[TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
Lorenzo de MediciATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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(#) [TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
missive rédigée par Lorenzo de Medici lele retour du fils prodige
Topic commun
Thème | Au moins avait-il, ce soir, les mains propres. Le sang était nettoyé, le costume blanc impeccable. Lorenzo prêchait d'orgueil ce soir. Il avait de nombreuses choses à faire et à prouver et il ne laisserait personne empieter sur ses plates bandes. La sécurité était prévenue. Si la soirée était mondaine, les indésirables n'avaient pas intérêt d'y mettre les pieds. Et par ce simple mot, Lorenzo n'avait nul besoin d'offrir des détails; Les fous ne passeraient pas la porte, pas plus que les ennemis héréditaires. Il aurait bien assez à faire ce soir.
Car la nouvelle était tombée un bon jour. Giacomo revenait en France. L'odeur de son sang et de son visage en miette appelait toujours le Medici. Il n'aimait pas en venir aux poings, du moins pas avec les membres de sa famille. C'était idiot et les sangs sacrés des Italiens ne devaient couler pour ce genre de raison. Giacomo méritait pourtant sanction et il ne pouvait que se déplacer en personne.
Les choses avaient changé depuis. Lorenzo était devenu parrain de la famille et régnait sans partage. Son fils et sa fille seraient là ce soir, à ses côtés. Même Agnès n'avait échappé à l'obligation. On présentait front uni devant tout le monde.
Les invitations étaient parties depuis plusieurs semaines. Démonstration de force que cette soirée. Derrière le champagne et les petits fours allaient se traiter bien des affaires. L'argent s'échangeraient, l'alcool coulerait à flot. Lorenzo avait appelé dames pour ces messieurs, compagnies pour les âmes en peine. On ne riait pas quand les Medici invitaient et on savait qu'on passerait une soirée inoubliable. L'air mondaine agaçait Lorenzo. Nouveau riche qui affichait sans gène ce que la très haute commençait à mépriser. Qu'ils le fassent, qu'ils l'offrent tous. Lui préférait les opulents cigares aux fines cigarettes.
Il allait de beaux mots et de douces paroles auprès des invités, hote de marque qui ne perdait la moindre occasion pour briller. Lorenzo était ici chez lui et il attendait l'arrivée de son cousin. Se serait fait dans les règles, devant tous. Giacomo baisserait le genou et baiserait la bague. Qu'il le veuille ou non. Plus grands qu'eux reposait sur les épaules de son cousin ce soir. Car Lorenzo n'avait pas manqué de le rappeler : il brulerait la corse toute entière s'il devait le faire et si les Savalli ne se montraient pas plus raisonnable. La famille passait avant tout... sauf peut-être certain commerce.
D'un oeil attentif, Lorenzo observait son fils. L'échange avec Maève, à peine quelque jours plus tôt, lui revenait en tête. Alessandro était collé à sa mère quand Marie offrait un meilleur rôle d'héritière. Pouvait-il agir comme les Le Noir ? Renier le mâle pour la femelle ? l'idée même le révulsa. Alessandro était peut-être le fils de sa mère mais il restait son héritier. La croix entre les seins de Marie et ses beaux sourires pouvaient convaincre. Il refusa d'un bloc avant de se faire servir un nouveau verre de champagne. Agnès lui jeta un regard noir, qui lui fit lever les yeux au ciel. Elle trouvait, encore, qu'il buvait trop.
Si elle avait seulement imaginé.
Il jeta un regard à sa montre. Les invités ponctuels, ceux qui n'avaient l'avance visée aux fesses, arrivaient. Apollon également, jouant pour la belle société des mains touchées par la grâce divine. Et lui devait offrir son plus beau sourire et ses plus joyeux Buongiorno. Que l'accent de son pays retentisse. Le marbre et les statues de l'hôtel particulier en venait.
Car la nouvelle était tombée un bon jour. Giacomo revenait en France. L'odeur de son sang et de son visage en miette appelait toujours le Medici. Il n'aimait pas en venir aux poings, du moins pas avec les membres de sa famille. C'était idiot et les sangs sacrés des Italiens ne devaient couler pour ce genre de raison. Giacomo méritait pourtant sanction et il ne pouvait que se déplacer en personne.
Les choses avaient changé depuis. Lorenzo était devenu parrain de la famille et régnait sans partage. Son fils et sa fille seraient là ce soir, à ses côtés. Même Agnès n'avait échappé à l'obligation. On présentait front uni devant tout le monde.
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Il allait de beaux mots et de douces paroles auprès des invités, hote de marque qui ne perdait la moindre occasion pour briller. Lorenzo était ici chez lui et il attendait l'arrivée de son cousin. Se serait fait dans les règles, devant tous. Giacomo baisserait le genou et baiserait la bague. Qu'il le veuille ou non. Plus grands qu'eux reposait sur les épaules de son cousin ce soir. Car Lorenzo n'avait pas manqué de le rappeler : il brulerait la corse toute entière s'il devait le faire et si les Savalli ne se montraient pas plus raisonnable. La famille passait avant tout... sauf peut-être certain commerce.
D'un oeil attentif, Lorenzo observait son fils. L'échange avec Maève, à peine quelque jours plus tôt, lui revenait en tête. Alessandro était collé à sa mère quand Marie offrait un meilleur rôle d'héritière. Pouvait-il agir comme les Le Noir ? Renier le mâle pour la femelle ? l'idée même le révulsa. Alessandro était peut-être le fils de sa mère mais il restait son héritier. La croix entre les seins de Marie et ses beaux sourires pouvaient convaincre. Il refusa d'un bloc avant de se faire servir un nouveau verre de champagne. Agnès lui jeta un regard noir, qui lui fit lever les yeux au ciel. Elle trouvait, encore, qu'il buvait trop.
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(#) Re: [TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
missive rédigée par Guilhem d'Apcher leTW à maj au besoin
L'artiste est sur un petit nuage, confortable et coloré comme une sucrerie de son enfance, une de celles qu'il prenait le temps de savourer derrière le dos de sa mère, qui fondait doucement dans sa bouche, sur sa langue, rendant tout tellement plus léger et facile et joyeux. Ces sucreries, si précieuses, si couteuses, qu'il partageait jadis secrètement avec Arsène dans une de leurs cachettes en appréciant chaque bouchée comme si elle était la dernière.
La vie, c'est pareil, un délicieux gâteaux, un morceau de steak dont on ne voit pas la fin avant qu’il ne soit trop tard. Ce soir, comme s'il était le dernier, comme si c'était la dernière fois qu'il mettrait un costume de scène -et quel costume ! la courte capeline rouge criarde est brodée de fils dorés et de perles scintillantes, le reste est d’un rouge tout aussi discret que le carmin du rubis de la boucle d’oreille qui pend à son oreille droite, et qui contraste le manque de parure à sa gauche. Ce soir, comme si c’était la dernière fois qu’Apollon Bellemain honorait des chanceux de sa musique... L'artiste est heureux, et un artiste heureux est d'autant plus à même de se voir pousser des ailes.
(Et de tomber de haut.)
Arrivée remarquée mais pile à l’heure, pour celui qui se plaît dans la lumière. La lyre, fidèle, à son côté, et une harpe de toute beauté déjà présente dans la salle de réception, à sa demande. «
Que de beau monde ce soir, mais qu’ils soient Grands ou Petits tous méritaient bien de passer du bon temps… ou à défaut, d’écouter de la bonne musique ! La chance était de leur côté, c’était au dieu de l’art musical qu’on avait confié leur divertissement.
Il sort sa baguette d’un geste fleuri, et lance un sonorus pour jouer quelques notes d’appel sur sa lyre, et gagner (un peu plus) l’attention des convives. Avec un sourire rayonnant, le voilà qui tapote délicatement sa gorge de la pointe de sa baguette, augmentant légèrement sa voix.
«
«
Il attrape une coupe de champagne qui passe près de lui. «
song of moon and sun
song of loss and freedom
anaphore
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(#) Re: [TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
missive rédigée par Auguste Lestrange le16 Octobre 1927 • Hôtel De Medici • Paris
TW • Aucun
Si Crepus avait su ce qu’il comptait faire, Auguste n’aurait probablement jamais mis un pied dehors ce soir-là. Mais ça, Auguste ne l’ignore pas le moins du monde. C’est d’ailleurs pour cela que Crepus croit son fils au Havre à l’heure présente, participant sagement à une réunion des armateurs privés pour échanger sur un projet de réfection d’un quai de cabotage au profit des navires venus d’extrême-orient. En lieu et place, il monte les marches menant à l'hôtel particulier que ces arrivistes de Medici ont acquis sur le Faubourg Saint-Honoré. Une grâce qu’il ne s’agisse pas du vis à vis du leur, d’ailleurs, et que Lorenzo de Medici ne soit pas à l’origine de sa décoration. Le clinquant de la fête suffit déjà bien assez, même s’il n’en dit rien.
Le décompte des marches lui sert d’ailleurs à progressivement entrer dans le rôle qu’il joue pour la soirée, à laisser de côté le tumulte de ses pensées. Auguste Lestrange est un intrus en ces lieux, mais pas Allegra Palladio, la fille de l’un des nombreux partenaires de l’organisation Medici, fiancée à un autre. On ne peut pourtant pas dire qu’Auguste se sente à l’aise dans ce corps qui n’est pas le sien, et avec cette mise aussi encombrante qu’opulente. Ironiquement, le seul détail qui ne change pas, c’est bien d’être au bras d’un autre homme. Ils avancent lentement, présentent leurs invitations devant la porte, et Auguste ne peut que ressentir un frisson glacé d’anxiété lui courir le long du dos, sous le velours, le satin et le parfum guerlain aux notes sucrées et subtiles.
“Anxieuse ?”
Son regard, sensiblement arrondi de surprise, bondit à retardement vers son cavalier, tandis qu’ils pénètrent sous la lueur dorée du hall, peinant à entendre parler de lui au féminin. L’aisance avec laquelle son co-conspirateur évolue le confond, le laissant un instant muet avant qu’il ne parvienne à créer un sourire.
“Oui, extrêmement.”
De l’extérieur, il imagine que cela ne ressemblera qu’aux balbutiements d’une débutante comme les autres. Que son comparse en joue le normalise même, si qui que ce soit est chargé de surveiller les invités. Intérieurement, pourtant, Auguste est loin d’être à l’aise, se sent proprement ridicule à jouer les jeunes femmes tout juste introduite dans le beau monde. Mais il n’a pas le choix. Même si incarner un mâle eut été plus évident pour son amour-propre et ses capacités d’acteur, les hommes seront davantage scrutés que les femmes, ou en tout état de cause, pour des raisons plus intellectuelles, politiques et monétaires. Or, s’il espère pouvoir espionner les transactions de la soirée, ou mieux, trouver des informations sur de précédents crimes, il doit pouvoir aborder ces messieurs quand ils ne sont pas tant sur leurs gardes.
“Rappelle-toi, sourit et si on te demande de commenter une œuvre d’art, dans le doute, répond simplement qu’elle te semble pédante.”
Il va l’étrangler. Auguste sourit, opine, avec autant de bonne volonté et de bonne humeur qu’il a intérieurement envie de le pousser de la balustrade la plus proche. Que Merlin le préserve. Contre tous ses instincts, il eut un rire permissif, l’assura de s’en souvenir, puis avisant le maître et la maîtresse de soirée, resserre son étreinte sur le bras tenant le sien pour obliquer leur route. Il eut été, après tout, fort malheureux de manquer aux convenances en ne saluant pas correctement leurs hôtes. Approchant donc de Lorenzo de Medici et de son épouse - S’il doit révéler sa présence à quelqu’un, ce serait peut-être à elle - Auguste est si prompte à l’inquiétude qu’il manque de s’exprimer avant son cavalier, attitude fort peu seyante.
Rattrapé au dernier moment, cette faute morte-née le fait un instant se sermonner, dans le confort de son esprit.
“Monsieur De Medici, Madame De Medici.”
On ne peut prétendre que son comparse n’a pas de belles manières, saluant le patriarche, baise-main pour l’épouse, avant de l’introduire à lui, enfin… elle. Il n’en entendra pas la fin si Aurelius apprend ça.
“Puis-je vous présenter ma fiancée ? Mademoiselle Allegra Palladio.”
Auguste sourit, l’inquiétude habilement tournée en timidité, ou du moins est-ce ce qu’il espère. Son regard s’attarde légèrement sur Lorenzo. Tous deux ne se sont guère trouvés si proches auparavant, et certainement pas depuis des années, et Auguste est curieux. Curieux de savoir à quoi ressemble l’homme qui a peut-être ordonné la mort de son frère, qui menace sa famille, qui le tuerait si l’occasion lui est laissée. Cet homme… Il ne le verra sans doute jamais de si près à l’avenir, si ce n’est dans une empoignade à mort. Son regard s’attarde encore, un instant, jusqu’à ce qu’il chasse la pensée. En vérité, cela lui donne une nouvelle motivation. Il veut absolument que ce risque pris soit fructueux d’une façon ou d’une autre, et s’il se sent ridicule, il va pourtant jouer le jeu.
“C’est un plaisir de vous rencontrer, nous vous sommes très reconnaissants de cette invitation” fait-il d’une voix cristalline qui le surprend toujours un peu. La potion est chère, mais merveilleusement efficace.
Bien entendu, l’entrevue est courte, mais la soirée, elle, ne fait que commencer. Une fois les présents remis, et la parade de courtoisie achevée, Auguste et son cavalier s’éloigne, permettant au Lestrange de respirer davantage. Son répit lui vient notamment sous la forme d’Apollon Bellemain, dont le discours le navre au moins autant qu’il l’amuse, et Auguste décide d’ajouter à son personnage une bonne dose d’admiration pour le bellâtre grandiloquent sur scène, comme tant d’autres jeunes filles. Il prend donc un verre de champagne de ses doigts gantés, l’élève comme tant d’autres pour un toast qui eut dû lui avilir la langue. Au moins est-il certain d’avoir une distraction toute trouvée s’il en a besoin.
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(#) Re: [TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
missive rédigée par Neith Shafiq leTW aucun pour l'instant
Elle avait longtemps hésité avant de demander à Maeve si elle comptait se rendre à ce bal. Ce n’était pas tant qu’elle rechignait à aller à un bal. Il y aurait de la musique, elle serait en bonne compagnie avec Maeve et elle danserait sûrement. C’était surtout chez qui ce bal avec lui. Les De Medici étaient connus pour leurs mondanités autant que leur faste. Pourtant, Neith n’y avait jamais mis les pieds par égard au nom qu’elle eût porté. Ce L qui semblait si ennemi au M. Maintenant qu’elle en était dépourvue par le décès de son mari et les closes de son contrat de mariage établi dix-sept ans auparavant, elle avait eu le choix. Pourtant, sa loyauté était demeurée auprès des Lestrange et elle le savait, le demeurerait toujours. Les arguments avancés par Tarek cependant avaient fait sens. Les De Medici, Lorenzo notamment, étaient des alliés politiques de taille. Ce fait, Neith ne pouvait le nier et elle savait que si on trouvait à redire, elle aurait là un argument de taille.
Mais les choses n’avaient pas été aussi simple.
Déjà parce qu’elle savait que deux jours plus tôt, l’italien qui était invité à son bureau pour acquérir une antiquité, avait proposé un dîner qui aurait lieu dans deux jours après le bal. Neith ne se faisait pas trop d’illusions de ce qu’Agnès de Medici en penserait si elle était au courant. Parce que la réputation sulfureuse de Lorenzo n’était un secret personne, et certainement pas pour Neith qui en jouait dernièrement. La constatation était pourtant évidente : elle n’avait rien à se reprocher et quand bien même, elle n’était pas celle qui était mariée. Elle ne l’était plus.
Ce qui l’amenait, alors qu’elle réajustait légèrement le tissu de sa robe aux motifs arabes et aux tissus venant d’Égypte, à l’autre point, celui qui l’avait fait douter encore plus. La mort d’Alaric, les secrets et l’incompréhension qui l’entouraient. Si depuis son entretien pour son anniversaire avec Auguste, Neith avait mené avec une certaine lenteur ses recherches sur les carnet de son défunt et tendre époux, elle ne s’était pas enlevée de la tête les hypothèses abordées par son beau-frère. Le nom de Medici était associé à un gros point d’interrogation. Neith avait alors ressenti le besoin de tenter quelque chose, une recherche même au sein d’une soirée où tout ne serait que faux semblant et commérages. Mais s’il y avait une chose qu’elle avait appris lorsqu’elle fut vicomtesse par mariage aux côtés d’Alaric Lestrange était bien que les commérages étaient quelque chose dont elle ne pouvait passer à côté et qui avaient toujours un fond de vérité.
Pourtant, la perspective d’y aller seule l’avait tout de suite moins enchantée. Neith avait donc demandé à Maeve si elles pouvaient y aller ensemble, heureuse d’être avec son amie d’enfance et se sentant un peu plus le courage d’affronter cette soirée en sa présence.
Ses doigts se refermaient finalement sur le bras de son amie d’enfance à qui elle adressa un sourire en coin. Elle ne savait pas réellement à quoi elle s’était attendue sur les lieux mais elle devait reconnaître, non sans un soupire qu’elle aurait très bien pu partir de chez les Lestrange qu’elle aurait été à côté du lieu. Elle se demandait sincèrement si les oreilles du Médici ne devaient parfois pas siffler au point d’en avoir des acouphènes.
Lorsque leur tour arriva pour présenter leurs hommages au couple Medici, Neith se tourna immédiatement vers Agnès qu’elle salua avec courtoisie et politesse quelque peu froide. Si elle connaissait peu la dame, elle ne pouvait s’empêcher d’éprouver un peu de peine pour elle en connaissant toutes les rumeurs qui entouraient cette femme et surtout les conquêtes de son mari. Elle n’en laissa rien paraitre néanmoins et se contente de s’acquitter de son rôle d’invité. Puis, elle se tourna vers Lorenzo qu’elle a vu deux jours auparavant. Un sourire aussi poli et commercial qu’elle a adressé à Agnès et qu’il avait l’habitude de lui voir lors de leurs entrevues se dessina sur ses lèvres.
« Monsieur De Medici. »
Sobre, mais suffisant. Elle laisse Maeve faire ce qu’elle a à faire comme hommage puisqu’elle connait mieux la famille qu’elle avant de s’écarter et d’attendre qu’elle revienne à elle. Se déplaçant finalement en compagnie de Maeve, Neith entendit les premières paroles d’une voix qu’elle crut reconnaître mais ne regarda pas immédiatement dans sa direction.
Cependant, elle glissa à Maeve :
« Il a un sacré melon celui-là… » Son regard se releva alors et fut dépitée de reconnaître Guilhem. C’était donc lui Apollon Bellemain dont les midinettes à côté d’elles semblaient boire les paroles ?
Évidemment…, pensa-t-elle.
Neith réprima un fou rire nerveux et se contenta de conclure par un : « J’ai soif. » avant de regarder autour d’elle pour voir si elle pouvait attraper une flûte de champagne au passage.
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Etat Civil : Epoux d'Agnès de Medici, amant de Neith Shafiq,libertin convaincu, infidélité constante en écharpe
Occupation : Parrain de la famiglia medici, Directeur d'entreprise
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(#) Re: [TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
missive rédigée par Lorenzo de Medici lele retour du fils prodige
Topic commun
Thème | Les invités sont haut en couleur. Surtout Apollon, dont Lorenzo apprécie plus que de raison la présence. Agnès ne voulait pas qu'il l'invite, toute à fait consciente des nombreuses soirées qu'ils ont partagé. Mais Agnes n'avait pas son mot à dire, surtout lorsque cela concernait la famiglia. Apollon ferait une belle diversion pendant que les cousins échangeraient. On ne pouvait imaginer réception sans ta présence mon cher ami. offre le Medici comme un présent avant de laisser son invité se hisser sur l'estrade et offrir son plus grand discours. C'est un verre qu'il lève à son encontre, appréciant le discours tout en accueillant de nouveaux invités. Il n'a rien à faire ici que siffle la voix d'Agnès à son oreille. Mais Lorenzo ne l'écoute pas. Il ne l'écoute plus depuis le temps. Pensivement, ses doigts se glissent sur son alliance. Les jours lui sont comptés, sans même qu'elle ne puisse s'en douter.
Le toast est porté, rendu et continue la valse des invités. Couple de galant qui s'approche. Lui est un homme de main et le sang sale sur ses billets semble lui avoir offert belle fiancée. Car mademoiselle est charmante, bien qu'agrippée au bras de son futur. Jeune première, certainement nouveauté de la sortie au monde. Autrefois, elle était avec son père. Voilà que c'est avec son futur époux qu'elle parade désormais. Lorenzo offre une oeillade amusée à la jeune femme, relève le visage au baise main. Ses yeux se plongent dans ceux de la jeune femme. Belle et amusante. Ne manque qu'un peu plus de rose à ses joues. Oie blanche, facilement impressionnable. Pour plus tard que soupire ses iris. De toute manière, ici il est roi. Et si droit de cuissage il veut, personne ne refuserait. Pas devant Agnès toutefois. Car sa femme commence déjà à serrer les dents. Sa machoire contractée est plus qu'un signe. Elle sait tout ce qui se murmure dans les ombres. Il ne lui fera pas l'affront de la tromper en public. Je suis heureuse de vous savoir bientôt marié Paul. Vous avez su trouver une bien ravissante compagne. Agnès parle pour eux. Lorenzo se conforte d'un simple sourire et d'un signe de tête. Pas assez proche pour que le parrain n'offre tout ce qui lui passe par la tête.
Puis vient la beauté, celle qui partage son secret au moins pour la nuit. Demain, ou après demain, ils se retrouveront dans le secret de sa Provence. Agenda marqué d'une obligation professionnelle le soir même. La bague, qu'il a acheté il y a peu, repose dans un des grands salons de l'étage, protégée par mille sortilège avant d'être offerte. Il aurait aimé qu'un De Valoys se déplace ce soir. Les rois ont reçu la missive. Ne daigneront certainement pas y répondre. Mais Neith n'est pas seule. C'est au bras de Maeve qu'elle apparait et le visage d'Agnès se tord. Sa femme est une politicienne pourtant sa haine pour les Le Noir grince un peu, juste au creux des lèvres. Il la connait assez bien pour voir le visage se tendre. Le sien s'illumine.
Ma chère cousine ! s'exclame le Medici, posant une bise sur les joues de la Le Noir. Et Madame Shafiq. Vous ravissez aux étoiles leurs beautés ce soir mesdames. Il sourit Lorenzo, il sourit immensément quand Agnes se tord d'un Bonsoir glacial. Elle n'aime pas Maeve. Et Neith, accompagnée de la cousine, et bien trop belle pour être innocemment invitée. J'espère que le spectacle vous plaira, confie-t-il, offrant Apollon du regard. Car le véritable spectacle se déroulera plus loin. Et Apollon à le chic pour attirer les regards quand se consume le reste dans l'ombre.
Le toast est porté, rendu et continue la valse des invités. Couple de galant qui s'approche. Lui est un homme de main et le sang sale sur ses billets semble lui avoir offert belle fiancée. Car mademoiselle est charmante, bien qu'agrippée au bras de son futur. Jeune première, certainement nouveauté de la sortie au monde. Autrefois, elle était avec son père. Voilà que c'est avec son futur époux qu'elle parade désormais. Lorenzo offre une oeillade amusée à la jeune femme, relève le visage au baise main. Ses yeux se plongent dans ceux de la jeune femme. Belle et amusante. Ne manque qu'un peu plus de rose à ses joues. Oie blanche, facilement impressionnable. Pour plus tard que soupire ses iris. De toute manière, ici il est roi. Et si droit de cuissage il veut, personne ne refuserait. Pas devant Agnès toutefois. Car sa femme commence déjà à serrer les dents. Sa machoire contractée est plus qu'un signe. Elle sait tout ce qui se murmure dans les ombres. Il ne lui fera pas l'affront de la tromper en public. Je suis heureuse de vous savoir bientôt marié Paul. Vous avez su trouver une bien ravissante compagne. Agnès parle pour eux. Lorenzo se conforte d'un simple sourire et d'un signe de tête. Pas assez proche pour que le parrain n'offre tout ce qui lui passe par la tête.
Puis vient la beauté, celle qui partage son secret au moins pour la nuit. Demain, ou après demain, ils se retrouveront dans le secret de sa Provence. Agenda marqué d'une obligation professionnelle le soir même. La bague, qu'il a acheté il y a peu, repose dans un des grands salons de l'étage, protégée par mille sortilège avant d'être offerte. Il aurait aimé qu'un De Valoys se déplace ce soir. Les rois ont reçu la missive. Ne daigneront certainement pas y répondre. Mais Neith n'est pas seule. C'est au bras de Maeve qu'elle apparait et le visage d'Agnès se tord. Sa femme est une politicienne pourtant sa haine pour les Le Noir grince un peu, juste au creux des lèvres. Il la connait assez bien pour voir le visage se tendre. Le sien s'illumine.
Ma chère cousine ! s'exclame le Medici, posant une bise sur les joues de la Le Noir. Et Madame Shafiq. Vous ravissez aux étoiles leurs beautés ce soir mesdames. Il sourit Lorenzo, il sourit immensément quand Agnes se tord d'un Bonsoir glacial. Elle n'aime pas Maeve. Et Neith, accompagnée de la cousine, et bien trop belle pour être innocemment invitée. J'espère que le spectacle vous plaira, confie-t-il, offrant Apollon du regard. Car le véritable spectacle se déroulera plus loin. Et Apollon à le chic pour attirer les regards quand se consume le reste dans l'ombre.
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(#) Re: [TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
missive rédigée par Maeve Le Noir le16 Octobre 1927 • Hotel de Medici • Paris
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Si elle sera là pour le grand retour de Giacomo ? Bien entendu ! La famille est sacrée n’est-il pas ? Surtout lorsqu’il s’agit de voir le loup déguisé en agneau rentrer dans le rang après sa mise au vert. Néanmoins, n’ayant pas de galant pour l’occasion, Maeve n’a pas hésité à proposer que Neith et elle se présentent ensemble à l'événement. Sur place, les mâles ne manqueraient pas si l’une d’elles désiraient une sucrerie de plus, bien que ce ne fut pas là l’objectif qu’elle s’est fixé pour la soirée.
Un peu en avance, juste ce qu’il faut, elles entrent bras dessus bras dessous après avoir présenté leurs invitations, se dirigent naturellement vers son cousin et sa femme. La bécasse ne cache qu’à peine sa dépréciation et comment l’en blâmer ? Comme à son habitude, Maeve fait sensation, et dans les thèmes haut en couleurs et en dramatique des italiens, elle est venue coiffée comme une reine guerrière, diadème de bronze rejetant en arrière sa crinière noire lustrée, coiffe surmontée de cornes de cerf incrustées d’onyx et d’or, et baguées de runes celtes. Sa longue robe au brun pourpre et aux voiles noirs frémit comme les roulis d’une nuit automnale lorsqu’elle s’arrête près de son cousin et l’enlace, venant l’embrasser sur les deux joues.
“Lorenzaccio ! Je suis transportée de te voir, comme à chaque fois !”
Elle s’écarte légèrement, laissant à Lorenzo l’occasion de discuter avec Neith.
“Oh… Bonsoir Agnès, je ne vous avais pas vu.”
Bien vite détournée, alors que Guilhem d’Apcher prend la parole, lui arrachant un sourire fort amusé. Alors qu’elle avance en compagnie de son amie, elle glisse à Lorenzo.
“Appelle-moi quand il sera là, hm ?”
Giacomo prend son temps, mais sans doute est-ce la même fébrilité que celle d’une jeune mariée la première nuit de son union ? Les vœux de la famille ne sont pas moins sacrés, en fin de compte, surtout aux yeux de son cousin, qui a déjà prouvé savoir faire marcher au pas ses ouailles. Pour l’heure, donc, elle s’éloigne du couple Medici, s’intéresse à monsieur Bellemain et ne peut s’empêcher de ricaner au commentaire de Neith. Son regard glissa de l’égyptienne vers les jeunes femmes sur le devant de la scène, qui soupirent après l’artiste.
“Et bien on dirait que certaines personnes ne rechigneraient pas à vérifier s’il a réellement de belles mains, à défaut d’humilité.”
L’entournure de ses lèvres tiqua sur une mimique taquine.
“Enfin, il a sa popularité, j’imagine qu’on peut bien la lui laisser, il paraît qu’il la mérite. Vous vous êtes revus, depuis le temps ?”
Elle se souvient de leur romance, et de l’air de chiot battu de Guilhem lorsque Neith a décidé de le renvoyer. Elle se souvient avoir offert du réconfort au jeune homme, sans pour autant jamais réfuter les décisions de sa meilleure amie. Mais elle est sans aucun doute une curieuse créature et à ce titre, elle aime les potins. Ou en sont-ils tous les deux ? On ne peut pas dire que la soirée manque de piquant et elle vient tout juste de commencer, autant dire que cela promet pour la suite. D’ici la fin de la nuit, ils auront peut-être droit à quelque dramaturgie épique digne des plus grandes épopées ? La France manque cruellement de sa guerre de Troie après tout, alors qu’il y a tant de matériel parfaitement mûr pour l’usage.
“Soif ? Oh !”
Avec un grand sourire, elle attrape le plateau d’un serveur, et le présente à sa meilleure amie.
“Fais ton choix Bella !”
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(#) Re: [TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
missive rédigée par Giacomo de Medici leMi-octobre 1927 - Sujet commun
But I'm just getting started
Immobile face à son miroir, Giacomo inspecte chaque petit détail. Vérifie une énième fois que le pendentif de rubis à son oreille tombe de la plus flatteuse des manières. Anxieux ? Pas vraiment. Peut-être un peu. Il prend une grande inspiration, retrouve de l'assurance dans son propre reflet. S'inquiéter ne lui ressemble pas, surtout pas avant une soirée en son honneur. Car ce soir, on célèbre son retour dans le giron de la famille Medici. Ce soir, il doit prêter allégeance à Lorenzo, lui assurer par sa soumission que son temps parmi les Savelli est bel et bien révolu. Lorenzo. La dernière fois que ses yeux se sont portés sur son cousin, c'était depuis le sol, la vision rendue floue par son œil au beurre noir, par le sang qui coulait dans ses cils. Il peut encore sentir le choc de ses phalanges contre ses pommettes, la douleur dans sa mâchoire, le goût du sang sur sa langue. Une étincelle de haine brûle dans sa poitrine à ce simple souvenir, aussi frais dans sa mémoire que si la scène avait eu lieu la veille. Mais l'heure n'est pas à l'amertume. Abandonnant enfin son miroir, Giacomo se saisit de son manteau, quitte l'appartement parisien dans lequel il a établi ses quartiers. Une possession de ses parents, qui n'a jamais su exprimer son potentiel - en dehors de quelques soirées mémorables à l'époque où il travaillait encore au Ministère. N'ayant aucune envie de parcourir à pied la capitale parisienne, il disparaît à peine le seuil passé, pour réapparaître à quelques mètres de l'hôtel particulier de son cousin.
Le brouhaha des sorciers se pressant à l'entrée se fait entendre de loin. La belle société est de sortie - les Medici savent organiser une fête, chacun sait ça. Tandis qu'il approche de l'hôtel particulier, Giacomo se mêle à la foule avec autant d'aisance que de plaisir. Le faste des soirées parisiennes lui a cruellement manqué - dix ans, dix ans à se contenter de si peu ... Mais l'heure n'est pas à l'amertume. La soirée est supposée être en son honneur, qu'importe que la chaleur ne soit que de façade, que le faste ne serve que de vernis sur les rancœurs d'hier. Giacomo a toujours aimé faire la fête, et ce soir ne fera pas exception à la règle - il sera aussi éblouissant qu'il sait l'être, aussi étincelant que la gemme qu'il compte offrir à Lorenzo en gage de bonne foi. Pas en avance, mais pas trop en retard non plus, l'italien passe le seuil sans accorder un regard aux cerbères qui le gardent, ses sens déjà bien occupés par le froufroutement des robes, les effluves de parfum, les commentaires excités murmurés de part et d'autre. Il détaille les visages, pense reconnaître certains traits, gagnés par les rides ou la maturité dans la vie qui s'est écoulée sans lui. Par exemple, ne serait-ce pas Maeve Le Noir qui salue son cousin, non loin ? Difficile de la louper, avec les bois de cerf qui ornent sa chevelure. Mais Giacomo ne parvient pas à la suivre du regard bien longtemps, trop absorbé par Lorenzo, tout en suffisance et aplomb, présidant à la soirée tel un De Valoys sur sa cour. Bene, que commence la danse.
« Cugino mio ! » s'annonce-t-il avec son sourire le plus éclatant. La démarche est confiante quand il s'approche, avant de se fendre d'une accolade chaleureuse, typiquement italienne. Lorsque ses bras se détachent de Lorenzo, il recule d'un pas pour embrasser du regard sa petite famille. Sa femme respire la haine à des kilomètres à la ronde - mais en serait-il possible autrement ? La Méditerranée elle-même n'a pu empêcher les rumeurs de lui parvenir. Giacomo lui adresse une courbette polie - obséquieuse même. Quant à ses deux enfants, il ne leur trouve rien d'extraordinaire. Cette famille méritait-elle vraiment tant de colère protectrice, dix ans auparavant ? « Personne n'organise une soirée aussi bien qu'un Medici. Il est agréable de voir que les choses n'ont pas changé » commente-t-il, appréciateur. Il attrape un verre de champagne sur un plateau passant à proximité, le lève en l'honneur de son hôte, avant de laisser la place aux invités suivants. Les choses sérieuses commenceront bien assez tôt. Il se laisse porter par la foule, qui se rassemble autour du divertissement musical de la soirée et auquel il n'avait prêté qu'une attention distraite jusque là. Les notes lui paraissent vaguement familières, mais c'est lorsqu'il lève les yeux que Giacomo réalise. Apollon. Impossible. La façade rayonnante qu'il affichait disparaît en un instant. L'italien se fige, silhouette immobile dans l'assistance mouvante, mâchoires crispées et iris aussi sombres qu'un ciel d'orage. L'heure n'est pas à l'amertume ... Vraiment ? Ses doigts se serrent si convulsivement sur sa flûte que le verre finit par céder sous sa poigne avec un claquement cristallin. Les visages étonnés qui se retournent sur lui le sortent de sa transe, et Giacomo parvient à esquisser un sourire embarrassé, avant de tourner vivement les talons pour s'éloigner de l'artiste, de ce visage qui a hanté ses rêves, de cette voix qu'il croyait ne plus jamais entendre. Et s'il bouscule au passage un jeune couple d'amoureux, murmurer une excuse est au-dessus de ses forces.
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(#) Re: [TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
missive rédigée par Guilhem d'Apcher leTW peur ; à maj au besoin
Tore my shirt to stop you bleedin'
But nothin' ever stops you leavin'
And I'll call you when the party's over
Tant qu’il captive la foule, tant qu’il vie dans l’instant présent, Guilhem est heureux. Il apprécie le verre levé de Lorenzo d’un signe de tête, se surprend à laisser le silence s’éterniser entre deux phrases d’accroche lorsqu’il voit apparaître la couronne de bois de cerfs scintillants, tel un honneur aux dieux païens que certaines vieilles familles sorcières vénèrent encore… Il ne manque plus qu’un croissant de lune sur son front, et Maeve serait l’incarnation d’Artemis. Il est quelque peu agacé, qu’elle vole ainsi sa vedette, la prochaine fois il serait tout d’or vêtu ! Mais il admire son bon goût, c’est certain, l’ensorceleuse mérite l’attention qu’elle reçoit.
Il fait couler le champagne en une seule traite, son petit discours lui avait donné soif, c’est qu’il boit toujours beaucoup lorsqu’il est sur scène, même si généralement plutôt de l’eau… S’amuser c’est bien, mais jouer juste c’est mieux !
Il se penche et tend sa coupe vide, avec un clin d’œil, à une admiratrice qui n’est que trop heureuse de prendre le présent qu’il lui offre. «
Il se redresse et réduit le sonorus d’un murmure, ce n’était pas un simple concert, il est là pour que l’ambiance soit bonne mais que les convives s’entendent tout de même parler. Pas vraiment son genre de soirée favorite, mais il pouvait bien faire ça, pour Lorenzo, et aussi Camille. Il n’était pas si ingrat, après tout ! Et tant qu’il peut jouer, se faire entendre, qu’importe le lien et les circonstances, il s’en satisfera.
Il sautille presque sur place, alors que ses doigts commencent à danser sur les cordes de sa lyre, naissance d’une première mélodie, obséquieuse mais légère, une belle musique de cour de lumières et joyaux. La foule commence à grandir alors que les invités continuent de s’engouffrer dans le faste de l’hôtel, et il lui est facile d’imaginer qu’ils sont tous là pour lui. Juste pour lui.
L’artiste joue avec aisance et vivacité, transmettant au travers de son art ses émotions, une ode à la vie et à la joie, une ode à…
…Tous les poils de son corps se hérissent, et il est parcourut d’un frisson glacial. Danger. Il tourne la tête, si vite, dans la direction indiquée par son instinct semi-lupin, tous ses sens en alerte…
…Non.
Il est aussitôt happé par un regard qu’il connaît bien, trop bien, et qu’en même temps il ne connaît pas du tout. Océan glacial et infini dans lequel il se perd, alors que le reste du monde cesse d’exister. Soudain, il n’y a plus que lui, lui, impossible. Alors qu’il pensait l’avoir oublié le temps d’une soirée, il apparaît sous ses yeux écarquillés, vision grotesque car, Giacomo Savelli est en Corse, loin, loin de lui. A jamais hors de portée.
Le sourire se fige, les articulations se crispent, et s’il ne cesse de jouer la délicatesse est perdue, les notes deviennent souffrance alors qu’il ne peut détourner son regard… Les sons reviennent soudain, au fracas du verre qui se brise, révélant que l’illusion n’en est pas une puisque d’autres se tournent vers le spectre, avides de ragots et de surprise.
Gianny !!! Qu’il crie intérieurement alors que les mots lui manquent, retient un mouvement vers l'avant... alors que la brusque crispation de ses doigts provoque une catastrophe de plus. La corde fouette ses doigts en se brisant, rompant la comme transe dans laquelle il était emprisonné. Le bruit, sourd à la vibration continue résonne dans l’air-chagrin. Pâle comme un linge, Guilhem n’a plus que ses mains pour trembler et que le dos de Giacomo pour pleurer.
Par la lune, par la lune… Le brouhaha du public crée une cacophonie désagréable, et c’est comme une marionnette qu’il laisse tomber la lyre (car il la sait accrochée) et recule jusqu’à la grande harpe salvatrice.
«
Où est la sortie déjà ?!!!
Incapable de penser, incapable de jouer mais bien obligé, le voilà qui reprend avec une mélodie bien différente de celle qui avait été brisée si honteusement. C’est plus fort que lui, voilà qu’une musique qui n’avait encore jamais été jouée en public vient caresser les oreilles des spectateurs, une qu’il avait écrite pour lui, pour eux.
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-son d'une corde de harpe qui se casse (comme c'est avec la lyre j'imagine ça un peu moins fort)
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- · 2, 4, 6 la corde rompt
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(#) Re: [TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
missive rédigée par Neith Shafiq leTW aucun pour l'instant
Elle se demande un court instant si le bonsoir glacial d’Agnès aurait été différent si Neith s’était présentée sans Maeve. En ce qui la concernait néanmoins, l’égyptienne était bien contente de venir accompagnée de sa meilleure amie. Sans doute que le compliment de Lorenzo n’aida pas l’épouse à se détendre. Une fois seule avec sa meilleure amie, le regard posé sur un Guilhem qu’elle ne s’attendait vraiment pas à voir ce soir, surtout pas sous le nom d’Apollon Bellemain (qui lui a donné cette idée ?), Neith a un sourire en coin à la blague sur de la bretonne.
« On pourrait faire des jeux de mots infinis avec ce pseudonyme. » répondit-elle, chipie et un brin moqueuse.
Son sourire se tarit un peu à la question qui lui est posée.
« Oui, sentant que Maeve était à la recherche de quelques potins, Neith ne pouvait s’empêcher, avec amour, de jouer un peu avec sa curiosité. Lors d’occasions comme celles-ci. » C’est-à-dire jamais en tête à tête, toujours avec du monde et en utilisant les usages de politesse froids et distants. Neith n’avait jamais souhaité passer l’étape suivante pour plein de raisons. Des raisons que Maeve connaissait et d’autres, la plus importante de toute sans doute, qu’elle ignorait.
Bien contente néanmoins d’attirer l’attention de Maeve sur autre chose qu’une relation vieille de vingt ans, Neith s’amusa de la voir carrément dérober un plateau.
« Tant de choix. » la taquina-t-elle avant de se saisir d’une flûte de champagne. « Merci. » ponctua-t-elle avec un clin d’œil complice.
Regardant autour d’elle, elle finit par attirer l’attention de sa meilleure amie sur le nouvel arrivant.
« Je crois que ton cousin est arrivé, oukhti*. »
Ce fut à cet instant que son oreille capta les faux accords de la harpe de Guilhem. Un sourcil levé, la femme posa son regard sur ce dernier avant de constater que quelque chose n’allait définitivement pas à voir la peur qu’elle semblait soudain lire sur son visage. Fronçant les sourcils, Neith essaie de suivre son regard mais s’arrête lorsqu’elle entend comme bon nombre de personnes la corde se rompre. Elle a suffisamment entendu ce bruit de Yamanu dont la spécialité était aussi de jouer des instruments à corde pour savoir qu’il faudrait remplacer cette victime d’une peur inconnue.
Ce fut finalement un mouvement dans la foule qui attira son attention et quelques exclamations surprises. Cette fois, c’est Giacomo qu’elle voit et qui bouscule non loin de Maeve et elle un couple fort charmant. Elle n’essaie pas de faire de lien même si son cerveau travaille en fond. Cependant, Neith lève sa flûte à ses lèvres et murmure à Maeve avec humour :
« Je suis presque déçue d’avoir raté ces soirées et les potentiels dramatiques qui en découlent en quinze ans de mariage… »
La soirée ne faisait que commencer et il y avait déjà un instrument à corde endommagé, une flûte brisée et un couple bousculé. Elle ne pouvait qu’en rire, peste qu’elle pouvait être parfois pendant ce genre de mondanité, bien que Maeve eût l’habitude.
« Veux-tu aller voir ton cousin ? Il semble… pressé. » Paniqué serait plus exact mais elle préférait ne pas le faire remarquer. Et puis, elle préférait aller saluer le cousin Medici, plutôt que de donner l'impression qu'elle s'inquiétait pour Guilhem, ce qu’elle faisait en fond dans sa tête.
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(#) Re: [TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
missive rédigée par Maeve Le Noir le16 Octobre 1927 • Hotel de Medici • Paris
TW • Aucun
Sans aucun doute, les jeux de mots et sous-entendus douteux peuvent devenir un sport isthmique avec un pseudonyme comme Apollon Bellemain mais au moins est-ce raccord avec la divinité dont on emprunte le nom, dont les amants et amantes finissent presque tous par rencontrer un destin absolument tragique et souvent absolument évitable. A n’en pas douter, la présence de l’artiste sera gage de divertissement pour la soirée ! Néanmoins, il semble que l’idée de revoir cet ancien prétendant flétrit l’humeur de Neith plus que le gel constant dont Agnès pare son monde ce soir-là. Maeve lui décoche une expression curieuse, ne pouvant croire qu’elle se laisserait abattre par un mâle quelconque, mais Neith la surprend en avouant l’avoir revu, uniquement pour se rire d’elle un instant plus tard.
“Eh bien, voilà qu’un instant tu m’y a fait croire. Ne juge pas nécessaire de gaspiller ton souffle pour si peu voyons !”
Elles ont une fête à piller après tout ! Comme ces flûtes d’excellent champagne Ruinart, ou mieux encore, les surprises que ce cher Lorenzo aura certainement prévues pour distraire cet assortiment de paons et de prédateurs enfermés soudainement dans un si étroit vivier.
“A ton service ! Cela dit je pense que si nous voulons le meilleur il faudra aller directement le chercher en cuisine. Mais… pas tout de suite.”
Avant cela, elle espère danser, saluer le who’s who d’intérêt et surtout prendre la température des affaires à faire ce soir, car en vérité, ils sont là pour ça. Une autre obligation se dessine pourtant, quand Neith lui indique que Gianny est arrivé. Enfin ! C’est qu’il se ferait presque désirer ! Complètement sourde à la profonde souffrance de l’instrument de musique sur scène, elle ne rate en revanche pas un instant le carambolage provoqué par Gianny, lèvres purpurines s’ourlant d’un divertissement lupin. En raison de la scène, ou en raison de l’ironie des affirmations de Neith, elle-même n’eut pas su dire. Sans doute un peu des deux. Elle prit sa propre flûte avant de déposer le plateau entre les mains d’un autre serveur, prit un gorge, et glissa tout bas.
“Quelque chose me dit que tu vas pouvoir te rattraper.”
Elle sera sans aucun doute invitée à plus d’une reprise. Mais sans plus lui répondre, ses pas l'amènent directement auprès de Gianny, suffisamment proche pour ne pouvoir s’esquiver si aisément. Elle glisse un bras au sien, lui offre un éblouissant sourire qui vient même faire briller ses yeux.
“Ça alors ! Giacomo !” fit-elle, suffisamment fort pour être parfaitement entendue des spectateurs directs de la scène. “Si pressé de me voir que tu ne regardes plus où tu mets les pieds ! Toi aussi tu m’as manqué !”
Et elle vient lui faire la bise, salutation bien française, parfois si étrange pour le reste du monde. Ce n’est qu’en s’écartant qu’elle semble enfin remarquer le sort de la flûte et éclate de rire. En en prenant les restes, déposés sur un plateau, elle lui tourne la paume pour vérifier qu’il n’est pas blessé.
“Mon cousin a raison, ce champagne est délicieux mais il ne vaut pas le secret de certaines des productions familiales dont Lorenzo a le secret. Peut-être pourriez-vous persuader l’excellent Apollon Bellemain d’envoûter le maître de maison d’une de ses compositions ? Il sera peut-être persuadé d’en ouvrir quelques-unes !”
Reculant légèrement, elle fit un geste vers Neith.
“Et pendant ce temps, pourquoi ne pas me laisser te présenter notre divine invitée ?”
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(#) Re: [TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
missive rédigée par Giacomo de Medici leMi-octobre 1927 - Sujet commun
But I'm just getting started
La note criarde de la corde qui se brise fait écho au tintement désagréable de son verre brisé. Giacomo aimerait trouver dans ce bruit une quelconque satisfaction, mais il n'y parvient même pas. Il s'attendait à devoir nager au milieu des requins, pas à se débattre avec de douloureux souvenirs venus s'agiter sous son nez, dans cette soirée supposée être sienne. La voix d'Apollon s'élève, atrocement familière, balbutiant des excuses qui ne lui sont pas destinées - mais quelles excuses pourraient suffire, après l'avoir abandonné sans crier garde, après avoir tant pris pour ne rien laisser en souvenir ? Les notes qui suivent la voix ne sont qu'une farce cruelle de plus, mélodie qui avait bercé leurs instants les plus intimes. Les poings de Giacomo se serrent brutalement, et c'est la morsure d'un éclat de verre dans sa paume qui le rappelle à l'ordre. Le froid de la flûte brisée contraste avec la chaleur du sang perlant entre ses doigts. Il se raccroche à ces sensations pour rassembler ses pensées, empêcher sa paranoïa de flamber. Lorenzo ne peut pas connaître ses errances passées ... n'est-ce pas ? Il n'aurait tout de même pas invité Apollon juste pour le plaisir de le déstabiliser ? Non. Non, ce serait lui accorder trop de crédit. Fraîcheur du verre. Chaleur du sang. Giacomo reprend ses esprits, calme son souffle affolé. Juste à temps pour s'entendre hélé par une voix féminine et vaguement familière. Il tourne un visage encore sombre vers Maeve Le Noir, qui n'a pas perdu un instant pour nouer un bras au sien.
« Maeve, cousine, quel plaisir de te voir ! Sans aucun doute est-ce ta prestance qui m'a déstabilisé. Tu es en beauté, ce soir » minaude-t-il, quoique la reconnaissance qui éclaire son sourire forcé se charge de remercier sa cousine pour la diversion. Cousine qui n'en a que le nom, elle qui n'a pas la moindre goutte de sang en commun avec lui. Docile, il se laisse embrasser, lui abandonne le cadavre de la flûte, déplie sa main pour constater avec elle les dégâts. La coupure n'est que superficielle, une broutille qui sera oubliée avant que les dernières notes tirées de la harpe aient fini de résonner. Et puisqu'on parle de la harpe ... Giacomo tente de garder bonne figure, mais ne peut empêcher son visage de s'assombrir de nouveau lorsque le sujet du musicien revient sur le devant de la scène. Pas longtemps, cependant. Juste le temps de se rappeler que ces mondanités sont une danse au cours de laquelle il ne peut se permettre de trébucher. « Si les envoûtements de cet Apollon sont du niveau de sa musique ce soir, je crains que les bouteilles ne restent cachées encore un long moment » rebondit-il ainsi, tel l'habile escrimeur évitant une feinte particulièrement sournoise.
Il se saisit d'une flûte intacte sur un plateau passant à proximité, la lève en l'honneur de Maeve comme il l'a fait pour Lorenzo. « Il faudra nous contenter de ce champagne, pour l'instant. » L'italien prend une gorgée mesurée - malgré son envie dévorante de vider le verre d'une traite - suivie d'un hochement de tête appréciateur. « Une pitié que ma maladresse ait gâché ce délicat breuvage. » Sur invitation de sa cousine, il s'intéresse ensuite à sa cavalière de la soirée. Ses traits lui évoquent de lointains souvenirs de Beauxbatons. Parvenant presque à chasser de ses oreilles la mélodie qui accompagne toujours leurs échanges, telle un fantôme venu de Corse, il offre à l'égyptienne une élégante courbette. « Signorina Shafiq » salue-t-il avec un charmant sourire. « Je n'oublierais pas un si joli minois, pas même en dix ans. » Son prénom, en revanche, lui échappe - mais nul doute que Maeve saura combler ses lacunes. « Je rejoins ma cousine, divine est le mot. Vous faites un couple très assorti » ajoute-t-il, et son regard se fait plus perçant.
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(#) Re: [TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
missive rédigée par Lorenzo de Medici lele retour du fils prodige
Topic commun
Thème | S'il retient le rire, il ne cache pas le sourire. Agnès ne s'offusque de rien, trop habituée. Au fond, dans une autre vie, elle lui aurait fait de la peine. Mais Lorenzo n'est pas homme de pitié. Il a laissé ceci aux pauvres et aux miséreux et aux autres membres de sa famille. Il fait charité sans empathie. Pourquoi faire ? Les pauvres n'en ont pas besoin et Agnès.... Oh Agnès se débrouille très bien de toute sa rancoeur sans lui.
Je n'y couperai pas. soupire-t-il à l'oreille de sa cousine. Car elle, dans les tréfonds, sait les vérités. S'il aurait cru, si jeune, finir par confier déboire et passion à celle qui ne partageait qu'un quart de son sang. Maeve agissait pourtant là où Agnès ne l'avait jamais fait. C'est à elle qu'aurait dû le marier ses parents.
Foutaise. N'importe quelle demoiselle qu'il aurait épousé n'aurait été la bonne. Agnès n'était seule fautive. Le principal problème était lui. Lui et lui seul. Pensées qui s'éteignent alors que la lumière se vole et s'accroche à la peau blanche, au rubis écarlate, au sourire flamboyant. Giacomo semble plus italien encore même que lui. Sa part corse s'est engloutie dans le sud de Rome, bouffée par des gènes plus forts. Combien d'années sans qu'ils ne se soient vu. Combien de siècles depuis que les poings de Lorenzo se sont enfoncés dans le visage de son cousin, laissant des trainées macabres. On ne rie pourtant pas avec la famille, avec les destins et avec les actes. Au fond, il sait Lorenzo. Qu'il a agit par instinct et que c'était idiot. Qu'aujourd'hui, encore, Giacomo doit lui en vouloir mortellement. Qu'il a gravé dans la chair la vengeance, qu'il a fait de la rage un étendard. On ne gouverne pas par la peur lui jurait son père.
Il a fait une erreur. Qu'il ne rattrapera jamais. Car au fond, au plus profond de lui, Lorenzo craint le Medici menteur. Il sait que la cervelle de son cousin est marbrée de ténèbres. On ne tue pas la famille. Il l'aurait fallu pourtant. Sectionner la branche pourrie avec qu'elle ne gangrène l'arbre tout entier. Mais, malgré tout le sang sur les mains du Medici, Lorenzo ne pouvait s'y résoudre. La famille était plus que tout. Toujours.
Un sourire ourle ses lèvres, éblouie son visage et ses iris alors qu'il rend l'étreinte à Giacomo comme s'ils ne s'étaient quitté que la veille. Agnès... Sa réaction est étrange, incompréhensible. Elle sourire, réellement. Qu'est-ce qui se presse à la caboche de la femme bafouée ? Lorenzo ne s'y attarde pas. Alessandro offre un sourire polie mais c'est Marie qui l'étonne. Marie qui se fait plus feminine alors que ses lèvres se tendent sur une mine réjouie. Marie qui offre son plus beau : Voilà revenu notre meilleur cousin. d'une voix qui transparait le charme. Le regard de Lorenzo se perd à sa fille, offre une question dont elle n'a que faire.
On attends sa réponse et Lorenzo ne se fait pas prier pour que déjà sa voix retentisse. Qu'ils puissent l'entendre. Qu'ils voient l'unité.
Tu sais mieux que moi tout cela cugino mio. Il ne pouvait qu'en être ainsi pour ton retour. Tu as sincèrement manqué à la famille. Il s'arrête, l'observe. Il a quitté un gamin. Il retrouve un homme. Dangereux, plus encore. Je te laisse profiter de nos invités. Je t'attends à vingt et une heure pour tes hommages. Puis nous nous entretiendrons. En privé. La fin est offerte à son fils et sa femme. Marie, elle, vague déjà vers de nouveaux convives.
Giacomo s'éloigne et l'air redevient plus respirable. L'autre offre une aura collante, désagréable. Les cheveux, sur la nuque de Lorenzo, se sont relevés. Instinct malmené par le danger.
La musique se brusque, se casse. Les regards flottent. Appolon offre erreur puis humour. Mais les yeux de Lorenzo ne quittent pas l'incident. Les informations sont le pouvoir. Et il en tient là une qui lui semble plus qu'intéressante. Il demandera à Bellemain plus tard car la foule, enfin, tant à se canaliser et il peut s'éloigner de l'entrée. Agnès continuera son petit jeu. C'est vers son homme de main et sa nouvelle promise qu'il se dirige, proche d'Appolon. Mon cher ami. Quelles sont les nouvelles. Roberto ne m'avait prévenu de ta venue ce soir, je te croyais encore en expédition dans l'Ouest de la France. Comment se portent les travaux ? C'est que leur plan, lentement se mettait en branle. Et que la présence de la fiancée - que jamais Lorenzo n'irait imaginer @Auguste Lestrange - n'a pas réellement d'intérêt. Les femmes, après tout, sont surtout bonnes à satisfaire leurs désirs.
Je n'y couperai pas. soupire-t-il à l'oreille de sa cousine. Car elle, dans les tréfonds, sait les vérités. S'il aurait cru, si jeune, finir par confier déboire et passion à celle qui ne partageait qu'un quart de son sang. Maeve agissait pourtant là où Agnès ne l'avait jamais fait. C'est à elle qu'aurait dû le marier ses parents.
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Tu sais mieux que moi tout cela cugino mio. Il ne pouvait qu'en être ainsi pour ton retour. Tu as sincèrement manqué à la famille. Il s'arrête, l'observe. Il a quitté un gamin. Il retrouve un homme. Dangereux, plus encore. Je te laisse profiter de nos invités. Je t'attends à vingt et une heure pour tes hommages. Puis nous nous entretiendrons. En privé. La fin est offerte à son fils et sa femme. Marie, elle, vague déjà vers de nouveaux convives.
Giacomo s'éloigne et l'air redevient plus respirable. L'autre offre une aura collante, désagréable. Les cheveux, sur la nuque de Lorenzo, se sont relevés. Instinct malmené par le danger.
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« Je retiens que tu m’as promis cette contre-soirée dans les cuisines. » répondit-elle à Maeve sur cette histoire de cuisine.
Pour l’heure, il est plutôt le temps de saluer la personne que semblait chercher sa meilleure amie. Et puisqu’il était déjà embourbé dans un des rebondissements de la soirée, Neith se laissa guider par Maeve jusqu’au fameux cousin qu’elle n’avait jamais rencontré. Amusée par l’accroche de la bretonne, Neith observe le Médici avec un sourire poli et charmant. Le genre de sourire mondain qu’elle a appris à avoir après quinze ans mariée à un vicomte. Le regard se posant brièvement sur la main qui avait brisé la flûte, Neith ne peut s’empêcher de tendre l’oreille, dans l’intention de savoir si musique était jouée par Guilhem. Sans tourner la tête vers lui, elle s’inquiète mais ne perd rien visuellement du jeu qui semblait se jouer entre Giacomo et Maeve. Elle note le changement d’humeur bref de l’italien. Quoi qu’il se passât, il y avait définitivement quelque chose entre les deux hommes.
Néanmoins, l’attention tournée vers elle par l’initiative de Maeve, Neith sentit son sourire devenir plus malicieux.
« Divine, je n’irai pas jusque-là. « Pharaonique », par contre... » plaisanta-t-elle avec une fausse humilité exagérée. Elle ne pouvait s’empêcher de faire cette remarque par espièglerie.
Son air redevient pourtant sérieux lorsque Giacomo s’adresse à elle et qu’il la salue. Neith lui adresse une révérence grâcieuse.
« Signor Medici, quel plaisir de vous revoir depuis tout ce temps. » Même si pour être honnête, à cause de leurs noms respectifs, ils n’avaient jamais échangé directement. Mais Neith se souvient bien de son visage, bien plus jeune à l’occasion de quelques rares soirées de ce genre.
Souriant, amusée, à la dernière phrase de Giacomo, Neith le remercie. « Je vous remercie. Il faut dire que votre cousine a un sens de la mise en scène que j’ai toujours affectionné. » Ne pouvant faire autrement que de rendre à Maeve ce qui était à Maeve, Neith faisait un hommage direct à la beauté de la tenue et des bois de sa meilleure amie, adressant un sourire en coin à cette dernière.
Puis, elle se tourna de nouveau vers Giacomo, souhaitant faire la conversation toute mondaine.
« J’espère que la France n’a pas trop changé pour vous, signor, et que vous ne vous sentez pas trop perdu après ces dix années d’absence. » Pause. « Puis-je vous demander quelles contrées vous ont tenus éloignées de la France ? Êtes-vous retourné en Italie ? J’ose espéré que vous y avez passé un temps agréable. »
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(#) Re: [TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
missive rédigée par Auguste Lestrange le16 Octobre 1927 • Hôtel De Medici • Paris
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Les fausses notes offensent profondément ses oreilles de mélomane et interpellent son attention. Bellemain est un musicien ayant une solide expérience de la scène, qu’il flanche ainsi face à une hypothétique nervosité - le trac de l'artiste sans doute - est très surprenant. Son ton l'est encore plus mais Auguste ne peut certainement pas monter sur scène pour le questionner ou le secouer, ou les deux à la fois. Ce soir, il est une jeune femme accompagnée de son fiancé, de bonne éducation et d'un caractère enjoué et aventureux mais surtout de bonne éducation ! Et se comporter comme un homme ne fait pas partie de cette bonne éducation. Merlin... Pourquoi a-t-il jamais pensé que tout ceci serait une bonne idée ?! Réprimant un soupire, Auguste glisse une œillade vers le reste de la salle, afin d'en prendre la température.
Un peu plus loin, un attroupement se forme autours de celui qui doit être Giacomo de Medici, revenu de Corse. Neith lui fait face, de même que Maeve Le Noir et quelques autres. Lui non plus ne semble pas tout à fait à son aise, mais peut-être est-ce simplement la distance qui les séparent en empêche Auguste de s'en assurer. Il se détourne de nouveau, pour observer Bellemain se lancer dans une symphonie tout à fait étrangère, installé - terré - derrière sa harpe, et reporte son attention sur la tâche pour laquelle il se trouve ici. Fouiner. Interroger. Comment s'y prendre ? Il n'est certes pas sous l'examen général, surtout maintenant que le Roi de la fête s'est montré, mais ça ne signifie pas pour autant que la tâche va s'avérer aisée. Peut-être en rejoignant l'un des groupes de femmes de la soirée ? Il pourrait ainsi être présenté avec naturel jusqu'à trouver subrepticement le bon interlocuteur....
Ses calcules déraillent cependant lorsqu'une voix dangereuse vient entonner à sa gauche, auprès de son cavalier. Lorenzo. Auguste tourne un instant la tête vers lui, prit de court, mais le Medici ne semble intéressé que par celui qu'il pense être son homme de main. Conscient qu'il s'agit exactement du genre de discussion qu'Allegra ignorerait volontairement, Auguste l'imite, non sans se féliciter d'avoir enlevé et interrogé l'homme de main plutôt que de simplement lui emprunter un morceau de lui. Et une fois encore, son cavalier l'impressionne, à croire qu'il a la fibre théâtrale, ou bien qu'il a déjà effectué ce genre de personnification rocambolesque. Lui reste silencieux, faisant mine d'observer la scène tout en tendant l'oreille pour glaner autant d'informations que possible. Ce n'est, cependant, pas tout à fait ce qu'il recherche.
Peu à peu se fait jour l'idée qu'il doit bel et bien se détacher de son compagnon. Pourtant, l'idée d'avoir Lorenzo de Medici a porté ne cesse de le hanter. Il sait l'homme volage et eut été très sot de ne pas noter l'œillade qu'il lança à Allegra un peu plus tôt. Il faut dire que la jeune femme est belle, jeune et vierge de tout scandale ou expérience solide de l'univers mondain. Une proie, peut-être, mais aurait-il le cran et l'absence de gêne de s'en service, ça c'est une toute autre question. L'idée le taraude cependant. Medici et Lestrange sont des adversaires de longue date et son père n'a jamais cessé de lui inculquer combien tous les moyens sont bon pour gagner l'avantage sur eux. S'il peut l'attirer dans une autre pièce, seul à seul avec lui, alors il pourrait même le supprimer... Serait-ce réellement une bonne chose ? Il troquerait un adversaire connu pour un nouvel anonyme...
Inspirant profondément, courage et lucidité rassemblés, le voilà qui, au profit d'un creux dans l'échange, se tourne vers son fallacieux fiancé et Lorenzo. Un sourire qu'il espère sucré vient ourler ses lèvres, couvant légèrement son galant, avant de pétiller vers le parrain. "Si vous le permettez, je vais me présenter auprès des autres invités. Mais... si vous achevez votre conversation tantôt et accordez un peu de temps à la débutante que je suis, je serais enchantée de pouvoir danser avec l'un de vous gentiluomo. Vous en particulier, Don Medici, si vous flattiez ainsi et si mon fiancé le permet, évidemment." Avec un léger signe de tête joueur sous ses airs dociles, elle s'écarte, mains perdues dans les amples plis de sa robe étincelante tandis qu'elle rejoint un autre groupe. Elle ne glisse pas moins un coup d'œil discret à Lorenzo par-dessus son épaule, avant de conclure son approche.
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Giacomo de MediciCLOTHO | THIS IS OUR WORLD NOW !
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(#) Re: [TERMINÉ] [Sujet commun] Le retour du fils prodige
missive rédigée par Giacomo de Medici leMi-octobre 1927 - Sujet commun
But I'm just getting started
« Le plaisir est partagé » affirme Giacomo en réponse aux doux mots de l'égyptienne. Même s'il est tout aussi satisfait, si ce n'est plus, de savoir Maeve parmi eux ce soir. La fille aînée des Le Noir pourrait se révéler une intéressante partenaire de commerce - et une alliée de choix. Il se demande si elle sera présente pour la discussion privée qui doit suivre ses hommages. Ses hommages. L'italien se doute bien que sous ces mots se cachent à grand peine des engagements qui coûteront cher à son orgueil. Il n'a pas d'autre choix que de s'y soumettre, toutefois. Ce qui ne rendra pas l'expérience plus agréable. Heureusement, sa cousine et sa charmante cavalière lui fournissent pour l'instant une distraction à même d'éloigner ses pensées de cette pénible perspective. « Je ne saurais dire pour la France, mais Paris ne pourrait réellement changer à mes yeux. Les apparences le laissent peut-être suggérer, mais je sais qu'elle restera la même en son cœur. » A savoir, un passionnant terrain de jeu, une jungle urbaine qu'il navigue aussi aisément que s'il l'avait quittée la veille.
« Je dois avouer ne pas m'être beaucoup tenu au courant de ce qui se jouait en bonne société, cela dit. Sans doute pourrez-vous m'aider à me mettre à la page » suggère-t-il, tête légèrement penchée sur le côté. Il ne lui a pas fallu longtemps, tout au plus quelques discussions à droite à gauche, pour réaliser que le nom Shafiq faisait beaucoup parler de lui ces derniers temps. Giacomo n'est pas homme à s'intéresser à la politique, trop absorbé par des lubies qu'il juge plus dignes de son intérêt. Mais il n'est pas non plus stupide ; il sait qu'il faut être au fait des diverses opinions de la belle société, pour espérer évoluer en son sein. L'influent patriarche Shafiq, ainsi que toute sa progéniture, semblent une bonne entrée en matière. La nouvelle question de l'égyptienne lui tire un petit rire, poli et sans une trace de moquerie.
« Pas en Italie, non. C'est la Corse qui m'a accueilli tout ce temps. Il s'agit du fief de ma famille maternelle. » Les Savelli n'ont peut-être aucune prétention à un quelconque duché ou marquisat sur l'île de beauté, mais cela ne les empêche pas d'y régner en seigneurs et maîtres. « C'est un endroit magnifique. Quoiqu'on finisse par s'y sentir à l'étroit » confie-t-il sur le ton de la plaisanterie. Comme s'il n'avait pas passé les derniers mois à arpenter les couloirs de la villa familiale tel un animal en cage. Comme s'il n'avait pas rêvé mille fois de laisser derrière lui les falaises escarpées et les garrigues désertées pour l'agitation de la vie parisienne. A ce sujet, ses prunelles s'égarent sur la foule qui fourmille autour d'eux, cherche des visages familiers. Sûrement les jumeaux ou ses parents vont-ils faire acte de présence ... Mais c'est sur les traits de Lorenzo que son regard finit par tomber. Son cousin paraît bien occupé en discussion d'affaires avec un invité - et serait-il par hasard en train de courtiser la fiancée de l'intéressé ? Son cousin est décidément irrattrapable. Mais tant mieux. Ses faiblesses feront son affaire.
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