Megalomania | ft Gabrielle
Giacomo de MediciCLOTHO | THIS IS OUR WORLD NOW !
FC + disclaimer : Alessandro Fella - l'écureuil - gif ithappensoffstage
Rythme de jeu : Lièvre
Warning : Attentats - Meurtres - Sang - Trafics - Drogue - Proxénétisme - Relations toxiques et abusives
Trigger : Tout est à discuter (:
Disponibilité RP : Disponible
Couleur Dialogue : Bold, sans couleur
Messages : 313
Bézants : 6185
Multicomptes : Némésis Le Bihan
Galahad Anderson
Galahad Anderson
Âge perso : 33 ans
Nature du sang : Le sang mêlé des Savelli a entaché le pur Medici
Etat Civil : Célibataire volage
Occupation : Joaillier magique, trafiquant d'objets précieux
Joueur
FC + disclaimer : Alessandro Fella - l'écureuil - gif ithappensoffstage
Rythme de jeu : Lièvre
Warning : Attentats - Meurtres - Sang - Trafics - Drogue - Proxénétisme - Relations toxiques et abusives
Trigger : Tout est à discuter (:
Disponibilité RP : Disponible
Couleur Dialogue : Bold, sans couleur
Messages : 313
Bézants : 6185
Multicomptes : Némésis Le Bihan
Galahad Anderson
Galahad Anderson
Âge perso : 33 ans
Nature du sang : Le sang mêlé des Savelli a entaché le pur Medici
Etat Civil : Célibataire volage
Occupation : Joaillier magique, trafiquant d'objets précieux
Personnage
FC + disclaimer : Alessandro Fella - l'écureuil - gif ithappensoffstage
Rythme de jeu : Lièvre
Warning : Attentats - Meurtres - Sang - Trafics - Drogue - Proxénétisme - Relations toxiques et abusives
Trigger : Tout est à discuter (:
Disponibilité RP : Disponible
Couleur Dialogue : Bold, sans couleur
Messages : 313
Bézants : 6185
Multicomptes : Némésis Le Bihan
Galahad Anderson
Galahad Anderson
Âge perso : 33 ans
Nature du sang : Le sang mêlé des Savelli a entaché le pur Medici
Etat Civil : Célibataire volage
Occupation : Joaillier magique, trafiquant d'objets précieux
Succès
(#) Megalomania | ft Gabrielle
missive rédigée par Giacomo de Medici le3 décembre 1927 – ft @Gabrielle de l'Estang
I want a new game to play
La porte chuinte et émet un discret tintement lorsqu'il se glisse dans la boutique de l'orfèvre. Une correspondance assidue lui a inspiré une certaine familiarité avec le propriétaire des lieux, mais c'est la première fois qu'il y met les pieds en personne. C'est donc avec une certaine avidité qu'il détaille l'endroit, s'amusant comme toujours des différences entre ce que les mots inspirent et la réalité qu'ils tentent de décrire. Toujours attiré par ce qui brille, c'est d'abord vers les réalisations exposées qu'il se tourne, vers ces scintillements qu'il apprécie tant - bien que domptés ici par une main autre que la sienne. Il parcourt les bijoux du regard, non comme un futur acheteur, mais plutôt comme un connaisseur arpentant les couloirs d'un musée. L'admiration se teinte de critique, s'aventure parfois dans les contrées étranges de l'inspiration. Non qu'il soit en défaut, de ce côté-là. Si l'ennui avait terni son art quelques mois plus tôt, cette infortune est désormais loin derrière lui. Les lumières de la capitale sont comme autant de muses ; chaque soirée mondaine lui donne envie d'habiller les plus beaux cous de la société sorcière de créations de son cru. Paris manque encore d'exubérance, et il compte bien y remédier.
Ce n'est toutefois pas pour vendre qu'il est là, plutôt pour parler affaires. Ou, plus précisément, approvisionnement. Quand bien même il s'en défende, ses années en Corse n'ont pas été vaines. En plus de lui apprendre l'art de la joaillerie, elles lui auront surtout permis de tisser de fructueux partenariats commerciaux. Bien sûr, la plupart se situaient sous l'égide des Savelli, et il ne venait que seconder sa cousine Livia. Un rôle de pion dans lequel il ne s'était jamais vraiment retrouvé, naturellement. Mais il était facile, alors, de noyer ses doutes dans le brillant de ses joyaux, d'oublier le monde extérieur entre les murs de son atelier. Ce qui ne l'avait pas empêché, même à l'époque, de faire cavalier seul en quelques occasions. Notamment en proposant ses services de fournisseur à un orfèvre parisien, situé fort commodément en dehors de la zone d'action de sa tentaculaire famille maternelle. Ce qui l'autorisait, à son sens, à continuer de commercer avec eux. Au demeurant, ce que les Savelli ignorent ne peut pas leur faire grand mal ... Armand, en revanche, mérite sûrement de savoir que les termes de leur collaboration risquent de s'en trouver un rien modifiés. D'où sa présence. Il est des choses qu'il vaut mieux annoncer en personne que par courrier. Surtout quand ces derniers pourraient être interceptés et lus par un œil indiscret - sans virer dans la paranoïa, Giacomo a assez d'expérience dans les pratiques de ses deux familles pour se montrer méfiant.
Un bruit discret, un mouvement presque infime à la limite de son champ de vision, et il comprend qu'il n'est plus seul dans la boutique. Il ne s'arrache pas pour autant de suite à sa contemplation, préférant se courber pour observer de plus prêt une gemme enchâssée dans sa prison de métal, sur laquelle se devine une rune finement gravée. « Intéressant usage d'Othala. J'aurais plutôt penché pour Naudiz ou Fehu, même si leur aspect est moins harmonieux, moins attirant pour l’œil » fait-il remarquer d'un ton léger, avant de daigner enfin lever les yeux. « Oh. Je m'attendais à trouver Armand. » Légère surprise, en effet, en découvrant en lieu et place du vieux sorcier avec qui il traitait d'habitude une demoiselle fluette, bien moins éblouissante que les bijoux qui l'entourent. Fade, tristement fade, mais respirant tout de même la confiance de celle qui a tous les droits de se trouver là. Intéressant. Le Medici se redresse, esquisse un geste de la tête pour marquer ses salutations. « Giacomo de Medici. J'ai pour habitude de traiter avec Armand. Ses derniers courriers m'évoquaient une apprentie, toutefois - Gabrielle, si mes souvenirs sont bons ? Enchanté. » Un petit sourire vient ponctuer ses derniers mots, sans parvenir à apporter sur ses traits plus de chaleur que celle baignant les froides rues parisiennes en ce mois de décembre.
fragile & unholy
my love will bite you until you bleed ☽ will you forgive me ? please forgive me, for it is the only way i know how to love. quench my hunger and i'll feed your pain.