[Lachesis | Eugénie Delacour ] Sub rosa

Nom

Née Anderson, « fils d’Anders », sonorités lointaines de ses ascendants Varègues, du son des rames battant la mer agitée, des drakkars voguant sur les eaux froides de la mer baltique bien avant une dernière traversée vers la belle France. Anderson, nom qu’elle n’a que peu porté, jusqu’à son sixième printemps lorsqu'un passage express devant le juge des tutelles du Ministère permis de le changer en Dupont. Nom maternel, d’une simplicité effarante, d’une banalité presque ridicule, soit la parfaite protection contre le poids du patronyme d'origine. Eugénie Dupont, l’orpheline sans histoire (le premier mensonge, le plus gros mensonge), la petite protégée inattendue des Delacour.
Deuxième passage devant le juge, 1895, pour adopter ce fleuron de la belle société française, pour revêtir de nouvelles couleurs et lettres de quasi noblesse. Eugénie Delacour-Dupont, Eugénie Delacour, les marges de l’acte de naissance portent la preuve indélébile de cet énième changement, la signature du nouveau pater. Les liens de l’encre plutôt que du sang, les liens du choix plutôt que du destin. Un contrat, pour le meilleur et pour le pire.

Prénom

Eugénie, prénom fort à la mode chez les moldus, étant celui de l’ancienne impératrice de France, Eugénie de Montijo. Elle préfère pourtant prendre ses distances avec cette origine qui avait toutes ses chances de séduire ses parents pour se rapprocher de son étymologie et donc de ses racines grecques antiques : Εὐγενία la "bien-née"… un comble, pour une fille de rien comme elle. Dès l’adolescence, elle entreprit des recherches sur d’autres Eugénie connues, et elle a pu découvrir avec délice et une pointe de frustration que nombres d’entre elles étaient artistes, poétesses, militantes… Elle fit en sorte d’acquérir des œuvres originales issues de ses homonymes, non pas pour sa collection personnelle mais plutôt pour les prêter à divers musées moldus, la plupart n'ayant rien à voir avec le monde sorcier. Le poids de son nom de baptême est d'autant plus grand qu'elle se refuse à ne pas poser sa propre pierre sur l'édifice, à marquer l'histoire comme elles l'ont fait.
Certains membres de sa nouvelle famille la surnomment de manière plus ou moins taquine « Génie », ce qui est loin d’être à son goût, qu’on se le dise.
Sigrid, prénom de sa grand-mère paternelle suédoise dont elle ignore tout si ce n’est ce prénom issu du vieux norrois « Sigríðr », composé des mots "victoire" et "belle". Pourtant elle a appris depuis qu’il n’y a pas de beauté dans la victoire, pas de beauté dans l’annihilation de l’ennemi, mais une simple nécessité.
Colette, comme sa grand-mère maternelle. Une femme de bien, disait on, une femme courageuse et pieuse dont elle n'a que quelques vieilles photos de familles ainsi que de rares bijoux dont elle a hérité.

Naissance

Elle fut baptisée dans la foi catholique en 1882, quelques jours après sa naissance le 25 mai. Si l'acte de naissance trahi le lieu, elle n'a aucun souvenir ni anecdotes connues de bouche en oreille, ayant été séparée trop jeune de ses parents.

Parents

Fille adoptive de Paul et Béatrice Delacour. Des saints diraient certains, des visionnaires rétorquerait elle avec l’ombre d’un sourire mystérieux. Car c’est un talent rare, que de voir un métal brut, et d’imaginer l’arme qui en sera forgée. Même couverte de pierres précieuses et entourée d’un fourreau satiné, une arme reste une arme, d’apparat ou non.
Si le patriarche, qu’elle a mis des années à appeler « père » ailleurs qu’en public, a cru en elle, il est certain qu’elle se doit de faire de même. Elle se considère pourtant toujours comme le vilain petit canard, tombé de son nid boueux dans celui de cygnes gracieux. Une erreur, certainement, qu’elle failli refuser, l’entêtée. Lorsqu’il lui annonça son intention de lui léguer son nom, elle fut prête à dire non, car comment accepter la facilité quand elle pouvait continuer à se démener pour redresser la barre, par elle-même, envers et contre tout ? Accepter une main tendue est parfois plus ardu encore que de livrer un combat qui semble impossible.
Ce coup du sort fait d’elle la sœur cadette de Théophile, Camille et Iris ; quatuor toujours en harmonie lorsque les rideaux se lèvent et que les projecteurs tombent sur leurs parfaites apparences.

Un secret gardé du mieux possible, parenté naturelle honteuse, fille de criminels et de bagnards qu’elle préfèrerait pouvoir effacer de son arbre généalogique et de sa mémoire. Fille biologique de Gustaf Anderson, un né-moldu suédois émigré en France, dont elle ne se souvient que du sourire, que de la grandeur, car il devait être grand, pour la faire tourner dans ses bras, voler comme un oiseau sans avoir besoin de recourir à la magie ? Sa mère biologique, Jeanne Anderson née Dupont, une sang-mêlé ayant renié sa famille à cause de ses idéaux extrémistes, qui paie encore aujourd’hui pour ses crimes au fond d’une cellule du Fort Invisible. Dont elle ignore toutes les lettres, toutes les suppliques.
Si ces deux noms vous semblent familiers, c’est parce qu’ils appartiennent à deux fous ayant tentés de briser le secret magique, ayant presque réussi, quitte à abandonner derrière eux leur fille qu’ils croyaient unique.
Elle a fait de sa mission première de corriger les péchés de ceux qui sont moins ses parents que son grand-père maternel, Alfred Dupont, qui l’a recueillie après le drame. Le vieillard, majordome en chef des Delacour, à tout fait pour lui offrir un avenir, notamment en faisant jouer ses relations de cette famille à qui il a dédié toute sa vie… Malgré son grand âge, il a pris la charge d’Eugénie, et de son jeune frère Galahad, qui a eu la malchance de naître en prison.  

Nature du sang

On ne peut plus mêlé, jusqu’à son grand-père ses ancêtres maternels étaient de pieux moldus poitevins. Alfred Dupont a été le premier de sa lignée à posséder des pouvoirs magiques, et à épouser une sang-mêlé d’humble naissance. Eugénie est loin d’avoir un patrimoine génétique des plus dignes, selon les critères d’une bonne partie de l’élite. Pourtant elle laisse glisser les regards médisants, les fait taire par ses réussites et son propre mépris des critiques. Il est bien plus satisfaisant de prouver que le sang ne fait pas la valeur à force de patience, de grace et de travail qu’en chargeant dans le tas comme un animal sans jugeotte. Et puis nul ne la jugera plus durement qu'elle ne le fait d'elle-même, pour des raisons bien moins dérisoires que son sang.  

Situation matrimoniale

Vieille fille de bonne famille, elle n’a officiellement jamais été mariée. Sans enfants naturels ni adoptés, Mademoiselle Delacour fait figure de grande dame solitaire et rigide qui a épousé sa carrière aux dépends de tout le reste… Qu’importe les rumeurs sur ses raisons, la vérité est qu’Eugénie a d’autres priorités dans la vie et que son sang et sa nature d’adoptée (ainsi que le bon vouloir de son père et ses frères,) ne lui donnent pas le devoir de faire continuer la lignée qui n’a pas toujours été sienne. Ce qui l’arrange bien, elle a eu assez de jouer le rôle de mère de substitution pour son frère cadet (pour ce que ça lui a réussi).
Officieusement, les lignes se sont brouillées lors d’une mission d’infiltration de longue durée, et sa fausse identité à échangé des vœux païens avec un homme qu’elle a par la suite envoyé en prison. De leur union, un fils est né, issu d'un déni de grossesse il a été abandonné à la naissance presque sans un regard en arrière aux portes de la Maison d'Ilithyie.
Sans regrets, dirait elle avec pragmatisme, comme si leur histoire n’avait jamais existé, comme si tout avait été une invention : mais après tout, s’ils sont mariés ce n’est pas devant Dieu, et avec un faux nom encore en plus. Elle nie les regards qu'elle coule sur la cicatrice indélébile sur sa paume, celle jumelle de cet homme sur lequel elle a tiré un trait.

L’"amour" est un contrat, l’amour est une arme, et les enfants ne sont que des dommages collatéraux. Alors autant leur éviter de voir le jour dans un tel monde ou la fin justifie les moyens, ou les affections sont des moyens de pression et de manipulation. Et s'il est trop tard, autant leur éviter la plus mauvaise mère possible.  
Car il est certain qu'elle a aussi peu de scrupules à utiliser les charmes dont elle a été dotée par le bon vouloir du Seigneur que ceux convoqués par sa baguette magique.

Occupation

Ancienne tireuse d’élite de baguette magique, capitaine de l'unité spéciale préposée à la lutte contre le trafic de biens culturels, ou elle s’est illustrée pour ses enquêtes et dossiers rigoureusement ficelés, et plus officieusement par ses talents d’infiltration qui ont permis de faire tomber avec sa brigade de nombreux criminels au fil des années. Et plus important : de sauver de nombreuses œuvres de l’avarice des hommes.
Elle a quitté le bureau de la justice magique et une carrière florissante entretenue depuis plus de vingt ans pour rejoindre en 1924 le domaine privé. Elle postule au Louvre, joyaux de culture appartenant à sa famille, et décroche le poste de responsable des collections du musée, ce qui la place directement sous l’autorité de monsieur son frère le directeur… Certains oseront parler de népotisme, notion qu’elle abhorre au plus au point. Elle prend son nouveau rôle très à cœur et un contrôle absolu sur la gestion administrative, scientifique, l’analyse et la valorisation des fonds et collections… Que des domaines dans lesquels elle a déjà prouvé ses capacités, à défaut d’une sensibilité artistique très développée.
Elle accepte encore quelques contrats à son compte comme experte en art (ou consultante pour son ancienne unité), mais de manière très exceptionnelle.  
Il est courant qu'elle en appelle à Camille ou à d'autres restaurateurs pour prendre soin de ses trouvailles, obtenues par l'achat ou par des négociations plus ou moins musclée selon les circonstances... Une déformation professionnelle, disons. Il n’est pas rare qu’elle parte en voyages d’affaires qui peuvent la mener à côtoyer archéomages et autres grands spécialistes de ce milieu, le terrain ayant bien plus d'attrait pour elle que les soirées culturelles et mondaines auxquelles elle doit participer lorsqu'elle reste au pays.

Cultivatrice de secrets, Eugénie est Grande Archiviste de l'Ordre du Temple depuis 1922, ancienne archiviste devenue ensuite Secrétaire Archiviste, elle dirige d'une main de fer dans un gant de velours ses subalternes. Elle se considère comme la Gardienne de la mémoire et des secrets du Temple, mais aussi sa protectrice, coûte que coûte. Dévouée corps et âme à cette vocation première, elle a participé activement à la complétude des collections durant ses années comme tireuse d'élite, notamment en détournant des œuvres et documents pour qu'ils parviennent dans la bibliothèque du Temple plutôt que dans les mains de leurs propriétaires plus ou moins légitimes...
Selon elle, l'art à sa place dans un musée, ou dans la collection du Temple, à l'abri de l'avarice et de la violence inhérente aux êtres humains. Mais la guerre lui a appris que même le plus grand des musées n'est pas sans risque, que les conflits trouvent toujours moyen de venir détruire ce qu'il y a de plus beau et précieux. L’humanité n’est pas immortelle, mais ses souvenirs peuvent l’être, si on prend les dispositions nécessaires.

Scolarité

Beauxbâtons fut sa demeure secondaire durant toute sa scolarité, et ce même pendant de nombreux mois estivaux et week-ends, tant elle tenait à se dépasser, à exceller et à se montrer digne d'appartenir à la grande famille Delacour. Un acharnement pas tant aveugle que réaliste : elle est un génie du travail, mais pas de nature. Elle a toujours eu conscience de sa chance, d’avoir été parrainée par les Delacour (malgré son manque de talents artistiques) et d’avoir eu accès à des prémices d’éducation avant même son entrée à l’école, contrairement à d’autres enfants moins chanceux. Pas question d'être médiocre, si elle veut corriger tout ce qui fait défaut à leur système, à leur pays et son élitisme assassin.
C’est l’or qui brilla sur sa poitrine, le Zénith brûlant aussi fort que son ambition, la nuit plus sage hésitant pourtant quelques instants avant de céder place au soleil de midi sur ce tableau magique inoubliable qui l’enferma dans une cage dorée pendant sept années studieuses. L'or, aussi du retourneur de temps qu'on lui prêta au cours de ses études supérieures afin de suivre plusieurs cours se passant au même moment, qu'elle rendit quand il ne lui fut plus nécessaire.

Son choix se porta sur les matières secondaires les plus difficiles à l’aube de sa 5ème année, comme pour prouver à ses opposants sa valeur : arithmancie et études des runes. S’y ajoutèrent les duels magiques (moins un défouloir qu'un nouveau choix calculé) en dernière année. Eugénie avait un plan d’avenir précis, et il était hors de question qu’elle manque la moindre étape de sa stratégie pour cause de fatigue. L’échec ne fut jamais dans ses options, car même ses pertes n'étaient que des trépieds pour aller plus loin, plus haut.
« L’échec est une création de l’esprit », qu’elle répétait souvent lorsque la nervosité l’envahissait avant chaque examen, que la pression se faisait insupportable.

Elle effectua des études supérieures en double cursus histoire de l’art (presque facultatif quand on est Delacour, disons-le), et en tant que tireuse de baguette : des prérogatives particulières pour se faire accepter dans l’unité qui l’intéressait depuis qu'elle avait préparé son plan de carrière. Il est aussi bon de noter qu'en parallèle de ses études, elle fut très investie dans la gérance de l'immense patrimoine culturel, mobilier et immobilier de sa famille de coeur, ayant profité de l'écriture de sa thèse pour effectuer un grand recensement et inventaire de leurs possessions. Il n'y a rien de plus valorisant qu'un administratif bien ficelé, faire les choses dans les règles de l'art. Ses parents furent si contents qu'ils lui accordèrent le titre honorifique d'Intendante de la famille.

Une scolarité exemplaire, aux dépends de sa vie sociale et de sa sérénité. Une vie exemplaire, du moins en apparence.

Composition baguette

Bois de tremble, plume d’abraxan, 27.5 cm, très rigide.
D’un aspect précieux, elle semble sculptée d’ivoire plutôt que de bois, caractéristique visuelle du tremble qui le rend très demandé par ceux qui ne se soucient que de l’apparat. On dit aussi que ses possesseurs sont destinés à devenir de grands duellistes, et sont de nature déterminée et volontaire… D’une exquise simplicité, droite et longiligne, sans fioritures ni ajouts : cette baguette est une baguette, pour Eugénie, un outil et une arme dont elle ne se sépare jamais ;et pas un accessoire de mode. Son sommeil serait impossible sans la savoir à portée de main, juste sous l’oreiller. Vigilance constante.

Patronus

Eugénie s'est prouvée être une sorcière redoutable, acharnée et désireuse de réussir. Le lustre de parvenir à convoquer un patronus corporel est d'autant plus important qu'il prouve que malgré ses actions son âme n'est pas encore perdue. Ainsi le soulagement est là lorsque la pieuvre  aux tentacules insaisissables sort des volutes argentés. L'animal peut étonner, mais est-ce si surprenant ? Après tout n'est-ce pas la pieuvre qui change de couleur pour s'adapter à son environnement et aux prédateurs ? La pieuvre, à la redoutable mémoire et intelligence qui fascine par sa dualité ; entre monstre issu des profondeurs insondables et mystérieuses ou créature créative capable de résoudre de vrais problèmes... Deux forces opposées qui s'affrontent, un équilibre précaire maintenu tant que le patronus restera possible.

Epouvantard

La peur à beau être une création de l'esprit, même la plus grande rigueur mentale peut ne pas suffire à la contrôler. Eugénie s'y acharne pourtant, travaillant depuis des années à s'éloigner de ses émotions les plus pures, à les dépasser dans une quête d'ascétise. Dominer sa peur, mais pas la faire disparaître, car elle ne reste qu'une humble femme, pas une sainte.

Alors la peur est là. Et si elle ferait tout pour esquiver avec adresse une confrontation avec un Epouvantard, ce n'est pas par honte, ni par peur, simplement pour éviter de dévoiler plus qu'il n'en faut à n'importe qui... Et de peur d'un énième malaise vagal au réveil de son hématophobie.
Et parce que c'est l'un des pires jours de sa vie, qui se répéterait. La victoire sanglante au goût amer des larmes et du sang. L'homme est couvert de sang, entouré de corps, trop nombreux. Eugénie est un témoin immobile, baignant dans une marre de cet ichor carmin qui jadis la laissait de marbre, jusqu'à cette funeste arrestation. Les cauchemars qui ne cessent pas, la douleur qui ne la quitte plus et lui fait payer ses pêchés.

Contrôler la peur... Ce n'est qu'un lointain souvenir, qu'elle se garde bien de révéler pour ne pas donner de la nourriture supplémentaire aux vautours.

Amortentia

Des effluves florales et exotiques, un bouquet de nombreuses plantes mélangées rappelant le jardin d'hiver de son enfance, sa cachette secrète que lui partagea Camille et qui, aujourd'hui encore, reste un sanctuaire qui lui évoque sécurité et calme, particulièrement des fruits du bergamotier. L'essence de bergamote se retrouve d'ailleurs dans l'Eau de Cologne originale, fraîche et légère, qu'elle porte exclusivement depuis des années.  L'odeur du vieux papier, les pages pleines d'histoires et de mystères, l'ancien qui l'attire pour le plaisir et le disséquer, le découvrir et le résoudre.

Particularité Magique

L'occlumencie, un mot nébuleux pour décrire l'art de protéger son esprit, de s'en faire maître incontesté. Talent caché, botte secrète qui fait partie de l'arsenal nécessaire au Grand Archiviste de l'Ordre. Car une pléthore de secrets dépendent d'elle, de mystères dont ils se sont assurés qu'ils ne soient jamais percés pour le bien du plus grand nombre. Eugénie est occlumens, oui, pour l'intérêt général tout autant que le sien. Garder le contrôle, toujours, un objectif impossible mais pourtant atteignable grâce à cette particularité... Mais pas suffisante puisqu'elle est encore en plein apprentissage de la legilimencie.
Les migraines, la fatigue, les conséquences de cet apprentissage rigoureux sont des souffrances nécessaires, car la fin justifie les moyens.

Tentez de vous infiltrer dans son esprit à vos risques et périls. Galerie sans fin, labyrinthe avec œuvres d’arts qui détournent l’attention, tableaux qui absorbent, portes dérobées, statues qui prennent vie pour pointer de mauvaises directions ou distraire par des danses statuesques... Une suite de fausses pistes, de pièges retors et de beautés qui déconcentrent celui qui tente de conquérir son esprit. Sa psyché est faite d’un entassement de culture qui défend ardemment la gardienne de leurs secrets, mais aussi d'énigmes et de casse-tête pour tenter de passer les différentes étapes... La Venus de Milo ayant retrouvé ses bras se fera même reine d'un jeu d'échec grandeur nature, dernière protection contre l'assaillant.