Agnes | Alea iacta est

L'union entre Lorenzo et Agnes est marquée par des contrastes saisissants. Lui, l'audacieux fils d'une famille criminelle prospère qui incarne le luxe ostentatoire et la réussite dans des cercles sombres de leur communauté. Elle, pieuse et romantique, fille aînée d'une famille noble portant un héritage séculaire, imprégnée de gloire et d'un prestige qu'elle a pour devoir de transmettre à leur descendance. Agnes avait seize ans lorsqu'elle épousa son mio sposo del sole. Mais tous ses rêves d'adolescente naïve éclatèrent dès la nuit de noces, lorsque Lorenzo l'abandonna pour les bras d'une autre une fois son devoir d'époux accompli. L'humiliation persista lors de leur voyage de noces, à la naissance de leur fils Alessandro, puis à celle de leur fille Marie. Et après vingt-sept années de mariage, la douleur s'est insidieusement installée chez Agnes. Malgré de rares moments de complicité, une courte parenthèse de bonheur même, rien ne peut atténuer la violence des humiliations subies. Quant à savoir si c'est par reliquat d'amour, par stratégie, ou par orgueil romano-catholique que Agnes reste fidèle à Lorenzo ? La seule certitude est que, à force de forger le fer chaud des émotions de son épouse, le chef de famille l'a finalement débarrassée de sa naïveté. Agnes est devenue une femme prudente et calculatrice avec le potentiel de devenir une adversaire redoutable. En cherchant à la répudier, c'est un jeu plus dangereux que les précédents auquel Lorenzo se livre avec Agnes. L'épouse connaît ses secrets autant que ses ennemis et pourrait s'en servir pour sauvegarder son honneur.

Ici vous parlerez du lien qui unit votre personnage à cet autre. Une phrase, plusieurs, c'est vous qui voyez. Voyez ceci comme un pense bête, ou alors comme un moyen d'expression, c'est vous qui voyez !

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat.

Dans l’ombre du même homme, Agnes en tant qu’épouse dévouée, Neith en tant que maîtresse indépendante, les deux sorcières se trouvent inextricablement liées. Mais ce qui aurait pu être une relation marquée par la rivalité et l'animosité se transforme en quelque chose de plus profond et de plus significatif marqué par un très grand respect. Après des débuts teintés de méfiance pour le plus grand divertissement de leur communauté, les deux sorcières se révèlent en effet plus fortes que la faiblesse de l’homme qui aurait pu les opposer. En tant que femmes, en tant que mères également, Neith et Agnes sont confrontées aux mêmes défis pour être reconnues et respectées dans une communauté qui a tendance à les sous-estimer. Sous leur impulsion, les contours des FESP évolueront pour incarner leur vision commune (qui rejoint un certain combat de la femme … tant qu’elle est de sang-pur). Avec le temps, d’autres sorciers que le mari adultère pourraient regretter l’alliance inattendue des deux sorcières.

Dans sa tour d'argent, entourée uniquement d'elfes, Agnes a toujours mené une existence à l'écart du monde. C'est à l'Hôtel Dieu, au milieu des enfants souffrant de dragoncelle dont elle est la marraine, qu'elle renoue avec des vertus depuis longtemps oubliées de sa pratique religio-magique : compassion et générosité. C'est là aussi qu'elle a fait la connaissance de Kim Jeong, d'abord lors d'un gala de charité, puis au fil des deux dernières années dans ses fonctions moins mondaines de médicomage. La compagnie du sorcier lui est agréable, et ces dernières semaines, la Romaine se surprend à regretter son absence lorsque celui-ci n'est pas présent ou disponible lors de ses visites. L'affection d'Agnes pour les enfants malades se déplace doucement vers le médicomage qu'elle apprécie de voir apporter un peu de lumière à ses patients dans les ténèbres de la maladie. Cet attachement demeure un coup de cœur platonique, une amitié qui lui offre un moment d'évasion, un répit dans sa solitude. Elle s'interroge en secret sur ce que pourrait être une vie différente, libérée des chaînes d'un mariage désastreux, comme le lui propose son époux Lorenzo. À l'Hôtel Dieu, Agnes médite d'une manière bien différente que sous les voûtes de la Madeleine.

Entre 1911 et 1914, depuis la bibliothèque de Beauxbâtons, Agnes et Auguste ont entretenu une correspondance anonyme. À travers des avions de papier ensorcelés, leurs mots ont créé un lien unique entre ces deux étudiants discrets et cultivés de la faction de la nuit. Ces échanges intellectuels, centrés sur leurs auteurs préférés, leur ont permis de partager des pensées profondes et des émotions fortes. Cependant, leur correspondance a brusquement pris fin dix années avant le dénouement tragique : le meurtre d'Alaric Lestrange, le frère d’Auguste, perpétré par Lorenzo de Medici, l'époux d'Agnes. Alors que la de Medici est dans la confidence du meurtre, Auguste émet un doute raisonnable, bien que non fondé. En constatant la négligence de la de Medici de la part de son époux, Auguste décide alors de s'approcher d'elle, espérant ainsi obtenir des éclaircissements sur le meurtre d’Alaric. Dans ce contexte où le passé et le présent s'entremêlent, leur relation pourrait devenir un jeu dangereux de révélations et de découvertes. Chaque mot échangé prend un nouveau sens, et un seul, d’Agnes à Auguste, pourrait changer le destin de leur famille.

Ici vous parlerez du lien qui unit votre personnage à cet autre. Une phrase, plusieurs, c'est vous qui voyez. Voyez ceci comme un pense bête, ou alors comme un moyen d'expression, c'est vous qui voyez !

   Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat.

À travers Maeve et Agnes, se déploie un affrontement plus grand qu’un désaccord entre deux femmes. C'est la confrontation entre Le Noir et Colonna. L’une incarne une magie libre, joyeuse et sauvage, tandis que la seconde est l'essence du contrôle, voire de la domination. Mais leur incompréhension n’est que le terreau de leur haine. Ce mal est enraciné dans des blessures profondes, jusqu'aux entrailles d'Agnes qui réclament toujours son enfant. Marie, prise par Maeve. Agnes avait des rêves grandioses pour sa fille, une éducation digne d'une Romaine, dans le culte de la magie virginale, un mariage princier par-dessus le marché (en lieu et place de contrats qui ne font aucun sens pour la mère). Maeve ne résiste pas à jouer avec les sentiments de la madone aveuglée autant par son amour que par ses préjugés. Son hypocrisie et ses manières l’horripilent et les prétextes sont faciles pour la tourmenter. Tout spécialement quand Lorenzo les lui apporte sur un plateau d’argent. Maeve s’est naturellement alliée à son cousin et le soutient dans sa décision de répudier l’épouse. Cette alliance marque le début d'une escalade de violence entre elles, une lutte où les incantations vengeresses remplaceront les mots tranchants. Ce n'est pas seulement leur combat mais celui de deux lignées magiques.

Malgré la façade robuste et unie de la famille de Medici, les liens de loyauté sont divisés et la confiance se fragilise. Giacomo incarne tout ce que Agnes réprouve : son sang est souillé et ses activités sont douteuses. Elle se trouve profondément contrariée de devoir fréquenter régulièrement cet individu en tant que membre de la famille de son époux, et elle le reçoit toujours avec réticence. Lorenzo, pour sa part, témoigne d'un attachement indéfectible envers sa famille, incluant Giacomo. Toutefois, ce dernier, bien conscient des tensions qui minent l'union conjugale, perçoit en Agnes une opportunité de tisser des alliances contre Lorenzo, dont il garde une rancœur tenace depuis les événements tragiques de 1917. Ainsi, Agnes se retrouve piégée entre son aversion pour Giacomo et son aspiration à préserver l'harmonie au sein du foyer des Medici. Pendant ce temps, le cousin s'emploie à exploiter les failles conjugales dans le dessein de servir ses propres intérêts.

Ici vous parlerez du lien qui unit votre personnage à cet autre. Une phrase, plusieurs, c'est vous qui voyez. Voyez ceci comme un pense bête, ou alors comme un moyen d'expression, c'est vous qui voyez !

   Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat.

Ici vous parlerez du lien qui unit votre personnage à cet autre. Une phrase, plusieurs, c'est vous qui voyez. Voyez ceci comme un pense bête, ou alors comme un moyen d'expression, c'est vous qui voyez !

   Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat.