Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul soient plus efficaces qu'un seul | Medvedev&Octave
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(#) Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul soient plus efficaces qu'un seul | Medvedev&Octave
missive rédigée par Octave Defresne le
Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul
soient plus efficaces qu'un seul
Bien sûr, si l’on ne se fonde que sur ce qui saute aux yeux le vent semble une brute raffolant de nuire à tout l’monde... Mais une attention profonde prouve que c’est chez les fâcheux qu’il préfère choisir les victimes de ses petits jeux.
6 déc. 1927 avec @Piotr Medvedev | TW : alcool, violences, langage vulgaire, chaos
[Thème : Les bourgeois] Ce devait être une soirée de discussion qui se finirait tôt - ou au en moins tu l’estimais en quittant ta fille pour qu’elle prévienne sa mère. Une soirée de semaine, on parlerait un peu, on avancerait peut être et on se quitterait bons amis… Quelle était cette excellente raison de poursuivre encore un peu la soirée, l’heure des débats passée, pour prolonger la nuit en pareille compagnie dans cette atmosphère lourde et enfumée ? Difficile à dire, une naissance à venir dans la famille d’un camarade, ou une petite victoire d’un autre pour la lutte - de quoi sortir une bouteille de whisky pur feu, et une autre encore… Et vous criez maintenant plus que vous ne parlez, trop saouls et trop joyeux pour faire vraiment sens, trouvant des idées géniales et les oubliant dans l’instant qui va suivre appelés par un autre discours. Un moment, ce qui vous différencie disparaît derrière un élan de fraternité véritable, quelque chose qui soulève vos cœur et vous repousse à boire. Et vous vomissez sur les nobles, les grands, les puissants, vous offrez le mépris de votre groupe aux classes dirigeantes, commentez qu’il serait temps de remettre ces gens-là à l’heure place…
La sobriété est un concept lointain et incertain, et tu ne sais plus vraiment quelle heure il peut bien être. Tu fixes avec des yeux brillants le camarade qui t’a offert un cigare et t’abreuve depuis de ses précieux avis, l’alcool lui inspirant courage et urgence, violence et déraison. Mais c’est sûr, c’est bien sûr !... À ce stade, impossible de comprendre ce qui te pousse à faire preuve de patience et de réserve le jour, à ne pas revendiquer avec force et ardeur ce dont vous parlez aujourd'hui. Tout ce qui est raisonnable a été oublié, remplacé par la colère et l’ivresse. Cela se saurait après tout si l’alcool donnait aux hommes l’intelligence et la mesure. Un autre prend la parole, maudit les manières de ses bourgeois et commence le récit de comment son neveu se fait exploiter par son patron boutiquier à l’approche de Noël quand bien même il est convalescent - on hue et traite de salaud le propriétaire d’avoir si peu de coeur et de patience.
Peut-être parce qu’employeur toi aussi, cette trahison te frappe avec une horreur tout particulièrement vive. Si tu as fait fortune sans exploiter la force de travail des autres, tu peux te permettre de haïr ceux qui le font - et de leur en vouloir. Tu lâches, l’oeil mauvais tout en te resservant un nouveau verre d’une main tremblante :
– Il faudrait faire des exemples et donner des leçons à ceux qui pensent pouvoir y échapper.
Et convaincu par ton idée, tu cherches l’approbation de quelqu’un dans le groupe, et prend à parti l’homme sur ta gauche - que tu connais très mal car depuis peu parmi vous et dont le nom est russe. Le visage d’un homme qui doit s’y connaître en leçon que l’on donne ou que l’on reçoit…
– N’es-tu pas d’accord… Camarade… euh ?
Tu allais tenter de prononcer son nom, mais ta langue engourdie par la boisson refuse de coopérer, et ta voix s’éteint dans une sorte de question pour qu’il te le rappelle. Au pire, camarade fera toujours l’affaire.
dans une sorte de minuscule basse-cour au fond de son cerveau il engraissait un petit troupeau de rancunes que le temps accroissait - Si vous me poursuivez, prévenez vos gendarmes que je possède une arme et que je sais tirer.
Piotr MedvedevATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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(#) Re: Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul soient plus efficaces qu'un seul | Medvedev&Octave
missive rédigée par Piotr Medvedev le« Medvedev, Camarade. Me-dve-dev. »
L'élocution de Piotr est ramollie par un degré d'alcoolémie qu'il n'a pas atteint depuis plusieurs années. Il n'est pas vraiment certain que sa prononciation aide son interlocuteur à ne pas massacrer son patronyme, mais le coton joyeux qui a remplacé ses pensées l'empêche de s'en formaliser. C'est une bonne soirée qui a commencé - entouré de personnes dont il n'a pas à se cacher, auprès desquelles il n'a pas besoin d'adoucir ses idées, le soviétique s'est autorisé à se lâcher. Une décision qu'il regrettera sans doute l'aube venue, mais un détour chez les Rosier devrait lui permettre d'adoucir la gueule de bois qui le fera plisser des yeux demain. Du moins l'espère-t-il. Pour l'heure, il n'y pense pas. N'y réfléchit même pas. Il y a plus important à faire.
« Et je suis... totalement d'accord, Defresne. Totalement d'accord. »
Hochant la tête d'un air catégorique, le Russe pose ses lèvres sur le goulot de la vinasse qu'il a achetée en bouteille et en avale d'autres lampées. Il y a une histoire en cours, un récit d'une violence de plus parmi toutes celles que les patrons voudraient justifier par la force des choses. Une sombre merde qui fait souffrir ses employées à l'aube de Noël pour justifier de prendre toujours, toujours plus de billets.
« Il est loin, ce type ? Hm... Par chez moi, on saurait quoi faire de lui- de son entreprise. Peu importe. »
Un sourire carnassier tord ses lèvres alors qu'il se redresse. Malgré l'alcool, il se tient droit et fier lorsqu'il se tourne vers son interlocuteur, le visage peint d'un air mutin.
« J'ai entendu dire que les français aussi savaient s'y prendre en protestation. C'est vrai ? Si oui, je crois que j'aurais besoin d'une démonstration, Camarade. »
Sa bouche retrouve le chemin du picrate, dont il se brûle la gorge avant de poursuivre :
« Boutiquier ? Hmmm... Ça veut dire qu'il a besoin d'être euh... pas servi, ce n'est pas ça, euh... снабженный. Livré ? On va dire livré. Soit par hiboux, soit par cargaison, je présume. »
Nouvelle lampée. Piotr a le rouge aux joues mais ses pensées sont plus ou moins claires lorsqu'il se prend d'un rire. C'est qu'il est presque fier de lui.
« Il serait vraiment dommage qu'un groupe de terribles terroristes Rouges trouve un moyen d'embrouiller tout ça. Ça peut mettre une matinée entière à se réparer, ce genre de choses... »
Cela fait des années maintenant que le soviétique n'a pas participé à des manifestations innocentes. La révolte a pris une autre tournure dans son pays et, si c'est également ce qu'il souhaite à l'Hexagone, une certaine candeur l'envahit lorsqu'il songe à toutes les épines qu'il pourrait passer la nuit à coller sous les talons de tous les patrons du coin.
« J'sais pas, on pourrait libérer les hiboux, ou tordre une pièce des rails s'il est approvisionné en wagon, ou... 'fin vous voyez ! »
La poésie ne connaît pas les chiens.
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(#) Re: Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul soient plus efficaces qu'un seul | Medvedev&Octave
missive rédigée par Octave Defresne le
Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul
soient plus efficaces qu'un seul
Bien sûr, si l’on ne se fonde que sur ce qui saute aux yeux le vent semble une brute raffolant de nuire à tout l’monde... Mais une attention profonde prouve que c’est chez les fâcheux qu’il préfère choisir les victimes de ses petits jeux.
6 déc. 1927 avec @Piotr Medvedev | TW : alcool, violences, langage vulgaire, chaos
[Thème : Les bourgeois] La salle est enfumée, les tables bancales et les verres mal assortis. Tu t'enfonces un peu plus dans ta chaise, le regard flou, alors qu'il articule pour que tu puisses l'imiter :
– Medvedev, Camarade. Me-dve-dev. »
– Medvedev.
Tu répètes, avec une précision qui te surprend encore, comme si ta bouche avait gardé le souvenir des accents rugueux des pays scandinaves. Il y avait ce garçon russe, dans l’atelier de ton maître, un type froid, méprisant, surtout envers ton statut de né-moldu. La pensée te traverse brièvement, mais tu l'effaces avec une gorgée de whisky, noyant le passé dans l’alcool. Maintenant, ton verre est vide.
– Et je suis... totalement d'accord, Defresne. Totalement d'accord.
– Octave, juste Octave ici.
Tu grognes, tendant ton verre pour le voir rempli de quelque chose qui te semble encore un peu plus douteux - mais tu n’es plus exactement en état de te demander ce que l’on te fait boire. Pas de maître d’atelier, et pas de rappel de ton père moldu ici - tu es un camarade semblable à tous les autres. C’est presque reposant. Ou alors c’est l’alcool ? Tu cherches une bonne âme pour t’offrir une cigarette, alors que l’autre te répond avec un sourire qui devrait te terroriser s’il ne t’amusait pas autant.
– Il est loin, ce type ? Hm... Par chez moi, on saurait quoi faire de lui- de son entreprise. Peu importe. J'ai entendu dire que les français aussi savaient s'y prendre en protestation. C'est vrai ? Si oui, je crois que j'aurais besoin d'une démonstration, Camarade.
Tu lui tends ton verre pour trinquer à l’idée.
– Aux échanges culturels à venir et leurs démonstrations alors.
Et on rit à cela, et on boit. Lui continue son idée, aussi chagriné de toi de ce qu’il apprend, et avec l’air d’un homme qui a l’habitude de répondre à l’oppression par la violence - ou quelque chose du genre. Un type très sympathique, tu te dis, l’esprit noyé de boisson et un peu échauffé.
– Boutiquier ? Hmmm... Ça veut dire qu'il a besoin d'être euh... pas servi, ce n'est pas ça, euh... снабженный. Livré ? On va dire livré. Soit par hiboux, soit par cargaison, je présume. Il serait vraiment dommage qu'un groupe de terribles terroristes Rouges trouve un moyen d'embrouiller tout ça. Ça peut mettre une matinée entière à se réparer, ce genre de choses...
La mention de terribles terroristes rouges fait ricaner la salle et toi avec - quoique sobre tu sois de ceux qui préfèreraient que votre image soit différente. Ce soir, tu te dis que puisque c’est ce que l'on pense de vous, alors c’est que c’est ce que le monde mérite que vous soyez.
– J'sais pas, on pourrait libérer les hiboux, ou tordre une pièce des rails s'il est approvisionné en wagon, ou... 'fin vous voyez !
Quelques exclamations joyeuses accueillent l’idée, mais déjà quelques uns se font plus timorés - en parler c’est une chose, mais il ne faudrait pas se mettre bêtement en danger… Toute ta prudence t’ayant abandonné il y a bien deux heures, tu offres un regard de mépris à ceux-là avant de te retourner vers le russe.
– Le problème, c’est que ces hiboux sont souvent plus intelligents que la moyenne, ou bien dressés je sais pas trop. Enfin juste les libérer les empêcheraient pas de revenir.
Geste vague de la main pour appuyer le fait que tu ne sais pas, et que tu t’en fiches un peu à vrai dire.
– Les hiboux, ils s’orientent comment ? Magie, sens, instinct ? Quoi qu’il en soit, on pourrait utiliser un sortilège de confusion. Quelque chose qui les empêche de retrouver leur chemin... ou qui les attire ailleurs, tiens. Genre, une balise magique ailleurs, pour qu'ils se plantent dans la direction.
Inutile de dire que faire quelque chose comme cela dans la rue la plus commerçante du Paris magique tient sans doute de la bêtise crasse...
– Ou qui les repoussent. Un genre de repousse-moldu, mais pour les piafs quoi.
dans une sorte de minuscule basse-cour au fond de son cerveau il engraissait un petit troupeau de rancunes que le temps accroissait - Si vous me poursuivez, prévenez vos gendarmes que je possède une arme et que je sais tirer.
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(#) Re: Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul soient plus efficaces qu'un seul | Medvedev&Octave
missive rédigée par Piotr Medvedev le« Appelez-moi Piotr, dans ce cas, Camarade Octave. »
Un sourire se dessine sur les traits du soviétique tandis qu'il reprend une rasade de vin rouge. Son arrivée en France lui a fait redécouvrir cet alcool, qu'il n'aime pas particulièrement mais qu'il s'abstreint à goûter sous toutes ses formes - des meilleures au moins ragoûtantes. Un éclat de rire lui échappe alors qu'il imagine la tête d'Elric s'il l'observait maintenant, à boire au goulot un picrate dont l'amertume le dérange encore.
Mais il s'égare. Ses yeux glissent sur le visage tracé de son vis-à-vis, qui semble en quête d'une autre bouteille à vider. Il n'a pas l'air Russe, ni vraiment d'Europe de l'Est, pourtant sa prononciation était parfaite lorsqu'il a formulé son patronyme. Suffisamment pour que Piotr se risque à lui rendre la pareille, lui d'ordinaire si réfractaire à se faire apostropher par un massacre de son prénom. Il faudra qu'il lui pose des questions, à l'occasion. Plus tard. Mais l'heure est à la beuverie, aux revendications et à la bonne humeur. Il glisse une allumette contre sa boîte d'un geste maintes fois pratiqué, tend la flamme vers la cigarette qui vient d'un peu nulle part. Autour d'eux, les exclamations fusent. La foule est enjouée. Les hommes crient. Lorsque Defresne - Octave - lève son verre, Piotr le rencontre avec joie.
Parce qu'il est si bien reçu, parce que pour une fois sa parole n'est pas accueillie de regards suspicieux, parce que son verbe évoque des rires plutôt que des grimaces mal dissimulées, parce qu'aussi il a consommé plus d'alcool que de raison, Piotr s'emballe un peu. Il ne réfléchit pas vraiment. Enfin disons plutôt qu'il réfléchit en parlant. Il n'y a plus de filtre entre ses idées et ses mots. Cela se ressent lorsque les encouragements, jusqu'alors enthousiastes, se font brusquement plus timide.
Mais Octave leur adresse un regard méprisant, ce qui signifie d'une part que c'est un type intéressant, d'autre part qu'il a forcément raison. En tout cas en est-il convaincu.
« - Les hiboux, ils s’orientent comment ? Magie, sens, instinct ? Quoi qu’il en soit, on pourrait utiliser un sortilège de confusion. Quelque chose qui les empêche de retrouver leur chemin... ou qui les attire ailleurs, tiens. Genre, une balise magique ailleurs, pour qu'ils se plantent dans la direction. Ou qui les repoussent. Un genre de repousse-moldu, mais pour les piafs quoi.
- Ohhhh... Excellente idée, camarade ! »
En temps normal, Piotr aurait branché au moins deux de ses neurones et aurait percuté qu'il s'agit là d'une idée tragiquement stupide. Que le chaos répandu dans les rues commerçantes du Paris magique causera inévitablement une enquête, aussi peu motivée soit-elle, mais surtout que leur grande démonstration de force sera, au mieux, démontée sur-le-champ, au pire causera des inconvénients pour eux-mêmes autant que pour les autres. Seulement voilà, cela fait bien longtemps que le Russe ne s'est pas autant noyé dans la beuverie, longtemps aussi qu'il n'a pas eu l'occasion de mettre ses talents de sorcier à l'épreuve.
« C'est du génie. Oui. Il nous faudrait quelque chose de discret, que personne ne pensera à ramasser et qui peut se coincer facilement dans un endroit insoupçon- »
Son regard tombe sur l'allumette brûlée qu'il roule entre ses doigts. Un sourire carnassier fleurit sur ses traits tandis qu'il la relève à la vue de tous, tel une relique ancestrale ou un trésor caché. Autour d'eux, un silence plus pesant s'est installé. Quelques gars ont reculé d'un pas, voire dix, tentent de prendre une distance physique avec l'hérésie qui prend forme sous leurs yeux catastrophé.
« Comme une allumette, par exemple. Une allumette bien cachée n'a pas besoin d'un sortilège d'invisibilité pour ne jamais être retrouvée. On pose ça devant la boutique du connard et... »
Piotr effectue un geste vague qui a sans doute pour objectif de figurer une grande victoire.
« Il faudra aussi marquer nos revendications. Un message puissant. »
Sa main se saisit de sa baguette sans plus attendre. Il la pointe vers le bâtonnet, commence à la tourner :
« Repello... Attendez. Comment on dit hiboux en latin, déjà ? On utilise hibou ou chouette ? Je sais plus si c'est noctua, ulula ou strix. »
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soient plus efficaces qu'un seul
Bien sûr, si l’on ne se fonde que sur ce qui saute aux yeux le vent semble une brute raffolant de nuire à tout l’monde... Mais une attention profonde prouve que c’est chez les fâcheux qu’il préfère choisir les victimes de ses petits jeux.
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[Thème : Les bourgeois] Qu’il parle de génie ne te surprend pas. C’est peut-être une insulte au bon sens le plus élémentaire, mais dans ce contexte et pour toi, c’est l’évidence, la seule chose à faire. Tu l’aimes bien celui-là, et ce soir c’est peut-être le seul homme que tu es prêt à respecter alors que vos autres camarades semblent soudain être pris de prudence et de doutes. Quels idiots, quels lâches !... Il a une épiphanie, et tu fixes tes yeux sur l’objet de son attention entre ses doigts.
– Comme une allumette, par exemple. Une allumette bien cachée n'a pas besoin d'un sortilège d'invisibilité pour ne jamais être retrouvée. On pose ça devant la boutique du connard et... Il faudra aussi marquer nos revendications. Un message puissant.
Brillant, brillant, brillant ! Qui cherchera la cause d’un tel malheur dans un si petit objet ? C’est vrai, ce n’est pas comme s’il y avait des sorts pour mettre en évidence les effets magiques et ce qui les produit… Incapable d’un tel jugement, tu applaudirais presque, et bois joyeusement alors que le voilà qui sort sa baguette, concentré. Autour de vous, certains chuchotent qu’il est peut-être l’heure pour eux de partir, à qui tu offres un nouveau regard mauvais pour leur couardise.
– Repello... Attendez. Comment on dit hiboux en latin, déjà ? On utilise hibou ou chouette ? Je sais plus si c'est noctua, ulula ou strix.
Tu restes interdit, arrêté dans ton mouvement dans la grande confusion que provoque sa question. Il y a donc une faille dans votre pourtant si parfait et infaillible plan totalement improvisé. Ton regard court sur les quelques uns qui sont encore avec vous, mais aucune réponse ne vient de ceux qui n’ont pas encore choisi de fuir. Tu grognes.
– Bah c’est à dire que je sais pas si on utilise pas les deux ?… Typiquement le genre de truc sorcier… enfin bref.
La pagaille des volières n’a jamais eu le moindre intérêt pour toi, déjà peu amusé de voir des oiseaux survoler ton petit déjeuner pour emmener le courrier à Beauxbâtons - et l’hygiène dans tout ça ? Dans un monde que tu découvrais peuplé de créatures magiques, l’intelligence quasi-surnaturelle de quelques rapaces n’avait plus grand chose de passionnant. Au moins t’es-tu plus dévoué dans ton étude du latin.
– Strigidae pour la famille sinon, ou aves ? C’est bien aves, y a aucune chance de se planter.
Étrange que tu aies la lucidité suffisante pour penser qu’il peut exister des oiseaux utilisés dans les transports qui n’appartiennent pas à cette famille, quand tu es incapable de penser aux conséquences potentiellement catastrophiques d’une telle action. Ni à quel point celle-ci peut-être vaine et dangereuse pour vous… Tout ce qui te reste de logique ne s'occupe plus maintenant que de comment vous pourriez réussir.
– Mais peut-être que faudrait enchanter plusieurs allumettes, pour en mettre à chaque entrée de la boutique - portes et fenêtres ? Pas sûre qu’une seule soit assez… Je suis pas trop mauvais en sortilège de désillusion si on veut être sûrs que ça se voit pas.
Et tu es prêt à le prouver, saisissant ladite allumette et ta baguette pour lancer le sort. Ta main tremble un peu, et s’il était resté quelqu’un de sobre dans la pièce il aurait sans doute pu craindre que tu vises à côté ou que tu te crève un œil, mais miraculeusement sans drame le bois disparaît la formule prononcée.
– Ahah !
Cri de victoire en désignant ce qui ne se voit plus. Ça vaut bien une nouvelle rasade de cette immonde picrate. Le verre reposé, tu remarques que tu as dû lâcher ton trophée dans ta hâte.
– Putain, elle est où ?
Oui bon, il peut toujours y avoir quelques ratés…
dans une sorte de minuscule basse-cour au fond de son cerveau il engraissait un petit troupeau de rancunes que le temps accroissait - Si vous me poursuivez, prévenez vos gendarmes que je possède une arme et que je sais tirer.
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(#) Re: Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul soient plus efficaces qu'un seul | Medvedev&Octave
missive rédigée par Piotr Medvedev le« On s'en fout, Octave, on s'en fout. »
Il faudra juste penser à les ensorceler avant, les allumettes. Une fois perdues, personne ne pourra les retrouver, même pas les coupables eux-mêmes, rendant donc caduc tout interrogatoire. Leur plan est infaillible. D'ailleurs Piotr, politesse partie avec sa dernière lampée tout au fond de son gosier, se demande audiblement pourquoi plus de personnes ne sont pas intéressées par leurs manigances. C'est plutôt innocent, à l'échelle, non ? Peut-être que son échelle est cassée.
Qu'à cela ne tienne, le loup est déterminé. Il se lève brusquement, tangue un peu après que son mouvement l'ai déstabilisé, puis avance d'un pas déterminé vers le comptoir, dont il tire deux nouvelles bouteilles. Il ne prend pas le temps de lire l'étiquette - n'est plus vraiment certain d'en être capable d'ailleurs - avant d'en tendre une à son interlocuteur, dont il prend ensuite le bras sans sommation.
« Camarade, nous sommes les seuls à avoir les tripes assez accroché pour mener à bien cette mission. Allons-y. »
Oubliant momentanément que leur immense bêtise n'a rien d'un travail secret comme il a pu en faire, le soviétique tire sur le coude d'Octave jusqu'à l'arracher à son assise. Il l'entraîne dehors sans plus attendre, d'un pas qui se veut assuré mais qui tient sans doute plus du claudiquement gauche d'un ivrogne. Derrière eux, l'un des derniers hommes à avoir encore deux neurones fonctionnels tente de protester leur départ, de les faire patienter, mais Piotr ne l'écoute aucunement. La lutte contre le capitalisme commence maintenant !
L'air frais du dehors le revigore un peu - lui en donne l'impression du moins. Le Russe avance à une allure honorable pour un homme avec son taux d'alcoolémie, traînant toujours son compagnon après lui. Il lui faut attendre bien deux cent mètres pour se rendre compte d'une chose cruciale :
« Mince. C'est quoi, la boutique, déjà ? »
Impossible pour lui de s'en souvenir. Il n'est même pas certain d'avoir entendu le nom au cours de la grande conversation. Merde alors. Comment mener à bien leur plan s'ils ne savent pas comment trouver la cible de leurs méfaits ?
Le visage de Piotr se plisse et, peut-être pour stimuler son imagination, il boit une lampée de sa bouteille avant de croiser les bras. C'est seulement maintenant qu'il lâche son camarade, mais il ne pense même pas à la nature inappropriée de leur contact. Non, ses songes sont tournés vers la Mission. Son regard vitreux glisse de façade en façade, se demandant silencieusement lequel de ses patrons maltraite ses employés. Tous. Les rouages du capitalismes sont faits de sorte qu'aucun homme n'en réchappe sans être bourreau ou victime, ou bien sont-ils si peu qu'ils sont négligeables. Tous pourris.
Tous pourris. Mais oui !
« Sinon... On fait ça à toutes les boutiques. J'ai ouvert mon paquet d'allumettes ce soir, il doit m'en rester bien... quatre-vingt ? quatre-vingt dix ? »
Pas une pensée n'est accordée au chaos qu'une telle idée pourrait engranger. Non, le soviétique est déterminé, à quoi il ne sait pas bien, mais il a appris depuis bien longtemps qu'un objectif ne s'atteint pas à demi.
« Y a même pas d'artisans ici. Que des vendeurs. Des exp- des epx-... Attends. Des exploitateurs. Ils le méritent. Tous. »
La poésie ne connaît pas les chiens.
Octave DefresneATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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(#) Re: Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul soient plus efficaces qu'un seul | Medvedev&Octave
missive rédigée par Octave Defresne le
Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul
soient plus efficaces qu'un seul
Bien sûr, si l’on ne se fonde que sur ce qui saute aux yeux le vent semble une brute raffolant de nuire à tout l’monde... Mais une attention profonde prouve que c’est chez les fâcheux qu’il préfère choisir les victimes de ses petits jeux.
6 déc. 1927 avec @Piotr Medvedev | TW : alcool, violences, langage vulgaire, chaos
[Thème : Les bourgeois] – On s'en fout, Octave, on s'en fout.
C’est un assez bon résumé de la situation, et d’ailleurs maintenant tu ne te souviens plus vraiment de quel était ton propos ou de ce que tu cherchais. Il fait chaud et soif ici, non ? Voilà Piotr qui tange devant toi, t’offre une bouteille inconnue et t’attrape le bras avec une force qui te surprend un peu tant tu es engourdi par l’alcool.
– Camarade, nous sommes les seuls à avoir les tripes assez accroché pour mener à bien cette mission. Allons-y.
Ouais ! Enfin, ouais… Ouais ? De toute façon tu n’as pas vraiment le choix, le russe a une sacrée poigne et il te tient par le coude, s’avance décidé vers la sortie. Il marche extraordinairement droit vu comment le monde se balance devant vous - ou alors c’est vous qui vous balancez et le monde reste droit ? Un vague souvenir d’un cours de science, et de cette histoire de référentiel - tout cela était vraiment passionnant non ? La nuit est glaciale, et déjà tu regrettes la chaleur que vous venez de quitter. Le vent mord tes oreilles, mais Piotr ne te lâche toujours pas. Les maisons, les murs et les fenêtres défilent autour de toi. C’est toi qui avances, ou bien est-ce le monde qui recule ?
– Mince. C'est quoi, la boutique, déjà ?
Tu clignes des yeux en direction de ton complice. Il finit par te relâcher pour prendre une gorgée de sa bouteille, comme si la réponse y était cachée. Tu vérifies aussi avec une lampée ; ça te brûle la gorge, mais aucune idée ne t’en sort.
– Oh attend, il a dit qu’ils vendaient, ils vendaient…
Bordel, tu le sais, tu le connais ce môme, tu sais où il travaille ! Mais ce savoir-là est à présent bien à l’abri, enfoui sous beaucoup trop d’alcool et de fatigue pour que tu puisses espérer l’atteindre. Si c’est pas dommage… Nouvelle gorgée - non vraiment, c’est infect - avant que ton compagnon ne reprenne :
– Sinon... On fait ça à toutes les boutiques. J'ai ouvert mon paquet d'allumettes ce soir, il doit m'en rester bien... quatre-vingt ? quatre-vingt dix ?
Mais cet homme est un génie, rien de moins ! Une action d’envergure, afin de les mettre en garde, de leur rappeler qu’ils ne peuvent pas exploiter vos camarades, que vous existez et que vous vous battrez pour vos droits ! Enfin vos droits, bien sûr toi tu es un directeur, un maître d’atelier, un patron également - mais ce n’est pas pareil, et puis tu respectes ceux que tu emploies au moins ! Il faudra que tu penses à donner quelques étrennes pour te donner bonne conscience. Bon, quatre-vingt, c’est presque cent non ? Ca devrait peut-être suffire à marquer les esprits si vous les disposez bien… Aucune raison de douter.
– Y a même pas d'artisans ici. Que des vendeurs. Des exp- des epx-... Attends. Des exploitateurs. Ils le méritent. Tous.
Tu lèves ta bouteille à ça. Tu n’es pas tout à fait certain pour sa première affirmation, mais tu n’as aucune raison de remettre en doute son jugement si clairvoyant jusqu’ici.
– Tout à fait camarade, tout à fait ! On peut faire la grand rue principale, si on met une à deux allumettes par boutique on devrait pouvoir en faire… Enfin, ça devrait le faire. Et après… Après…
Tu cherches autour de vous, fixes les murs, les fenêtres et les portes, avise les pavés et revient vers le ciel. Oui, là, juste là ! Tu lui désignes un espace dégagé, qui doit pouvoir être vu par presque toutes les boutiques environnantes.
– Ici, un grand message dans le ciel en lettres de feu ! On pourrait dire… Euh, et bien… Travail décent ou incendie imminent !
En plus, y aura déjà les allumettes sur place pour foutre le feu. Tu t’imagines déjà la scène, les lettres flamboyantes éclairant la rue sombre, projetant des ombres angoissantes sur les vitrines - la pensée te fait sourire.
– Bon, on fait quoi, une allumette tous les… Oh fais gaffe, y a du monde là !
A ton tour de l’attraper pour essayer de le traîner - mais tu n’as absolument rien de sa force et c’est à peine si ton étreinte le fait trembler. Merde, tu te ramollis Octave. Tu te plaques quand même contre un mur, désignant une boutique dont les lumières percent la nuit noire. Curieuse heure pour venir faire des emplettes, non ?
dans une sorte de minuscule basse-cour au fond de son cerveau il engraissait un petit troupeau de rancunes que le temps accroissait - Si vous me poursuivez, prévenez vos gendarmes que je possède une arme et que je sais tirer.
Piotr MedvedevATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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(#) Re: Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul soient plus efficaces qu'un seul | Medvedev&Octave
missive rédigée par Piotr Medvedev leLa proposition d’Octave fait fleurir un sourire sur ses lèvres. Les yeux rivés sur l’espace dégagé qui livre les étoiles à l’attention des passants, il s’imagine déjà le slogan en lettres de feu. Et les ombres projetées sur les boutiques des patrons avides d’argent, et les grimaces dépitées des clients, de tous ceux qui ont ces pièces teintées de sang sur leurs mains sales.
« Excellente idée camarade. Excellente. »
Piotr hoche même la tête, pour bien insister, avant de reprendre une lampée de sa bouteille. Pour marquer le coup. Une rue entière à leur merci, ça se fête, non ? Il pense que ça se fête. C’est ce genre de petites victoires sans grandes conséquences qui lui manquent, et c’est ce que le destin lui a livré.
« De toutes façons, ce genre de types ne marchent qu’à la menace. C’est leur seule carotte et leur seul bâton, venant du prolé… tariat ? »
Mince, parler français ne devient pas plus aisé avec de l’alcool à la place du sang. Il reboit pour la peine.
« Bon, on fait quoi, une allumette tous les… Oh fais gaffe, y a du monde là ! »
L’alarme dans la voix de son interlocuteur lui fait brusquement tourner la tête, muscles tendus, sobriété quasi retrouvée. Instinctivement c’est au combat qu’il se prépare. Son souffle se stoppe, puis reprend en saccade, oxygène pompé dans des muscles prêts à fondre sur une proie. Mais il n’en est rien.
Il faut quelques secondes au soviétique pour percuter qu’Octave cherche à le déplacer en le tirant par le bras. Aussitôt il se décale, le suit vers le mur contre lequel il s’aplatit, regard rivé vers les carrés de lumière qui trouent l’obscurité ambiante. Il y a quelqu’un dans cette boutique.
« Un garde ou un cambriolage ? »
Si c’est le premier, Piotr est capable de le désarmer. Si c’est le second, qu’il s’amuse. Il ne va pas priver quelqu’un du plaisir de dérober au capitalisme, peu importe la pseudo-question de morale qu’on pourrait y associer. Les patrons volent déjà à leurs employés.
« On va voir ? », demande-t-il tout de même, curieux.
Ne se préoccupant manifestement pas de la réponse, ou ayant oublié l’existence de sa question tout juste après l’avoir énoncée, le Russe se glisse vers l’arrière de la bâtisse dont la devanture scintille dans la nuit. Tout persuadé qu’il est d’être d’une grande discrétion, sa démarche se rapproche plus de celle d’un ivrogne que d’un loup aux sens affûtés. Mais peu importe : une nouvelle mission les attend.
L’arrière-porte est entrouverte. Un liséré de lumière est projeté dans l’entrebâillement sur les pavés qui forment la cour intérieure du bâtiment. Pas de trace d’effraction. La serrure semble intacte. Bien sûr, un cambrioleur pourrait avoir utilisé un Alhomora mais si la boutique n’a rien prévu pour contrer ce genre de sortilèges, alors elle mérite ce qui lui arrive.
Il se penche en arrière :
« Un patron ? Ou al- »
Claquement. La porte s’ouvre davantage. Des pas légers atteignent ses oreilles.
Piotr ne prend pas le temps de réfléchir : il plaque une grande main sur la bouche d’Octave, qu’il pousse avec lui contre le mur adjacent. Ainsi plongés dans le noir, ils devraient être invisibles. Si tout se passe bien. Si les bouteilles ne tombent pas de leurs mains malhabiles. Si la personne qui se rapproche n'a pas une excellente vision nocturne ou un don qui lui permettrait de les percevoir.
Un énorme carton lévite sous leurs yeux par l’ouverture. Il semble rempli à en déborder, une silhouette bordélique en dépassant légèrement, mais il est impossible dans son état de distinguer réellement ce qu’il contient. Les claquement de pieds se rapprochent. Quelque chose dans le son le dérange ; c’est comme… C’est comme si la peau de cet individu touchait directement le sol. Comme s’il était… Pieds nus ? Bizarre.
« Fleur n’est pas méchante, Fleur est gentille, Fleur n’est pas méchante, Fleur est gentille. »
Le murmure précède tout juste une menue silhouette qui se découpe ensuite dans la nuit. Une menue silhouette vêtue de guenilles et… Une elfe ?! Une elfe de maison ?! En train de cambrioler une boutique ? Ça n’a aucun sens. Aucun.
Piotr adresse un regard éberlué à son camarade avant de baisser les yeux vers sa bouteille. A-t-il pris des boissons piégées ? Contiennent-elles de la drogue ?! Non, non. Il l’aurait senti. Il l’aurait senti pas vrai ?
« Fleur n’est pas mé… », la phrase se suspend en cours de route.
Merde. Merde merde merde merde ! Le soviétique relève la tête brusquement…
Pour croiser le regard de la petite elfe.
Ils sont repérés.
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Octave DefresneATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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(#) Re: Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul soient plus efficaces qu'un seul | Medvedev&Octave
missive rédigée par Octave Defresne le
Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul
soient plus efficaces qu'un seul
Bien sûr, si l’on ne se fonde que sur ce qui saute aux yeux le vent semble une brute raffolant de nuire à tout l’monde... Mais une attention profonde prouve que c’est chez les fâcheux qu’il préfère choisir les victimes de ses petits jeux.
6 déc. 1927 avec @Piotr Medvedev | TW : alcool, violences, langage vulgaire, chaos
[Thème : Les bourgeois] Tu n’as rien d’un combattant. Non, toi, tu es plutôt un homme d’art et de beautés, un érudit, un rêveur, le maigrichon, le gamin sur qui on cogne… Mais tu en as fréquenté, des types qui ont un talent plus aiguisé que le tien pour la violence, et malgré les vapeurs de l’alcool qui embrouille ton visage, tu n’as pas besoin d’être un guerrier pour penser que l’homme devant toi en est un à sa façon dont son visage se métamorphose en un instant devant l’urgence d’un potentiel danger. Cette pensée t’effleure puis s’évanouit, vite remplacée par la frustration de ne pas réussir à le tirer du tout quand il a pu te traîner dans la rue sans souci, et la remarque que la pierre du mur contre lequel tu t'aplatis un peu trop fort est froide et désagréablement rugueuse contre ton visage.
– Un garde ou un cambriolage ?
Bah c’est à dire que dans les deux cas vous auriez plutôt intérêt à vous barrer, non ? Ah, oui… la lutte contre le grand capital… Enfin, personne n’a jamais dit qu’on ne pouvait pas la mener deux rues plus loin. À côté, Piotr semble complètement indifférent à tes doutes.
– On va voir ?
Tu n’as même pas le temps de lui répondre. Il est déjà parti, te laissant là, avec tes arguments à peine échafaudés. Maudits principes, qui a décrété qu’on n’abandonne pas un camarade ? Tu trottines derrière lui, maladroit, essayant de le rattraper sans faire trop de bruit - ce qui est un échec total si tu te fies au regard désapprobateur du chat perché sur le muret d’en face. Tu rejoins enfin Piotr pour remarquer la porte entrebâillée, intacte – aucun signe d’effraction. Étrange. Dans cette rue, tu t’attendrais à des sortilèges de protection puissants. C’est quelqu’un qui connait la boutique sûrement, non ? Ou le genre de cambrioleur que tu n’as pas du tout envie de surprendre.
– Un patron ? Ou al-
La porte s’ouvre et Medvedev te projette en arrière contre le mur, la main écrasée sur ta bouche. Tu t’insurges, mais ta protestation n’est qu’un étouffé :
– Schmfmmsmsmsmgfmm…
Sans doute la chose la plus intelligente que tu aies dite ce soir. Au moins ne cache-t-il pas tes yeux et tu peux voir le carton qui lévite, son air surpris en premier, puis la silhouette d’une elfe de maison. Et comme si ça n’était pas suffisamment bizarre, tu entends une voix perchée répéter dans une litanie troublante :
– Fleur n’est pas méchante, Fleur est gentille, Fleur n’est pas méchante, Fleur est gentille.
Le russe semble accuser vos bouteilles de cette vision et tu réponds à son interrogation silencieuse par un haussement d’épaules. Ce n’est pas commun, mais avec le monde sorcier, tu as fini par te faire une raison et accepter l’invraisemblable quand il se présente. Vu ce qu’elle se répète, elle n’a pas l’air ravie de ce qu’elle fait, et les elfes ne sont-ils pas au service de maîtres ? Les premiers exploités… Oh, mais est-ce qu’il ne faudrait pas syndiquer les elfes de maison ?
– Fleur n’est pas mé…
Ton génie révolutionnaire est perdu alors que vous êtes découverts, l’idée envolée face à ses grands yeux vitreux posés sur vous. C’était bien la peine de manquer de t’étouffer si c’était pour être si facilement vus. Tu te dégages comme tu peux de la prise de Medvedev, et titubes de deux pas vers celle que vous surprenez en bégayant une explication :
– B-bonsoir Fleur. On s’est euh perdus.
Tout à fait crédible. La pauvre a l’air dans un état de trouble certain. Est-ce qu’on l’a envoyée faire le sale boulot ? Comme si ça n'était pas assez horrible d’avoir à son service une créature intelligente et plus douée en magie que la plupart des sorciers… Ces lubies de riches te dégoûtent. Tu lui désignes le carton et la porte qu’elle a laissé ouverte derrière elle :
– Il faut tout nous dire Fleur. On est là pour aider.
En quelque sorte.
dans une sorte de minuscule basse-cour au fond de son cerveau il engraissait un petit troupeau de rancunes que le temps accroissait - Si vous me poursuivez, prévenez vos gendarmes que je possède une arme et que je sais tirer.
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(#) Re: Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul soient plus efficaces qu'un seul | Medvedev&Octave
missive rédigée par Piotr Medvedev le« B-bonsoir Fleur. On s’est euh perdus. »
Octave et Piotr ne se sont définitivement pas perdus. Ils étaient cachés là, dans l'impasse, tapis dans l'ombre comme deux voleurs, et leurs allures étaient à peu près aussi innocentes que s'ils avaient arboré des cagoules. Au moins pouvaient-ils plaider l'alcoolémie.
« Il faut tout nous dire Fleur. On est là pour aider. »
Plus maintenant.
Le soviétique retient péniblement un soupir, se contenant de pincer l'arrête de son nez pour chasser la migraine qui voudrait s'y pointer. Ce n'est pas le moment. Ce n'est jamais le moment bien sûr, mais il est trop tôt pour la gueule de bois et trop tard pour revenir sur leur décision de marquer les rues du Tout-Paris d'un grand éclat de communisme.
La petite elfe, pour sa part, tremble. Ses grands yeux sont fixés sur l'apparence débraillée de son camarade, sa bouche entrouverte sur ce qui doit être un cri de terreur en devenir. Derrière eux, le carton manque de s'effondrer. Piotr aimerait dire qu'il est en pleine possession de ses moyens lorsqu'il dégaine sa baguette pour le redresser, mais son Wingardium Leviosa part en biais, ne soulève qu'un seul pan de la boîte et lui fait définitivement perdre l'équilibre.
« Нет Нет НетНетНет ! »
Sa désapprobation n'y change rien : une quantité astronomique d'objets dégringole presque au ralenti du contenant pour s'écraser au sol quelques centimètres plus bas dans un fracas qui, à défaut d'être bruyant, dure suffisamment longtemps pour attirer l'attention du voisinage.
« блин ! Je... Je suis désolé Fleur euh... Je vais... »
Il va quoi, au juste ? Piotr n'a pas le temps de songer à la réponse que la petite elfe éclate en sanglots. De grosses larmes dévalent ses joues malingres et elle utilise péniblement les linges qui lui servent de robes pour camoufler ses gémissements. Ce qu'il a fait relève manifestement de l'impardonnable - ce qu'il comprend.
Une grimace inconfortable s'empare pourtant de ses traits alors qu'il adresse une oeillade à son comparse. C'est qu'il n'est pas très doué avec les émotions, en tout cas pas quand il est trop saoul pour faire semblant de ressentir les mêmes choses que le commun des mortels. La détresse de leur interlocutrice lui passe loin, loin au dessus de la tête, mais il sait qu'il est censé agir contre elle. Comment ? Impossible de le savoir.
Dans son ébriété, le Russe décide donc de s'occuper de ce qu'il est en mesure de faire : observer. S'approchant maladroitement du carton retourné au sol, il glisse son regard de poupée en statuette, en passant par des peluches et des puzzles. C'est...
« Pourquoi voler des jouets, Fleur ? Est-ce qu'on te l'a ordonné ?
- C-c'est que... Non mais... »
La créature a manifestement décidé qu'Octave était plus digne de confiance que lui - ce qui est sage de sa part. S'accrochant au pantalon de l'homme, elle les supplie du regard tour à tour :
« Je voulais les donner. », murmure-t-elle.
Regard vers son complice. Une elfe libre ?
« Je... Je travaille ici mais... Enfin Monsieur ne veut pas faire de charité et... »
Une fois de plus, elle éclate en sanglots. Une fois de plus, Piotr ignore quoi faire pour la consoler. Une idée, en revanche, germe dans son esprit. Et il compte sur son camarade de beuverie pour la comprendre sans qu'il n'ait besoin de mots.
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(#) Re: Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul soient plus efficaces qu'un seul | Medvedev&Octave
missive rédigée par Octave Defresne le
Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul
soient plus efficaces qu'un seul
Bien sûr, si l’on ne se fonde que sur ce qui saute aux yeux le vent semble une brute raffolant de nuire à tout l’monde... Mais une attention profonde prouve que c’est chez les fâcheux qu’il préfère choisir les victimes de ses petits jeux.
6 déc. 1927 avec @Piotr Medvedev | TW : alcool, violences, langage vulgaire, chaos
[Thème : Les bourgeois] Du coin de l'œil, tu vois Piotr lever sa baguette pour aider l’elfe devant toi avec son carton, et tu devines la catastrophe avant qu’elle n’arrive, trop sidéré pourtant pour y faire quoique ce soit. La boite tangue, le russe bougonne et cela ne change rien à l’inévitable chute, qui vous vaut des torrents de larmes et de gémissements que l’on étouffe dans les guenilles. Le butin répandu sur le sol est des plus étranges : constitué de peluches, de poupées et autres jouets de bois aux couleurs éclatantes, que tu avises d’un air ahuri alors que ton camarade s’en approche. Sa grimace de malaise a déjà disparu quand il questionne Fleur :
– Pourquoi voler des jouets, Fleur ? Est-ce qu'on te l'a ordonné ?
La créature a glissé jusqu’à toi, ses longs doigts s’accrochent à tes vêtements alors que ses yeux supplient et que les larmes dévalent toujours ses joues.
– C-c'est que... Non mais… Je voulais les donner. Je... Je travaille ici mais... Enfin Monsieur ne veut pas faire de charité et...
Les pleurs reprennent bruyamment, couvrent les mots et les idées alors que la main frêle se tient toujours à toi. Par automatisme plus que par sincère sentiment, tu tapotes doucement une épaule dans un geste compatissant, mais tes yeux vont des jouets à ton camarade et brillent comme les siens.
– Oh Fleur… Fleur, Fleur, Fleur !
Tu prends la petite elfe par les épaules et la secoue, ta joie beaucoup trop vive, ton enthousiasme qui te ferait presque sautiller sur place.
– Tu n’es pas méchante du tout Fleur ! Tu es merveilleuse ! N’est-ce pas Piotr qu’elle est merveilleuse ? Oui, oui !… C’est bientôt Noël et tu veux offrir des jouets aux enfants, tu es une héroïne même !
C’est dit avec sincérité, avec un sentiment qui te vient de très loin et qui perce les brumes de l’alcool - avec le souvenir de ce qu’a été ton enfance et de la joie que tu aurais eu, toi, à trouver une telle bienfaitrice… Vos idées, jusque-là, étaient bêtes et mesquines. La sienne est brillante, incroyable, fabuleuse ! Des jouets pour les enfants, arrachés à l’avarice d’un homme refusant la charité - un monstre tout au moins ! Oh tu en pleurerais…
– Nous allons t’aider Fleur ! Oui ! C’est une très belle chose que tu fais. C’est bien. Oui…
Fleur a l’air surprise, heureuse et un peu dépassée par les évènements, sur le bord des larmes encore mais autant de joie que de tristesse, et en même temps sur le point de se remettre à hurler de culpabilité. Tu lui offres ton sourire le plus chaleureux et jovial, yeux bleus plongés dans l’éclat noir de ceux de la créature qui l’innondent de ton assurance.
– Nous pourrions aller les donner à la Maison d'Ilithyie ? Ce n’est pas très loin…
Des jouets pour les orphelins - vous allez devenir des légendes ! “Les camarades de Noël”… Oui, enfin, vous trouverez bien un bon nom à l’occasion quand vous raconterez cette histoire.
– Allons en prendre d’autres !
C’est dit avec la plus grande légèreté du monde, comme si ce n’était rien - et certainement pas du vol. Oh de toute façon, si on apprend que ce bourgeois a distribué ses jouets aux orphelins, il gagnera sans doute en clientèle - alors c’est un peu comme si vous lui rendiez service. Tu pousses devant toi la petite elfe sans lui laisser le temps de rétorquer, la couvrant de nouveaux compliments qu’elle n’a pas volé pour son courage et sa grandeur d’âme, et t’assures d’un geste de la tête que Medvedev suit encore.
– Qu’est-ce que tu en penses camarade ?
Tu n’as pas besoin de dire que toi, cela te met en joie. Arrivé dans la boutique, ton regard rêveur se perd sur un petit train volant qui est immobile pour l’instant au plafond, sur les chars tirés par les licornes, sur les poupées aux cheveux enchantés… Tant de merveilles qui n’attendaient que vous. Que vous allez collectiviser - c’est bien cela le terme, non ?
dans une sorte de minuscule basse-cour au fond de son cerveau il engraissait un petit troupeau de rancunes que le temps accroissait - Si vous me poursuivez, prévenez vos gendarmes que je possède une arme et que je sais tirer.
Piotr MedvedevATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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(#) Re: Parce que je ne pense pas que deux trous-du-cul soient plus efficaces qu'un seul | Medvedev&Octave
missive rédigée par Piotr Medvedev le« Oh Fleur… Fleur, Fleur, Fleur ! »
Les gestes d'Octave sont gorgés de toute la sympathie que demande la situation, mais c'est de l'enthousiasme qui transparaît dans son intonation. Ses yeux brillent d'une lueur énergique qui transparaît jusque dans la pénombre. L'intéressée, elle, sanglote toujours contre son pantalon, mais il ne semble ni s'en soucier ni s'en formaliser. Piotr s'autorise un haussement de sourcil curieux. Son camarade a-t-il trouvé une idée lumineuse pour réconforter l'elfe de maison ? A-t-il trouvé une opportunité pour détruire la réputation du marchand ?
Le florilège qui suit n'arrange en rien sa compréhension des choses. Merveilleuse ? Ce n'est pas vraiment le terme que le soviétique aurait employé pour dépeindre la petite créature. Triste, peut-être. Misérable. Aux yeux de son compagnon pourtant, elle semble avoir gagné plus de lettres de noblesse que les grands de ce monde par ses seules intentions. Piotr doit l'admettre : courageuse est aussi un qualificatif qui lui conviendrait. Rarement a-t-il vu des elfes de maison se rebeller contre leurs maîtres. Rien que pour cela, il la respecte davantage que la plupart des hommes qu'il a rencontré ce soir. Peut-être est-ce ce que signifie Defresne ?
L'alcool rend sa confusion plus opaque, ses pensées plus lentes. Il peine à déchiffrer pleinement ce que déclame son interlocuteur, doit patienter de longues secondes avant que les informations ne montent, ne prend pas vraiment garde à les comprendre pleinement. Il est tout à la fois fatigué et énergisé de cette soirée, ne compte pas s'arrêter là d'ailleurs, reprend une lampée de vin.
« Nous allons t’aider Fleur ! Oui ! C’est une très belle chose que tu fais. C’est bien. Oui… »
Un regard circonspect se dirige vers Octave. Ils vont... quoi ?
« Pardon ? »
Sa question molle se perd dans les yeux larmoyants de Fleur qui, toute heureuse qu'elle est, semble peiner à s'exprimer. C'est que le revirement de situation doit être vertigineux pour elle - il en a aussi la tête qui tourne. A moins que ce ne soit le vin.
« Nous pourrions aller les donner à la Maison d'Ilithyie ? Ce n’est pas très loin…
– La maison de qui ? »
Un orphelinat. Ce doit être un orphelinat. Bon sang, son cerveau est d'un lent !
En plus, c'est vrai que l'idée est délicieuse. S'ils volent à ce sale type pour donner à des pauvres, jamais n'osera-t-il prétendre qu'on l'a volé - ce serait reconnaître sa propre avarice, et s'il est une chose que les riches refusent de faire, c'est admettre combien ils sont pingres. Ce qui n'enlèvera en rien la tâche négative dans son budget, ni à la satisfaction générale qu'ils pourront tirer d'un tel exploit. L'opportunité est trop bonne !
« Qu'en penses-tu, camarade ?
– J'en pense qu'il va nous falloir un nouveau carton, d'une part, et du parchemin de l'autre. »
Le sourire qui fend son visage est carnassier, sans doute trop pour l'occasion présentée, mais l'idée de ravager cet entrepôt au bénéfice des plus précaires le ravit. Sans hésiter le voici qui s'avance, ouvre la porte arrière de la boutique pour aller en explorer les tréfonds. Fleur trottine dans son sillage sans qu'il ne l'écoute trop, ne souhaitant pas l'écouter si elle cherche à le freiner.
L'intérieur de la boutique est toujours plongé dans le noir, et seule sa vision nocturne remarquable lui permet de distinguer les étiquetages méticuleux des produits qui attendent d'être mis en rayon. Tout semble parfaitement à sa place - la petite elfe de maison a fait un travail remarquable pour ne pas être repérée.
Un instant, son esprit s'égare. Aucune idée ne se forme. L'entrepôt est si vaste et le choix si grand qu'il s'y perd un instant, préférant reprendre une gorgée de sa bouteille pour y trouver l'inspiration tandis qu'un "lumos" lui échappe. Ses yeux glacés parcourent les intitulés, des poupées de porcelaine aux voitures métalliques réduites, et ses pensées turbinent à l'idée du plus beau prix à offrir aux gagnants de leur soirée.
C'est alors qu'il le voit. Grand, lustré, quasi intransportable du fait de son envergure, et pourtant si parfait qu'un immense sourire déchire son visage. Oh. Oh, il a trouvé.
« Octave. Octave, il nous faut ça. A tout prix. Le type ne s'en remettra jamais. »
Car devant eux se tient le tout dernier modèle de train électrique Märklin, enchanté pour pouvoir s'adapter aux murs et aux meubles de la pièce où il serait posé, doté d'une lumière frontale et de figures animées derrières ses fenêtres floutées. Une pièce de collection à n'en pas douter, la plus chère sans doute de tout le magasin.
« On pourrait le transporter grâce aux balais pour enfants ? On sera un peu lourds, mais ils devraient marcher et on pourra les déposer sur place aussi. Reste à nous trouver une remorque, parce qu'on ne va pas se contenter de ça ! »
La poésie ne connaît pas les chiens.
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