[TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
Loom Of FateSTAFF | FILS DU DESTIN
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(#) [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Loom Of Fate leTempérature : 27 degrés
Soirée mondaine à la française, le gratin de la société a été invité, tandis que certains citoyens de plus faible caste auront pu avoir la chance de gagner ou recevoir une invitation. Moyen de récupérer l'argent du peuple ou réel intérêt de mélanger bourgeoisie et modestie le temps d'une soirée, chacun se fera son propre opinion autour d'une coupe (ou plusieurs) du célèbre Champexplosif qui fait la fierté de la maisonnée de Runes, hôtes de cette soirée qui s'annonce exquise. Tenue correcte exigée, bienséance indispensable, le domaine du Crépuscule a été richement décoré pour l'occasion, pivoines par centaines et bougies enchantées créent une ambiance propice à l'amusement, aux rencontres et à l'extorsion de fonds pour une noble cause.
Si les organisateurs de la soirées ont de réelles attentes quant à la générosité de leurs donateurs, les hautes sphères de la politique auront sauté sur cette occasion arrivée à point nommé. Élections approchantes, il est important de se montrer, de serrer quelques mains et de remplir de gros chèques pour gagner des voix. Candidats au Sénat de toute la France se seront empressés de renvoyer leur carton d'invitation coché à l'affirmative.
En cette veille de fête nationale dont les réjouissances ne toucheront point la famille royale, un détail a été négligé qui pourrait bien mettre à rude épreuve le bon déroulement de cette soirée. Veille de pleine lune, l'on s'inquiète légèrement des potentiels débordements qui pourraient venir causer le trouble dans cette soirée qui se veut parfaite. Inquiétude bien rapidement balayée, qui diable a laissé ce plateau de mignardises en plein soleil ?
Et c'est avec d'exagérés sourires hypocrites que les lourdes portes du domaine s'ouvrent sur leurs premiers invités, en cette douce fin d'après midi...
InvitéInvité
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(#) Re: [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Invité le✦ ✧ event 1 - fééries estivales ✧ ✦
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⌜ O O T D ⌟ — ❛ i liked Hell, i liked to go there alone, relieved to lie in the wreckage, ruined, physically undone. the worst had happened. what else could hurt me then ? ❜
— L'été en aquarium desséché déposait depuis quelques soirées un drap de frivolité le long de la société. De ce panier de crabes où chaque pince résonne dans le noir et dans le dos, de ces dizaines de sourires aiguisés aux aromes fruités. Car à la belle saison on accorde les plus jolies moissons, comme les plus sombres trahisons. Qu'à chaque nuit les étoiles s'éclatent sur la moindre parcelle d'humains pour leur colorier la peau de nouvelles ignominies qu'ils ne découvriront qu'une fois la sorgue tarie. -- surprise, l'infâmie.
Nuit de circonstance en parade de PUISSANCE
au nom d'orphelins, qu'ils échappent à d'avantages de souffrances
faire sonner les pièces et les promesses
(( jusqu'à ce que les ombres révèlent toutes les bassesses ))
au nom d'orphelins, qu'ils échappent à d'avantages de souffrances
faire sonner les pièces et les promesses
(( jusqu'à ce que les ombres révèlent toutes les bassesses ))
Enfants devenus grands, les Joseon s'avancent et dépassent les portes du domaine. Horde au sang partagé, aux parfums liés, apparaît aux yeux de tous comme un seul collier de loyauté. Kang-Dae, enveloppé dans ses étoffes d'impétuosité, laisse trainer son regard de toute part, resserrant dans le creux de son coude le bras gardé de Yurim (( C E R B E R E )) -- grand frère.
Avancée vers le lieu de réception quand dans son regard tout se grave. Détaille les visages, devine les outrages -- ô rage -- et se missionne de capturer le moindre orage pour qu'il ne déverse nul drame sur la couronne de sa benjamine. Carcasse imperméable où viennent se raturer pensées emplies d'amer. Sort leur aurait été bien moins favorable (( pour ce qu'il fut d'ores et déjà bien malin en son horreur )) et leur aurait pris Père qu'ils se seraient également retrouvés dans un endroit comme celui là.
— allons nous annoncer. qu'il murmure au trio mordoré, tous apprêtés en héritiers chassés. La fortune dégoulinant des soies et des dorures. Il y a en cette soirée les nids de mille possibilités, et Kang-Dae compte bien toutes les amadouer. -- avant de les dévorer.
LOOM OF FATE | 2023
- résumé:
- Kang-Dae arrive à la soirée accompagné de son grand frère Dae-Ho - héritier direct du trône impérial de corée ( encore faudrait-il le récupérer ) - et de Yurim ( @Yurim Joseon ) sa petite soeur qu'il protège à feu et à sang. C'est ensemble qu'ils font leurs premiers pas à la réception, attendant de croiser leurs premières connaissances.
Yurim JoseonInvité
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(#) Re: [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Yurim Joseon leTrue strength lies in a united family, power lies in honor, and honor lies in loyalty
F
AMILY.
POWER. HONOR.UNIFIED.
POWER. HONOR.UNIFIED.
@"Kang-Dae Joseon" - CRISE D'ANGOISSE, OPHIOPHOBIE
Dans l'intimité de sa chambre, Yurim Joseon plonge dans un océan de connaissances, dévoilant les secrets mystérieux des serpents qui s'entrelacent avec elle. Les mots dansent sur le bouquin, des images glissent tels des échos oniriques, révélant des vérités insaisissables sur cette connexion
✺ ⊹ ·
✺ ✺ ✧.
✵
+ . ⋆ . *
✺ ✺ ✧.
✵
+ . ⋆ . *
dans le doux murmure, des flots apaisants,
les serpents de la peur s'évanouissent lentement, l'eau réconfortante chasse
les ombres de l'effroi, et libère mon esprit d'un f a r d e a u d'autrefois
Au seuil de l'antre d'Antoinette de Valefor, Yurim Joseon s'élève telle une
Nareul beoliji maseyo, dans un échange de regards empreint de complicité silencieuse, ils s'apprêtent à plonger, tels des
MADE BY @ICE AND FIRE.
- traduction:
- Nareul beoliji maseyo ━ ne m'abandonnez pas
- résumé:
- Les Joseon viennent de faire annoncer leur présence. Yurim, de son côté, s'éloigne de quelques pas de ses frères. Elle risque de vite se noyer dans la foule et ils risquent de la perdre de vue. Quelqu'un pourrait en profiter pour aborder la princesse déchue. À votre guise, mais faites attention, les yeux aguerris de @"Kang-Dae Joseon" vous surveillent de loin
InvitéInvité
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(#) Re: [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Invité leFéerie estivale 13 juillet 1927 à 18h, Domaine du Crépuscule, Champagne | Température : 27 degrés |
Cela faisait des semaines que Père ne jurait plus que par le bal donné par Antoinette de Valefor, la sœur du roi. Ce bal était pour lui l’occasion rêvée de favoriser l’union de nos deux familles royales. Il comptait sur moi pour convaincre la princesse Antoinette, et si jamais ils venaient, le Roi et la Reine que j’étais l’époux qu’il fallait pour la future Reine de France. Si je pouvais ce soir conquérir également le cœur de la princesse héritière, ce serait parfait disait il. Même si ce n’était qu’un détail, selon lui, car après tout, elle n’aurait pas son mot à dire. Tout ce qui comptait pour lui c’était que je séduise leurs majestés. Il n’attendait que la réactivation de l’union de nos deux familles, en péril depuis la mort de ma promise : Béryl.
Moi, je ne voulais pas aller à ce bal. Je ne voulais pas aller à ce bal parce que je savais très bien comment ça allait se finir pour moi. J’allais entendre chacune des pensées des personnes présentes dans cette salle. J’allais sentir chacune de leur moindre petite émotion. J’allais avoir l’impression que ma tête explose et j’allais finir par tout faire exploser incapable de contrôler ma magie. Ce genre de mondanités étaient pour moi un supplice et je les fuyais comme la variole du dragon. Père n’en avait rien à faire. « Все, что тебе нужно сделать, это научиться владеть своим даром, ты, ничтожество (Tu n’as qu’à apprendre à maitriser ton don, espèce de bon à rien) » m’avait-il répondu lorsque je lui avais expliqué que je ne pouvais aller à cette soirée, que c’était beaucoup trop dangereux. « Ты пойдешь на эту вечеринку, Николай, и если для этого мне придется наложить на тебя заклятие Империума, я не буду колебаться ни секунды. Ты пойдешь и будешь вести себя как порядочный человек. Ты пойдешь и соблазнишь короля и королеву, или, клянусь, мой гнев будет ужасен. (Tu iras à cette soirée Nikolaï, et si je dois te soumettre à un sortilège de l'imperium pour cela, je n'hésiterai pas une seconde. Tu iras, et tu te tiendras comme un homme respectable. Tu iras et tu séduiras le roi et la reine ou je te jure que ma colère sera terrible.) » Mon père pouvait être cruel, je le savais. N’étais-ce pas de lui que je tenais ma cruauté ? « Да, отец (Oui, Père) » avais-je répondu tel un petit garçon. Devant lui, je m’effaçais complétement. Sauf le jour où j’avais réussi à détourner son regard de mon mariage pour l’intéresser aux fiançailles de ma sœur. Ce jour-là j’avais joué un coup de Maître, même si j’avais plus ou moins perdu ma sœur dans la bataille.
J’avais encore cru pouvoir échapper à cette mondanité en m’arrangeant pour être de service ce soir-là. Cela avait du bon d’être langue de plomb et de devoir travailler certaines nuits. J’avais une excuse légitime pour ne pas venir. Du moins c’est ce que j’avais cru. Jusqu’à ce que mon père me dise « Вот и все. Вечер 13 июля у вас свободен, и вы будете на балу у принцессы Вальфорской. (C'est réglé. Tu as ta soirée du 13 juillet de libre et tu seras au bal de la princesse de Valfor).» Il n’y avait rien à faire. Je ne pouvais plus me défiler. Je devais aller à ce bal. Je devais essayer de survivre dans ce qui serait pour moi une torture.
J’étais vêtu d’un somptueux costume 3 pièces et d’une chemise blanche et de bretelles. Un nœud papillon, et un chapeau melon sous lequel mes cheveux étaient coiffés en arrière. J’avais tout de l’élégance à la française, mon pays d’adoption. Une fois entré dans la somptueuse demeure, je suivis mon père pour aller saluer les maîtres de maison et la princesse organisatrice de l’évènement. Au loin, j’aperçus la famille JOSEON. Une famille aussi royale que la nôtre ou celle des de Valfor mais que nous détestions. Je me tournais vers père : « Вот некоторые паразиты (voilà de la vermine.) » Je scrutais la salle du regard me demandant si Kamila et son époux étaient là.
Moi, je ne voulais pas aller à ce bal. Je ne voulais pas aller à ce bal parce que je savais très bien comment ça allait se finir pour moi. J’allais entendre chacune des pensées des personnes présentes dans cette salle. J’allais sentir chacune de leur moindre petite émotion. J’allais avoir l’impression que ma tête explose et j’allais finir par tout faire exploser incapable de contrôler ma magie. Ce genre de mondanités étaient pour moi un supplice et je les fuyais comme la variole du dragon. Père n’en avait rien à faire. « Все, что тебе нужно сделать, это научиться владеть своим даром, ты, ничтожество (Tu n’as qu’à apprendre à maitriser ton don, espèce de bon à rien) » m’avait-il répondu lorsque je lui avais expliqué que je ne pouvais aller à cette soirée, que c’était beaucoup trop dangereux. « Ты пойдешь на эту вечеринку, Николай, и если для этого мне придется наложить на тебя заклятие Империума, я не буду колебаться ни секунды. Ты пойдешь и будешь вести себя как порядочный человек. Ты пойдешь и соблазнишь короля и королеву, или, клянусь, мой гнев будет ужасен. (Tu iras à cette soirée Nikolaï, et si je dois te soumettre à un sortilège de l'imperium pour cela, je n'hésiterai pas une seconde. Tu iras, et tu te tiendras comme un homme respectable. Tu iras et tu séduiras le roi et la reine ou je te jure que ma colère sera terrible.) » Mon père pouvait être cruel, je le savais. N’étais-ce pas de lui que je tenais ma cruauté ? « Да, отец (Oui, Père) » avais-je répondu tel un petit garçon. Devant lui, je m’effaçais complétement. Sauf le jour où j’avais réussi à détourner son regard de mon mariage pour l’intéresser aux fiançailles de ma sœur. Ce jour-là j’avais joué un coup de Maître, même si j’avais plus ou moins perdu ma sœur dans la bataille.
J’avais encore cru pouvoir échapper à cette mondanité en m’arrangeant pour être de service ce soir-là. Cela avait du bon d’être langue de plomb et de devoir travailler certaines nuits. J’avais une excuse légitime pour ne pas venir. Du moins c’est ce que j’avais cru. Jusqu’à ce que mon père me dise « Вот и все. Вечер 13 июля у вас свободен, и вы будете на балу у принцессы Вальфорской. (C'est réglé. Tu as ta soirée du 13 juillet de libre et tu seras au bal de la princesse de Valfor).» Il n’y avait rien à faire. Je ne pouvais plus me défiler. Je devais aller à ce bal. Je devais essayer de survivre dans ce qui serait pour moi une torture.
J’étais vêtu d’un somptueux costume 3 pièces et d’une chemise blanche et de bretelles. Un nœud papillon, et un chapeau melon sous lequel mes cheveux étaient coiffés en arrière. J’avais tout de l’élégance à la française, mon pays d’adoption. Une fois entré dans la somptueuse demeure, je suivis mon père pour aller saluer les maîtres de maison et la princesse organisatrice de l’évènement. Au loin, j’aperçus la famille JOSEON. Une famille aussi royale que la nôtre ou celle des de Valfor mais que nous détestions. Je me tournais vers père : « Вот некоторые паразиты (voilà de la vermine.) » Je scrutais la salle du regard me demandant si Kamila et son époux étaient là.
LOOM OF FATE | 2023
- Résumé:
- Nikolaï voulait pas venir à cette soirée à cause de sa malédiction. Il sait très bien comment cela va finir: il va entendre les pensées et ressentir les émotions de tout le monde et sa magie va devenir instable. Son père ne l'entend pas de cette oreille. Il voit là une occasion d'assurer des fiançailles avec la future reine. Il le traine donc à l'évènement. Une fois arrivée, il remarque la famille JOSEON qui arrive et ne peut s'empêcher de dire à son père que la vermine arrive. Il continue de scruter la salle en espérant voir sa sœur et son mari.
Eugène BabineauxInvité
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(#) Re: [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Eugène Babineaux leVêtu de son plus beau smoking, Eugène avait fait la route jusqu'en Champagne pour participer à cette féérie estivale. De bouches à bouches, de fil en aiguille, il avait compris qu'il ne pourrait prétendre qu'au pion du divertissement. Faire de la musique pour la foule. L'appréhension de croiser la route de ses anciens compères se fit sentir : ce n'était ni le lieu, ni le moment mais ils ne pourraient jamais feindre cela. Attendant patiemment dans un coin de la salle son tour, il fit des allers-retours entre son banc et le coin des boissons afin de se faire servir quelques apéritifs. L'ombre d'aucune connaissance ne se fit sentir. Quelques noms dont il avait entendu parler, quelques visages auxquels il pouvait attribuer des noms. L'un des organisateurs vint le chercher, lui signifiant que c'était son tour. Armé de sa guiterne, il commença à se lancer dans un air, enchantant une flûte pour l'accompagnement.01:23 ━━━━━━●━ 03:06
↺ << ▷ >> ⋮≡
Il enchaina avec un deuxième, puis un troisième morceau avant de s'arrêter, laissant la place à quelqu'un d'autre et faisant une courbette pour remercier quelques applaudissements. Se perdant dans une allée, il croisa le regard de @Nikolaï Romanov, accompagné visiblement de ce qui était son père. Il lui fit un jeu de regard afin de l'inviter à parler à l'abri des regards indiscrets, sans savoir s'il avait bien compris son signal et continua alors sa route en quête de tranquillité.
Ariadne KamaInvité
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(#) Re: [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Ariadne Kama leOn annonce l’arrivée royale de la princesse et de son époux. A son bras elle ne fait plus vraiment semblant. Y a quelque chose qui a changé. Ses doigts s’enfoncent plus fort dans le tissu de son costume, cherche presque à atteindre sa peau. Pour se rattraper à quelque chose de tangible. Être sûre qu’il est réel. Et qu’il ne la lâchera pas. Ariadne déjà las des regards qu’on lui jette. Epuisée avant même d’avoir ouvert la bouche. Officiellement là pour soutenir sa sœur cadette, prouver encore que les liens du sang sont inébranlables. Officieusement bien obligée de se produire, de parader. Se donner en spectacle pour les masses. Être et paraître. Les vautours se massent déjà. Des plus nobles aux plus riches, en passant par ceux qui n’ont plus rien qu’un nom, à peine un titre.
- résumé:
- Ariadne fait son entrée au domaine au bras de son époux @"anansi kama". Elle prend le temps d’observer l’assemblée. La princesse donne le change. On croirait presque qu’elle est ravie d’être ici.
Neith ShafiqCLOTHO | THIS IS OUR WORLD NOW !
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Rythme de jeu : Demandez moi
Warning : Deuil, maternité, dépression post-partum, stress post-traumatique, colonialisme, viol (vécu), corruption, sexualité et érotisme.
Trigger : Aucun spécifiquement mais nous pouvons toujours en discuter si des sujets viennent à être abordés
Disponibilité RP : Oui, nous pouvons tout à fait en discuter
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Multicomptes : Rachel Fabre
Anya d'Apcher
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Âge perso : 36 ans (01/09/1891)
Nature du sang : Sang-pure
Etat Civil : Veuve | Mère célibataire | amante de Lorenzo de Medici | polyamoureuse, bisexuelle.
Occupation : Directrice des Rêveries antiques
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(#) Re: [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Neith Shafiq leFéerie estivale event - 13 juillet 1927 |
Elle n’avait bien sûr pas été réellement surprise de recevoir le carton d’invitation. Somme toute, être la meilleure amie d’Antoinette de Valefor avait quelques avantages évidents sur quelques mondanités de ce genre. À commencer par les magnifiques robes dont Neith pouvait se targuer qu’elles étaient les créations de sa meilleure amie. En cette soirée où sa famille ne pouvait faire l’impasse, elle avait répondu présente, fidèle alliée de son paternel qui l’attendait au tournant d’un couloir. Ce que préférait l’égyptienne dans ce genre de soirée, c’était sans doute que tout n’était que spectacle. Tout le monde jouait un rôle, quel qu’il soit avec costumes et robes, musicalités et artifices. Et des artifices en cette veille de fête nationale, elle n’en manquait pas. Jamais quand il s’agissait de soirée aussi prestigieuse que celle-ci. Dans sa robe rouge vin, elle semble drapée dans la soie même, apposant un petit sortilège de flottement sur les manches longues, le fluide de sa robe.
Arrivée à hauteur de son paternel qui la gratifie d’un sourire, Neith vient déposer un élégant baiser sur sa joue.
« Je pense qu’on peut y aller, Baba. Oumm, Amonet et Yamanu y sont déjà. » dit-elle calmement, sereinement.
Il sourit, elle lui sourit et vient prendre son bras. Tandis qu’elle fait le geste, elle ne peut s’empêcher de se dire que la présence d’Alaric lui manque sans doute un peu. Elle adorait aller à ce genre de soirées avec son paternel mais cela avait toujours été un moment particulier entre Alaric et elle. La péparation surtout, quand il tentait de la détendre en énonçant toutes les anecdotes sur toutes les possibles personnes présentes alors. Somme toute, ça lui avait parfois servi. C’était toujours intéressant de savoir des choses sur les gens sans qu’eux ne sachent qu’elle savait.
Si aujourd’hui elle devait faire sans la présence de son mari, elle n’avait jamais perdu cette habitude et c’est dans sa tête qu’elle se récite alors les éléments personnels des gens qu’elle suppute qu’il y aura.
Tarek était un requin dans l’eau et sans doute qu’en sa qualité de leader de l’Aube, déjà bien sollicité. Jouant son rôle à la perfection, Neith a cette impression d’être une danseuse en prestation. Les gestes d’une chorégréaphie bien apprise ne sont pas si différents que la langue acérée. Les deux ne sont que prestation et performance. Quelque chose qu’elle connait.
Son regard se fait circulaire. Elle capte sa mère, Rawiya plus loin, magnifique dans sa robe, la matriarche aux côtés de Yamanu, si sérieux et pourtant si charmant. Quant à Amonet dans sa robe sulfureuse, elle la voit à côté du champagne et Neith ne put s’empêcher de lui adresser un clin d’œil avant de fixer un instant le verre de sa sœur. Cette dernière lui adressa un sourire crispé qui voulait lui dire « oui, je sais, je n’ai pas oublié », suite à la promesse qu’elles se sont faites quand elles se sont rendues compte que la multiplicité récente de leurs obligations avec la course aux élections, augmentait aussi leur prise d’alcool. Juste faire attention, voilà tout.
S’arrêtant d’observer sa propre famille, le regard de Neith tomba alors sur Ariadne et Neith s’excusa auprès de son père qui gérait très bien tout seul pour se diriger vers cette dernière et son charmant mari.
« Ariadne, Anansi. Je suis contente de vous voir. » dit Neith un sourire sans doute plus vrai sur les lèvres pour ceux qui la connaisse que précédemment. Ariadne était son amie et Neith ne manquait jamais une occasion de la voir dans ce genre de soirée. Si elle n’était pas aussi proche d’Anansi, elle l’appréciait aussi. Après tout, Kama et Shafiq se connaissaient depuis si longtemps.
Arrivée à hauteur de son paternel qui la gratifie d’un sourire, Neith vient déposer un élégant baiser sur sa joue.
« Je pense qu’on peut y aller, Baba. Oumm, Amonet et Yamanu y sont déjà. » dit-elle calmement, sereinement.
Il sourit, elle lui sourit et vient prendre son bras. Tandis qu’elle fait le geste, elle ne peut s’empêcher de se dire que la présence d’Alaric lui manque sans doute un peu. Elle adorait aller à ce genre de soirées avec son paternel mais cela avait toujours été un moment particulier entre Alaric et elle. La péparation surtout, quand il tentait de la détendre en énonçant toutes les anecdotes sur toutes les possibles personnes présentes alors. Somme toute, ça lui avait parfois servi. C’était toujours intéressant de savoir des choses sur les gens sans qu’eux ne sachent qu’elle savait.
Si aujourd’hui elle devait faire sans la présence de son mari, elle n’avait jamais perdu cette habitude et c’est dans sa tête qu’elle se récite alors les éléments personnels des gens qu’elle suppute qu’il y aura.
Tarek était un requin dans l’eau et sans doute qu’en sa qualité de leader de l’Aube, déjà bien sollicité. Jouant son rôle à la perfection, Neith a cette impression d’être une danseuse en prestation. Les gestes d’une chorégréaphie bien apprise ne sont pas si différents que la langue acérée. Les deux ne sont que prestation et performance. Quelque chose qu’elle connait.
Son regard se fait circulaire. Elle capte sa mère, Rawiya plus loin, magnifique dans sa robe, la matriarche aux côtés de Yamanu, si sérieux et pourtant si charmant. Quant à Amonet dans sa robe sulfureuse, elle la voit à côté du champagne et Neith ne put s’empêcher de lui adresser un clin d’œil avant de fixer un instant le verre de sa sœur. Cette dernière lui adressa un sourire crispé qui voulait lui dire « oui, je sais, je n’ai pas oublié », suite à la promesse qu’elles se sont faites quand elles se sont rendues compte que la multiplicité récente de leurs obligations avec la course aux élections, augmentait aussi leur prise d’alcool. Juste faire attention, voilà tout.
S’arrêtant d’observer sa propre famille, le regard de Neith tomba alors sur Ariadne et Neith s’excusa auprès de son père qui gérait très bien tout seul pour se diriger vers cette dernière et son charmant mari.
« Ariadne, Anansi. Je suis contente de vous voir. » dit Neith un sourire sans doute plus vrai sur les lèvres pour ceux qui la connaisse que précédemment. Ariadne était son amie et Neith ne manquait jamais une occasion de la voir dans ce genre de soirée. Si elle n’était pas aussi proche d’Anansi, elle l’appréciait aussi. Après tout, Kama et Shafiq se connaissaient depuis si longtemps.
- Résumé:
- Neith arrive accompagnée de son père, Tarek, tandis que le reste de sa famille est quelque part dans la soirée. Elle finit par venir saluer @Ariadne Kama et @Anansi Kama avec chaleur.
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(#) Re: [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Invité leFéerie estivale 13 juillet 1927, Domaine du Crépuscule, Champagne |
Il n’est pas pressé quand il préfère rester dans les écuries plutôt que d’aller dans ce lieu qui doit déjà grouiller de personnalités de divers horizons. Il avouera sans peine ne pas avoir pris part à l’organisation de cet évènement qu’il n’attendait pas venant d’une ancienne d’Apcher ou d’une Valefor. Les deux se valent. Il ne doute pas un seul instant que c’est faux mais la mauvaise foi parle quand il quitte Tempête avec qui il renoue difficilement depuis la morsure pour rejoindre le lieu de réception ou la Paeonia est en overdose. Il préfère les massifs de toute façon, celles qui forment un ensemble, qui n’auraient rien donné dans une telle réception, il en a conscience. Il secoue la tête quand il se lave les mains pour que l’odeur de la jument se dissipe, pas qu’il y soit resté longtemps mais autant être présentable d’autant plus qu’ils sont chez eux. Il se demande encore pourquoi les de Runes, pourquoi ce lieu alors qu’il y a beaucoup de demeures et familles plus proches de la royauté qui auraient fait l’affaire dans Paris et ce même pour montrer que la famille royale pouvait côtoyer le peuple. Qu’ils le peuvent ? Il n’en croit pas un mot mais c’est bien la seule raison à laquelle il pense quand il se pose la question de pourquoi ici en Champagne. S’il a conscience que c’est une bonne initiative d’aider les orphelinats quand beaucoup jugent encore face à certaines adoptions, il ne peut pas s’empêcher d’être mal à l’aise. Il chasse cette idée, préfère ne pas y penser, jette un regard circulaire quand les mondanités semblent avoir déjà commencé.
Pas pour lui, pas tout de suite. Il a une sœur à surveiller autant qu’à éviter. Double rôle pour celle qui devient beaucoup trop curieuse quand les choses le concernent depuis quelques temps. La voilà finalement beaucoup plus à l’aise dans cette mondanité à laquelle il s’est habitué sans avoir la réelle envie d’y participer outre mesure pour ces soirées qui finalement, se ressemblent toutes. Il a la sociabilité en berne ce soir, ce sent nerveux avec le choix de cette date qui rend tout beaucoup plus compliqué. Il attend alors, suit Livia, une coupe de Champexplosif qu’il n’a pas entamée, sourit amusé quand sa cadette ne semble pas s’en faire de bousculer l’une des deux Joseon. Technique pour l’éloigner, qu’il s’excuse pour elle et la lâche un moment du regard ? Si une part de lui n’apprécie pas qu’elle le devine aussi aisément l’autre apprécie que ce lien propre à une certaine vision de la famille se soit construite naturellement au fil des ans. Costume de mise dans les tons verts qui allient la nature de la Champagne et la couleur changeante de ses yeux comme de ses humeurs, telle l’aura souligné Livia pour le convaincre, il s’avance aisément entre les personnes les saluant d’un signe de tête, but non oublié quoique l’incident ne semble pas avoir de conséquences quand il s’approche de celle qui porte l’habit céleste.
Signe de tête malhabile pour celui qui n’aura jamais su vraiment comment se comporter envers des familles plus royales que d’autres, qu’elles soient ou non d’un autre continent. « Princesse Joseon. Veuillez excuser la maladresse de ma cadette Livia. » Le papillon n’est plus dans les alentours quand il risque un regard sur le côté. Typique. « La joie d’être enfin de la fête la rendue bien imprudente. » Il s’arrête, saisit au passage un verre de Champexplosif. Rien de grave semblerait-il cependant. « Je ne serais pas étonné de voir d’autres invitations à l’avenir. Je crois bien que le but est de nous faire redécouvrir les régions de notre belle France. » Comme de leur savoir faire quand il lui tend la coupe habilement attrapée.
Pas pour lui, pas tout de suite. Il a une sœur à surveiller autant qu’à éviter. Double rôle pour celle qui devient beaucoup trop curieuse quand les choses le concernent depuis quelques temps. La voilà finalement beaucoup plus à l’aise dans cette mondanité à laquelle il s’est habitué sans avoir la réelle envie d’y participer outre mesure pour ces soirées qui finalement, se ressemblent toutes. Il a la sociabilité en berne ce soir, ce sent nerveux avec le choix de cette date qui rend tout beaucoup plus compliqué. Il attend alors, suit Livia, une coupe de Champexplosif qu’il n’a pas entamée, sourit amusé quand sa cadette ne semble pas s’en faire de bousculer l’une des deux Joseon. Technique pour l’éloigner, qu’il s’excuse pour elle et la lâche un moment du regard ? Si une part de lui n’apprécie pas qu’elle le devine aussi aisément l’autre apprécie que ce lien propre à une certaine vision de la famille se soit construite naturellement au fil des ans. Costume de mise dans les tons verts qui allient la nature de la Champagne et la couleur changeante de ses yeux comme de ses humeurs, telle l’aura souligné Livia pour le convaincre, il s’avance aisément entre les personnes les saluant d’un signe de tête, but non oublié quoique l’incident ne semble pas avoir de conséquences quand il s’approche de celle qui porte l’habit céleste.
Signe de tête malhabile pour celui qui n’aura jamais su vraiment comment se comporter envers des familles plus royales que d’autres, qu’elles soient ou non d’un autre continent. « Princesse Joseon. Veuillez excuser la maladresse de ma cadette Livia. » Le papillon n’est plus dans les alentours quand il risque un regard sur le côté. Typique. « La joie d’être enfin de la fête la rendue bien imprudente. » Il s’arrête, saisit au passage un verre de Champexplosif. Rien de grave semblerait-il cependant. « Je ne serais pas étonné de voir d’autres invitations à l’avenir. Je crois bien que le but est de nous faire redécouvrir les régions de notre belle France. » Comme de leur savoir faire quand il lui tend la coupe habilement attrapée.
LOOM OF FATE | 2023
- Résumé:
- Cosmo joue les retardataires. Une fois présent c'est le rôle de chaperon qu'il se donne pour surveiller sa cadette Livia. Elle apprécie la soirée pour ce qu'il en est, d'être avec les grands et bouscule par mégarde @Yurim Joseon
Yurim JoseonInvité
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(#) Re: [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Yurim Joseon leTrue strength lies in a united family, power lies in honor, and honor lies in loyalty
F
AMILY.
POWER. HONOR.UNIFIED.
POWER. HONOR.UNIFIED.
@"Cosmo de Runes"
Yurim scrute avec une perspicacité dérangeante la foule qui s'anime autour d'elle. Son regard se perd par-delà les rires étouffés et les coupes de champagne qui se lèvent, s'arrêtant sur la silhouette familière de Nikolai Romanov. Un
Alors que ses yeux s'apprêtent à capturer les visages de ses frères, Yurim est heurtée légèrement, un écho fugace dans le tumulte de la foule. L'énigmatique visage de la jeune fille responsable de cette collision reste insaisissable, évanoui dans
L'autre protagoniste n'était autre que Cosmo. Un frisson d'intérêt, telle une note obscure traversant sa chair, parcourt l'échine de Yurim, car elle pressent que ces rencontres ne sont guère le fruit du hasard, mais les fils invisibles d'une histoire plus
Éprise de son pays comme d'une mélodie ancestrale, Yurim Joseon sait que son empire se dresse majestueusement au-delà des frontières françaises qu'elle foule depuis des années. Sa Corée natale, tel un astre céleste, guide ses pas et embrase son âme. « Comment s'épanouissent les vignobles familiaux en cette saison étouffante ? » Son intérêt sincère se porte vers ces ceps nourris par la terre, consciente de l'importance
MADE BY @ICE AND FIRE.
- résumé:
- J'ai fait un peu long, désolé, les mots coulaient. Yurim observe la foule et juge tous les gueux qui viennent de pénétrer dans la salle, surtout les Romanov qu'elle exècre. Elle observe avec mystère et méfiance les Kama et les Shafiq échanger des mots. Puis elle se fait malencontreusement bousculer par Livia de Runes. Elle entame une conversation pleine de bienveillance, digne de sa personne impériale, avec @"Cosmo de Runes". Elle savoure le doux nectar issu des vignobles des de Runes, des conversations lascives de son rang. Elle l'interroge sur la gestion des vignobles de sa famille et la chape de plomb qui pèse sur lui dans cette gestion. Si tu veux que je modifie quelque chose n'hésite pas chouchou
InvitéInvité
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(#) Re: [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Invité le✦ ✧ event 1 - fééries estivales ✧ ✦
↺ << ▷ >> ⋮≡
⌜ O O T D ⌟ — ❛ i liked Hell, i liked to go there alone, relieved to lie in the wreckage, ruined, physically undone. the worst had happened. what else could hurt me then ? ❜
— Les premières notes du psaume nocturne détonnent dans l'air que chaque sorcier et sorcière absorbe sans savoir ce qu'ils ingèrent. Dans ce microcosme estivale l'héritier bicéphale (( d'ici et de là-bas )) avance et s'impose de ses ombres et de son honneur en fragrance infâme. Douces notes fleuries d'où est promis la pire des fourberie. Venimeux autant qu'il adore ce qui se tisse de secrets et d'or. Aussi un jour, Kang-Dae le sait, il sera de ceux qui organisent telles soirées. -- tu ne seras pas à jamais condamné à n'être que simple invité.
Coupe de champexplosif trouve sa paume quand un plateau dépasse ses épaules drapées d'un blanc-mensonge. L'innocence en parure. La clarté en méfait. Laissant se tracer sur ses traits mordorés tout ce qu'on voudra bien y voir et y cacher - ( à eux de décider quels monstres y dessiner ) - . Regard d'ébène croise les silhouettes R o m a n o v et le nez se retrouve en prédateur offensé. Venin moqueur se taille la part du tourbillon qui révèle des récifs d'opinions plus abjects les unes que les autres. En voilà une famille qui n'eu que la pitié des Grands pour s'en sortir. En voilà de celles que Kang-Dae dépasse sans adresser la moindre des politesses. C'est qu'eux ne s'étaient pas contentés de manger dans les paumes et les trousses des rois pour ne pas rester en bas. C'est que Joseon, en nom impérial conservé, n'avait pas hésité à œuvrer pour garder la puissance que moldus et sorciers eurent pourtant tant essayé d'arracher. Feintant l'aveuglement des puissants, juste un temps, Kang-Dae s'adonne à la jubilation de se savoir ici par la force de son sang et de son travail, de son rang et de ses richesses, plutôt que par la seule bassesse des méninges en insecte d'allégresse. -- jamais chien, petit prince.
Mais c'est une légère agitation qui vient rompre le fil de pensée et mépris assumé. Vigilance constante ne saurait quitter le cadet quand il s'agit de la plus jeune des adorées. Yurim du coin de l'œil et échanges surveillés quand c'est la silhouette du sorcier qu'il reconnait. Cosmo en phare insoupçonné. Commissures s'ourlent d'un ravissement discret et les pas de Kang-Dae le ramènent à celle qu'il connait et celui qu'il apprécie. — Cosmo, enfin. discussion interrompu (( geste voulu ? )) bien que l'œnologie fasse partie des matières apprises et apprécié, le renard ne saurait laisser une telle discussion évoluer sans qu'il ne puisse y garder un œil de sureté. — J'eu crains de ne pas vous voir en cette charmante soirée. puisqu'il sait. La lune. Les dates. Les outrages et les carnages. Il sait. — Levons nos verres, à cette célébration qui, je l'espère, saura aider ces orphelins en leur offrant un avenir meilleur. des demains plus sereins et des cataplasmes pour leurs âmes d'êtres sans parents. Atrophié de moitié, Kang-Dae lève sa coupe, regarde tour à tour sa soeur et Cosmo, Yurim et son ami. — A eux, qui seront le futur de la France. puis, plus bas — A nous, qui en sommes le présent. (( santé ! ))
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- résumé:
- Kang-Dae fait le tour de l'assemblée et en profite pour railler les Romanov ( ) un petit coup. Quand il aperçoit Yurim et Cosmo échanger, il les rejoint sans tarder et porte un toast.
Antoinette de ValeforInvité
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(#) Re: [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Antoinette de Valefor leEvent n°1 - Féerie estivale To believe in faeries is to step into an enchanted space where the rational mind meets the irrational heart |
「 13.07.1927 」Il y avait un nombre incalculable d’heures de travail dans la préparation de cette réception au profit de l’orphelinat magique de France. La Maison d’Ilithyie était un établissement qu’elle parrainait avec une divine ferveur. Finalement, est-ce que le sort des enfants lui importait ? Parfaitement, le sort de ces enfants dessinerait l’avenir de la France magique. Et malicieusement savoir qui sont les bienfaiteurs pourrait redorer le blason d’une famille constamment sur le fil. N’allez pourtant pas croire qu’elle était si calculatrice. Le milieu de l’été avait toujours été propice à quelques mondanités, et dénué de son droit de citoyenne, la Princesse ne pouvait que siroter une coupe de champexplosif en regardant les liens politiques se nouer. Alors oui, l’organisation de cette féerie estivale avait pris un temps infini, mais pour un résultat bien plus qu’exceptionnel.
Morgane merci, elle avait bénéficié de l’aide d’Antoine et de Gabrielle pour honorer ses nombreuses commandes. Etheirys était d’une rentabilité exceptionnelle lors de la saison — et surtout celle de l’été. Alors pousser à l’achat d’une belle toilette était tout autant bénéfique pour ses affaires, que pour celui de la famille De Runes qui pourrait briller par l’excellence de ses produits. Bien. C’est vrai, elle aurait pu avoir la décence de choisir de collaborer avec une autre famille magique… Et en plus de cela, trouver un lieu de réception dans le beau Paris, ou dans une demeure royale. Mais la féérie évoquait la campagne, les saules pleurant des guirlandes de verre enchanté, les courbes élégantes d’une fontaine en plein milieu d’une villégiature pastorale. Cela avait été une longue négociation, un panel d’avantage pour la famille hôte. Cependant, le lieu de réception portait parfaitement son empreinte artistique. Des pivoines, les bougies, des tables où l’on disposait boissons et mets délicats alors que des volées de serveurs serpentaient entre les convives pour satisfaire leurs envies en cas de besoin.
Pourtant, la blonde se savait comme un loup dans une bergerie. Ancienne épouse, elle savait que son ancienne belle-famille n’était pas en odeur de sainteté. Et pourtant Hadès se tenait là, à la recherche de ses cousines. Antoinette veillant de loin sur son fils aîné.
La princesse ne manque pas de remarquer l’arrivée dela famille Joseon , également celle d’un Romanov . Finalement dans ce panier de crabes, sur son sol, ces gens avaient bien plus de pouvoir qu’elle n’en aurait jamais. Enfin, c’est l’arrivée de sa sœur aînée et de son époux , qui fait sourire la colombe. Finalement, ils seraient là pour la soutenir. Son royal frère aîné et son horrible Reine n’ayant pas donné de réponse claire à la benjamine de la famille. Neith , toujours égale à elle-même, resplendit dans sa robe. Finalement, Antoinette ferait mieux, elle aussi de s’avancer dans la lumière. Mais souvent, elle préférait capturer l’ombre afin d’éviter les pensées parasites des personnes présentes. Elle pouvait réussir à le faire. Elle l’avait toujours fait n’est-ce pas ?
Alors, un visage tendre de façade, elle est tendue. Sa robe était sa vitrine, autant celle de la princesse que celle de la styliste. Des voiles argentés, brodés par mille perles et de fil d’argent, tout cela flottait dans son sillage, alors que ses longues manches flottaient dans sa marche. Elle était à la fois si légère et si découverte, qu’on en oublierait presque le poids de la tiare qu’elle portait dans ses longs cheveux d’or — remonté en un chignon romantique, piqué des mêmes pivoines que celle décorant la salle. Alors loin d’être une mauvaise hôtesse, elle attrape une coupe qu’on lui tend doucement, souriante, avant de trinquer avec son cô-hôte, le patriarche De Runes. Elle priait tellement intérieurement pour que tout se passe bien. Elle priait si fort, mais, rien ne pouvait élever de son visage son air si serein qui cachait les mille et une tempête qui grondaient en son sein.
Elle cherchait mentalement de l’air. Où était Alcryst ? Et Hadès ? Était-elle suffisante ? Et son ami nouvellement appelé Apollon serait-il là lui aussi ? Finalement sous le feu des chandelles qu’elle avait choisies, elle se sentait bien seule à lutter pour une noble cause, en remarquant fatalement, elle avait organisé la plus belle et plus dangereuse des dernières fêtes de la saison, avant que la politique ne mette la France Magique dans tous ses états. Peut-être était-ce la dernière bulle de tranquillité avant l’orage.
Enfin, elle arrive à s’écarter du patriarche, se retrouvant étrangement solitaire au milieu de cette foule.
résumé : Antoinette est à l'écart de la soirée. C'est après l'arrivée des premiers convives qu'elle décide de se montrer, trinquant avec le patriarche de Runes. Avant de finalement se retrouver seule parmi ses invités. (Elle panique aussi un peu :') )
Morgane merci, elle avait bénéficié de l’aide d’Antoine et de Gabrielle pour honorer ses nombreuses commandes. Etheirys était d’une rentabilité exceptionnelle lors de la saison — et surtout celle de l’été. Alors pousser à l’achat d’une belle toilette était tout autant bénéfique pour ses affaires, que pour celui de la famille De Runes qui pourrait briller par l’excellence de ses produits. Bien. C’est vrai, elle aurait pu avoir la décence de choisir de collaborer avec une autre famille magique… Et en plus de cela, trouver un lieu de réception dans le beau Paris, ou dans une demeure royale. Mais la féérie évoquait la campagne, les saules pleurant des guirlandes de verre enchanté, les courbes élégantes d’une fontaine en plein milieu d’une villégiature pastorale. Cela avait été une longue négociation, un panel d’avantage pour la famille hôte. Cependant, le lieu de réception portait parfaitement son empreinte artistique. Des pivoines, les bougies, des tables où l’on disposait boissons et mets délicats alors que des volées de serveurs serpentaient entre les convives pour satisfaire leurs envies en cas de besoin.
Pourtant, la blonde se savait comme un loup dans une bergerie. Ancienne épouse, elle savait que son ancienne belle-famille n’était pas en odeur de sainteté. Et pourtant Hadès se tenait là, à la recherche de ses cousines. Antoinette veillant de loin sur son fils aîné.
La princesse ne manque pas de remarquer l’arrivée de
Alors, un visage tendre de façade, elle est tendue. Sa robe était sa vitrine, autant celle de la princesse que celle de la styliste. Des voiles argentés, brodés par mille perles et de fil d’argent, tout cela flottait dans son sillage, alors que ses longues manches flottaient dans sa marche. Elle était à la fois si légère et si découverte, qu’on en oublierait presque le poids de la tiare qu’elle portait dans ses longs cheveux d’or — remonté en un chignon romantique, piqué des mêmes pivoines que celle décorant la salle. Alors loin d’être une mauvaise hôtesse, elle attrape une coupe qu’on lui tend doucement, souriante, avant de trinquer avec son cô-hôte, le patriarche De Runes. Elle priait tellement intérieurement pour que tout se passe bien. Elle priait si fort, mais, rien ne pouvait élever de son visage son air si serein qui cachait les mille et une tempête qui grondaient en son sein.
Elle cherchait mentalement de l’air. Où était Alcryst ? Et Hadès ? Était-elle suffisante ? Et son ami nouvellement appelé Apollon serait-il là lui aussi ? Finalement sous le feu des chandelles qu’elle avait choisies, elle se sentait bien seule à lutter pour une noble cause, en remarquant fatalement, elle avait organisé la plus belle et plus dangereuse des dernières fêtes de la saison, avant que la politique ne mette la France Magique dans tous ses états. Peut-être était-ce la dernière bulle de tranquillité avant l’orage.
Enfin, elle arrive à s’écarter du patriarche, se retrouvant étrangement solitaire au milieu de cette foule.
résumé : Antoinette est à l'écart de la soirée. C'est après l'arrivée des premiers convives qu'elle décide de se montrer, trinquant avec le patriarche de Runes. Avant de finalement se retrouver seule parmi ses invités. (Elle panique aussi un peu :') )
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(#) Re: [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Invité leFéerie estivale 13 juillet 1927, Domaine du Crépuscule, Champagne |
Il est présent sans vraiment l’être, se donnant l’excuse juste de surveiller Livia plutôt que de s’intéresser au monde qui l’entoure, personnes qui seront sur le domaine pour un moment. Combien de temps en aura-t-il à jouer le sociable ? Aucune idée. Le rôle lui va plutôt bien dans l’ensemble mais la raison de ce rassemblement ne lui donne pas l’envie de s’y intéresser plus que mesure alors qu’il devrait. Chaque interaction a sa signification qu’il serait bon se savoir interpréter. Il sait que c’est un perpétuel jeu de celui qui interprétera en premier les intentions de l’autre dans ce genre de moment qui n’est pas simplement pour lever un verre à la santé des orphelins. Surveiller Livia est alors bien vite mis en second plan même s’il sait qu’elle fera attention du moins le plus qu’elle puisse dans un tel moment ou tout lui semblera nouveau, curieux à observer.
Il se débrouille comme il peut alors qu’il semble décalé. Le visage ne lui est pas inconnu même s’ils ne se sont que rarement croisés. C’est l’occasion, c’est vrai qu’il lui connait mieux son frère qui ne tardera pas comme souvent dans ces moments ou ils se veulent chacun protecteur de leur soeur. La coupe de Champexplosif est l’aide bienvenue même si la princesse à la robe qui n’a rien à envier celles des princesses françaises ne semble pas en vouloir à sa cadette. Il est soulagé sans le montrer, la soirée peut continuer comme elle a commencé, dans ces discussions mondaines qui mèneront peut-être à des rapprochements dans un futur proche, qui sait ? Que cela soit d’affaire ou d’autres rapprochements parfois plus complexes qu’il n’y parait, il y a toujours de quoi observer pour celui qui sait comment décrypter. Il ne peut dire qu’il sait mais d’expérience, il sait ceci : ceux qui se mettent facilement en retrait sans y voir la un acte de faiblesse, sont bien souvent ceux qui font attention aux détails les plus infimes. Alors qu’il choisi de ne pas tant y faire attention, il se demande ce que Yurim aura observé ce soir quand la discussion tourne facilement autour de la France et des produits du terroir, du domaine du Crépuscule qu’il ne reprendra pas de sitôt même s’il a choisi de revenir travailler auprès des siens.
Cosmo hoche la tête à ces paroles pleines de sens. « Nous avons souvent tendance à oublier ce que nous avons été jadis. » S’il a oublié Cosmo ? Une partie est cachée dans les méandres des souvenirs qu’il ne parvient pas à atteindre, d’autres s’effacent avec le temps. Il en retient d’autres plus liés à des moments de joie comme de peine, le plus souvent liés aux de Runes, d’autres qu’il ne va pas évoquer ici. « A force nous devenons casaniers, c’est une bonne chose que de nous pousser à parcourir la France, pour commencer. » Il aimerait bien découvrir les pays éloignés même s’il lui est arrivé de se déplacer pour la curiosité de la botanique ces derniers mois. Pas autant qu’il le souhaiterait, cependant. « Oh nous n’avons pas à nous plaindre. Sans la magie, nous aurions beaucoup moins de récolte cette année. D’autres sont beaucoup moins chanceux. » La chance de pouvoir pallier aux caprices des vignes tout autant que de la nature avec ce don que les moldus ne possèdent pas. C’est bien grâce à la magie que le Champexplosif est si particulier, si fin tout en saveur comparé aux Champagnes moldus qu’il apprécie tout autant déguster.
Il a un sourire quand elle parle du domaine, de la gestion de ce patrimoine qu’il devra avoir à gérer un jour ou l’autre. « Ne mettons pas tout de suite nos aînés six pieds sous terre. » Il est amusé plus qu’autre chose en vérité de ce qu’elle sous-entend parce qu’il a beau aider depuis quelques années, il n’est pas prêt à reprendre le Domaine du Crépuscule. Il aime avoir son grand-père et Albedo à ses côtés pour l’aider. Il aime cette idée d’une gestion familiale avec plusieurs générations qui s’entraident plus qu’à se chercher querelles. Un sourire intrigué, quoiqu’amusé s’invite quand Kang-Dae vient les rejoindre, sans surprise, malgré les mots prononcés. Il lève son verre à son tour, à ces mots bien choisis pour les deux générations qui façonneront le futur de ce pays qui évolue mais dont les mentalités sont parfois encore beaucoup trop tenaces pour les changer. Il choisi de ne pas parler de son absence qui n’aurait pas été souhaitable dans cette soirée organisée chez eux. La voix est posée quoique plus basse quand il parle à son tour. « Puissions-nous avoir le courage de vouloir que les temps changent. » C’est nébuleux, il le sait. « Mais j’ai bien peur que ce ne soit de trop pour les anciens qui perpétuent ces soirées mondaines en pensant la jeune génération bien incapable de comprendre ce qu’ils préparent. » Oh il ne comprend pas Cosmo pas tout, mais comme il l’a déjà pensé : les orphelins ne sont qu’un prétexte pour chaque personne présente ici pour des raisons qui leur son propre, il en reste persuadé.
Il se débrouille comme il peut alors qu’il semble décalé. Le visage ne lui est pas inconnu même s’ils ne se sont que rarement croisés. C’est l’occasion, c’est vrai qu’il lui connait mieux son frère qui ne tardera pas comme souvent dans ces moments ou ils se veulent chacun protecteur de leur soeur. La coupe de Champexplosif est l’aide bienvenue même si la princesse à la robe qui n’a rien à envier celles des princesses françaises ne semble pas en vouloir à sa cadette. Il est soulagé sans le montrer, la soirée peut continuer comme elle a commencé, dans ces discussions mondaines qui mèneront peut-être à des rapprochements dans un futur proche, qui sait ? Que cela soit d’affaire ou d’autres rapprochements parfois plus complexes qu’il n’y parait, il y a toujours de quoi observer pour celui qui sait comment décrypter. Il ne peut dire qu’il sait mais d’expérience, il sait ceci : ceux qui se mettent facilement en retrait sans y voir la un acte de faiblesse, sont bien souvent ceux qui font attention aux détails les plus infimes. Alors qu’il choisi de ne pas tant y faire attention, il se demande ce que Yurim aura observé ce soir quand la discussion tourne facilement autour de la France et des produits du terroir, du domaine du Crépuscule qu’il ne reprendra pas de sitôt même s’il a choisi de revenir travailler auprès des siens.
Cosmo hoche la tête à ces paroles pleines de sens. « Nous avons souvent tendance à oublier ce que nous avons été jadis. » S’il a oublié Cosmo ? Une partie est cachée dans les méandres des souvenirs qu’il ne parvient pas à atteindre, d’autres s’effacent avec le temps. Il en retient d’autres plus liés à des moments de joie comme de peine, le plus souvent liés aux de Runes, d’autres qu’il ne va pas évoquer ici. « A force nous devenons casaniers, c’est une bonne chose que de nous pousser à parcourir la France, pour commencer. » Il aimerait bien découvrir les pays éloignés même s’il lui est arrivé de se déplacer pour la curiosité de la botanique ces derniers mois. Pas autant qu’il le souhaiterait, cependant. « Oh nous n’avons pas à nous plaindre. Sans la magie, nous aurions beaucoup moins de récolte cette année. D’autres sont beaucoup moins chanceux. » La chance de pouvoir pallier aux caprices des vignes tout autant que de la nature avec ce don que les moldus ne possèdent pas. C’est bien grâce à la magie que le Champexplosif est si particulier, si fin tout en saveur comparé aux Champagnes moldus qu’il apprécie tout autant déguster.
Il a un sourire quand elle parle du domaine, de la gestion de ce patrimoine qu’il devra avoir à gérer un jour ou l’autre. « Ne mettons pas tout de suite nos aînés six pieds sous terre. » Il est amusé plus qu’autre chose en vérité de ce qu’elle sous-entend parce qu’il a beau aider depuis quelques années, il n’est pas prêt à reprendre le Domaine du Crépuscule. Il aime avoir son grand-père et Albedo à ses côtés pour l’aider. Il aime cette idée d’une gestion familiale avec plusieurs générations qui s’entraident plus qu’à se chercher querelles. Un sourire intrigué, quoiqu’amusé s’invite quand Kang-Dae vient les rejoindre, sans surprise, malgré les mots prononcés. Il lève son verre à son tour, à ces mots bien choisis pour les deux générations qui façonneront le futur de ce pays qui évolue mais dont les mentalités sont parfois encore beaucoup trop tenaces pour les changer. Il choisi de ne pas parler de son absence qui n’aurait pas été souhaitable dans cette soirée organisée chez eux. La voix est posée quoique plus basse quand il parle à son tour. « Puissions-nous avoir le courage de vouloir que les temps changent. » C’est nébuleux, il le sait. « Mais j’ai bien peur que ce ne soit de trop pour les anciens qui perpétuent ces soirées mondaines en pensant la jeune génération bien incapable de comprendre ce qu’ils préparent. » Oh il ne comprend pas Cosmo pas tout, mais comme il l’a déjà pensé : les orphelins ne sont qu’un prétexte pour chaque personne présente ici pour des raisons qui leur son propre, il en reste persuadé.
LOOM OF FATE | 2023
- Résumé:
- Cosmo discute oenologie avec Yurim quand Kang-Dae s'invite. Il approuve le toast lancé tout en doutant que les choses évolueront un jour. @Yurim Joseon @Kang-Dae Joseon N'hésitez pas si je dois modifier quelque chose
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(#) Re: [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Guilhem d'Apcher leLadies and gents, this is the moment you've waited for (whoa) Been searching in the dark, your sweat soakin' through the floor (whoa) |
Quelle étrange sensation, que de se sentir à la fois parfaitement à sa place et terriblement… en train de patauger dans un nuage sans rien de la grâce féerique qu’il prétendait avoir. Apollon Bellemain n’est pas un convive, mais il venu prêter ses services de musicien, à la demande de sa douce amie et âme charitable, la princesse Antoinette en personne. Mais ni l’amitié, ni la flatterie n’avaient suffit à lui faire accepter de se mêler à ce cercle si restreint de son passé, au risque que la soirée tourne vite au vinaigre. Non… Il avait fallu qu’elle lui propose de lui prêter le temps d’une soirée magique une de ses créations de haute couture.
Il n’était qu’un homme, et un homme fort vain en plus de ça.
Comment aurait-il pu résister ?
Mais maintenant, il regrettait. Pas d’Apcher en vue (Morgane merci), mais @Eugène Babineaux et le son de familier de sa guiterne. Il doit se retenir, presque physiquement, d’attendre son tour, de ne pas aller le rejoindre (parce qu’il serait certainement meilleur accompagnant qu’une flûte enchantée) ou de fuir (la pulsion est puissante, malgré le verre déjà à moitié vidé dans sa main). Apollon patientait, en retrait, près d’une harpe classique de toute beauté qui avait été placée dans la salle, non loin d’un piano. Cela faisait des années, qu’il n’avait pas joué sur cette sorte de harpe, mais elle allait de pair avec le décor, féerique et champêtre, un malin ayant même fait accrocher quelques pivoines sur la colonne. De pair avec lui-même, sous le thème de lawisteria et ses mystères envoûtants, chemise couleur glycine brodée par des doigts délicats, lyre accrochée à sa taille par un ingénieux système semblable à ceux fleurs tombantes dont il avait les couleurs… et pour couronner le tout, une couronne de fleurs posées sur ses boucles sombres. Ah, en parlant de cela, voilà la reine des fées en personne qui apparaît, @Antoinette de Valefor qu’il s’empresse de rejoindre avant qu’elle ne soit alpaguée par les requins.
« Princesse, que dis-je, Titania ! Vous éclipsez nous autres mortels. » Révérence parfaitement maîtrisée, et sourire mutin. Le flatteur semble d’humeur guillerette, angoisse cachée sous le masque. « Le décor est de toute beauté, l'alcool coule à flot, ne manque plus que ma musique pour que la soirée soit parfaite. Mes compliments. » Il ne peut pas s’attarder à ses côtés, pas résister à l’appel enchanteur de la scène même s’il à conscience que ce public n’est pas là pour lui ni aucun autre des artistes du soir. Ils ne sont que des distractions, des sirènes bien utiles pour vider les bourses et servir la cause. Jolies choses sans intérêt. « Tentez de passer une bonne soirée vous aussi... ah ! J'oubliais. Le premier morceau a été composé pour l’occasion, j’espère qu’il sera à votre goût. Un cadeau, si je puis dire. »
Dernier sourire solaire décoché, et le voilà qui repart se mettre en position, assis derrière la harpe. C’est son tour, de briller. Les yeux se ferment et les doigts caressent les cordes, les pieds les pédales, le reste du monde cesse d’exister pour lui, le temps de quatre musiques, le temps de quelques battements qui lui permettent d’oublier toutes les raisons pour lesquelles il serait mille fois mieux partout ailleurs qu’en ces lieux.
Il n’était qu’un homme, et un homme fort vain en plus de ça.
Comment aurait-il pu résister ?
Mais maintenant, il regrettait. Pas d’Apcher en vue (Morgane merci), mais @Eugène Babineaux et le son de familier de sa guiterne. Il doit se retenir, presque physiquement, d’attendre son tour, de ne pas aller le rejoindre (parce qu’il serait certainement meilleur accompagnant qu’une flûte enchantée) ou de fuir (la pulsion est puissante, malgré le verre déjà à moitié vidé dans sa main). Apollon patientait, en retrait, près d’une harpe classique de toute beauté qui avait été placée dans la salle, non loin d’un piano. Cela faisait des années, qu’il n’avait pas joué sur cette sorte de harpe, mais elle allait de pair avec le décor, féerique et champêtre, un malin ayant même fait accrocher quelques pivoines sur la colonne. De pair avec lui-même, sous le thème de la
«
Dernier sourire solaire décoché, et le voilà qui repart se mettre en position, assis derrière la harpe. C’est son tour, de briller. Les yeux se ferment et les doigts caressent les cordes, les pieds les pédales, le reste du monde cesse d’exister pour lui, le temps de quatre musiques, le temps de quelques battements qui lui permettent d’oublier toutes les raisons pour lesquelles il serait mille fois mieux partout ailleurs qu’en ces lieux.
LOOM OF FATE | 2023
- Résumé :
- -il attend près d'une grande harpe classique que ce soit son tour de jouer, vêtu d'une tenue de haute couture que lui a prêté Antoinette
-il découvre que Eugène est là et apprécie son concert en se retenant de le rejoindre ou de fuir
-il passe saluer et payer ses respects extravagants à Antoinette lorsqu'il la voie seule au milieu de la pièce, et la complimente aussi (et s'auto-complimente, mais ce n'est qu'un détail
-il fini par aller jouer 3 morceaux sur la harpe (vous pouvez cliquer sur les notes de musique pour avoir les sons si ça vous dit
song of moon and sun
song of loss and freedom
anaphore
Némésis Le BihanATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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Rythme de jeu : Papillon
Warning : Violence physique et verbale, préjugés de sang, alcool et drogues
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Disponibilité RP : De la place pour 1 à 2 RPs
Couleur Dialogue : Bold, sans couleur
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Multicomptes : Giacomo de Medici
Galahad Anderson
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Âge perso : 27 ans
Nature du sang : Sang-Mêlée
Etat Civil : Papillonne
Occupation : Coach de musique bretonne, militante politique, petits boulots par-ci par-là
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(#) Re: [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Némésis Le Bihan leFéerie estivale Mais c’est l’heure de l’insouciance au royaume de la négligence |
Elle fait tache, Némésis, au milieu de ces grands noms au sang célèbre, aux robes précieuses et aux poches remplies. Elle fait tache, et elle n'a pas vraiment fait d'effort pour corriger ça. Juste une tenue assez élégante pour ne pas être recalé à l'entrée, un costard sombre bordé par endroits de discrets motifs rappelant la dentelle de sa région. Une tenue qui n'a rien de féminin - elle n'a même pas fait l'effort de se parer de bijoux ou de soigner sa coiffure. Mais il est beaucoup pardonné aux artistes, et elle a toujours su en jouer. Cela dit, si c'est bien sa renommée musicale qui lui a valu son invitation, elle n'a nulle intention de se produire ce soir. Car c'est la perspective de jouer pour leurs divins souverains qui a brisé les Brides Abattues. Et son avis sur la question n'a pas changé. L'invitation a donc failli finir à la poubelle, avant qu'elle ne voie dans l'évènement une bonne façon de tâter le terrain politique actuel. Les élections approchent, et elle ne crache jamais sur une bonne occasion d'inspirer sa prochaine tirade, ou, allez savoir, d'exposer un nouveau scandale.
Fidèle à elle-même, elle n'est pas arrivée dans les premières. L'endroit est déjà bondé, scintillant de tenues élaborées, bruyant de conversations distinguées, grouillant de personnel empressé. Elle attrape une coupe dans un plateau trimballé si prestement qu'il a faillit lui emboutir l'arcade. Et répond d'un geste de main nonchalant aux excuses du serveur, trop pressé un instant plus tôt pour baisser les yeux sur elle. Sans son passif de musicienne, peut-être aurait-elle fait partie de leurs rangs ce soir. Encore que. Nul doute que même les employés sont triés sur le volet, dans un lieu pareil. Son sang et ses ancêtres ne lui auraient probablement pas permis de faire partie des heureux élus ... Tandis qu'elle se fraye un passage dans la foule lui parviennent des notes de cordes familières. Elle s'immobilise, prête l'oreille aux dernières notes qu'Eugène tire de ses instruments. Encore que c'est lui donner beaucoup de crédit, car un coup d'œil vers la discrète scène lui apprend qu'il a enchanté la flûte qui l'accompagne. Némésis réprime une grimace désapprobatrice. Elle n'aime pas mêler magie et musique. Mais ses sentiments à l'égard de son ancien acolyte sont trop nébuleux, trop mêlés de culpabilité, pour qu'elle aille lui faire la remarque elle-même. Au contraire, elle n'attend pas qu'il descende de scène pour se mêler de nouveau à la foule, espérant disparaître à son regard.
Elle porte enfin la coupe à ses lèvres, y vole une petite gorgée, camoufle une grimace. Trop pétillant, pas assez goûteux, elle ne parvient pas à comprendre ce qui attire les mondains dans cette boisson coûteuse. Mais la grimace apparaît pour de bon quand elle reconnaît les notes de l'artiste suivant. Décidément, est-ce tout son ancien groupe qui a décidé de venir jouer les ménestrels ce soir ? Le simple fait qu'ils aient tous été invités, sans distinction, témoigne de l'aveuglement des organisateurs. Némésis lève les yeux au ciel, puis sa grimace se change en une expression mutine. Jouant de sa petite taille pour se faufiler dans la foule, elle rejoint le premier rang, prétend y flâner sans grand intérêt. Assez longtemps pour qu'il lève les yeux, et qu'elle en profite pour accrocher son regard. Le feu du mépris brûle dans ses prunelles. Peut-être assez puissant pour lui tirer une fausse note ? Rien n'est moins sûr, Guilhem est après tout un artiste accompli, il faut le lui reconnaître. Mais s'y essayer valait le détour. Elle ne s'attarde donc pas, profite d'un instant de flottement pour disparaître à nouveau entre deux riches sorcières venues s'extasier. Elle a mieux à faire que de rester moisir à l'écouter.
Fidèle à elle-même, elle n'est pas arrivée dans les premières. L'endroit est déjà bondé, scintillant de tenues élaborées, bruyant de conversations distinguées, grouillant de personnel empressé. Elle attrape une coupe dans un plateau trimballé si prestement qu'il a faillit lui emboutir l'arcade. Et répond d'un geste de main nonchalant aux excuses du serveur, trop pressé un instant plus tôt pour baisser les yeux sur elle. Sans son passif de musicienne, peut-être aurait-elle fait partie de leurs rangs ce soir. Encore que. Nul doute que même les employés sont triés sur le volet, dans un lieu pareil. Son sang et ses ancêtres ne lui auraient probablement pas permis de faire partie des heureux élus ... Tandis qu'elle se fraye un passage dans la foule lui parviennent des notes de cordes familières. Elle s'immobilise, prête l'oreille aux dernières notes qu'Eugène tire de ses instruments. Encore que c'est lui donner beaucoup de crédit, car un coup d'œil vers la discrète scène lui apprend qu'il a enchanté la flûte qui l'accompagne. Némésis réprime une grimace désapprobatrice. Elle n'aime pas mêler magie et musique. Mais ses sentiments à l'égard de son ancien acolyte sont trop nébuleux, trop mêlés de culpabilité, pour qu'elle aille lui faire la remarque elle-même. Au contraire, elle n'attend pas qu'il descende de scène pour se mêler de nouveau à la foule, espérant disparaître à son regard.
Elle porte enfin la coupe à ses lèvres, y vole une petite gorgée, camoufle une grimace. Trop pétillant, pas assez goûteux, elle ne parvient pas à comprendre ce qui attire les mondains dans cette boisson coûteuse. Mais la grimace apparaît pour de bon quand elle reconnaît les notes de l'artiste suivant. Décidément, est-ce tout son ancien groupe qui a décidé de venir jouer les ménestrels ce soir ? Le simple fait qu'ils aient tous été invités, sans distinction, témoigne de l'aveuglement des organisateurs. Némésis lève les yeux au ciel, puis sa grimace se change en une expression mutine. Jouant de sa petite taille pour se faufiler dans la foule, elle rejoint le premier rang, prétend y flâner sans grand intérêt. Assez longtemps pour qu'il lève les yeux, et qu'elle en profite pour accrocher son regard. Le feu du mépris brûle dans ses prunelles. Peut-être assez puissant pour lui tirer une fausse note ? Rien n'est moins sûr, Guilhem est après tout un artiste accompli, il faut le lui reconnaître. Mais s'y essayer valait le détour. Elle ne s'attarde donc pas, profite d'un instant de flottement pour disparaître à nouveau entre deux riches sorcières venues s'extasier. Elle a mieux à faire que de rester moisir à l'écouter.
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- Résumé:
- Némésis était invitée en tant que musicienne mais
ne compte pas se produire - pour les royaux, vraiment, manquerait plus que ça. Elle s'est tout de même pointée pourtâter le terrain politique et inspirer son prochain pamphlet. Elle prend soin de se faire apercevoir de @Guilhem d'Apcher, espérant sans y croire le déconcentrer, et essaye tout aussi soigneusement d'éviter @Eugène Babineaux. Elle traine ses oreilles partout, alors n'hésitez pas à alpaguer la star ! Elleserait ravie d'apprendre ce que devient Eugène - mais si possible par d'autres que lui
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(#) Re: [TERMINÉ] Event #1 > Féerie estivale
missive rédigée par Invité leFéerie estivale 13 juillet 1927 à 18h, Domaine du Crépuscule, Champagne | Température : 27 degrés |
Les regards que me jetaient les héritiers de la couronne Joensen étaient tout aussi remplis de haine que celui que je leur avais réservé. Le pire dans tout ça, c’est qu’au final je ne savais même pas pourquoi je le détestais, pourquoi on se détestait. La haine entre le nos familles était ancestrale et on nous avait mutuellement éduqué en apprenant à l’honorer. Cette haine était notre raison d’être. Elle brulait dans nos yeux. Elle était comme un serpent dans nos veines. Pour l’heure toujours aucun signe de ma sœur. J’espérais qu’elle serait là. Car elle n’aurait pas le choix, dans ce genre de soirée, que de faire semblant. Elle n’aurait d’autres choix que de nous parler à père et à moi. Mais pour l’heure elle n’était pas là. Cela ne m’étonnait guère car elle savait se faire désirer Kamila. Des notes de musiques me chatouillèrent les oreilles. Je détournais les yeux de la conversation dans lequel père m’avait entrainé avec une famille très importante pour voir d’où venait la musique. Mon corps manqua de s’arrêter dans ma poitrine quand je le reconnus. @Eugène Babineaux . Je n’oubliais pas cette soirée que nous avions pensé ensemble quelques temps plus tôt. Cette soirée resterait probablement à jamais gravé dans ma mémoire et dans mon corps. Cette soirée était tout simplement inoubliable. Lorsqu’il s’arrêta de jouer, je l’applaudis poliment. Comme les autres convives. Je ne pu résister à l’envie de le suivre du regard lorsqu’il laissa la scène. J’entendis de nouvelles notes de musique résonner mais je ne me tournais pas vers l’artiste. Je continuais de suivre le bel éphèbe du regard. Lorsque son regard se perdit dans le mien, je sentis à nouveau mon palpitant me jouer des tours. Il s’était mis à battre si fort que j’avais l’impression qu’il allait perforer ma poitrine. J’avais très bien compris son jeu de regard, son invitation à le suivre. Le pouvais-je ? Mon père, m’avait confié une mission ce soir. Je ne pouvais pas le décevoir. Je ne pouvais pas tout mettre en péril pour une aventure ? Oh puis si. Je ne pouvais pas lui résister. Tout en continuant à le suivre du regard, je me caressais les tempes comme pour montrer que je commençais à avoir mal au crâne à cause des pensées et émotions de tous ces gens qui commençaient à remplir le lieu des festivités. Ce n’était pas vrai, j’arrivais pour le moment à contrôler ma malédiction. Ce serait cependant plausible.
« Простите, отец, мне нужен свежий воздух (Excusez-moi père, j'ai besoin d'aller prendre l'air) » Sans lâcher mes tempes et sans attendre son accord, je m’engouffrais dans les couloirs. De loin, je suivais Eugène qui de temps en temps se retournait pour voir si je le suivais et me jetait une œillade complice. Il finît par se diriger vers l’extérieur et je le rejoignis. J’étais à quelques centimètres derrière lui. J’avais envie de me glisser derrière lui et de le serrer dans mes bras avant d’embrasser sa nuque que dis-je de la mordre tel un vampire. Je me contentais de lui susurrer à l’oreille « A quoi tu joues Eugène ? » avant de m’avancer pour me mettre face à lui et de plonger mon regard dans le sien. Mon dieu, ce regard, je ne pouvais pas y résister. Je n'ai qu'une envie l'embrasser mais c'est impossible. Pas ici. C'est trop dangereux.
LOOM OF FATE | 2023
- Résumé:
- Nikolaï toujours en compagnie de son père fixe avec toujours autant de haine les Joensen. Une haine qu'ils lui rendent bien. Il entend des notes de musique et se retourne pour y découvrir Eugène. Un garçon dont il a fait intimement connaissance quelques temps auparavant. Lorsqu' Eugène passe devant lui et d'un jeu de regard l'invite à le suivre, il ne peut pas résister. Il fait croire à son père qu'il se sent pas bien à cause de sa malédiction et qu'il a besoin de prendre l'air. Il suit Eugène jusqu'à dehors et lui demande à quoi il joue. Il lutte avec l'envie de l'embrasser.
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