[Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
(#) [Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
missive rédigée par Guilhem d'Apcher lealias
Bellemain d'Apcher
Un patronyme qui ne laisse personne indifférent, depuis des siècles où leur baronnerie a perduré, malgré les révolutions et les massacres. Frissons de peur, de dégoût ou de fascination, les rumeurs les plus folles courent sur les ... mais on parle, ou du moins on a parlé d'
Apollon Guilhem Radomil
Fils de la lune, renommé comme le dieu du soleil. Outrage à ce nom qu'il déshonore, l'artiste brille par ses mots qui touchent juste, qui piquent juste. Ils se font rares, ceux qui l'ont d'abord connus comme
Apollon n'a pas honte de son vrai nom, bien au contraire. Mais l'artiste se doit de briller quitte à éclipser le loup solitaire.
Naissance
La nuit duIl a grandit dans le
Parents
☾ la b e l l e ☽ La mère,☾ & la b ê t e ☽ Le père, le second fils aux dents aussi longues qu'acérées,
Tout ce qu'ils avaient en commun, une éternelle insatisfaction de leur place dans cette famille et dans le monde. Ca, et la pureté de leur sang, car jamais les d'Apcher n'iraient ramper plus bas qu'eux, pas même pour les bézants qui leurs manquent tant (mais shh, c'est un secret, gloire intouchée au yeux du monde).
☾ & la p o r t é e ☽ Huit, chiffre magique, l'infinie, la tragédie. Il n'en reste que la moitié, c'est la loi du plus fort qui règne dans la meute, pas de place pour les avortons (il y en a déjà un de trop). C'est la folie des grandeurs, surtout, qui fait que Ménandre pousse la transformation sur ses fils dès qu'ils ont passés huit années sans prouver qu'ils ont la lycanthropie dans le sang. Trop jeunes pour mourir paroles lancinantes d'une triste chanson d'Apollon.
Nature du sang
LaSituation matrimoniale
Occupation
La vie d'Il est aussi passionné par l'écriture,
Il est aussi un peu
Scolarité
C'est àSes études supérieures planifiées par le paternel -qui voulait le placer au Ministère de la Justice Magique, là ou nul d'Apcher mâle digne de ce nom n'était capable d'entrer à cause de la lycanthropie- tombèrent magistralement à l'eau à cause de ses résultats insuffisants... Mais il garde précieusement, amèrement, la lettre déchirée d'acceptation à l’académie de musique magique de Tarentelle.
Composition baguette
Il a longtemps du se satisfaire d'une baguette de seconde main, celle de feu son frère Angelbert : bois de frêne épineux, crin d'abraxan, 31 cm. Récalcitrante, surtout entre ses mains, elle n'a jamais voulu se laisser dompter par celui qu'elle n'avait pas choisi. C'est un énième accident à l'école, et l'insistance de sa mère qui ont fini par convaincre le paternel d'alléger à contrecœur sa bourse pour acheter sa propre baguette au fils mal-aimé... qui par rébellion fit son emplette auprès deD'apparence brute et naturelle, elle est faite de Bois de
Patronus
UnEpouvantard
Sa plus grande peur est devenue réalité. Lorsqu'on grandit persuadé que le plus grand honneur, la plus grande réussite est d'être lycan... échouer est terrifiant. Ca l'était pour lui. Mais rien de tout ça, pour donner forme à l'épouvante du loup déchu.Amortentia
Particularité Magique
Le nabot de la meute, le demi loup-garou, la moitié d'un d'Apcher... Il n'est pas un loup, il n'est pas un homme,Le sang bouillonnant, particularité qui rend ses émotions plus vives, plus incontrôlables, surtout les nuits de pleine lune. Ses sens aussi, surdéveloppés, l'odorat notamment ; mais aussi son ouïe, déjà finement entraînée, qui ne rate aucune fausse notre, aucune vibrations.... mais saigne aussi aux sons trop perçants. Sans oublier ce sixième sens qu'il n'apparaît que lorsque le danger est proche,
Il considère qu'il a tous les inconvénients, mais aucun des bienfaits d'être un lycan, avis bien personnel forgé par les déboires de ses instincts lupins exacerbés par les différentes phases de la lune...
Il les porte aussi sur lui, d'ailleurs, les phases de la lune,
Particularité, non, malédiction. Il aurait voulu être un lycanthrope. Il aurait voulu être un artiste. Il aurait voulu tout avoir.
Le changement, thème récurrent qui revient dans ses textes, la liberté d'exister et d'assumer sa magie et sa nature... Qui a le droit de l'en empêcher ?
Atropos
Atropos
Aussi
Profondément
Que pensez vous des moldus, et du fait que vous soyez obligés de vous cacher d'eux au quotidien ? Je dit qu'on ne devrait jamais avoir à cacher qui on est, ce qu'on est. drôles de paroles pour celui qui vit en marge de la société, en marge des siens, qui suit une voie jamais écrite pour lui. Je dit que trop longtemps, nous avons vécu dans l'ombre et tremblants. Qu'est-ce que les moldus ont de plus que nous ? Nous avons la magie. Nous sommes les créatures légendaires, la magie coule dans nos veines... Nous ne devrions pas avoir à nous cacher ! Oui, je le chante, je le joue. Un monde sans avoir à se cacher, un monde plus ouvert d'acceptation... La loi du plus fort est dangereuse mais... qu'est-ce qu'on a à perdre ? J'en ai croisé, bien des moldus, au fil de mes voyages. Ils aiment la musique autant que les sorciers. Ils peuvent aussi apprendre à aimer la magie... ou à la craindre.
Quelle est votre opinion sur la famille royale magique de France ? La noblesse a été démonisée autant que les royaux. Etais-ce si terrible, l'époque ou les nobles veillaient sur le peuple ? Leur rôle était à peu près le même que celui du Ministère, qui se prétend meilleur, plus juste... Mais les lois injustes ont démunis les nobles de leurs terres et leurs fortunes durement gagnées pour mieux entrer dans les caisses d'un Ministère faible. Il y a toujours des pauvres, il y a toujours des sorciers qui ont faims. Il y a toujours des êtres qui sont persécutés parce qu'ils sont différents, recensés parce qu'ils sont différents... Franchement, je dit que la royauté mérite une nouvelle chance, qu'ils pourraient rendre la gloire à notre pays et le faire rayonner au-delà de nos frontières grisâtres... Pays de la liberté, dit-on, mais pas celle des royaux qui sont traités comme des marionnettes, avec moins de droits qu'un citoyen lambda !! Qui sont attaqués pour ce qu'ils représentent ! Pays d'hypocrites, oui. Pays de moutons et de leur berger joueur de flûte de Hamelin.
L'Aube Sorcière prend de l'ampleur, et Tarek Shafiq fait très souvent la une des journaux. Que pensez vous de cet homme ? Je n'ai nul affect pour la politique et les langues de bois, pourtant celle-ci est une dirigeante de ma vie, une briseuse de groupe et de familles... Je partage les idéaux des d'Apcher, et ainsi de certains de ceux que prône Shafiq... Et dire qu'il aurait pu être mon beau-père ! Pas que son statut m'impressionne, mais sa bravoure à prendre la parole et à défendre la souveraineté due de notre famille royale et la nécessité de la noblesse... Notre pays court à sa perte, dirigé par des faibles qui parlent plus qu'ils n'agissent. Je sais que Mère le soutient, et moi aussi, bien qu'à distance... Je ne suis pas fait pour les débats mais pour la musique, et si certaines de mes chansons soutiennent les changements d'une aube nouvelle... Qui peut me le reprocher ?
(#) Re: [Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
missive rédigée par Guilhem d'Apcher leJust goes to show
That the blood you bleed is just the blood you owe
Now you'll never see me cry
There's just no time to die
You're so fuckin' special
But I'm a creep
I'm a weirdo
What the hell am I doin' here?
I don't belong here
Mais il rêvait, aussi, des longues heures passées avec sa mère, dans ce même petit salon. Sa mère, qui était déjà là, si belle et si noble comme une reine d’antan, assise à côté de l’immense harpe dorée. Ses deux sœurs aussi étaient présentes, Arégonde en train de dessiner sur une feuille de parchemin, Guenièvre étudiant un livre de partitions. Il s’arrête net au regard sévère de la sorcière.
« Tu es en retard Radomil. » Il baisse la tête.
« Bois ton thé, puis nous commencerons. » Il grimace. Il détestait la tisane mursalski, qu’ils étaient tous forcés de boire plusieurs fois par jour parce qu’elle était censée les rendre plus forts et en meilleurs santé… Une vieille recette familiale bulgare dont il se serait bien passé car il détestait le goût. Mais il a hâte de reprendre le cours, et si la condition est cet infâme breuvage… Il lance un regard scintillant, impatient, à la harpe et s’empresse de boire, à s’en brûler la langue.
« Guilhem ! Guilhem !!! Attend moi !! »
Les pas du sorcier ralentissent alors qu’il entend ceux de l’enfant qui le course jusque hors des portes du château. Il soupire et se retourne, faisant à nouveau face aux hauts murs de pierres grises qu’il venait tout juste de quitter après quelques jours à étouffer entre eux. Mais il ne peut pas ignorer plus longtemps les appels de son petit frère, tignasse sombre et yeux bleu-gris trahissant leurs liens de sang.
L’enfant, haletant, gère mal son ralentissement et fonce dans ses jambes… Serrant ses bras autour de lui comme pour faire une cage, des chaînes pour le retenir. Il déteste les chaînes mais celles là sont assez adorables pour qu'il laisse passer avec un sourire.
« Emmène moi avec toi ! » C’est seulement là qu’il remarque le petit sac à dos sur le dos de Germinal, la patte de sa peluche loup blanc en dépassant. Sa gorge se serre, et il dégage doucement sa prise avant de s’agenouiller sur le sol avec lui.
Le plus dur est passé. Il reste encore quelques minutes à échanger avec son frère après la promesse, jusqu’à arriver à le convaincre de retourner se coucher. C’est plus dur, de se relever, et de s’en aller. Sur la route, tout est plus léger, sur la route il n’a pas le poids qui pèse sur lui dès qu’il retourne sur ses terres… Sur la route, il est seul, mais peut-être pas pour toujours.
Il est trop tard pour reculer, songe Guilhem avec une appréhension lancinante devant l’enveloppe à l’air tout à fait inoffensive, comme si elle allait d’un instant à l’autre essayer de le dévorer… C’était à peu près le cas. Il sait reconnaître une beuglante quand il en voie une, petit vrombissement inaudible de magie sous ses doigts qui tiennent le papier épais.
C’est avec reluctance qu’il rompt enfin le sceau qui scelle le message dont il devine déjà le contenu dans les grandes lignes, brisant la cire rouge sang où le fier loup d’Apcher trônait.
Aussitôt, la voix tonitruante et tremblante de rage de son père retentit. (et il doit e rappeler qu’il n’est pas là, qu’il est loin, très loin, qu’il est libre)
« GUILHEM RADOMIL D’APCHER !!! »
Il était habitué à l’indifférence et au mépris, beaucoup moins à cette colère coup de poing. C’est fou, comme juste sa voix le fait perdre ses moyens.
« COMMENT OSES-TU IGNORER MES LETTRES ET MES CONVOCATIONS… »
Hm, facile, il brûlait les lettres et faisait comme s’il n’avait jamais rien vu. Un jeu d’enfant que même le fils raté pouvait réussir. Le léger sourire disparaît vite fait à la suite du discours.
« TU ME FAIT HONTE ! AUCUN DE MES ENFANTS, AUCUN D’APCHER N’A JAMAIS AUTANT CRACHE SUR SON NOM ! BATIFOLER DANS LA NATURE ET FAIRE DE LA MUSIQUE COMME UNE FILLETTE ! J’AI ETE BEAUCOUP TROP LAXISTE AVEC TOI… »
Il cogne légèrement l’arrière de son crâne sur le mur contre lequel il est assis, la plupart des cris noyés dans le fond. Il savait déjà à quel point on regardait mal son choix de métier, comme s’il s’abaissait à moins digne que lui en décidant de suivre sa passion. La musique, c’était un loisir tout à fait commun, dans la noblesse (du moins ce qu'il en restait), mais ça s’arrêtait là, un passe-temps. On attendait que les d’Apcher remplissent les caisses trouées de la famille, pas qu’ils les percent un peu plus. Ils avaient bloqués son compte il y avait quelques semaines, alors ça devenait un peu compliqué… Mais entendre la douce voix paternelle chanter à son oreille ne lui donnait vraiment pas envie de rentrer au château. Au contraire, ça le confirme dans ses choix. Il n’avait rien à faire derrière un bureau, à tenter de gravir les échelons de gratte-papier barbant… Ou autre perspective avec un salaire fréquent. Il préférait encore mourir sans le sou que vivre malheureux.
« NE TESTE PAS PLUS MES LIMITES ! JE T’ASSURE QUE TU LE REGRETTERA- »
Oh, il le regrettait déjà très bien… Le cœur battant à tout rompre, il tente de contrôler l’adrénaline, la peur, la colère qui monte. C’est difficile. Plus difficile que d’essayer de lire une partition dans la nuit noire, sans lumos et sans bougie. C’est prendre sur soi, exercices de respirations improvisés, jouer quelques notes pour s’apaiser-
« …C’EST TA DERNIERE CHANCE SALE DEMI-LY- »
La fureur est soudaine, incontrôlable. Guilhem voit rouge et dégaine sa baguette lançant un sort qui fait exploser la beuglante avant la fin du message. Plus noir que son sourire, plus noir que son âme, magie sombre et peu légale, sort que sa mère lui avait appris sûrement en imaginant pas qu’il l’utiliserait contre une beuglante de son paternel.
Il enfoui son visage dans ses mains. Il répondrait plus tard… Dans quelques semaines. Ca ne pouvait pas le tuer, de le faire mariner encore un peu avant de lui répondre que non, il n’était pas prêt à rentrer, en envoyant quelques bézants pour faire passer le message.
(il ne répondrait rien du tout, informé avant ça que son nom avait été brûlé de l’arbre généalogique par son paternel, que sa chevalière aux armoiries familiales devait être renvoyée au château au plus vite sous peine de poursuites)
(qu'importe s'ils n'ont pas les moyens de poursuivre quiconque en justice)
(il était seul)
La minuscule loge (aussi nommée salle de bain par des âmes moins imaginatives) est prise en otage. Il ne serait pas gêné de se changer devant les autres, loin de là, mais s’il n’avait pas fermé la porte il se serait fait déranger toutes les cinq secondes et il a besoin de toute sa concentration pour être sur son plus beau jour, merci bien. Les essayages (sans fin), le maquillage, le coiffage, le "cacher les cernes qu’il n’a pas merci beaucoup". Apollon Bellemain avait en effet appris à bloquer la porte, parce que les alohomora et le manque de patience de ses compagnons de route étaient de vraies pestes… En parlant de ça. Les boum-boum violents qu’une harpie tambourinant à la porte le font serrer les dents.
« Bouge tes fesses princesse !!! On devrait déjà être sur scène ! » tonne la voix perçante de Némésis, sortant Guilhem de sa (longue) routine pré-concert. Dehors, il entend Eugène et les autres membres du groupe qui s’affairent et se précipitent, puisqu’il est, comme souvent, le dernier. Et non, il ne se sent pas le moins du monde coupable pour ça. Il faut savoir se faire attendre et désirer, la foule aime ça, et si la foule aime ça, ses amis aussi (il est assez malin pour ne pas sortir cet argument alors que le stress de la représentation à venir fait bouillonner les sangs).
Non, pour une fois, il n’a rien à répondre. Ses doigts rendu rugueux par le frottement des cordes se posent sur le point, entre son cou et son épaule, à même le tatouage pigmenté qui y repose. Trace la forme granuleuse de la cicatrice, lentement, en inspirant, expirant, plusieurs fois, les exercices nécessaires. Drôle de rituel, avant chaque représentation, chaque épreuve du feu. Ne pas se laisser déborder par les émotions, dominer par ses instincts.
Il rouvre les yeux qui se sont fermés d’eux-mêmes, se retourne et dégage la porte, entrant presque en collision avec une sorcière baguette levée. Il hausse un sourcil.
Il décoche un sourire, tel une flèche à son arc, quand un grognement quelque part dans le fond précède le sermon agacé de la bombarda maxima du groupe. Retire encore un des boutons de sa chemise bouffante pour que le plus de tatouages possibles soient visibles, provocation multicolore.
En scène.
Nos planètes se séparent
Aujourd’hui pour toujours
Faut pas me retenir
M’en vouloir si je pars
Tout allait bien, dans le meilleur des mondes. L’adrénaline et la joie étaient tout ce qui faisait battre son cœur à la chamade, ce soir-là, malgré la pleine-lune approchant à grand pas. Le discours d’Eugène lui tire un sourire quasi douloureux, prêt à sortir de son visage. Le roi en personne les avaient invités à se produire, le roi ! Et Guilhem est honoré, excité, c’est l’opportunité de sa vie, la consécration. C’est le moment qu’il attendait, pour prouver à tous ceux qui doutés de lui qu’il n’est pas qu’un moins que rien, qu’il peut briller à sa manière, qu’il peut réussir.
(c’est qu’il avait oublié, pendant ces cinq ans merveilleux avec sa meute d’adoption, que la joie est éphémère, que tout change, que tout implose)
Il ne se souvient pas exactement comment ça en fini là, tous debout, criants dans tous les sens, les mots cinglants comme des fouets sur ce sujet tabou qu’est la politique (il défend avec véhémence les royaux, outré par ce qu’il entend, outré qu’on veuille mordre la main tendue vers eux). Ni comment il en arrive à jeter sa lyre au sol, de toutes ses forces, le bruit assourdissant lorsqu’elle se fracasse, son bois fragile brisé, ses cordes coupées comme celle de la promesse rompue à son poignet gauche ; fil d’Atropos la fatale.
Retour à la roulotte, et il se met à balancer les affaires des autres membres sur le parvis de l’opéra, à la sorcière, baguette en main, vent qui se lève et souffle parfait reflet de l’humeur générale, de la tempête qui emporte tout…
Le temps qu’il reprenne son calme… C’est trop tard. Bien trop tard. Il retourne en courant à l’intérieur, mais il n’y a plus personne. Rien plus que les restes brisés d’un instrument abandonné. Et le silence.
Des mots griffonnés dans un petit carnet en cuir usé. Des pages autrefois blanches, couvertes par l’écriture serrée et quasi illisible, comme si celui qui avait inscrit ces mots était possédé par quelque muse ivre. Les arabesques pressées couvertes de ratures ou de tâches multicolores, encore infusée d’iridescence et de couleur, reflet de son auteur, ou part entière de son costume de scène ? Celui qu’il ne quittait jamais vraiment, celui qui le faisait briller, celui qui cachait tous les défauts, toutes les cicatrices. Les mots coulent comme l’encre, à flots tumultueux. Les mots du cœur, de l’âme aussi noircie que les pages, que les cernes de son auteur.
Mais un sourire, toujours un sourire. Quoi qu’il advienne, sourire, et en scène. Le spectacle ne s’arrête jamais.
I wanna have control
I want a perfect body
I want a perfect soul
I want you to notice
When I'm not around
creep - radiohead
(#) Re: [Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
missive rédigée par Guilhem d'Apcher le- Code:
<b>Sam Claflin</b> <em>|</em> @"Guilhem d'Apcher"
Pour ajouter le personnage dans une famille :
- Code:
@"Guilhem d'Apcher" (M · 35 ans)
- ici:
- •
Alcidor d'Apcher ( H · décédé en 1918, à 34 ans, maladie )
• Guenièvre Nom ( F · ~43/36 ans · libre )
• Guilhem d'Apcher ( M · 35 ans · libre )
• Arégonde Nom ( F · ~34/20 ans · libre )
• Prénom Nom ( F/Nb · ~34/20 ans · libre )
•Germinal d'Apcher ( H · décédé en 1918, à 9 ans des suite d'une morsure )
•Adhémar d'Apcher ( H · décédé en 1918, à 8 ans des suite d'une morsure )
Pour le bottin des années de naissance :
- Code:
06.01.1892 @"Guilhem d'Apcher" - Beauxbâtons
Pour le bottin des particularités :
- Code:
<b>Lycanthropie partiel</b> @"Guilhem d'Apcher"
Pour le bottin des emplois :
- Code:
<b>Musicien</b> @"Guilhem d'Apcher"
(#) Re: [Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
missive rédigée par Invité le(#) Re: [Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
missive rédigée par Invité leJe viens de dévorer (tel un demi-loup) ce début de fiche
Ce personnage est génial. Trop hâte de RP avec toi
Je suis trooooooooooooooop content que tu sois là et vivement l'arrivée du petit écureuil
Bon courage pour la fin de ta fiche
(#) Re: [Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
missive rédigée par Guilhem d'Apcher le(mais si tu veux on peut s'arranger hein, sur un malentendu )
Merci beaucoup ! je crois que Cosmo et Guilhem sont cousins éloignés (?) en plus donc ça pourra aider au plaisir aussi de te croiser irp !
@Nikolaï Romanov ouiii trop contente de te retrouver ici ravie que le perso te plaise trop hâte aussi cher cousin réserve moi une place pour rp !
(#) Re: [Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
missive rédigée par Arsène d'Apcher leJe vais pas faire un dessin, tu sais déjà tout
Tellement HATE de rp avec toi omg
En tout cas bienvenue encore @Guilhem d'Apcher, tu sais où me trouver si besoin
(#) Re: [Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
missive rédigée par Guilhem d'Apcher le(#) Re: [Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
missive rédigée par Arsène d'Apcher leJe viens aux nouvelles, comment se passe la rédaction de ta fiche ? As tu besoin d'un petit délai ?
(#) Re: [Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
missive rédigée par Guilhem d'Apcher le(#) Re: [Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
missive rédigée par Arsène d'Apcher leJe suis beaucoup trop pressée de te valider omg
(#) Re: [Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
missive rédigée par Invité leJe sors mon petit instable de la famille qui a subi la morsure de manière hyper volontaire !
J'ai adoré ce que j'ai lu !
(#) Re: [Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
missive rédigée par Guilhem d'Apcher le(#) Re: [Atropos | Guilhem d'Apcher] the song of the lone wolf ☾ guilhem
missive rédigée par Loom Of Fate leBienvenue en France ! Laissez-passer pour la France |
Bienvenue dans l'histoire Loom of Fate ! Tu es désormais libre de vagabonder à ta guise sur les pavés de Paris et partout en France. Pour commencer ton aventure de la