air s’assombrit un peu.
« Physiquement, je crois que les médecins royaux n’ont rien trouvé. Enfin, c’est difficile à dire. Personne ne me dit rien. Mais je me sens… normale au moins. Je crois ? » Elle se mord la lèvre. « Je n’ai vraiment pas envie de m’emballer sur l’idée d’avoir réussi mais… Pour l’instant je n’ai pas réellement de raison de penser que ça n’est pas le cas. Ce qui m’inquiète surtout, c’est comment cela va être présenté à tout le monde. Je ne vais pas éternellement rester enfermée au château. »
Et elle se sentait terrifiée que tout ne retombe sur sa suite. Ils n’étaient certes pas ses gardes du corps et c’était une chance qu’Arthur n’était pas inquiétés mais tout de même. Réalisant qu’elle s’inquiétait plus pour les autres que son propre état de santé, Rozenn se dit qu’elle préférait se concentrer sur eux plutôt que sur elle. La déception serait bien trop grande si elle espérait.
« Tu sais, quand Drisella est décédée… Sa voix se tremble un peu et elle expire plus fort. Je me suis jurée que je trouverai un remède. Je ne sais pas quoi faire pour savoir si ça a réellement réussi… Aurais-tu des idées ? Si ce n’est pas physique, peut-être que c’est ailleurs dans ma psychée… ou alors je suis vraiment guérie… » Elle a un rire nerveux. Voilà qu’elle espérait encore.
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(#) Re: periwinkles: remembrance and fidelity (auguste)
missive rédigée par Auguste Lestrange leIl offre un sourire, même l’ébauche diffuse d’un rire dans le souffle précipité qu’il laisse échapper, lui décoche un regard qui se veut pétillant. Rozenn a raison, fondamentalement raison, mais il la sait dure envers elle-même, sans toutefois posséder la clairvoyance nécessaire pour discerner s’il s’agit d’un besoin de perfection qu’elle s’impose ou un effet délétère de l’attitude d’Adelstan à son égard. C’est toutefois une preuve de plus qu’elle est toujours elle-même et en cela la confiance se mêle à la tragédie qu’est le destin de cette femme aux épaules si lourdes des attentes d’un pays.
“
Si les hommes prenaient toujours la bonne décision, il n’eut pas attendu cinq ans auprès de Nikolaï non plus. Il se fut épargné cette perte de temps. Si les hommes prenaient toujours la bonne décision, il eut choisi quelqu’un d’autre qu’Arsène, eut abandonné son nom et vécu pour lui. Si les hommes prenaient toujours la bonne décision, Adelstan eut compris combien il est chanceux d’avoir Rozenn pour fille, et eut abandonné la couronne de lui-même plutôt que de s’y accrocher. Mais les hommes ne prennent que rarement la bonne décision.
“
En vérité, il est reconnaissant qu’elle le note même, prouvant une fois de plus combien elle est tournée vers autrui. Elle fera une bonne reine, se prend-t-il à penser en détaillant ses traits. Oui, aussi lourde soit l’image de la royauté, elle fera très certainement une bonne reine. Et sa douceur, quand elle lui répond, le noie sous l’envie de la protéger autant qu’il le peut.
“
Il ne détourne pas la mire cette fois, l’observe et boit ses paroles, non sans laisser ses pensées vagabonder sur les avenues qu’elle lui ébauche. Aucune pathologie physique, semble-t-il, aucune qu’elle ressente quoi qu’il en soit, si l’on omet son apparence. Auguste ne comprend que trop bien le besoin de ne pas nourrir l’espoir, même lorsqu’on en a un désir irrépressible. Et il n’est pas médecin lui-même, ni expert en aucune forme de magie. Cette fois, il choisit de ne rien dissimuler de son humeur, de l’intensité de sa réflexion.
Lorsqu’elle s’exprime de nouveau, il doit même s’y arracher, saisir le fil au vol. Drisella. Elle a évoqué Drisella, n’est-ce pas ? D’un geste lent et ouvert, sa main vient chercher la sienne, la porte à ses lèvres qui flattent le derme doux, et il la presse de ses propres mains encore gantées, avec la délicatesse qu’il eut offert à un oisillon, et pourtant, tremblantes de l’intensité de l’émotion pure qu’il ravale si bien qu’elle fait à peine scintiller ses prunelles.
“
Sa prise s’adoucit davantage encore, lui donne l’occasion de revandiquer sa main si elle en ressent le besoin. Auguste sait qu’aucun sorcier en dehors de la famille De Valoys ne connaît l’origine de la malédiction, pas même les Le Noir. Et pourtant, il n’a eu de cesse de s’interroger, depuis qu’il a renoué avec Rozenn, depuis leur escapade en mer, sait-elle, elle-même ? Adelstan a-t-il daigné le lui révéler ou conserve-t-il cette information jalousement, et si c’est là son choix, la réponse peut-elle se trouver ailleurs ?
“
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(#) Re: periwinkles: remembrance and fidelity (auguste)
missive rédigée par Rozenn de Valoys leElle sourit un peu, optimiste en entendant son souffle qui se fait rire et qui est doux à ses oreilles. Au moins ne lui en veux-t-il pas trop. Elle trouverait de quoi se faire pardonner, un cadeau ou quoi que ce soit d’autre sans pour autant se dire que c’est pour acheter son pardon. Mais il a raison. Elle ne peut pas réécrire ce qui s’est passé avec de bonnes décisions. Elle n’a qu’à faire mieux dans le futur, et il lui en donne l’opportunité.
Sous son regard, elle se sent peu à peu un peu plus à l’aise. Parle, réfléchir l’aide également. Elle voit en observant les traits de son visage qu’il est aussi concentré et impliqué qu’elle le voyait souvent quand les choses sont importantes et elle ne peut s’empêcher de sourire un peu en coin, d’en être un peu rassurée. Jusqu’à évoquer Drisella qui ravive les douleurs passées. Le geste d’Auguste la fait l’observer un peu non sans inspirer un peu plus fort. De nouveau son corset se rappelle à elle. Il faut qu’elle se calme. Lorsqu’elle a la respiration calme, le corset lui fait moins mal. Il faut aussi qu’elle demande à ce qu’on le desserre ou attendra ce soir d’avoir Diane et Katell avec elle.
Est-ce sans doute la façon dont il lui sert la main avec autant de délicatesse comme si elle allait se briser s’il la serrait trop fort, ou le surnom intime que peu ont l’occasion de prononcer. Quoique ce soit, elle reste à l’observer ne perdant une miette de l’ami dévoué qu’il est et se sentit un peu apaisée. Sa respiration se calme de nouveau. Mais la question qu’il pose la plonge dans un air interdit qu’elle ne cache pas.
Voilà un secret chèrement gardé par sa famille. Un de ces nombreux secrets qui pèse et qui tue. Le genre de secret qu’elle avait mis un moment à trouver pour tenter de se débarrasser de sa malédiction. Les archives étaient bien cachées mais avec Katell elles avaient finalement réussi. Adelstan n’était pas bavard sur la question et Rozenn savait qu’elle n’avait que peu de marche de manœuvre, persuadée que si son père savait qu’elle savait, et par là qu’il savait qu’elle était sorcière des landes, voudrait l’utiliser à son avantage, quitte à la détruire au passage. Après tout, elle n’était qu’une de ses filles maudites.
La peur se lut dans le regard de Rozenn qui s’accroche alors à sa main. Elle ne serre pas fort, mais elle tient fermement sa grande main pour garder un peu l’équilibre alors qu’elle est encore appuyée sur le grand pot. Les mots d’Auguste ont du sens et un éclair de compréhension passe dans le regard de Rozenn. Des éléments se remettent en place. C’était sans doute pour cela que, sans briser la malédiction mais en la déplaçant, elle avait risqué à ce point sa vie… ce qui la faisait perdre espoir sur la possibilité d’être guérie. Ne la rassurait pas non plus de devoir le dire à Auguste. Comme son père sans doute, elle ressentait le poids de la honte. Elle savait très bien qu’Adelstan avait honte d’elle, deux, tous les maudits de la famille. Il leur avait tous passé d’une manière ou d’une autre : Ophélie les détestait reproduisant l’indifférence d’Adelstan tandis que Céleste se laissait à vivre sa vie jusqu’au dernier instant pour vivre à pleine dent parce qu’elle savait que ses jours étaient comptés. Et elle, elle se murait dans le silence.La honte doit cesser , pense-t-elle avant de dériver un peu le regard.
Après quelques secondes de réflexion, elle inspira et expira avant de se lancer.
« Tu dois promettre de ne rien dire à personne, Auguste. C’est important. C’est de ta vie qu’il s’agit. S’il sait que tu sais… »
Elle se mord la lèvre pour arrêter un tremblement qui se répercute jusqu’à la main qu’elle serre. Elle a peur de son père et elle n’arrive plus à le cacher.
« Un de nos ancêtres a brisé un serment inviolable envers la mauvais personne. Je sais à quelle époque mais je ne sais pas en quoi consistait les termes de ce serment. »
Son regard se repose de nouveau sur Auguste et elle se noie un peu dans ses yeux couleur de l’océan non sans ressentir une forme d’injustice. À cause d’une erreur d’un ancêtre passé, les voilà tous maudits. À cause d’une erreur d’un ancêtre passé, la vie de Drisella avait été chauffée alors qu’elle n’avait pas dix-sept ans et plus récemment celle d’Iris qui n’avait pas passé la petite enfance. Et tous ses cousins et cousines, et tous les autres avant eux. Tous morts pour rien. Pour une erreur passée dont ils étaient tous victimes.
L’espace d’une seconde, la colère se lit sur son visage et elle le détourne pour fixer autre chose.
« Avec ce que tu viens de me dire, ça parait censé. Je crois que, dans ce cas, je suis encore maudite. Je n’ai rien voulu briser parce que dans les faits c’est trop compliqué. Je n’ai cherché qu’à déplacer la malédiction sur autre chose que moi, la transférer. Si mon albinisme a disparu, cela veut dire que la manifestation de la malédiction s’est changée en autre chose. »
Et sa gorge se noue, un certain désespoir se lit sur son visage.
« Il faut que je trouve quoi avant que cela ne me prenne par surprise. » souffle-t-elle, perdue.
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