[FB] I could love you with my eyes closed - agnes
Lorenzo de MediciATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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Nature du sang : Sang-Pur, sang bleu
Etat Civil : Epoux d'Agnès de Medici, amant de Neith Shafiq,libertin convaincu, infidélité constante en écharpe
Occupation : Parrain de la famiglia medici, Directeur d'entreprise
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(#) [FB] I could love you with my eyes closed - agnes
missive rédigée par Lorenzo de Medici leI could love you with my eyes closed
ft Agnes de Medici
Aout 1920 - Thème | L'aube essuyait lentement ses plumes souillées, s'arrêtant au couvert du nouveau jour qui se levait. La nuit avait été longue, très longue. Pour Lorenzo, elle s'était terminée dans un nuage cotonneux, entre les mains expertes d'une femme aux mœurs cruelles. Son dos goutait encore des quelques bains de cires et sa chemise, mal attachée, ne se refermait pas tout à fait sur son corps musculeux. Il avait prit le soleil durant l'été et sa peau, teintée de sel, avait attiré bien des regards ce soir. Il avait payé, pour d'autre services que simplement du sexe. Les sévices roulaient toujours. Il avait souffert, il avait aimé ça. Se sentir jouet entre des doigts quand il le faisait des autres. N'être rien quand il était tout. Et voir se refermer autour de sa gorge les doigts de la Justice quand il ne lui appartiendrait jamais.
Le sol tanguait.
Combien de litres d'alcool avait-il pu boire ? Il sentait la morsure de la neige, encore un peu, dans ces veines. Bientôt, le manque se ferait ressentir. Bientôt, la redescente teinterait avec cruauté. Il vomirait. Avait-il déjà vomi ? il ne le savait pas vraiment alors qu'il chancelait jusqu'à sa demeure. Pas de transplanage. pas dans son état. Se désartibuler et finir aux quatre coins de Paris ne l'intéressait pas et, si par malheur il survivait, il craignait le courroux du père. Heureusement, par tous les Saints, Ernesto ne vivait pas dans l'hotel en ce moment. Il lui préférait la Bretagne de sa Sainte femme, paix sur son âme. Nolween n'était pas encore morte. Ses parents convolaient, de lunes de miel en lunes de miel. Jamais Lorenzo ne les avait vu aussi heureux.
A contrario de lui, qui se noyait dans l'horreur de ce qu'il avait mis au monde. Le monstre sortie des entrailles de sa femme, Satan présent pour le punir, lui le Lucifer descendu des cieux dont il était pourtant si béni.
Il s'arrêta, contre le lampadaire qui bordait leur rue. Les pavés tanguait. Tout tanguait. Depuis quand avait-on fait de l'allée un bateau en mouvance ? Difficilement, il tenta une première fois de s'allumer une cigarette. Une seconde. Encore une autre. Le premier bâton tomba, échappé par la maladresse de l'ivresse. Il réussit, presque immédiatement, à allumer le second. La caresse de la nicotine soulageait. Fit pourtant remonter la bile, plus fort.
Lorenzo se purgea, sans réellement le vouloir. Déchet humain, déchet vivant.
Ce lampadaire, dans ces souvenirs, n'était pas aussi loin de la porte d'entrée. Il n'y avait pas autant de marche avant de l'atteindre. Elle s'ouvrait plus facilement.
L'odeur des plantes italiennes, dans l'entrée, lui souleva un peu plus le coeur. Il n'avait plus rien à vomir. Mais grand dieu, qu'il avait soif. De l'eau, en quantité, à s'en noyer. A boire, balbutia-t-il. Le pop si caractéristique, suivit ses mouvements. Le verre apparue dans sa paume tendue. Il l'avala d'une traite, s'étouffa à moitié avec ce dernier et le termina avec sa cigarette. Si elle avait toujours été dans sa main. Où était-elle ? Quelqu'un était-il en train de l'aider ? Tu dis.. Il leva un doigt devant son visage, autorité qui n'en était plus réellement une. Il louchait. Tu diras rien à ton maitre, p'tite tête. L'elfe ne prit même la peine de répondre. Au moins n'était-ce Pipo, cette satané créature au service de sa femme.
Difficilement, il entreprit de gravir l'escalier. Everest au milieu de son salon avec, il l'espérait, tout au fond, son bureau. Dans son bureau, son sofa. Il ne tacherait pas les draps. Dormir là bas, pour gagner deux minutes au petit matin, quand il devrait se présenter frais et plaisant. Deux heures de sommeil. Deux pauvres petites heures de sommeil. Il était si tard. Il était trop tôt.
Le sol tanguait.
Combien de litres d'alcool avait-il pu boire ? Il sentait la morsure de la neige, encore un peu, dans ces veines. Bientôt, le manque se ferait ressentir. Bientôt, la redescente teinterait avec cruauté. Il vomirait. Avait-il déjà vomi ? il ne le savait pas vraiment alors qu'il chancelait jusqu'à sa demeure. Pas de transplanage. pas dans son état. Se désartibuler et finir aux quatre coins de Paris ne l'intéressait pas et, si par malheur il survivait, il craignait le courroux du père. Heureusement, par tous les Saints, Ernesto ne vivait pas dans l'hotel en ce moment. Il lui préférait la Bretagne de sa Sainte femme, paix sur son âme. Nolween n'était pas encore morte. Ses parents convolaient, de lunes de miel en lunes de miel. Jamais Lorenzo ne les avait vu aussi heureux.
A contrario de lui, qui se noyait dans l'horreur de ce qu'il avait mis au monde. Le monstre sortie des entrailles de sa femme, Satan présent pour le punir, lui le Lucifer descendu des cieux dont il était pourtant si béni.
Il s'arrêta, contre le lampadaire qui bordait leur rue. Les pavés tanguait. Tout tanguait. Depuis quand avait-on fait de l'allée un bateau en mouvance ? Difficilement, il tenta une première fois de s'allumer une cigarette. Une seconde. Encore une autre. Le premier bâton tomba, échappé par la maladresse de l'ivresse. Il réussit, presque immédiatement, à allumer le second. La caresse de la nicotine soulageait. Fit pourtant remonter la bile, plus fort.
Lorenzo se purgea, sans réellement le vouloir. Déchet humain, déchet vivant.
Ce lampadaire, dans ces souvenirs, n'était pas aussi loin de la porte d'entrée. Il n'y avait pas autant de marche avant de l'atteindre. Elle s'ouvrait plus facilement.
L'odeur des plantes italiennes, dans l'entrée, lui souleva un peu plus le coeur. Il n'avait plus rien à vomir. Mais grand dieu, qu'il avait soif. De l'eau, en quantité, à s'en noyer. A boire, balbutia-t-il. Le pop si caractéristique, suivit ses mouvements. Le verre apparue dans sa paume tendue. Il l'avala d'une traite, s'étouffa à moitié avec ce dernier et le termina avec sa cigarette. Si elle avait toujours été dans sa main. Où était-elle ? Quelqu'un était-il en train de l'aider ? Tu dis.. Il leva un doigt devant son visage, autorité qui n'en était plus réellement une. Il louchait. Tu diras rien à ton maitre, p'tite tête. L'elfe ne prit même la peine de répondre. Au moins n'était-ce Pipo, cette satané créature au service de sa femme.
Difficilement, il entreprit de gravir l'escalier. Everest au milieu de son salon avec, il l'espérait, tout au fond, son bureau. Dans son bureau, son sofa. Il ne tacherait pas les draps. Dormir là bas, pour gagner deux minutes au petit matin, quand il devrait se présenter frais et plaisant. Deux heures de sommeil. Deux pauvres petites heures de sommeil. Il était si tard. Il était trop tôt.
@Agnes de Medici
Figure you out - voilà
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❝ I could love you with my eyes closed, Kiss you with a blindfold,
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Agnes de MediciATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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Occupation : Acheteuse d'art, à Il Trecento di Colonna
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(#) Re: [FB] I could love you with my eyes closed - agnes
missive rédigée par Agnes de Medici leI could love you with my eyes closed
Emportés par la foule qui nous traîne Nous entraîne, nous éloigne l'un de l'autre Je lutte et je me débats Mais le son de ma voix s'étouffe dans les rires des autres Et je crie de douleur, de fureur et de rage et je pleure - Theme
Minute après minute, heure après heure, l’insomnie taillait ses cernes d’un burin cruel. Le lit était froid, tout n’était qu’hiver et sur sa langue l’air avait goût de cendres. Dans le silence de leur demeure parisienne, triste constat, Agnes n’était accompagnée que d’une malheureuse solitude. C’était une angoisse familière, comme une vieille amie revenue presser sa main, imposant sa présence. Comment tout cela avait-il pu dérailler ? Qu’était-il arrivé ?
Un jour sur le voilier, il n’y avait qu’eux face au monde. Et le lendemain, tout à coup, plus rien ? Que cette pesante solitude.
Elle s’était tirée du lit conjugal pour rejoindre la vitre. Ses pieds nus sur le sol froid paraissaient s’embraser. Chaque foulée était un pas sur un lit de braises. Tout tanguait – son univers entier. Appuyant son épaule contre le cadre de la fenêtre, Agnes jeta son regard sur l’extérieur. La rue en bas s’éteignait dans les ombres. Perçant celles-ci, il n’y avait qu’un lampadaire, à l’angle de la rue, qui émettait un grésillement lointain.
Son cœur lourd dans sa poitrine, Agnes reprit une vieille habitude. Son pouce logé entre ses lèvres, ses dents malmenaient son ongle. Un simple mordillement contre ses soucis. Un geste de rien, espérant faire tout. Faire taire la peine qui la rongeait de l’intérieur. Les inquiétudes. Reviendrait-il ? Il répondit à sa question en apparaissant au coin de la rue. Il oscillait comme un navire sous la tempête. Crachait sa bile sur le trottoir. Elle ferma les yeux, longuement.
Comme il lui faisait de la peine. Comme il était petit.
Les secondes filèrent entre ses doigts sans qu’elle ne les ressente. Sa propre fatigue, qu’elle devait au manque de sommeil, la faisait chanceler comme une flamme. Sa faute. Son propre poison s’infiltrait dans ses oreilles, elle s’enivrait seule, s’abreuvait à ses mots à elle-même. Ce qu’elle pouvait murmurer à l’oreille d’Alessandro elle savait très bien se le dire à elle seule. L’amertume qu’elle avait tant trainée envers son mari lui revenait de nouveau, comme un haut-le-cœur. Brusque, violent, barbare.
Elle entendit le fracas de l’arrivée de Lorenzo. Le loup était revenu dans sa tanière après s’être égaré ailleurs, loin d’elle. Le simple vacarme de ses gestes le disait ivre mort. Mais il y avait peut-être plus. Sa précieuse poudre blanche ? Ses catins parfumées ? Certainement. L’oie blanche n’était plus si pure que du temps de leurs noces. Plume après plume, il lui avait arraché sa candeur.
Alors Agnes enfila sa longue robe de chambre, la soie caressant sa peau avec la douceur dont la privait son mariage. A pas de velours, le tissu léger volant autour d’elle comme une cascade soyeuse, elle rejoignit le bureau de Lorenzo. Chat cruel, elle attendit patiemment qu’il y soit entré – juste pour être sûre qu’il se pense tiré d’affaire. Une seconde. Quelques secondes. Sans demander son avis, elle poussa la porte à son tour.
Yeux inquisiteurs. Visage lisse. Sourire glacial.« Mon cher époux, votre nuit fut-elle douce ? La mienne fut froide et terriblement solitaire. »
Un jour sur le voilier, il n’y avait qu’eux face au monde. Et le lendemain, tout à coup, plus rien ? Que cette pesante solitude.
Elle s’était tirée du lit conjugal pour rejoindre la vitre. Ses pieds nus sur le sol froid paraissaient s’embraser. Chaque foulée était un pas sur un lit de braises. Tout tanguait – son univers entier. Appuyant son épaule contre le cadre de la fenêtre, Agnes jeta son regard sur l’extérieur. La rue en bas s’éteignait dans les ombres. Perçant celles-ci, il n’y avait qu’un lampadaire, à l’angle de la rue, qui émettait un grésillement lointain.
Son cœur lourd dans sa poitrine, Agnes reprit une vieille habitude. Son pouce logé entre ses lèvres, ses dents malmenaient son ongle. Un simple mordillement contre ses soucis. Un geste de rien, espérant faire tout. Faire taire la peine qui la rongeait de l’intérieur. Les inquiétudes. Reviendrait-il ? Il répondit à sa question en apparaissant au coin de la rue. Il oscillait comme un navire sous la tempête. Crachait sa bile sur le trottoir. Elle ferma les yeux, longuement.
Comme il lui faisait de la peine. Comme il était petit.
Les secondes filèrent entre ses doigts sans qu’elle ne les ressente. Sa propre fatigue, qu’elle devait au manque de sommeil, la faisait chanceler comme une flamme. Sa faute. Son propre poison s’infiltrait dans ses oreilles, elle s’enivrait seule, s’abreuvait à ses mots à elle-même. Ce qu’elle pouvait murmurer à l’oreille d’Alessandro elle savait très bien se le dire à elle seule. L’amertume qu’elle avait tant trainée envers son mari lui revenait de nouveau, comme un haut-le-cœur. Brusque, violent, barbare.
Elle entendit le fracas de l’arrivée de Lorenzo. Le loup était revenu dans sa tanière après s’être égaré ailleurs, loin d’elle. Le simple vacarme de ses gestes le disait ivre mort. Mais il y avait peut-être plus. Sa précieuse poudre blanche ? Ses catins parfumées ? Certainement. L’oie blanche n’était plus si pure que du temps de leurs noces. Plume après plume, il lui avait arraché sa candeur.
Alors Agnes enfila sa longue robe de chambre, la soie caressant sa peau avec la douceur dont la privait son mariage. A pas de velours, le tissu léger volant autour d’elle comme une cascade soyeuse, elle rejoignit le bureau de Lorenzo. Chat cruel, elle attendit patiemment qu’il y soit entré – juste pour être sûre qu’il se pense tiré d’affaire. Une seconde. Quelques secondes. Sans demander son avis, elle poussa la porte à son tour.
Yeux inquisiteurs. Visage lisse. Sourire glacial.
Agnes de Medici ft. Lorenzo de Medici, en août 1920 à l'hôtel di Medici, Paris
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(#) Re: [FB] I could love you with my eyes closed - agnes
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Aout 1920 - Thème | Le saint lit, tant attendu, l'attendait au bout du couloir. De lit, le sofa n'avait que le mot. Mais il correspondait, en tout point, à ce don Lorenzo rêvait. Un couffin de plume ou déposer les armes et dormir, à peine quelque heures. D'un mouvement de baguette, il ensorcelle le réveil pour l'aube trop proche, qui pointait déjà derrière les rideaux. Il ne voulait même savoir combien il lui restait à dormir. Il avait, de toute manière, mille poudres magiques pour tenir, à sa manière.
Ses doigts se glissent à sa chemise, se battent contre les boutons, abandonnent quand il n'en reste qu'un, ne se rendant même compte d'être si proche du but. Il s'effondre dans les cousins. Plénitude. Bonheur. Plaisir.
Grincement de porte.
Agnès.
Le soupir de Lorenzo ne peut être feint, ne peut même être imaginé. Il retentit dans la pièce, se répercute contre les livres des bibliothèques, contre le bois brute de son bureau et jusqu'aux tableaux qu'ils réveillent. Ils ne sont guère nombreux ici. Sa famille, toute entière. Celle très proche. Sa femme. Son fils. Sa fille. Et lui. Puis un autre, sur un bord de table, celui à qui il parle trop régulièrement. Aucun n'essaye même de rester. Les toiles se vident. Et les yeux du sorcier ne se tournent pas vers sa femme. Il ne prends pas la peine de se relever, ni même de se redresser. Le torse à demi nu, engoncé dans son pantalon de costume, il a envie de vomir. Pas d'avoir une conversation avec l'épouse froide et acide.
Prenez un chat, Agnès. Ou un croups. Les d'Apcher en ont tout un élevage et vu ce qu'ils nous doivent, vous pourriez même l'avoir gratuitement.
Ces mots sont acides mais sa voix ne l'est pas. Comment pourrait-elle quand il meurt de fatigue et ne rêve que de dormir. Il accepte pourtant de se relever à peine, sur ses avants bras. Son ventre se tord au simple mouvement. Il ne peut pas vomir. Pas devant elle.
Il n'en ajoute pas plus. peut-être que, si il ne lui fait pas la conversation, elle comprendra qu'elle doit partir ? Idée stupide. Elle sait déjà parfaitement qu'elle n'est pas la bienvenue ici. Non, Agnes a pleinement choisie de venir. Quand il est plus faible, bien entendu. Elle ne l'affronte plus. Plus maintenant. Pas alors qu'il ne lui a pas vomit tout ce qu'il pense de leur fils mais qu'elle doit parfaitement le savoir. C'est depuis Alessandro qu'il refuse de la toucher et de s'approcher. Car c'est de sa faute. Tout est de sa faute. Pour ne pas accepter qu'il est tout aussi coupable de la folie de leur fils.
Ses doigts se glissent à sa chemise, se battent contre les boutons, abandonnent quand il n'en reste qu'un, ne se rendant même compte d'être si proche du but. Il s'effondre dans les cousins. Plénitude. Bonheur. Plaisir.
Grincement de porte.
Agnès.
Le soupir de Lorenzo ne peut être feint, ne peut même être imaginé. Il retentit dans la pièce, se répercute contre les livres des bibliothèques, contre le bois brute de son bureau et jusqu'aux tableaux qu'ils réveillent. Ils ne sont guère nombreux ici. Sa famille, toute entière. Celle très proche. Sa femme. Son fils. Sa fille. Et lui. Puis un autre, sur un bord de table, celui à qui il parle trop régulièrement. Aucun n'essaye même de rester. Les toiles se vident. Et les yeux du sorcier ne se tournent pas vers sa femme. Il ne prends pas la peine de se relever, ni même de se redresser. Le torse à demi nu, engoncé dans son pantalon de costume, il a envie de vomir. Pas d'avoir une conversation avec l'épouse froide et acide.
Prenez un chat, Agnès. Ou un croups. Les d'Apcher en ont tout un élevage et vu ce qu'ils nous doivent, vous pourriez même l'avoir gratuitement.
Ces mots sont acides mais sa voix ne l'est pas. Comment pourrait-elle quand il meurt de fatigue et ne rêve que de dormir. Il accepte pourtant de se relever à peine, sur ses avants bras. Son ventre se tord au simple mouvement. Il ne peut pas vomir. Pas devant elle.
Il n'en ajoute pas plus. peut-être que, si il ne lui fait pas la conversation, elle comprendra qu'elle doit partir ? Idée stupide. Elle sait déjà parfaitement qu'elle n'est pas la bienvenue ici. Non, Agnes a pleinement choisie de venir. Quand il est plus faible, bien entendu. Elle ne l'affronte plus. Plus maintenant. Pas alors qu'il ne lui a pas vomit tout ce qu'il pense de leur fils mais qu'elle doit parfaitement le savoir. C'est depuis Alessandro qu'il refuse de la toucher et de s'approcher. Car c'est de sa faute. Tout est de sa faute. Pour ne pas accepter qu'il est tout aussi coupable de la folie de leur fils.
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