[TERMINÉ] family matters
Lorenzo de MediciATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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(#) [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Lorenzo de Medici lefamily matters
ft Maeve Le Noir
Thème | Paris. paris la belle, Paris la grande. Paris qui, pourtant, souffrait cruellement de la comparaison avec sa soeur italienne. Lorenzo, même s'il aimait la France de tout son être, préférait la chaleur de Rome aux froides températures de Paris. Emmitouflé dans son manteau, il était pourtant sorti de son appartement, de la chaleur réconfortante de la cheminée pour rejoindre sa cousine. Il lui avait fait parvenir un elfe avec une missive, lui annonçant sa venue pour la soirée. Revoir le club Ecdysis avait un goût particulier, teinté d'un soupçon de nostalgie. Il avait passé tant et tant de nuit entre les bras de maitresses ici bas. Il s'était amusé, il y avait crée tout une gamme de plaisir et d'appel à la luxure, il avait offert les plus grandes déviances de l'homme. Tout ça pour tout perdre en une main malchanceuse et beaucoup trop d'alcool. Il ne pouvait s'empêcher de renifler en apercevant la devanture des lieux. Tout pouvait se vivre au club. Tout pouvait également s'y perdre.
Lorenzo alluma sa cigarette en entrant dans les lieux. On ne le refuserait pas ente les murs. S'il n'en était plus le principal créancier, il n'en demeurait pas moins une figure connue et reconnue. Combien de fois avait-il fini ivre mort sur les canapés de cuir ? Combien de fois les femmes de chambre avaient dû le porter dans les étages pour le coucher, refusant ses avances d'ivrogne. Au moins avait-il l'esprit clair à l'instant. Il voulait parler avec sa cousine, pas faire la fête. Et il n'avait encore rien bu de la journée, arguant qu'il n'en avait de toute façon pas besoin.
D'un geste de la tête, Lorenzo demanda à son garde du corps de le laisser seul. L'autre n'aurait pas dû accepter mais, au cœur du club Ecdysis, il savait qu'il n'avait guère le choix. Il le surveillerait d'un oeil. Depuis les récents évènements, Lorenzo ne prenait plus de risques. La mort pouvait l'attendre à tout angle. Il avait signé trop de contrat dont la mort fut le résultat pour avoir la conscience tranquille.
Il chercha Maève du coin de l'oeil, ses lèvres s'étirant sur un immense sourire dès qu'il l'aperçue. Femme occupée, sa cousine offrant toujours autant de prestance au reste du monde. Elle ressemblait à sa propre mère, bien plus jeune et les traits moins tirés. Nolwenn avait élevé six enfants. Maeve n'en portait pour l'heure aucun. Tirant sur sa cigarette, offrant de souffler sa fumée aux alentours, Lorenzo s'approcha. On le remarquait. Ce soir, il ne s'était paré d'aucun artifice. Pas de costume de tailleurs. Pas de cravates parfaitement ajustées. Une chemise et un blaser sous son manteau. Un foulard autour de la gorge. Simplement ses cheveux gominés sous son chapeau et même le voile d'une barbe à ses joues. Il ne s'était rasé que la veille.
Ma chère cousine. offrit-il, assez fort pour déranger quelque badaud. On le reconnaissait. Et, comme toujours, on ne lui disait rien. Lorenzo se voulait roi du monde, qu'importe que la noblesse ait quitté ses veines pour moitié. Décidément, cela devient impossible de parvenir à t'attraper. Ne laisse donc pas le travail faner un aussi beau visage et vient t'assoir avec moi.
Qu'ils boivent ensemble à le retrouvailles. Qu'ils s'installent ensemble. Car, sous ses sourires et ses paroles hautes en verbe, Lorenzo avait à lui parler. De sujets bien moins amusants que ce que son visage prêtait à croire. Il vivait sous un masque plaisant et grandioses. Et n'était pas né celui qui lui ferait ôter.
Lorenzo alluma sa cigarette en entrant dans les lieux. On ne le refuserait pas ente les murs. S'il n'en était plus le principal créancier, il n'en demeurait pas moins une figure connue et reconnue. Combien de fois avait-il fini ivre mort sur les canapés de cuir ? Combien de fois les femmes de chambre avaient dû le porter dans les étages pour le coucher, refusant ses avances d'ivrogne. Au moins avait-il l'esprit clair à l'instant. Il voulait parler avec sa cousine, pas faire la fête. Et il n'avait encore rien bu de la journée, arguant qu'il n'en avait de toute façon pas besoin.
D'un geste de la tête, Lorenzo demanda à son garde du corps de le laisser seul. L'autre n'aurait pas dû accepter mais, au cœur du club Ecdysis, il savait qu'il n'avait guère le choix. Il le surveillerait d'un oeil. Depuis les récents évènements, Lorenzo ne prenait plus de risques. La mort pouvait l'attendre à tout angle. Il avait signé trop de contrat dont la mort fut le résultat pour avoir la conscience tranquille.
Il chercha Maève du coin de l'oeil, ses lèvres s'étirant sur un immense sourire dès qu'il l'aperçue. Femme occupée, sa cousine offrant toujours autant de prestance au reste du monde. Elle ressemblait à sa propre mère, bien plus jeune et les traits moins tirés. Nolwenn avait élevé six enfants. Maeve n'en portait pour l'heure aucun. Tirant sur sa cigarette, offrant de souffler sa fumée aux alentours, Lorenzo s'approcha. On le remarquait. Ce soir, il ne s'était paré d'aucun artifice. Pas de costume de tailleurs. Pas de cravates parfaitement ajustées. Une chemise et un blaser sous son manteau. Un foulard autour de la gorge. Simplement ses cheveux gominés sous son chapeau et même le voile d'une barbe à ses joues. Il ne s'était rasé que la veille.
Ma chère cousine. offrit-il, assez fort pour déranger quelque badaud. On le reconnaissait. Et, comme toujours, on ne lui disait rien. Lorenzo se voulait roi du monde, qu'importe que la noblesse ait quitté ses veines pour moitié. Décidément, cela devient impossible de parvenir à t'attraper. Ne laisse donc pas le travail faner un aussi beau visage et vient t'assoir avec moi.
Qu'ils boivent ensemble à le retrouvailles. Qu'ils s'installent ensemble. Car, sous ses sourires et ses paroles hautes en verbe, Lorenzo avait à lui parler. De sujets bien moins amusants que ce que son visage prêtait à croire. Il vivait sous un masque plaisant et grandioses. Et n'était pas né celui qui lui ferait ôter.
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Maeve Le Noir le07 Octobre 1927 • Club Ecdysis • @Lorenzo De Medici
TW : Mention de sévices physiques
Un sensuel air de jazz flotte dans l’atmosphère, notes ondoyantes, rondes et généreuses, dansant avec les nerfs qu’elle caresse sans gêne. La lumière, rouge et ambrée, couvre la salle principale d’un voile intimiste, cascade mordorée sur une scène occupée par la diva à la voix plus sucrée que le miel, tandis que les nombreuses alcôves et ilôts creusés taisent leurs occupants comme leurs activités. Les employés sont, ce soir, des spectres aux uniformes aussi noirs que le sol et les murs ornés de leurs sublimes tentures de velours, suggérant la discrétion de quelques passages dérobés par lesquels ils vont et viennent pour effectuer le service dans un silence parfait. L’air se pare de reflets diamantins, auréolant la scène tandis que, dans les salles attenantes, se jouent les jeux d’argent. Le Club Ecdysis est ouvert, les vendredis soirs, pour les plus communs des épicuriens.
Maeve observe, depuis la mezzanine d’une antre dérobée, l'œil rapace en silencieux témoin des révérences de chacun. C’est pourtant à l’oreille qu’elle note l’arrivée de son cousin. Son bruyant cousin. Un court sourire tranche les lèvres habillées de carmin, lorsque leurs attentions se croisent et elle élève une main pour l’inviter à le rejoindre. L’une des tentures ondoie avant de s’écarter, une employée montrant le chemin, laissant le lourd velours avaler Lorenzo lorsque celui-ci l’eut franchi. Quelque part, le garde du corps se méfie certainement. Mais au Club Ecdysis, la sécurité est garantie. Plus encore pour son cher cousin. Maeve compte les pas. Elle connaît très exactement le nombre de marches menant jusqu’à elle, sait quand se lever, quand déposer son porte-cigarette et quand se détourner de la scène en contrebas pour venir accueillir Lorenzo. Son bruyant Lorenzo.
“Don Medici” susurre-t-elle, mi-sérieuse mi-taquine, en l’enlaçant, l’enveloppant dans les notes fruitées du Mitsuko de Guerlain, son parfum signature. Sa joue frôle la sienne, rasée de près contre délicate poudre, aucune grossière trace de rouge sur la peau dorée du parrain, qu’elle relâche finalement, son sourire devenant rayonnant. Elle lui tapote l’épaule, puis lui indique la place qu’elle souhaite le voir occuper, face à elle. “Viens t’installer et ne t’en fait donc pas pour mon visage. Je dors tous les soirs dans des draps en soie, avec les meilleurs oreillers en provenance de Chine.” Elle joint le geste à la parole, en retrouvant son trône, pêche le porte-cigarette dont elle use pour tirer une longue bouffée de tabac parfumée, qu’elle exhale sous la forme d’un chat qui s’étiole dans l’air ambiant. Son regard n’a pas cillé, posé sur lui, à l’observer, à le détailler attentivement.
“Toi aussi, ça fait un moment. Tu es là pour me parler affaires, ou pour profiter de ma délicieuse compagnie ?” La façon dont elle accentue l’adjectif est ambiguë, son sourire tout autant, entre caustique et plaisant. Elle claque des doigts, et une employée se détache du mur dans lequel elle se fondait jusque là, toute de satin et de dentelle délicate, membres graciles de danseuse ballet et chevelure tressée, d’un noir moiré d’or. La jeune femme est à peine une adulte, dix-sept ans, et elle s’incline devant Maeve, puis Lorenzo. Dans son menu décolleté brille un collier de tissu brillant, mauve, orné d’une insigne de l’Ecdysis : la marque distinctive des servantes d’Hécate. “Qu’est-ce que tu veux boire ? La maison offre.” glisse une Maeve à présent confortablement installée. Les lèvres nacrées de la servante ne bougent pas, elle n’en a plus l’usage depuis longtemps, cordes vocales tues par besoin.
Le Club assure sa sécurité.
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Lorenzo de Medici lefamily matters
ft Maeve Le Noir
Thème | Il ne peut que rouler des yeux au don qui s'offre tant comme un rire qu'une vérité. Au fond, il pourrait retrouver ce titre en Italie. Mais c'est d'autres courbes qui font chanter le Medici. Celles, plus voluptueuses et plus charnues, de la France. Que les Lestrange lui volent son droit s'ils le désirent. Il y aura toujours un Medici pour briguer un titre, quelqu'il soit. Maria faisait ses armes en Bretagne. Son propre fils attendait son heure, biberonné au sein de l'ambition. Au moins Agnès avait-elle su faire ça : tailler dans le roc une flèche qui trouverait, un jour ou l'autre, sa cible. Ne restait à Lorenzo qu'être la corde qui l'enverrait dans la bonne direction.
Maeve sent bon. Maeve est agréable. Maeve offrit toute la merveille de leur famille sans que quiconque trouve à redire. Il singe à son tour la bise toute française, sans toutefois réellement toucher la peau. On joue aux amis proches en France mais les étreintes ne sont bonnes que pour ceux qui se connaissent réellement. Connait-il réellement Maeve ? Il ne saurait le dire. Le secret entourait les Le Noir et il n'avait jamais vraiment fait parti de leur rang. Découvert, arpenté. Sans le faire totalement. Marie avait tout changé en grandissant et c'était de ses sourires qu'étaient nés la véritable alliance entre les deux familles.
Et bien figure toi que pour une fois, je ne viens pas parler affaire et si en prime je peux profiter de toi, je m'en ferai un plaisir. Il se vautre comme un pacha dans le sofa de velours. Il ne perd pas le Nord et les yeux se font charmeurs quand les lèvres se redressent à l'arrivée de la serveuse. Elle est belle, elle est jeune. Elle a cette douceur qu'ont ceux qui ne possèdent aucun choix. Le collier, à sa gorge, est un signe d'appartenance. Les secrets ne sortiront pas, du moins pas de la bouche fragile. Il la détaille, la dévore même. Lorenzo ne s'est jamais caché d'aimer les femmes. Il ne la quitte pas des yeux alors qu'il répond à sa cousine. Je prendrais un whisky. Signorina saura sans aucun doute choisir le meilleur. Ses lèvres s'ourlent d'un sourire charmeur. Un instant de plus, le temps de croiser le regard de la jeune femme.
Puis il s'en retourne à sa cousine, sans se départir de sa bonne humeur. Il fume à son tour, fumée blanche s'agrippant à tout. Lorenzo sent le tabac froid sous le parfum italien. Agnès n'aime pas cette odeur, elle lui a dit et redit. Décidément, ton personnel est toujours aussi charmant. On a apprit aux dames de se méfier. De ne pas tomber dans le piège du diable. Mais la toile est collante et les rêves qu'il offre sont nombreux. Je suis venue te demander des nouvelles de ta pupille. Marie a décidé que répondre aux lettres de son cher père est surfait. Elle me dit trop plongée dans les études. J'ose espérer que c'est vrai ? Car au fond, malgré tout ses tords, Lorenzo aimait sa famille. Il aimait sa fille, la couvait trop, l'angélisait trop. Marie était parfaite. Ceux qui ne s'en était rendu compte étaient des idiots. Et Lorenzo savait parfaitement que Maeve aurait plus de nouvelles que lui. N'était-elle la pupille de la princesse italienne dans le cercle des landes ? Il avait été surpris quand Marie lui avait apprit. Surpris puis enchanté. Maeve, même dans leurs jeunesses, était une sorcière exceptionnelle, surpassant de loin les pouvoirs de l'Italien. Et s'il se gaussait d'orgueil, il reconnaissait, partiellement, quand on le dépassait. Rarement en public. Toujours en famille.
Maeve sent bon. Maeve est agréable. Maeve offrit toute la merveille de leur famille sans que quiconque trouve à redire. Il singe à son tour la bise toute française, sans toutefois réellement toucher la peau. On joue aux amis proches en France mais les étreintes ne sont bonnes que pour ceux qui se connaissent réellement. Connait-il réellement Maeve ? Il ne saurait le dire. Le secret entourait les Le Noir et il n'avait jamais vraiment fait parti de leur rang. Découvert, arpenté. Sans le faire totalement. Marie avait tout changé en grandissant et c'était de ses sourires qu'étaient nés la véritable alliance entre les deux familles.
Et bien figure toi que pour une fois, je ne viens pas parler affaire et si en prime je peux profiter de toi, je m'en ferai un plaisir. Il se vautre comme un pacha dans le sofa de velours. Il ne perd pas le Nord et les yeux se font charmeurs quand les lèvres se redressent à l'arrivée de la serveuse. Elle est belle, elle est jeune. Elle a cette douceur qu'ont ceux qui ne possèdent aucun choix. Le collier, à sa gorge, est un signe d'appartenance. Les secrets ne sortiront pas, du moins pas de la bouche fragile. Il la détaille, la dévore même. Lorenzo ne s'est jamais caché d'aimer les femmes. Il ne la quitte pas des yeux alors qu'il répond à sa cousine. Je prendrais un whisky. Signorina saura sans aucun doute choisir le meilleur. Ses lèvres s'ourlent d'un sourire charmeur. Un instant de plus, le temps de croiser le regard de la jeune femme.
Puis il s'en retourne à sa cousine, sans se départir de sa bonne humeur. Il fume à son tour, fumée blanche s'agrippant à tout. Lorenzo sent le tabac froid sous le parfum italien. Agnès n'aime pas cette odeur, elle lui a dit et redit. Décidément, ton personnel est toujours aussi charmant. On a apprit aux dames de se méfier. De ne pas tomber dans le piège du diable. Mais la toile est collante et les rêves qu'il offre sont nombreux. Je suis venue te demander des nouvelles de ta pupille. Marie a décidé que répondre aux lettres de son cher père est surfait. Elle me dit trop plongée dans les études. J'ose espérer que c'est vrai ? Car au fond, malgré tout ses tords, Lorenzo aimait sa famille. Il aimait sa fille, la couvait trop, l'angélisait trop. Marie était parfaite. Ceux qui ne s'en était rendu compte étaient des idiots. Et Lorenzo savait parfaitement que Maeve aurait plus de nouvelles que lui. N'était-elle la pupille de la princesse italienne dans le cercle des landes ? Il avait été surpris quand Marie lui avait apprit. Surpris puis enchanté. Maeve, même dans leurs jeunesses, était une sorcière exceptionnelle, surpassant de loin les pouvoirs de l'Italien. Et s'il se gaussait d'orgueil, il reconnaissait, partiellement, quand on le dépassait. Rarement en public. Toujours en famille.
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Maeve Le Noir le07 Octobre 1927 • Club Ecdysis • @Lorenzo De Medici
TW : Mention de sévices physiques - Déshumanisation
“Vil flatteur” vient la fausse réprobation, toute de soie vêtue. Eut-elle été sa dextre qu’elle eut l'ambiguïté de cacher une accolade comme une dague mais le regard de Maeve est satisfait. Pas de serpent dissimulé tandis que Lorenzo s’installe face à elle. D’égal à égal, puisqu’ils ont tout le Club à dominer, là en contrebas de leur position élevée. En bonne hôtesse, Maeve s’attache toujours à connaître parfaitement les goûts de ses clients, et Lorenzo ne fait pas exception à la règle. Alors elle hoche discrètement la tête à l’égard de la délicate créature qu’elle a appelée en un ordre muet qu’elle connaît pourtant parfaitement. Joue le jeu. Le client est un prince, un roi, un empereur… tant qu’il respecte le Club. L’attrait charnel n’est qu’un menu délice proposé à la carte.
Le regard vorace du Don ne perturbe pas la jeune femme, parfaitement dressée à sourire en retour, virginale mais aussi timidement intéressée. La demande est marquée d’une gracieuse courbette, et la servante disparaît, se fondant de nouveau dans les tentures pour s’en aller quérir la boisson de leur invité, un Macallan issue de la réserve de produits rares, destinés aux invités privilégiés. Même au sein d’un établissement aussi huppé, il est possible de faire sentir à chaque client aussi spécial que leur égo le désir. Là se trouve toute la subtilité du Club, et la raison pour laquelle ses clients paient si cher leurs entrées.
Maeve, elle, observe la diva, tirant de lentes et langoureuses bouffées de sa cigarette, dont l’exhalaison la drape d’un voile. Le compliment lui arrache un sourire qui eut sa place sur le museau d’un loup mais elle ne détourne pas le regard de la gracieuse silhouette en robe diamantine, sur la scène. “Je suis ravie qu’elle te plaise.” affirme-t-elle, une note satisfaite dans la voix. Elle l’est. Réellement. “La famille est bonne pédagogue pour les affaires.” Les Medici pour formateurs, l’accointant avec les vices humains, et les Le Noir pour lui rappeler de pousser toujours plus loin, au travers du vernis de l’éducation et de la moralité, pour trouver ce qui les fait réellement vibrer. Parce que se contenter du stupre, des excès et de la luxure gâche le potentiel de certains à produire plus qu’un plaisir aussi vain que passager.
Le prénom de Marie la tire de ses pensées, comme une douce lueur venue éclairer d’épaisses et confortables ténèbres. Les yeux pâles se glissent jusqu’à Lorenzo et elle dissimule derrière ses doigts la silhouette d’une expression féline. “Oui. Elle doit être bientôt ordonnée, elle a besoin de s’y préparer. C’est une épreuve sévère pour laquelle il est bon de se concentrer et de tenir à l’écart les présences masculines, spécifiquement. Mais ne t’en fait pas, je suis certaine qu’elle te reviendra ensuite.” Une légère hésitation, froncement des sourcils et moue ennuyée, mais elle refuse de laisser l’idée invasive prendre racine, et chasse le tout d’un geste de la main, qui vient perturber les volutes de fumée.
“Elle peut faire de grandes choses, Lorenzaccio, je me demande juste si elle aura le coeur à certains rites. Je lui ai conseillé de passer du temps à Dahut, pour mieux s’imprégner de la présence de la nature, loin des moldus.” Une tradition pour celles qui désirent approfondir leur relation avec une magie pure et non souillée, et qui sied très bien à sa pupille.
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Thème | Le sourire se fait plus grand encore à la réplique. De flatteur il en a tous les gages et il se plait à les garder précieusement, moulure de sa présence dans ce beau monde. Lorenzo est ainsi, paroles tendres et belles gueules. Maeve sait pourtant ce qui se cache dans l'ombre de la machoire et derrière les iris. Elle l'a vu couvert de sang pour des rituels barbares. Elle l'a vu les gants tâchés par l'hémoglobine d'ennemi de la famille. Il pourrait ne plus s'abaisser à de séduisantes guerres de poings. Mais il ne veut devenir un simple politicien. Il ne veut changer du tout au tout, dandy dans un costume noir derrière un bureau trop grand pour lui. Il fût homme de terrain. Pourquoi donc changer les faits ? Le garde du corps s'étranglerait. Mais Lorenzo aime l'action comme il aime le cinéma muet.
Il ne réponds rien de plus. Car de familles, ils savent tous les deux qu'ils sont les défenseurs. Même si le mariage d'Ernesto et de Nolween intervient sous la stupeur générale, aujourd'hui, la Bretagne et l'Italie savent qu'au fond, ils se ressemblent. Même secrets. Même moeurs; Même voeux d'inconnus pour qui n'est pas des leur. Et si les bretons ont choisi les femmes comme mentore au détriment des hommes, tous se ressemblent plus qu'ils ne veulent l'admettre.
Les mots sur son enfant en cachent d'autre. Lorenzo ne peut que s'attarder aux sourcils froncés et à l'hésitation. Que ne dit pas Maeve ? Que n'a-t-il le droit de savoir ? Marie a hérité de sa grand mère l'amour du secret. Les femmes Medici sont bien toutes les mêmes, quand Lorenzo ne le voudraient. Trop passionnées et ambitieuses pour leur propre bien. Marie te porte en idole. Elle fera ce que tu lui dirais, j'en suis certain. Elle obéit presque plus à ta personne qu'à sa propre mère, n'en déplaise à Agnès. Voilà le prénom offert. L'autre raison de sa venue. La patience qui s'étiole face à l'épouse qu'il ne veut plus. Il y a des choses que tu ne veux pas me dire Maeve. Marie n'est pas à la hauteur du rôle qui lui fut confié ? Air un rien trop dur pour celui qui a embrassé le rôle du père un peu trop tard. Mais on ne demande aux hommes d'aimer leurs enfants, seulement d'offrir autorité quand besoin se faisait sentir. Si elle n'embrasse pas les druides, elle devra trouver un époux. Son âge commence à se faire sentir et les beaux partis se battent sa présence. Il ne reviendrait pas sur certain détails. Marie n'était plus vierge, il le savait parfaitement. Le druidisme ne pretait pas à la retenue pour les dames. Et s'il ne voulait que sa fille s'approche du Malin, il n'avait pas vraiment eu le choix. Pour le bien de la famille.
Il inspira l'air chargé. Le lieu ne s'était encore transformé en débauche et la luxure n'imprégnait pas les murs. Elle aurait tôt fait de l'appeler. Lorenzo s'offrir une nouvelle goulée de son poison, cigarette qui tachait les doigts. Mais tous fumaient maintenant. Il aurait eu tord de s'en priver, qu'importe les privilèges l'ayant éloigné de la guerre et de ses addictions.
Il ne réponds rien de plus. Car de familles, ils savent tous les deux qu'ils sont les défenseurs. Même si le mariage d'Ernesto et de Nolween intervient sous la stupeur générale, aujourd'hui, la Bretagne et l'Italie savent qu'au fond, ils se ressemblent. Même secrets. Même moeurs; Même voeux d'inconnus pour qui n'est pas des leur. Et si les bretons ont choisi les femmes comme mentore au détriment des hommes, tous se ressemblent plus qu'ils ne veulent l'admettre.
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Il inspira l'air chargé. Le lieu ne s'était encore transformé en débauche et la luxure n'imprégnait pas les murs. Elle aurait tôt fait de l'appeler. Lorenzo s'offrir une nouvelle goulée de son poison, cigarette qui tachait les doigts. Mais tous fumaient maintenant. Il aurait eu tord de s'en priver, qu'importe les privilèges l'ayant éloigné de la guerre et de ses addictions.
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Maeve Le Noir le07 Octobre 1927 • Club Ecdysis • @Lorenzo De Medici
TW : Tensions filiales
La mention d’Agnès ombre les traits pâles de Maeve d’un dépit sans équivoque, que ce soit dans l’arc du sourcil, le pincement des lèvres ou la petite fossette qui se creuse à l’entournure de sa joue droite. La colombe Colonna, avec ses grands espoirs déçus, ses peines de cœur et son incapacité crasse à satisfaire son cousin, n’a jamais eu sa sympathie. Maeve est une Le Noir, acier trempé dans une eau glacée, éducation de duchesse, de femme de pouvoir, mais surtout, de femme battante, qui n’a pas pour habitude de s’asseoir sur un banc pour soupirer après des rêves brisés sans qu’elle ait levé le petit doigt pour les protéger. Lorenzo est un homme aux appétits simples, loin d’être un défi si Agnès acceptait seulement de descendre de son saint cheval et de mettre les mains à la pâte.
La perspective de devoir grâcier son prénom de sa bouche l’incite à la rincer, terre brûlée du habu sur ses papilles, comme un océan glorieux avant l’effort. Elle repose nettement le verre, emphase d’un geste simpliste, puis s’exprime enfin, certaine que Lorenzo n’ajoutera rien. “Tu n’as pas à t’en faire pour ça. Marie embrasse le cercle à bras ouverts.” L’un de ses doigts s’égare, danse sur le bord du verre pour le faire indistinctement tinter. “Même si j’escompte qu’elle se trouve un mâle également. La puissance qu’une druide reçoit de la nature passe par la glorification de sa fertilité. Si cela peut servir nos alliances, je suis certaine que Marie jouera son rôle pleinement.” Il existe après tout des secrets réservés aux seules mères et épouses. Le mariage ne joue nullement contre les principes de leur culte.
Elle s’interrompt, se redressant et calant le menton dans la paume d’une main, l’observe, prédation dans les prunelles. “Tu n’imagines pas combien tu viens de mettre le doigt sur mes questionnements, Darling. Moi, ce qui m’intéresse, c’est l’influence exacte de ta chère épouse sur votre fille.” Agnès, tout comme Lorenzo, est une catholique, une tare qu’elle peut pardonner à son croustillant cousin mais certainement pas à cette étrangère qui n’a jamais fait le moindre effort pour s’intégrer dans le paysage auquel elle appartient désormais. La pauvrette qui se pense victime du monde entier qui n’a jamais pensé à mettre de l’eau dans son vin pour trouver des alliées pourtant toutes désignées en la présence des femmes Le Noir. Non non. A la place, on les regarde de biais et on les dit hérétique.
Du coin de l'œil, elle vit la tenture s’écarter, et la servante revenir avec un verre à whisky, et une superbe bouteille sur un plateau d’argent ciselé. Le verre est déposé sur la table, puis elle fait le service sans en perdre une goutte, glissant une œillade veloutée à l’invitée de sa maîtresse. Celle-ci indique son propre verre, tout aussi promptement rempli. La servante recule ensuite légèrement, en retrait, se fondant dans le décor en attendant d’être de nouveau demandée. Maeve, elle, inspire une nouvelle bouffée de tabac, qu’elle relâche en une spirale qui s’étiole dans l’atmosphère parfumée. “Je sais que tu ne partage pas nos croyances, mais toi, tu comprends ce qui est nécessaire.” Sans doute n’apprécit-il pas, tout comme les Le Noir n’apprécient pas la chrétienté, mais pour le bien de leurs ambitions, nécessité fait loi.
* Mon chéri
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Lorenzo de Medici lefamily matters
ft Maeve Le Noir
Thème | Il a visé juste. La mention d'Agnès teint le visage de Maeve d'ombres indescriptibles. Il n'a que trop le souvenir des repas dominicaux dans le palais des Medici, quand les Le Noir venaient leur rendre visite et que certain mots volaient plus haut que d'autre. La pique d'une Maeve à l'épouse, les réactions des uns et des autres. Alessandro fut toujours seul à défendre sa mère, Lorenzo n'intervenant que pour le convenance quand il était bien trop souvent de l'avis de Maeve. Son propre fils le méprisait, jouet crée à l'image de la mère.
Au moins sa fille est-elle une fierté. Au moins sa fille correspond-t-elle à ce qu'on attend d'elle, à ce qu'il attends d'elle. Et Maeve l'encourage aux mêmes idées. Elle doit trouver un époux, se marier, enfanter. Alessandro devrait également être marié. A son âge, Lorenzo était déjà père. Il aurait voulu pour le fils une De Valoys, une puissante de France. Mais les alliances sont de belles paroles et Lorenzo a toujours préféré l'action. Lui fut le lien entre l'Italie et ses paires. Que pouvait-il trouver pour ses enfants ? C'est vers la France que revenait son coeur aujourd'hui. Comme à l'époque de son père. Il fallait d'autre allié à son pays et Alessandro serait plus docile que ne l'avait été Ernesto à l'époque. Au moins Agnès avait-elle fait ça bien.
Puis les mots s'échappent et Lorenzo comprends. C'est qu'il joue à l'imbécile quand il le décide. C'est qu'il admet que la croix, entre les seins de sa fille, n'est pas faite pour les druides.
Il ne réponds pas, pas tout de suite. Car revient la jeune serveuse, sa bouteille sur un plateau, ses courbes d'adulescentes comme étendard. Elle lui offre ses deux poisons, l'alcool et le charme. Les yeux se touchent, s'apprivoisent. La gamine est comme les autres. C'est que Lorenzo connait son charisme et aime s'en servir à chaque instant. Son sourire se fait séducteur quand il l'observe. Petites mains fines, douce manière. Puis elle recule et Lorenzo est rappelé à l'ordre par le tabac de sa cousine. Sa propre cigarette se consume doucement entre ses doigts, la cendre prête à s'effondrer sur le sol. Il en tape le bord sur le cendrier, avant d'y abandonner le bâtonnet. Whisky, sofa. L'envie de pencher vers les cigares et alors que Maeve continue, lui sort de sa veste un étui de cuir. Trois cirages, un coupe. Marqué de la griffe de Cohiba, exporté directement depuis cuba. Il aurait aimé faire lui-même le vol, grimé en aviateur. Conduire un avion l'a toujours fait rêvé.
Il en propose un à Maeve avant de découper le sien. Le whisky servira d'amuse bouche avant la fumée dense du tabac. Puis il se tend d'un profond soupire. Sa religion fut toujours une problématique pour les Bretons. N'étaient-ils, pourtant, eux aussi, d'allégeance catholique ? Ne retrouvait-ont chapelles sacrées et bénédictions dans leurs folles histoires ? Ma femme est une idiote, je ne suis le premier à te l'apprendre. Ses mots s'arrêtent mais sa phrase ne se finit pas. Il tire un paquet d'allumette, en approche la flamme du cigare. Son souffle aspire, encore et encore, jusqu'à ce que le bout complet rougeoie. Depuis longtemps Lorenzo ne s'étouffe plus à la manœuvre. Elle est plus croyante encore que moi et prends mes allégeances au culte comme une trahison. Il faut dire que les sacrifices et les messes rouges ne sont vraiment bien vues aux yeux de l'Eglise. Agnès aime plus la confesse que la bonne chair. Il tire une nouvelle fois, s'entoure de fumée. L'odeur du cigare est plus forte, plus lascive également. Ses yeux se perdent vers les ombres, où les charmes virginaux l'appellent. Si Alessandro lui voue le même culte qu'il ferait à la mère du Christ, je ne pense pas que Marie soit comme son frère. Elle a déjà fauté, j'en suis certain et il ne servirait à rien de la défendre, je savais qu'elle le ferait en l'envoyant auprès des Le Noir. J'ose espérer qu'elle possède les mêmes appétit que son père, au moins sera-t-elle plus drôle que sa mère. Ses yeux se fixent sur Maeve. Les inquiétudes sont justes. Il ne les partage pourtant pas. Marie a toujours eu une relation conflictuelle avec Agnès. Et elle vous a toujours préféré aux Medici. Agnes n'a plus réellement d'influence sur elle. Je me méfierai plus de celle de son frère. Car Alessandro pouvait se montrer un véritable poison, lui qui s'agenouillait si facilement devant le prêtre. Mais je sais que Marie me ressemble et elle connait l'importance de son rôle. Nos deux familles ont besoin de cette alliance et elle la cristallise. Du moins, ai-je l'impression qu'elle le fait ? Je ne viens plus assez en Bretagne. C'était son avis qu'il attendait. Maeve voyait plus sa fille que lui-même.
Au moins sa fille est-elle une fierté. Au moins sa fille correspond-t-elle à ce qu'on attend d'elle, à ce qu'il attends d'elle. Et Maeve l'encourage aux mêmes idées. Elle doit trouver un époux, se marier, enfanter. Alessandro devrait également être marié. A son âge, Lorenzo était déjà père. Il aurait voulu pour le fils une De Valoys, une puissante de France. Mais les alliances sont de belles paroles et Lorenzo a toujours préféré l'action. Lui fut le lien entre l'Italie et ses paires. Que pouvait-il trouver pour ses enfants ? C'est vers la France que revenait son coeur aujourd'hui. Comme à l'époque de son père. Il fallait d'autre allié à son pays et Alessandro serait plus docile que ne l'avait été Ernesto à l'époque. Au moins Agnès avait-elle fait ça bien.
Puis les mots s'échappent et Lorenzo comprends. C'est qu'il joue à l'imbécile quand il le décide. C'est qu'il admet que la croix, entre les seins de sa fille, n'est pas faite pour les druides.
Il ne réponds pas, pas tout de suite. Car revient la jeune serveuse, sa bouteille sur un plateau, ses courbes d'adulescentes comme étendard. Elle lui offre ses deux poisons, l'alcool et le charme. Les yeux se touchent, s'apprivoisent. La gamine est comme les autres. C'est que Lorenzo connait son charisme et aime s'en servir à chaque instant. Son sourire se fait séducteur quand il l'observe. Petites mains fines, douce manière. Puis elle recule et Lorenzo est rappelé à l'ordre par le tabac de sa cousine. Sa propre cigarette se consume doucement entre ses doigts, la cendre prête à s'effondrer sur le sol. Il en tape le bord sur le cendrier, avant d'y abandonner le bâtonnet. Whisky, sofa. L'envie de pencher vers les cigares et alors que Maeve continue, lui sort de sa veste un étui de cuir. Trois cirages, un coupe. Marqué de la griffe de Cohiba, exporté directement depuis cuba. Il aurait aimé faire lui-même le vol, grimé en aviateur. Conduire un avion l'a toujours fait rêvé.
Il en propose un à Maeve avant de découper le sien. Le whisky servira d'amuse bouche avant la fumée dense du tabac. Puis il se tend d'un profond soupire. Sa religion fut toujours une problématique pour les Bretons. N'étaient-ils, pourtant, eux aussi, d'allégeance catholique ? Ne retrouvait-ont chapelles sacrées et bénédictions dans leurs folles histoires ? Ma femme est une idiote, je ne suis le premier à te l'apprendre. Ses mots s'arrêtent mais sa phrase ne se finit pas. Il tire un paquet d'allumette, en approche la flamme du cigare. Son souffle aspire, encore et encore, jusqu'à ce que le bout complet rougeoie. Depuis longtemps Lorenzo ne s'étouffe plus à la manœuvre. Elle est plus croyante encore que moi et prends mes allégeances au culte comme une trahison. Il faut dire que les sacrifices et les messes rouges ne sont vraiment bien vues aux yeux de l'Eglise. Agnès aime plus la confesse que la bonne chair. Il tire une nouvelle fois, s'entoure de fumée. L'odeur du cigare est plus forte, plus lascive également. Ses yeux se perdent vers les ombres, où les charmes virginaux l'appellent. Si Alessandro lui voue le même culte qu'il ferait à la mère du Christ, je ne pense pas que Marie soit comme son frère. Elle a déjà fauté, j'en suis certain et il ne servirait à rien de la défendre, je savais qu'elle le ferait en l'envoyant auprès des Le Noir. J'ose espérer qu'elle possède les mêmes appétit que son père, au moins sera-t-elle plus drôle que sa mère. Ses yeux se fixent sur Maeve. Les inquiétudes sont justes. Il ne les partage pourtant pas. Marie a toujours eu une relation conflictuelle avec Agnès. Et elle vous a toujours préféré aux Medici. Agnes n'a plus réellement d'influence sur elle. Je me méfierai plus de celle de son frère. Car Alessandro pouvait se montrer un véritable poison, lui qui s'agenouillait si facilement devant le prêtre. Mais je sais que Marie me ressemble et elle connait l'importance de son rôle. Nos deux familles ont besoin de cette alliance et elle la cristallise. Du moins, ai-je l'impression qu'elle le fait ? Je ne viens plus assez en Bretagne. C'était son avis qu'il attendait. Maeve voyait plus sa fille que lui-même.
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Maeve Le Noir le07 Octobre 1927 • Club Ecdysis • @Lorenzo De Medici
TW : Tensions filiales
Elle tend une main aux doigts à la souplesse ophidienne, crochetant le corps du cigare et se l’approprie avec un sourire appréciateur pour son cher cousin. Préparation minutieuse, aux gestes d’habituée, qui contraste avec son rire, un aboiement sec, mauvais, râpeux dans son manque d’aménité. “C’est peu dire, en effet…” Dépit sans gêne aucune, sa bienveillance depuis longtemps épuisée, et qu’elle ne force qu’en présence de Marie, qui ne devrait pas avoir à entendre parler de sa mère ainsi, quelle que soit la justesse de la critique. Leur petite fée verra les choses par elle-même en temps et en heure sans qu’elle ait besoin de l’influencer. L’idée même tort à ses bronches un soupir vicié par la fumée autant que la bile qu’Agnès sait si bien lui évoquer.
Comment une greluche pareille peut être la mère de son petit trésor restera un mystère éternel ! Maeve pince les lèvres, allumant enfin le cigare qu’elle laisse un instant griller, avant d’en tirer une première bouffée, l’occasion pour Lorenzo de poursuivre sans interruptions de sa part, elle qui n’a jamais réellement su laisser les autres parler, dissonante comme elle est. Elle arrive presque à se taire, enchaîne juste trop rapidement, quand il semble avoir terminé. “Tu devrais venir davantage.” Invitation sincère, Lorenzo n’est peut-être pas fait pour le druidisme, mais il a une forte symbolique masculine, tout aussi importante que les influences féminines. Il y a des occasions pour lesquelles cette virilité débordante peut servir, surtout tant que son loup ne s’est pas décidé…
“Mais oui, pour te répondre, elle est notre accord incarné. Et elle a pris le meilleur des deux lignées, si tu veux mon avis.” Un don des dieux, sans aucun doute. Alessandro, lui… Elle ne sait pas. Il ressemble à Agnès, mais pas en bien. Biberonné au poison de son amertume, Maeve ne sait s’il ne fut pas une meilleure idée de le sacrifier pour renforcer son père. Lorenzo serait-il même capable de l’accepter ? Sans doute pas. Il y a des lignes invisibles dans l’âme des hommes, et celle de préserver à tout prix sa descendance est bien ancrée. Elle ne le lui suggère pas mais goûte la puissance de la suggestion sur ses lèvres comme la brûlure de l’alcool qu’elle absorbe. “Je prends ton conseil, je tiendrais sa relation avec son frère à l'œil.”
Eut-elle hérité la lignée à la suite de Lorenzo, Marie eut été bien meilleure, mais puisque les italiens ne s’y résoudront jamais, lui offrir tout ce que la Bretagne peut lui apporter est une alternative tout à fait splendide. “Les De Fronsac seraient une piste intéressante.” Marie est une Le Noir par les faits, si elle ne porte pas leur nom. Un mariage ducal avec les descendants des croisés ouvrira à Lorenzo les immenses richesses minières de la Gascogne. Un choix qui s’éloigne des besoins immédiats de la famille, qui serait certainement mieux servie par un échange de voeux avec les Beauharnais par exemple. Un autre nom lui vient, mais elle ne compte pas spolier le goût de cet excellent whisky pour Lorenzo, même par jeu.
Regard pensif, qu’elle laisse errer sur son cousin, au travers de la fumée, penche la tête, cherchant un nouvel angle. Quelque chose s’accroche, à la commissure de sa réalité. Elle le goûte du bout de la langue, du bout de la psychée, rompt à nouveau le silence. “D’ailleurs, à parler de Marie et de ta famille, tu me feras certainement le plaisir de passer la semaine prochaine, non ? J’aimerais te présenter deux personnes qui seraient absolument ravies que tu passes une soirée en leur compagnie.” La voix est légère, conversationnelle. “Elles cherchent toutes les deux un partenaire pour leur nouvel enfant.” Eclat du regard, spectral au travers du voile vénéneux du tabac. “Des fils, voilà ce que donne le Seigneur, des enfants, la récompense qu'il accorde. Psaume 126.3 il me semble ? Un bon chrétien comme toi ne saurait renier l’oeuvre du seigneur, si ?”
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Thème | Alessandro. Ce fils dont il fut si fier à la naissance et qui pourtant ne lui ressemble en rien. Oh, le physique parle. Alessandro pourrait presque se faire passer pour son père s'il le désirait. Même mâchoire volontaire. Même iris d'un bleu poudré. Même chevelure blonde en bataille. Même stature, s'il ne tenait sa taille de son grand père maternel et non de Lorenzo. Mais c'est dans l'esprit qu'Alessandro est tout autre. Agnes s'est assurée de lui faire payer son absence le jour de sa naissance. Lui était en France, arguant le travail quand c'était les cuisses d'une putain qui le hantaient. Lubie passagère quand les enfants sont éternels. Il aurait dû le savoir, ne la pensait assez mesquine. Alessandro finirait-il, tel Œdipe, par tuer son père ? Lorenzo ne pouvait y penser. Les liens de sang s'inscrivaient en lui comme les seuls qu'il n'eut jamais regarder. Et ses deux enfants étaient ce lien indéfectible qu'Agnes offrirait toujours pour le garder. Combien de fois avait-elle utilisé cet argument ? Combien de fois avait-il craqué ? Il était faiblesse face aux exigences du monde. Menotté à sa tendre religion.
De Fronsac ? Ils ont un fils à marier ? Je n'accepterai que Marie finisse avec un vieillard décrépi. Elle mérite bien mieux. Lui aurait voulu la royauté. Mais jamais De Valoys ne s'offriraient aux Medici. Il fut le dernier à y penser. Alessandro, peut-être. Non. Idée stupide. Hors de question que son fils héritier perdre nom et rang pour épouser une albinos déjà à moitié morte. Elle a de la chance de t'avoir comme marraine, j'espère qu'elle en est conscience et ne se montre ingrate. Quelle était la force des exigences sur les épaules frêles de sa fille ? Marie s'était toujours montrée puissante. Et ne l'avait jamais déçu.
Il boit une gorgée de whisky, en appréciant le parfum qui ne se mêle que trop avec l'âpreté du cigare. Dans le velours, Lorenzo se revoit bien plus jeune, partie de cartes en mains. Maeve avait parfaitement joué. Maeve l'avait parfaitement enflé et lui-même ne comprenait pourquoi il n'éprouvait nulle rancœur à avoir ainsi été floué par une femme. Il boit, à nouveau. Son sang se calme, ses pensées se tarissent. L'alcool est devenu un besoin avec le temps. Non assumé, pas même effleuré du bout des lèvres. On ne parle pas de cela chez les grands du monde. Caché, comme presque tout, comme beaucoup.
Le silence s'offre sur les dégustations. Lorenzo se perds à chercher les courbes de la serveuse dans la noirceur blanchâtre de leur antre. Il a déjà oublié son visage. Les corps se perdent et se mélangent pour celui qui n'en a que trop goûté les saveurs.
Je passerai de certain en Novembre. Je ne louperai pour rien la nomination de Marie par l'Ankou. Mais ce n'est cela qu'attends Maeve. Car ses lippes ne s'arrêtent à son désir de voir son cousin en terre bretonne. C'est autre chose. Citation biblique, offre unique. Un couple de femme ? Foutaise. Le sourire de Lorenzo est moqueur à la phrase et ses yeux pétilles. Voilà que les bretonnes ont besoin d'un vrai homme, dans leur lit et dans leur vie. C'est le psaume qui interrompt pourtant l'italien dans ses rires sarconiques.
N'a-t-il également dit "Celui qui est issu d'une union illicite n'entrera point dans l'assemblée de l'Eternel; même sa dixième génération n'entrera point dans l'assemblée de l'Eternel." Psaume 23 du dernier testament. Ses yeux ne brillent plus du même éclat amusé. Car si d'enfants il n'en a que deux, il ne peut offrir ainsi semence à des femmes vivant dans le péché. Non que passer une nuit en compagnie de deux demoiselles me déplairaient. Même je doute que le Très Haut s'accommode d'une relation contre nature. Il expire la fumée épaisse, presque licoreuse. Lui ne joue à la création de créature. Je viendrai dans la quinzaine, soit en certaine. Je pourrai accepter de les rencontrer. Mais je doute qu'elles parviennent à me convaincre. Les bâtards ne font pas parti de mes habitudes.
De Fronsac ? Ils ont un fils à marier ? Je n'accepterai que Marie finisse avec un vieillard décrépi. Elle mérite bien mieux. Lui aurait voulu la royauté. Mais jamais De Valoys ne s'offriraient aux Medici. Il fut le dernier à y penser. Alessandro, peut-être. Non. Idée stupide. Hors de question que son fils héritier perdre nom et rang pour épouser une albinos déjà à moitié morte. Elle a de la chance de t'avoir comme marraine, j'espère qu'elle en est conscience et ne se montre ingrate. Quelle était la force des exigences sur les épaules frêles de sa fille ? Marie s'était toujours montrée puissante. Et ne l'avait jamais déçu.
Il boit une gorgée de whisky, en appréciant le parfum qui ne se mêle que trop avec l'âpreté du cigare. Dans le velours, Lorenzo se revoit bien plus jeune, partie de cartes en mains. Maeve avait parfaitement joué. Maeve l'avait parfaitement enflé et lui-même ne comprenait pourquoi il n'éprouvait nulle rancœur à avoir ainsi été floué par une femme. Il boit, à nouveau. Son sang se calme, ses pensées se tarissent. L'alcool est devenu un besoin avec le temps. Non assumé, pas même effleuré du bout des lèvres. On ne parle pas de cela chez les grands du monde. Caché, comme presque tout, comme beaucoup.
Le silence s'offre sur les dégustations. Lorenzo se perds à chercher les courbes de la serveuse dans la noirceur blanchâtre de leur antre. Il a déjà oublié son visage. Les corps se perdent et se mélangent pour celui qui n'en a que trop goûté les saveurs.
Je passerai de certain en Novembre. Je ne louperai pour rien la nomination de Marie par l'Ankou. Mais ce n'est cela qu'attends Maeve. Car ses lippes ne s'arrêtent à son désir de voir son cousin en terre bretonne. C'est autre chose. Citation biblique, offre unique. Un couple de femme ? Foutaise. Le sourire de Lorenzo est moqueur à la phrase et ses yeux pétilles. Voilà que les bretonnes ont besoin d'un vrai homme, dans leur lit et dans leur vie. C'est le psaume qui interrompt pourtant l'italien dans ses rires sarconiques.
N'a-t-il également dit "Celui qui est issu d'une union illicite n'entrera point dans l'assemblée de l'Eternel; même sa dixième génération n'entrera point dans l'assemblée de l'Eternel." Psaume 23 du dernier testament. Ses yeux ne brillent plus du même éclat amusé. Car si d'enfants il n'en a que deux, il ne peut offrir ainsi semence à des femmes vivant dans le péché. Non que passer une nuit en compagnie de deux demoiselles me déplairaient. Même je doute que le Très Haut s'accommode d'une relation contre nature. Il expire la fumée épaisse, presque licoreuse. Lui ne joue à la création de créature. Je viendrai dans la quinzaine, soit en certaine. Je pourrai accepter de les rencontrer. Mais je doute qu'elles parviennent à me convaincre. Les bâtards ne font pas parti de mes habitudes.
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Maeve Le Noir le07 Octobre 1927 • Club Ecdysis • @Lorenzo De Medici
TW : Tensions filiales
“Plusieurs.” vient la réponse, sans hésitation aucune, d’une Maeve à l’air détaché. Elle ne s’est jamais intitulée marieuse, mais l’office ne lui est pourtant pas étrangère, certains de ses clients aspirant à voir leurs rejetons épouser untel plutôt qu’un autre. En outre, sa mère l’a bien formée et elle sait à quel point il est important de s’assurer de solides liens de parenté, sacrés pour les païens comme les chrétiens, seule monnaie universelle. Et quand Marie devra s’unir, durablement ou sous contrat, Maeve veut qu’elle puisse en profiter. Hors de question que l’heureux mâle soit un vieillard ventripotent, à moins de la laisser veuve et maîtresse des terres, ou un imbécile incapable de saisir l’honneur et la chance dont il dispose en s’unissant à la prunelle de leurs yeux.
Sourire fugace, sublimement divertit. “Ne t’angoisse pas tant ! Nous nous entendons à merveille, elle et moi. Elle aspirait à passer les épreuves bien plus tôt. Quand tu viendras, nous célébrerons sa réussite.” Elle n’en doute pas un instant. De Marie, jamais si ce n’est la faiblesse de la filiation. Cette monnaie unique possède deux tranchants et aucune loyauté, même au plus adroit des joueurs. Elle lui fait la grâce d’une trêve, passe quelques instants à applaudir la diva, en bas, tandis que le pâle fantôme de sa servante joue à chat pour son cousin. Au sein de la salle principale, d’obscures silhouettes se lèvent, vont et viennent, dans une noirceur anonyme. Personne ne parle du Club, car personne ne veut ébruiter son secret. Personne ne veut perdre son accès à ce lieu où il n’est jamais question de moralité.
“N’hésites pas. Je serais peut-être absente, un fâcheux impondérable, mais tu seras toujours le bienvenu.” Elle ne cherche pas à arguer la nomination de Marie, se doutant que sa pupille sait à quoi s’en tenir. A la suite, cependant, elle lâche un rire profond, ponctué d’un quelque chose de désagréable, comme le grincement d’une crécelle. “Tu sauras sans doute mieux que moi, Lorenzaccio, j’ai dû faire des efforts pour trouver la mienne, alors une autre !” Maeve la druidesse n’a aucun respect spécifique pour un texte que tant d’âmes suivent aussi aveuglément, braiement à l’autel triptyque qui eut dû revenir à Hécate, alors même que le contenu se contredit d’un chapitre à l’autre. Au moins, les dieux auxquels elle répond savent ce qu’ils veulent !
Elle tend une main langoureuse, nouant la fumée qu’il produit autour de son poignet, avant de la relâcher, non sans le quitter des yeux. “Elles seront ravies de te rencontrer également, je n’en doute pas un seul instant…” Sa voix s’étiole sans finalité, et elle lui sourit, sirupeuse. Il a toujours été faible dès lors qu’il s’agit de femmes, qui sait ? Peut-être cédera-t-il ? Ou bien peut-être que ses comparses lui soutireront sa sève d’une façon ou d’une autre. Rien ne l’encourage donc à tenter de le faire changer d’avis maintenant, Lorenzo a toujours été un homme d’appétit et de pulsions, vivant sur le moment… Alors elle laisse aux Moires le soin de déterminer la suite le moment venu. Il a eu la chance de la visiter au bon moment, cela va sans dire !
“Alors ? Est-ce que ton tendre coeur de père est rassuré ?” C’est à espérer, ou elle en viendra à se vexer.
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Lorenzo de Medici lefamily matters
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Thème | Le sourire se presse mais l'inquiétude ne quitte réellement les yeux de Lorenzo. Si sa soeur fut la prunelle de ses yeux, la naissance de Marie a chamboulé bien des choses. Sa fille est son trésor, sa monnaie la plus précieuse et il ne veut réellement qu'elle prenne époux. Qu'on lui vole son enfant lui est difficile et il sait que s'il garde régulièrement son rang en premier plan, pour la belle, il en deviendrait cruel. Il pourrait tuer pour son enfant, à défaut de le faire pour sa femme. Et Marie ne le sait que trop bien. Elle en joue, elle s'en amuse. Elle leur fera tous perdre la tête un jour.
Sourire en coin qui vient fleurer sur les lippes de l'Italien. Sa cousine n'est pas catholique, du moins pas autant que lui. Elle n'a nulle croix entre la poitrine et nulle merveille à l'être. Son âme est pècheresse et Agnès lui a déjà juré mille enfer. Il ne devrait la côtoyer. Mais les démons ont le plus beau visage et Lorenzo réfute la damnation. Il ne sauvera l'âme de Maève. Mais il continuera à la fréquenter, qu'elle cite la bible ou non. Agnès ne peut comprendre tout ceci. Elle n'est pas Medici, du moins pas par le sang. La famille passe avant tout. Avant la religion. Avant les allégeances. Avant l'argent même.
Tu te moques Maeve mais j'espère que tu auras un jour l'honneur d'être mère à ton tour et de comprendre. De toutes mes faiblesses, Marie est celle qui me gène le moins.
Car devant sa cousine, il pouvait parler à coeur ouvert. Elle le connaissait de toute manière si bien. Mais en effet, je suis rassurée. Marie est devenue à ton image et, entre tes griffes, je suis certain qu'elle ne risque rien. Sa petite fille était devenue une femme, bien qu'il s'obstine à la voir comme une enfant.
Mais, si c'était bien des histoires de famille, ce n'était Marie qui m'a poussé jusqu'aux beaux rivages du Club. Il offre un silence, tirant une nouvelle lampée agréable de son cigare. Le verre, dans sa main droite, ne descend plus vraiment. Il n'y porte pas d'alliance ce soir. Je compte répudier Agnès. Les mots sonnent comme s'ils n'étaient rien. Et pourtant, il y a mille paroles derrière les belles paroles. Car, bien qu'ils s'accordent sur le fait que sa femme n'est pas pour lui, Agnès est et restera une créature dangereuse. Dont il faut se méfier et qu'il ne peut faire disparaitre. Elle reste la mère de ses enfants. Et il ne saurait priver Marie et Alessandro de leur génitrice.
Sourire en coin qui vient fleurer sur les lippes de l'Italien. Sa cousine n'est pas catholique, du moins pas autant que lui. Elle n'a nulle croix entre la poitrine et nulle merveille à l'être. Son âme est pècheresse et Agnès lui a déjà juré mille enfer. Il ne devrait la côtoyer. Mais les démons ont le plus beau visage et Lorenzo réfute la damnation. Il ne sauvera l'âme de Maève. Mais il continuera à la fréquenter, qu'elle cite la bible ou non. Agnès ne peut comprendre tout ceci. Elle n'est pas Medici, du moins pas par le sang. La famille passe avant tout. Avant la religion. Avant les allégeances. Avant l'argent même.
Tu te moques Maeve mais j'espère que tu auras un jour l'honneur d'être mère à ton tour et de comprendre. De toutes mes faiblesses, Marie est celle qui me gène le moins.
Car devant sa cousine, il pouvait parler à coeur ouvert. Elle le connaissait de toute manière si bien. Mais en effet, je suis rassurée. Marie est devenue à ton image et, entre tes griffes, je suis certain qu'elle ne risque rien. Sa petite fille était devenue une femme, bien qu'il s'obstine à la voir comme une enfant.
Mais, si c'était bien des histoires de famille, ce n'était Marie qui m'a poussé jusqu'aux beaux rivages du Club. Il offre un silence, tirant une nouvelle lampée agréable de son cigare. Le verre, dans sa main droite, ne descend plus vraiment. Il n'y porte pas d'alliance ce soir. Je compte répudier Agnès. Les mots sonnent comme s'ils n'étaient rien. Et pourtant, il y a mille paroles derrière les belles paroles. Car, bien qu'ils s'accordent sur le fait que sa femme n'est pas pour lui, Agnès est et restera une créature dangereuse. Dont il faut se méfier et qu'il ne peut faire disparaitre. Elle reste la mère de ses enfants. Et il ne saurait priver Marie et Alessandro de leur génitrice.
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Maeve Le Noir le07 Octobre 1927 • Club Ecdysis • @Lorenzo De Medici
TW • Tensions filiales • Meurtre
Elle se moque en effet mais l’espoir est partagé. Il existe, comme une plante gangrenée. Les contours d’un visage lupin se rappellent à sa mémoire, l’écho de promesses troubles, un nom hypothétisé mais encore loin d’être confirmé. Maeve fut fiancée, voilà des années, contrat avec un homme que sa mère considère de bonne lignée, une addition intéressante pour le sang des Le Noir, et si elle ne regrette pas le mâle elle regrette l’occasion ratée d’être mère, bâtir une famille à elle, une demeure. “Je l’espère aussi, crois-moi.” Aveux aisé, autant une marque de confiance qu’un partage. “On ne se tourne peut-être pas vers les mêmes divinités mais on m’a autant enseigné la valeur d’une famille et du rôle de mère qu’on le fait chez vos vicaires.”
Léger sourire, affectueux et connivent. “Elle est aussi ta force, non ?” Les femmes n’existent pas seulement pour être des faiblesses ou des objets fragiles et fragilisant. Et Lorenzo, pour tous ses défauts, est de la trempe de Justinien plus que de Caligula. Agnès n’est pas un bon exemple, pas plus que ne l’est Maddelina. La première est une idiote incapable d’incarner le rôle qui lui est dévolut et la seconde possède de si profondes blessures qu’elles structurent sa vie, sans doute en partie contre son gré. En cela, Maeve est très heureuse d’avoir bénéficié de l’éducation de sa mère, qui sait valoriser les pouvoirs féminins comme masculins en dépit de l’insatisfaction chronique de Gareth. Impossible cependant de défaire ce qui fut fait.
La confiance qu’il lui offre, cependant, elle en est satisfaite. Approuvée d’un mouvement de la tête, répondue avec aisance. “En effet.” Maeve aime Marie, depuis le premier instant où l’infante leur a été remise, et elle tuerait pour la protéger, tout comme elle fut prête à tuer pour Séléné. L’erreur qu’elle fit en laissant la princesse seule ce jour d'août, Maeve ne le refera plus. Jamais. Elle l’a promis. Elle l’a juré, devant l’autel dédié à sa pupille, au fond des anciens bois, à Brocéliande, avec les chênes ancêtres pour témoins. Marie ne risque rien. “Et bientôt, elle aura ses propres armes, et tremble celui qui essaiera de s’en prendre à elle.” Car Marie marche sur un chemin puissant, et elle la dépassera très certainement, lorsqu’elle sera au zénith de sa féminité.
Déposant son porte-cigarette, Maeve vient diluer ses affirmations à la saveur de l’alcool de vipère, gorgée lente et précise dont elle laisse la chaleur éclore sur sa langue. Curiosité en miroir, qu’elle laisse éclairer prunelles comme traits, silencieuse question, l’enjoignant à développer. Marie n’est pas l’objet de sa visite ? Sa princesse ? Leur princesse ? Mais il ne faut qu’un instant à Lorenzo pour offrir l’ampleur de la vérité et pour une fois, prendre Maeve par surprise. Yeux ronds, posture un instant figée, penchée vers lui. Elle tousse dans son poing, chassant sa servante d’une main le temps d’une goulée de l’air parfumé alentour. “Tu veux répudier Agnès.” Aucune question, mais l’affirmation, comme pour en cimenter la réalité tandis qu’elle s’installe de nouveau confortablement.
Pas d’exultation ou de triomphe mais un léger froncement de sourcil, observant son cousin d’un air pensif, préoccupé, tout en retraçant la ligne de ses lèvres carmines d’un doigt lent. Les instants passent, s’étiolent, son esprit aborde le problème sous plusieurs angles avant qu’elle n’ébauche, enfin, un rire bref, carcasse d’aboiement. “Merde, celle-là, je ne m’y attendais pas.” Petit mouvement des sourcils, petit hochement de tête. “Très bien. Et en quelle qualité est-ce que tu m’en informes ? Suis-je censée être ta cousine, ou as-tu besoin que je fasse quelque chose pour toi ?” Après tout, si elle a gagné le club, elle n’a jamais eu pour ambition de faire cavalier seul et ces trois dernières années, son éventail de prestataires s’est énormément diversifié. “Je peux faire passer sa disparition pour un accident, si tu veux. Tu gardes l’image de l’époux éploré et du père de famille vaillant, les Colonna n’auront rien à en dire. Tu as tes défauts mais tu n’aurais pas privé les enfants de leur mère…”
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
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Thème | Il avait du mal à imaginer Maeve mere. Tout comme il avait du mal à l'imaginer portant la vie. C'est que la sorcière avait vieilli et qu'elle n'était pas Agnès. Lorenzo avait une bien trop mauvaise image, un trop mauvais souvenir, de celle portant la vie. Sa propre mère avait connu de très nombreuses grossesses. Lui qui pensait ses parents incapables de s'aimer avait déchanté quand les années étaient passées. Une question lui glissa sur les lèvres mais fut muselée par la conscience. Maeve avait-elle enfin trouvé époux ? Car il fallait être deux pour offrir un enfant et, jusqu'à preuve du contraire, sa cousine n'avait été touchée par les étranges maladies de bien des français. Elle s'ébattrait dans l'amour de Dieu, qu'ils soient différents s'ils le veulent.
Son sourire est réponse. Car Maeve ne le connait que trop bien et sait également les montagnes que Lorenzo serait près à déplacer pour sa fille. Un mot de Marie et il offrirait du secret à tout. Un mot de Marie et il stopperait tout. Lucia fut sa première faiblesse. Marie fut son ultime, sa plus puissante. Et quoi qu'il dise et offre, Alessandro pouvait également bien trop influer la balance. Mais jamais au point de Marie. L'amour d'un père pour sa fille était infinie et déraisonnable.
Puis vient l'instant hors du temps, celui ou il voit enfin l'impassibilité de sa cousine se briser. Celui où la gorge tousse de stupeur et où les yeux perdent leur flegme constant pour offrir l'arrondit de l'incompréhension. Il y a bien réfléchit. Il a pesé pour et contre. Il a offert ses doutes à son inconscient. Il en a même fait certain rituel de la Bretagne pour se perdre en lui-même et espérer rejoindre un guide spirituel. Comme toujours, le silence lui a répondit. Trop ancré à Dieu pour même espérer toucher des créatures qui ne sont siennes. Mais le chemin a été déjà nettoyé et arpenté, conquis pour ainsi dire par les questions.
Le visage se durcit. Je veux la répudier. Par l'assassiner. Elle ne mérite pas ça, malgré tout... parce qu'il n'a besoin d'offrir tout ce qu'elle a fait. Parce qu'il y a encore, au fond, une goutte de respect pour celle qui l'avait si tendrement aimé. Même si je ne le fais de mes propres mains, je n'irais commanditer son meurtre. Alessandro me tuerait et Marie ne me le pardonnerait jamais. Son visage a perdu son sourire. Dureté en chemin de mine. La mort n'est pas la seule réponse. Je compte demander un entretien au pape pour qu'il m'accorde cela. Il me faudrait une raison et je pensai que l'infidélité de ma femme pourrait être révélée au grand jour. Qu'elle soit réelle ou non. Les pièces se dévoilent et se lient les unes aux autres, plans déjà trop réfléchit. Mais pour ça, il me faut des preuves. Et je te connais Maeve. Tu es parfaitement en capacité de me les fournir. Ne restait qu'à tâcher le nom des Lestrange avec celui d'Agnès et la raison du divorce serait toute trouvée.
Son sourire est réponse. Car Maeve ne le connait que trop bien et sait également les montagnes que Lorenzo serait près à déplacer pour sa fille. Un mot de Marie et il offrirait du secret à tout. Un mot de Marie et il stopperait tout. Lucia fut sa première faiblesse. Marie fut son ultime, sa plus puissante. Et quoi qu'il dise et offre, Alessandro pouvait également bien trop influer la balance. Mais jamais au point de Marie. L'amour d'un père pour sa fille était infinie et déraisonnable.
Puis vient l'instant hors du temps, celui ou il voit enfin l'impassibilité de sa cousine se briser. Celui où la gorge tousse de stupeur et où les yeux perdent leur flegme constant pour offrir l'arrondit de l'incompréhension. Il y a bien réfléchit. Il a pesé pour et contre. Il a offert ses doutes à son inconscient. Il en a même fait certain rituel de la Bretagne pour se perdre en lui-même et espérer rejoindre un guide spirituel. Comme toujours, le silence lui a répondit. Trop ancré à Dieu pour même espérer toucher des créatures qui ne sont siennes. Mais le chemin a été déjà nettoyé et arpenté, conquis pour ainsi dire par les questions.
Le visage se durcit. Je veux la répudier. Par l'assassiner. Elle ne mérite pas ça, malgré tout... parce qu'il n'a besoin d'offrir tout ce qu'elle a fait. Parce qu'il y a encore, au fond, une goutte de respect pour celle qui l'avait si tendrement aimé. Même si je ne le fais de mes propres mains, je n'irais commanditer son meurtre. Alessandro me tuerait et Marie ne me le pardonnerait jamais. Son visage a perdu son sourire. Dureté en chemin de mine. La mort n'est pas la seule réponse. Je compte demander un entretien au pape pour qu'il m'accorde cela. Il me faudrait une raison et je pensai que l'infidélité de ma femme pourrait être révélée au grand jour. Qu'elle soit réelle ou non. Les pièces se dévoilent et se lient les unes aux autres, plans déjà trop réfléchit. Mais pour ça, il me faut des preuves. Et je te connais Maeve. Tu es parfaitement en capacité de me les fournir. Ne restait qu'à tâcher le nom des Lestrange avec celui d'Agnès et la raison du divorce serait toute trouvée.
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Maeve Le Noir le07 Octobre 1927 • Club Ecdysis • @Lorenzo De Medici
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Mais c’est qu’il a l’air fin content son cousin ! “Heureux de ton petit effet ?” susurre-t-elle non sans une once de mauvaise foi, ne voulant pas admettre qu’il vient de la moucher. C’est pourtant le cas. Lorenzo n’aime pas son épouse. Lorenzo ne respecte pas les vœux offerts à son épouse. Mais Lorenzo voulant se débarrasser de son épouse ? Ca c’est une nouvelle titanesque. Surtout quand on sait que le lendemain aura lieu la célébration du retour de Gianny, avec toute la famille et le decorum nécessaire. Maeve n’a pas imaginé que son turbulent cousin put vouloir bousculer ainsi sa maisonnée. Même elle sait que le serment du mariage chrétien c’est à la vie à la mort, alors elle est forcément surprise. Et elle pense immédiatement à s’en débarrasser.
Alors en voyant son minois florentin se durcir, elle élève les mains en signe d’innocence. “Ne me regarde pas comme ça, c’est ton serment de mariage qui dit ‘jusqu’à ce que la mort nous sépare’ pas le mien ! C’est une innocente méprise !” Même si à bien y réfléchir, l’idée n’est pas dénuée d’un certain charme. Agnès répudiée, les Colonna en seront certainement outrés et des rivaux fraîchement motivés. Lorenzo n’a franchement pas besoin de ça. Avec un soupir dépité, elle s’installe de nouveau, tire sur sa cigarette tout en l’écoutant lui narrer le fond de sa pensée, et l’idée suggérée chasse la contrariété de ses traits, y installant un léger sourire à la place. Sous eux, des applaudissements se font entendre et Maeve ne peut que reconnaître là une coïncidence parfaite.
“Pas bête.” Voilà que son cousin joue finalement, et ironiquement. Elle y réfléchit, examine les possibles, pensive, le regard lointain. Pas bête non. Lorenzo veut des preuves. Le tout est de savoir comment les obtenir. Agnès se méfie d’elle et sans doute est-ce là l’une des seules instances où la femme de son cousin se sert de ce qui lui sert de tête. La beauté de la magie, cependant, c’est que le consentement est une affaire d’imagination plus qu’une affaire de persuasion. Maeve n’a pas besoin de la confiance d’Agnès, uniquement des bons éléments pour parvenir à ses fins. “J’imagine que tu vas vouloir la trouver avec tes grands ennemis les Lestranges ?” Lorenzo est beaucoup de choses, il est en tout cas certainement déterminé.
“Le tout, c’est de narrer une histoire plausible. J’ai quelques idées. J’aurais volontiers profité de la célébration de demain, mais c’est trop court.” Elle lui décoche un regard aiguë. “Je ne vais pas te mentir, si tu veux vraiment que ça ait de l’impact, il vaudrait mieux attendre avril et le début de la saison mondaine. Le gros des élections sera passé, tout le monde en aura assez de la politique et se jettera sur les scandales avec d’autant plus d’enthousiasme. Tu survivrais jusque là ?” Une pensée parasite fit soudainement luire ses prunelles et donna à son sourire un tour connivent. “... Tu as quelqu’un d’autre en vue ou tu t’offres le plaisir de papillonner un peu ?” Une meilleure alliance pour Lorenzo ne lui fera pas de mal, comme d’avoir un autre héritier qu’Allessandro.
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(#) Re: [TERMINÉ] family matters
missive rédigée par Lorenzo de Medici lefamily matters
ft Maeve Le Noir
Thème | Il ne peut retenir son sourire satisfait en réponse. C'est que ce n'est pas tout les jours qu'il parvient à briser le masque de la brune. Même jamais à dire vrai. Sourire qui s'épaissit un peu alors qu'elle en vient à brimer le serment catholique. Il avait promis... Il avait promis en croisant les doigts mais seulement comptait-il seulement aux yeux du Seigneur ? Il savait bien que nous et pourtant... pourtant n'y avait-il eu des rois qui avaient rompu leur lien ? N'y avaient-ils des hommes qui le faisaient ? A moins que Maeve ait raison et que ce soit.... il hésitait, il hésitait fortement. Il ne savait encore quoi faire quand la décision était pourtant prise. Réellement ? Il n'aurait su le dire.
Il incline toutefois la tête aux mots de sa cousine. Lestrange, pensées communes que de faire des ennemis héréditaires le parfait bouc émissaire. Qui d'autre auraient osé s'en prendre à Agnès de Medici, femme du nouveau chef de famille en personne ? Qui auraient même cru faire du mal aux italiens si ce n'étaient ses connards de français au sang bleu ?
Je la supporte depuis vingt ans, je ne suis pas à quelque années près. Tant que cela ne noircie pas ma famille, je me fiche bien du temps que cela prendra.
Lorenzo s'offre une bouffée de cigare avant de balayer d'un mouvement de sourcil et de mains la question. Ne croit pas que je vais m'encombrer d'une femme avant bien longtemps. J'ai fais mon devoir, j'ai deux héritiers, je n'ai pas besoin d'une nouvelle greluche à mon bras. Parce qu'il peut aimer sans mariage. Parce qu'il peut tout offrir sans s'enfermer. Surtout parce qu'il sait qu'il s'enflamme et qu'il pourrait demander une femme en mariage. Ne l'avait-il fait de sa belle sicilienne autrefois ? Il peut mettre le genou à terre, parodie de comédie romantique. Pour s'ennuyer avant même que les noces ne soient prononcées. Lorenzo est capricieux mais, plus encore, il n'est pas patient. Attendre est pour les fous.
Plus sérieusement : je n'ai personne en vue en ce moment. Je courtise une dame que j'espère bien mettre dans mon lit. Guère plus. Un défi d'orgueil. Son sourire se fait énigmatique. Il n'offrira pas le prénom de Neith. Il sait, très bien, que Maeve la connait. Ses histoires de fesses ne sont rien d'autres que des histoires et des potins dont sa cousine n'est pas friande. Dont il ne veut pas la rendre friande. Les journaux s'en donnent bien assez à coeur joie.
Il incline toutefois la tête aux mots de sa cousine. Lestrange, pensées communes que de faire des ennemis héréditaires le parfait bouc émissaire. Qui d'autre auraient osé s'en prendre à Agnès de Medici, femme du nouveau chef de famille en personne ? Qui auraient même cru faire du mal aux italiens si ce n'étaient ses connards de français au sang bleu ?
Je la supporte depuis vingt ans, je ne suis pas à quelque années près. Tant que cela ne noircie pas ma famille, je me fiche bien du temps que cela prendra.
Lorenzo s'offre une bouffée de cigare avant de balayer d'un mouvement de sourcil et de mains la question. Ne croit pas que je vais m'encombrer d'une femme avant bien longtemps. J'ai fais mon devoir, j'ai deux héritiers, je n'ai pas besoin d'une nouvelle greluche à mon bras. Parce qu'il peut aimer sans mariage. Parce qu'il peut tout offrir sans s'enfermer. Surtout parce qu'il sait qu'il s'enflamme et qu'il pourrait demander une femme en mariage. Ne l'avait-il fait de sa belle sicilienne autrefois ? Il peut mettre le genou à terre, parodie de comédie romantique. Pour s'ennuyer avant même que les noces ne soient prononcées. Lorenzo est capricieux mais, plus encore, il n'est pas patient. Attendre est pour les fous.
Plus sérieusement : je n'ai personne en vue en ce moment. Je courtise une dame que j'espère bien mettre dans mon lit. Guère plus. Un défi d'orgueil. Son sourire se fait énigmatique. Il n'offrira pas le prénom de Neith. Il sait, très bien, que Maeve la connait. Ses histoires de fesses ne sont rien d'autres que des histoires et des potins dont sa cousine n'est pas friande. Dont il ne veut pas la rendre friande. Les journaux s'en donnent bien assez à coeur joie.
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