there is a heat and a flame inside me (lorenzo)
Lorenzo de MediciATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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Occupation : Parrain de la famiglia medici, Directeur d'entreprise
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(#) Re: there is a heat and a flame inside me (lorenzo)
missive rédigée par Lorenzo de Medici leThere is a heat
ft neith shafiq
Thème | La voilà qui mange, pensive. Et lui se sent obligé d'ajouter, comme s'il présentait les choses, comme s'il désirait des choses :
Je ne t'empêcherai pas de revoir quelqu'un Neith. Tu es une femme et les femmes célibataires ne sont pas bien vues. Je refuse que tu te prives pour... ce que nous vivons, soit en certaine. Je préfère seulement être honnête.
Bien complexe que ce qu'il offre. L'Italien n'aime pas devoir rendre des comptes et s'il s'est toujours arrangé pour rester libre et ne jamais confier ce qu'il pense ou ressent, elle le force, à sa manière, à faire tomber des barrières. Il n'est pas habitué. Préfèrerait encore ne rien dire. Mais si le silence offre de la perdre, il n'en veut pas. Alors il parle. Il parle et déteste ce qu'il confie. L'homme n'est pas faible. L'homme est un homme. Roc puissant sur lequel on pleure, certainement pas pleutre qui confie des doutes. On l'a elevé à avancer. Pas à regarder si on le suit.
Le nouveau sujet se fait plus épineux encore et cette fois, les barrières du menteur se brisent. La machoire se serre, une seconde de trop. Il se redresse, abandonne le petit dejeuné pour s'approcher de la fenêtre. Il ne s'attendait pas à ça en venant la rejoindre. Un jeu, de l'amusement. Peut-être même du sexe. Pas cette discussion qui ressemble bien trop à celle partagées avec l'épouse.
Je peux ? demande-t-il en ouvrant la fenètre et en sortant son paquet de cigarette.
C'est qu'il avait besoin de quelque choses pour ne pas se sentir complètement perdre les pédales.
Agnes n'a rien à savoir. Ce qu'elle ignore ne peut lui faire de tord. Vous parlez de moi quand vous vous voyez ? Je ne vous savais pas aussi proches. Un brin de sourire, une touche d'humour quand ces yeux, eux, ne rient pas une seule seconde. Le sourire disparait pourtant aussi vite qu'il est né quand il se fait plus sérieux. Si Agnes sait la moindre chose, autant mettre un terme immédiatement à ce qui nous lie. Je voulais du secret pour protéger ta réputation mais également pour me protéger. D'elle. Ces colères ont suffisamment fait les choux gras pour que tu n'ignores rien de ce dont elle est capable. Si elle le sait, elle n'aura de cesse de chercher à détruire la moindre chose. Je... je compte actuellement la répudier. Et je suis certain qu'elle pensera dans son esprit malade que c'est pour toi. Que je voudrais t'epouser.
Non. Certainement pas. Il voulait seulement dire adieu à ces chaines. Essayer, du moins.
Tu es une femme merveilleuse, Neith. L'homme qui t'épousera sera chanceux. Mais je ne te ferai l'outrage de vouloir l'être. Tu mérites quelqu'un qui n'est pas moi. Et je ne veux pas me remarier.
Je ne t'empêcherai pas de revoir quelqu'un Neith. Tu es une femme et les femmes célibataires ne sont pas bien vues. Je refuse que tu te prives pour... ce que nous vivons, soit en certaine. Je préfère seulement être honnête.
Bien complexe que ce qu'il offre. L'Italien n'aime pas devoir rendre des comptes et s'il s'est toujours arrangé pour rester libre et ne jamais confier ce qu'il pense ou ressent, elle le force, à sa manière, à faire tomber des barrières. Il n'est pas habitué. Préfèrerait encore ne rien dire. Mais si le silence offre de la perdre, il n'en veut pas. Alors il parle. Il parle et déteste ce qu'il confie. L'homme n'est pas faible. L'homme est un homme. Roc puissant sur lequel on pleure, certainement pas pleutre qui confie des doutes. On l'a elevé à avancer. Pas à regarder si on le suit.
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Je peux ? demande-t-il en ouvrant la fenètre et en sortant son paquet de cigarette.
C'est qu'il avait besoin de quelque choses pour ne pas se sentir complètement perdre les pédales.
Agnes n'a rien à savoir. Ce qu'elle ignore ne peut lui faire de tord. Vous parlez de moi quand vous vous voyez ? Je ne vous savais pas aussi proches. Un brin de sourire, une touche d'humour quand ces yeux, eux, ne rient pas une seule seconde. Le sourire disparait pourtant aussi vite qu'il est né quand il se fait plus sérieux. Si Agnes sait la moindre chose, autant mettre un terme immédiatement à ce qui nous lie. Je voulais du secret pour protéger ta réputation mais également pour me protéger. D'elle. Ces colères ont suffisamment fait les choux gras pour que tu n'ignores rien de ce dont elle est capable. Si elle le sait, elle n'aura de cesse de chercher à détruire la moindre chose. Je... je compte actuellement la répudier. Et je suis certain qu'elle pensera dans son esprit malade que c'est pour toi. Que je voudrais t'epouser.
Non. Certainement pas. Il voulait seulement dire adieu à ces chaines. Essayer, du moins.
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@Neith Shafiq
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❝ I could love you with my eyes closed, Kiss you with a blindfold,
Figure you out.
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(#) Re: there is a heat and a flame inside me (lorenzo)
missive rédigée par Neith Shafiq leTu es une femme et les femmes célibataires ne sont pas bien vues.
S’il savait. Dès l’instant qu’elle avait perdu son nom marital, c’était comme si elle devenait dangereuse. Il n'y avait pas que la classe, elle en était persuadée. Elle savait qu'elle était dangereuse de bien des façons tant symboliquement que réellement. Mais elle avait remarqué que les choses étaient différentes à ce propos depuis le décès d’Alaric. Une pensée mesquine lui vient en observant l’italien. Celle que peut être n’ont-ils pas tort. Ne détourne-t-elle pas un homme marié de son épouse ? L’ironie de la situation la pique. Elle sait qu’elle n’a rien à se reprocher. Elle n’est pas mariée, elle et quand bien même, elle n’avait jamais trahi la confiance d’Alaric comme Lorenzo pouvait le faire avec Agnes. Elle était une femme libre. Mais elle savait que les femmes libres étaient dérangeantes. Mais être libre, avoir eu l’éducation qu’elle avait eu en tant que femme Shafiq, n’empêchaient pas de parfois avoir l’impression de s’épuiser à se battre pour ses principes.
Et lorsqu’elle accepte, elle sait qu’elle tiendra sa parole. Il ne saura rien et lorsqu’il saura, elle aura pris soin de rompre avec lui une fois qu’elle sera certaine de ce qu’elle voulait.
Le sujet d’Agnes n’est pas plaisant, elle le voit bien dans sa façon d’agir. Lorsqu’il demande pour la cigarette, elle lui fait un geste de la main mais soupire. Elle déteste l’odeur. Elle déteste quand les gens fument dans son bureau. Elle sait qu’elle allait devoir aérer, prendre soin aussi de prendre une bonne bouffée d’air frais dehors. Mais elle ne le lui interdit pas. A la place, elle se lève et va à l’opposée de lui, sur son bureau. Elle se penche pour récupérer de l’encens. Le brûle encens est fait de feuilles d’or et du bout des doigts, elle allume ce dernier avant de laisser l’odeur imbiber la pièce, chasser les mauvais djinns de la cigarette et avec cela les mauvais souvenirs.
Lorsqu’elle se retourne vers lui, elle s’appuie contre son bureau et croise les bras par confort plus que par opposition. Elle ne cache pas son air dubitatif, un sourcil levé. S’il a sa touche d’humour, elle n’arrive pas à avoir la même chose de son côté. Elle prend Agnes au sérieux. Encore plus quand elle apprend la répudiation. Cela l’alarme en réalité mais son inquiétude est rapidement remplacée par une envie d’éclater de rire. Toussant pour faire passer le fou rire qui lui vient, Neith n’arrive pas à cacher qu’elle trouve cela très drôle qu’il pense qu’Agnes puisse penser qu’elle, elle, veuve d’Alaric Lestrange puisse accepter d’être épouse Medici.
La perspective même lui donnait envie d’éclater de rire.
« J’aurai de toute façon dit non. »
Mais elle n’arrive pas à s’en empêcher et le fou rire la prend.
« Pardon, je te jure que je ne me fiche pas de toi… » lâche-t-elle avant de prendre une grande inspiration pour se ressaisir et tenter de calmer son souffle.
Lorsqu’elle fut enfin à peu près sûre de ne pas retourner en fou rire, elle s’éclaircit la gorge et répondit :
« Nous ne sommes pas proches. Nous ne parlons pas de toi. Sans vouloir te vexer. » Sourire en coin. « Mais son coup d’éclat de la dernière fois me laisse particulièrement songeuse. »
Elle savait très bien de ce qu’elle répondrait si Agnes aborde le sujet. Mais elle savait que sa réponse serait le genre de réponses qui ne plairait pas à une femme bafouée maintes fois, quoique Neith ne comptait pas s’en faire une ennemie. Comprenant néanmoins que Lorenzo était ferme sur la question, elle haussa les épaules.
« D’accord. Je ferai en sorte de détourner le sujet si elle l’aborde. »
Cela ne lui convient pas, mais elle n’a pas de solutions pour l’instant. Elle avisera le moment venu. Son regard se porte instinctivement sur l’heure pour savoir où ils en sont. Elle essaie de ne pas penser au reste de sa journée encore. Ils ont encore un peu de temps devant eux, mais elle n’est plus certaine de se sentir aussi légère que tout à l’heure. Quelque chose la gêne dans tout cela sans qu’elle n’arrive à mettre le doigt dessus.
« As-tu encore faim ? » demande-t-elle finalement reportant son regard sur lui, calme. Elle, elle était repue et essayait de rester au plus près de l’odeur d’encens pour éviter celle de la cigarette même s’il était proche de la fenêtre.
ever since that first moment.
when my hand touched your hand and my lips touched your lips there is only joy, joy, joy forever and ever. It is joy that burns me now, and joy that makes my back ache for wings. But it is love that makes me pause, that tethers me to this body and this life, that I may always fly home to you.(c) chibi/wildheart