fight club - piotr
Lorenzo de MediciATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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(#) fight club - piotr
missive rédigée par Lorenzo de Medici leFight Club
ft Piotr Medvedev
03 Janvier 1928 - Thème | Voilà plusieurs mois que Piotr était entré à son service. Et que Lorenzo n'avait ni à se plaindre de ses états de fait ni de ses actes. L'homme n'avait rompu aucun des contrats, survécu à toutes les aberrations et observé quelques impossibilités dans les actes de Lorenzo. Le parrain songeait, de plus en plus, à rapprocher le garde du corps de son autre métier. Celui que les ombres rendaient dangereux et où, contre toute attente, il voyait bien Piotr s'engager.
Mais ce soir, il avait une autre idée derrière la tête. Ce soir, alors que la salle était de nouveau vidée (des travaux, offerts au monde, se chargeant seulement d'évacuer le trop plein de sang qui avait été versé et qui tachaient jusqu'au mur), il inspectait les lieux. Il devrait bientôt modifier quelques menus détails. Les combats commençaient à trop se ressembler et Lorenzo avait de nouvelles idées. Empereur d'un autre monde, il voyait déjà des créatures marines dans les arènes, affrontant des hommes sur un terrain qui n'étaient pas le leur. Comme Vespasian avant lui, les jeux le lassait trop vite.
D'un geste, il ordonnait. De l'autre, il exécutait.
Avant de se tourner vers Piotr. Dont le garou lui avait apprit la véritable identité, la véritable odeur. Lorenzo n'en avait pas parlé, pas aussi pleinement. Venait enfin le moment. L'idée stupide, parmi tant d'autre. Vingt minutes plus tôt, il avait prit de la neige pour tenir face à sa journée. Le cerveau fonctionnait trop vite. Pire. Le cocaïne lui faisait pousser des ailes. Ce n'était vraiment l'effet de la poudre. Lorenzo se sentait trop puissants depuis Noël, comme si le monde lui appartenait, comme toujours quand une nouvelle année venait filtrer avec le monde.
Et, comme après chaque Noël, il avait besoin qu'on lui remette les pieds sur terre.
Piotr ? demanda-t-il, ses iris clairs se portant jusqu'à son garde du corps. La question n'en était pas une, simple appel pour capter son attention. Dites moi. N'avez-vous jamais eu envie de me frapper ? Il sourit à sa question. Parce qu'il a envie de se battre. De se battre pour de vrai. Trop longtemps qu'il ne l'a pas fait.
Les autres, autour, connaissent déjà la fin de ce qu'il va se passer. S'éloignent alors que Lorenzo quitte veste de costume et chemise en entrant dans l'arène. La plastique est entretenue quand elle roule sous le mouvement d'épaule, quand il étire les muscles. Il a un physique de combattant, un physique qu'il cache sous des tenues qui ne mettent en valeur que le plastique. La question qu'il vient d'offrir ne sert à rien, tous le savent. Il a prit sa décision. Et, lorsque Lorenzo de Medici ordonne, on s'incline dans l'Antre et on fait ce qu'il veut. Même lorsque cela le met en danger.
Mais ce soir, il avait une autre idée derrière la tête. Ce soir, alors que la salle était de nouveau vidée (des travaux, offerts au monde, se chargeant seulement d'évacuer le trop plein de sang qui avait été versé et qui tachaient jusqu'au mur), il inspectait les lieux. Il devrait bientôt modifier quelques menus détails. Les combats commençaient à trop se ressembler et Lorenzo avait de nouvelles idées. Empereur d'un autre monde, il voyait déjà des créatures marines dans les arènes, affrontant des hommes sur un terrain qui n'étaient pas le leur. Comme Vespasian avant lui, les jeux le lassait trop vite.
D'un geste, il ordonnait. De l'autre, il exécutait.
Avant de se tourner vers Piotr. Dont le garou lui avait apprit la véritable identité, la véritable odeur. Lorenzo n'en avait pas parlé, pas aussi pleinement. Venait enfin le moment. L'idée stupide, parmi tant d'autre. Vingt minutes plus tôt, il avait prit de la neige pour tenir face à sa journée. Le cerveau fonctionnait trop vite. Pire. Le cocaïne lui faisait pousser des ailes. Ce n'était vraiment l'effet de la poudre. Lorenzo se sentait trop puissants depuis Noël, comme si le monde lui appartenait, comme toujours quand une nouvelle année venait filtrer avec le monde.
Et, comme après chaque Noël, il avait besoin qu'on lui remette les pieds sur terre.
Piotr ? demanda-t-il, ses iris clairs se portant jusqu'à son garde du corps. La question n'en était pas une, simple appel pour capter son attention. Dites moi. N'avez-vous jamais eu envie de me frapper ? Il sourit à sa question. Parce qu'il a envie de se battre. De se battre pour de vrai. Trop longtemps qu'il ne l'a pas fait.
Les autres, autour, connaissent déjà la fin de ce qu'il va se passer. S'éloignent alors que Lorenzo quitte veste de costume et chemise en entrant dans l'arène. La plastique est entretenue quand elle roule sous le mouvement d'épaule, quand il étire les muscles. Il a un physique de combattant, un physique qu'il cache sous des tenues qui ne mettent en valeur que le plastique. La question qu'il vient d'offrir ne sert à rien, tous le savent. Il a prit sa décision. Et, lorsque Lorenzo de Medici ordonne, on s'incline dans l'Antre et on fait ce qu'il veut. Même lorsque cela le met en danger.
@Piotr Medvedev
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(#) Re: fight club - piotr
missive rédigée par Piotr Medvedev le"Piotr ?"
L'intéressé relève la tête. Quelques mois déjà qu'il travaille pour De Medici, et il s'est habitué à observer le paysage sans vraiment s'y impliquer, à se confondre au décor pour mieux s'en détacher. L'attention reste aux aguets, toujours, ses sens accueillant toutes les informations dont il a besoin pour détecter la nécessité d'agir. L'Antre pue toujours le sang et la sueur, l'alcool et les relents humains en tous genres. Il a beau tenter de l'ignorer, les odeurs reviennent hanter ses narines et il finit toujours dans un inconfortable mélange de parfums parasitaires, à chercher quelque chose pour le distraire.
Fort heureusement, son patron semble sempiternellement prêt à lui offrir ce dont il a besoin. Lorenzo est un acteur, un pantomime rutilant qui se pavane en public pour mieux s'armer en privé, un paon qui agite ses plumes pour mieux dissimuler qu'elles sont autant de lames. Derrière l'apparat seul l'ego demeure, fil conducteur d'une personnalité à jamais changeante. Piotr le trouve divertissant, à défaut de respectable, et il a appris à apprécier la volatilité de leurs échanges.
"Dites-moi. N'avez-vous jamais eu envie de me frapper ?"
Comme là, par exemple.
Un éclat de rire surpris échappe au soviétique, qui détourne le regard pour mieux secouer la tête. Il sait bien sûr que son interlocuteur s'est enfilé un rail de poudre il y a vingt minutes, sait aussi qu'il n'a aucune chance face à ses poings surentraînés... sait également que la question n'en est pas une. L'homme n'a pas attendu de réponse pour commencer à se déshabiller.
"Hé bien, glisse-t-il tout de même, vous êtes un patron et je suis communiste. Je présume qu'il serait peu naturel que la réponse soit non."
Le ton est léger, les paroles peu gardées. Le loup a appris qu'il peut s'exprimer sans crainte ici ; pas qu'il puisse dire n'importe quoi, mais De Medici a une conscience accrue de sa position et peu de temps à perdre à maintenir des faux semblants. C'est une qualité qu'il apprécie chez lui, à vrai dire.
"Sachez tout de même que j'ai moins envie de vous frapper que d'autres bourgeois, je pense que c'est notable.", ajoute-t-il en ôtant sa veste de costume.
Inutile de tergiverser : gilet et chemise tombent l'un après l'autre, posés sur la table dans l'espoir vain d'éviter les miasmes qui jonchent le sol - ça pue le sang et les liquides corporels, ça pue l'alcool et...
Ses yeux glissent le long de la silhouette longiligne. Lorenzo est noueux, tout de muscles fins qui glissent sous la peau zébrée de cicatrices. Un corps de combattant, qui étonnerait ceux qui connaissent son visage de scène. Pas lui. Piotr observe ses mouvements depuis des mois, son œil acéré coulant sur les affrontements dans les arènes... Il sait. Il a toujours su.
Délesté de ses chaussures, le Russe s'approche de son vis-à-vis. Étire ses doigts par des gestes méthodiques, sans vraiment le regarder. Sourit.
"Ca va vous rappeler des souvenirs, patron : quelles sont les limites ?"
A quel point j'ai le droit de vous cogner avant d'arrêter ?
La poésie ne connaît pas les chiens.
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(#) Re: fight club - piotr
missive rédigée par Lorenzo de Medici leFight Club
ft Piotr Medvedev
03 Janvier 1928 - Thème | Le parrain éclate de rire à la réflexion toute communiste. Bien sur. Ils n'aimaient pas les chefs. Ils n'aimaient pas ceux qui dirigent, ceux qui entrainent sur les terrains glissant de l'argent. Piotr n'avait, pas réellement, choisi la bonne personne pour se tenir loin des billets clairs. Lorenzo se faisait Midas et ce qu'il touchait se gavait d'or et de paraître. Mais l'autre le suit, ôtant la veste en avouant qu'il ne le detestait qu'un peu moins que les autres. Le sourire que Lorenzo offre, en réponse, veut tout dire. Se pare même de la mine enfantine du parfait chenapan, qu'il n'est plus depuis si longtemps. Il a les yeux qui joue, Lorenzo. Les yeux qui s'amusent de tout et surtout de l'instant.
Lorenzo continue à s'échauffer, le cou qui craque alors qu'il le passe d'un côté puis de l'autre. Main dans les cheveux, relevant vers l'arrière ceux qui seront bientôt couvert de sueur et, il l'espére, de sang. Son propre sang. L'autre est un garou. On a raconté bien des choses sur les garous. Il les a vu combattre, encore et encore, sous la poigne de l'ordre d'Agnes. Ils sont meilleurs. Plus sauvages. Plus cruels. Plus dangereux. Le physique de Piotr aurait dû le faire reculer. L'homme est pourtant plus fins que lui. Lorenzo a les muscles qui ont pris en volume. Les biceps féroces. Les pectoraux dessinés. Piotr est bien plus fin. Tout en os noueux qu'il a vu offrir la presque mort à Gaspard. Le loup aurait dû mourir.
Le poing fut retenu pourtant.
Les autres hommes, autour de la piste, savent. Ils n'interviendront pas. Sinon, c'est le parrain lui même qui fera exploser leur cervelle sur le rebord du bitume, dès que la journée se terminera. On ne vient pas quand Lorenzo décide de perdre. On n'intervient pas quand Lorenzo essaye des choses. Seul Pietro serait en mesure de le raisonner. Mais, manque de chance, Pietro n'est pas là ce soir.
Je vous demanderai juste de ne pas me tuer. Les Medici ont, je le pense, encore besoin de moi et réussir à faire expliquer la raison de ma mort sans en étrenner une autre.... Surtout que cela risquerait de mettre fin à votre contrat de travail.
La touche d'humour est soulevée par son immense sourire, celui que partage, parfois, le garde du corps. C'est que le Russe est un Russe particulier. Une pièce rare que dirait même Lorenzo devant public. Il sourit. Il sourit même souvent.
Nous nous arrêterons à la perte de connaissance. Ou l'abandon. Trois coups. Je ne sais pas si vous avez fait de la boxe, Piotr. Mais se seront les même conditions.
Le voilà qui prépare la garde. Poing aux pommettes, jambe gauche légèrement en arrière, main d'attaque préparée. C'est un autre que Lorenzo qui donnera le la. Lui enroule déjà ses mains et poignets de bandes blanches, celles qui tiennent et evitent la blessure, celles qui lui permettent de combattre avec plus de technique. En face, l'homme est formé à tuer. La manière dont il combattait Gaspard ne laissait aucune possibilité différentes. Lorenzo fut créé pour autre chose, pour être vif, pas endurant. Prendre par surprise.
Pas ce soir. Il veut du spectacle ce soir. Plus encore. Il veut avoir mal.
Un plaisir d'échanger. qu'il salue, sans provocation. Nul besoin. Il se sait plus faible.
Le jeu de jambe commence pourtant. Dès qu'on annonce les débuts. Et dès que les billets s'échangent chez ses hommes. Ils ont parié. Certainement pas sur lui. Ils connaissent le patron. On entendu parler du garou dont il s'est accointé, celui qui a mis en déroute un gladiateur. Ne pas les regarder. Ils ne sont que des distractions quand lui a envie de sang. Le sien. Celui de son adversaire. Ce n'est plus le garde du corps qui lui fait face. L'arêne est plus petite. Les yeux deviennent ceux du prédateur. Ceux du combattant. Ceux qui ne s'arracheront jamais de Piotr. Il regarde à droite, le flanc, l'infime ouverte. Frappe en premier. A gauche.
Lorenzo continue à s'échauffer, le cou qui craque alors qu'il le passe d'un côté puis de l'autre. Main dans les cheveux, relevant vers l'arrière ceux qui seront bientôt couvert de sueur et, il l'espére, de sang. Son propre sang. L'autre est un garou. On a raconté bien des choses sur les garous. Il les a vu combattre, encore et encore, sous la poigne de l'ordre d'Agnes. Ils sont meilleurs. Plus sauvages. Plus cruels. Plus dangereux. Le physique de Piotr aurait dû le faire reculer. L'homme est pourtant plus fins que lui. Lorenzo a les muscles qui ont pris en volume. Les biceps féroces. Les pectoraux dessinés. Piotr est bien plus fin. Tout en os noueux qu'il a vu offrir la presque mort à Gaspard. Le loup aurait dû mourir.
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Les autres hommes, autour de la piste, savent. Ils n'interviendront pas. Sinon, c'est le parrain lui même qui fera exploser leur cervelle sur le rebord du bitume, dès que la journée se terminera. On ne vient pas quand Lorenzo décide de perdre. On n'intervient pas quand Lorenzo essaye des choses. Seul Pietro serait en mesure de le raisonner. Mais, manque de chance, Pietro n'est pas là ce soir.
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(#) Re: fight club - piotr
missive rédigée par Piotr Medvedev lePiotr se tient droit face à son futur adversaire, qu'il détaille d'un œil vif et froid à la fois. Le patron se prépare méthodiquement, poings bandés de tissus blancs, muscles échauffés par des mouvements précis... Il ne prend pas les mêmes précautions. Pas par vanité - la vie lui a appris que sous-estimer un ennemi, aussi insignifiant semble-t-il, est le choix le plus idiot à prendre - mais parce que brûle en lui une soudaine soif de sensations. L'adrénaline s'éveille dans ses veines, se fait lave dans son sang, remue dans ses entrailles comme un serpent de feu. Il a envie de sentir. De sentir les coups, les vaisseaux sanguins éclatant sous un impact trop violent, l'hémoglobine éructer d'une plaie nouvelle, les membres s'endolorir sous des mouvements abruptes, les articulations des doigts s'ouvrir contre les os de l'autre...
Cela fait longtemps que le soviétique n'a pas combattu contre quelqu'un sans gravité. La meute est... La meute est un souvenir haï et chéri tout à la fois, parce qu'il les déteste tout mais semble infoutu de se passer d'eux, et ce genre de manque est une petite souffrance quotidienne qu'il se refuse à confronter. Ce que lui offre Lorenzo est salvateur.
Il reste silencieux durant les explications des limites, s'autorise tout juste un sourire lorsque la boutade se fraye un chemin jusqu'à son oreille. Non que la blague ne soit pas drôle, mais la Bête en lui trépigne. On lui a promis un dû, elle en réclame le sang.
"Un plaisir d'échanger. "
Hochement de tête. La concentration de Piotr est figée tout entière sur l'homme qu'il s'apprête à affronter. De Medici a le corps de celui qui a l'habitude d'encaisser autant que de donner; des muscles bien dessinés qui enflent sous les mouvements esquissés, promettant puissance et vitesse. S'il était moins fort ou moins expérimenté, le loup se serait sans doute retiré.
Les yeux glacés observent leur adversaire. Jauge. Quelle puissance de coup sera-t-il capable d'assumer ? Où frapper pour faire durer le combat ? Où sont les points faibles dans la garde ?
Lui-même dresse ses poings devant son visage, coudes pressés devant ses côtes en un parfait miroir de son opposant. Sans surprise, ce dernier se place parfaitement dans le sable de l'arène. Combien de fois a-t-il fait ça ? Piotr se demande, pas pour la première fois, si son patron a conscience de la Bête qui se dresse devant lui. Difficile à savoir ce que pense l'homme derrière le masque écervelé.
Mais il n'a pas le temps d'y songer : déjà la seconde de flottement éclate et Lorenzo fond sur lui. Son regard a dérivé à droite mais c'est à gauche qu'il frappe. Malin. Le coup de pied est précis. Violent. Il lui coupe la respiration un instant.
Un sourire carnassier fleurit sur les lèvres de Piotr.
Il ne laisse pas son adversaire reculer : le crocher du droit part, percute volontairement l'avant-bras gardé avec suffisamment de force pour le faire vaciller. Il enchaîne avec le poing gauche, répète le geste. Dans le même temps c'est son pied qui s'avance, cherche à crocheter la cheville adverse. C'est que De Medici n'a pas dit de se battre proprement: à la guerre comme à la guerre, Piotr n'est pas là pour lui faire de cadeau.
Il veut le pousser dans ses retranchements. Il veut le faire frapper au plus fort, au plus vite. Il veut l'épuiser. Il veut le bouffer.
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