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Vous devriez vous rencontrer.
Voilà tout ce que l’on a daigné offrir en manière d’explications lorsqu’on lui a remis la carte de l’atelier Desfresne. Cela, et bien entendu l’information que l’artisan collabore avec Lorenzo. Un prestataire. Qu’il ne connaît pas encore. Et le voilà donc entrant dans l’atelier, du moins dans ce qui est certainement l’accès à la clientèle. La foulée est lente, choisie, l’œil attentif et curieux. Le bel ouvrage ne doit jamais être éclaboussé de la souillure des rebus, quels qu’ils soient. Il ne connaît rien à cette technologie-là, pas plus qu’aux petites mains qui peinent ici, mais il compte bien palier cette ignorance au plus tôt, puisqu’il s’agit d’un outil à l’actif de Lorenzo.
Ses pas le mènent auprès du seul être vivant présent en ces lieux, sans hâte ni commentaires, si ce n’est pour une demande simpliste qui se résume sur le ton d’un ordre simple.
“Monsieur de Medici, pour Monsieur Defresne. Veuillez m’annoncer.”
Sa mire accroche l’individu, lisse et sans émois, d’une attention expectative et fixe qu’il maintiendra jusqu’à ce que l’autre s’exécute et ce jusqu’à son départ de la pièce pour braver les tréfonds inconnus du bâtiment. Il s’écarte alors, se tournant de nouveau vers l’entièreté de la boutique sans prêter attention à la présence humaine environnante. Lorenzo n’a certainement pas cherché à lui cacher l’existence de ce partenariat, cela n’a aucun sens, alors Alessandro retient ses pensées en attendant de jauger de ce Monsieur Defresne par lui-même. Ceci est une nouveauté, une nouveauté comportant son lot d’écueils et de questions.
Les minutes s’écoulent sans fracas, tant et si bien qu’il en vient à consulter par deux fois la montre sculptée offerte par son grand-père. Alessandro ne doute nullement de l’emploi de son hôte. Il ne parvient pas pour autant à en voir la pertinence. Le bâtiment, cependant, semble adéquatement vaste pour le Faubourg. Son attention se porte à nouveau sur l’ensemble à disposition.
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(#) Re: Spoiler
missive rédigée par Octave Defresne leIl n’y a pas vraiment d'accueil au sein de l’Atelier Defresne, juste une sonnette qui prévient d’une arrivée et qui fait venir qui le doit. Ce n’est pas un lieu où l’on s’invite à l’improviste, et les Defresne ne sont pas des gens qui se rendent disponibles à qui l’exige… On a vu des grands noms, des sorciers d’importance, plantés des heures durant dans les lumières de l’entrée à attendre que tu ne daignes leur accorder un peu de ton précieux temps, toi, Octave Defresne, le né-moldu… Cette importance que tu as réussi à te donner ici te plaît beaucoup. Néanmoins, pour la plus grande chance du visiteur du jour, il y a parmi tes élèves ce que tu appellerais une brebis galeuse, un étudiant pour qui tout cela n’est ni très sérieux ni très important et qui vient de son inconséquence et de son insouciance régulièrement perturber cette machine si parfaitement huilée : Lucius Trécloitres. Et bien sûr c’est sur lui qu’Alessandro de Medici tombe en entrant dans le bâtiment, et lui qu’il envoie t’annoncer. Bien sûr, ses ordres ne sont pas bien plus suivis par le jeune idiot que les tiens, qui loin de partir à ta recherche à l’étage où tu es en train de travailler, se dirige d’un pas des plus non-chalants vers la salle de classe dont il s’est absenté il y a une heure déjà. Sur place, il se heurte à l’hostilité de ses camarades qui n’apprécient pas sa légèreté, et en particulier à celui de la blonde au premier rang qui étudie un grimoire d’alchimie presque aussi large qu’elle. Lucius, ne ratant jamais une occasion de distraire sa cousine, se dirige vers elle lentement, sourire narquois aux lèvres, pour lui souffler à l’oreille : “Quelqu’un demande ton père à l’entrée.” Elle daigne lui adresser un regard à ses mots, quoique son sang de vélane ne trahisse sur ses traits son profond agacement. “Qui ?” Le brun s’installe à côté d’elle, penche la tête comme s’il y pensait. “Oh attends, il m’a dit son nom c’est…” Il fait durer l’attente, ça énerve la fille et ça l’amuse beaucoup - autour d’eux, les autres étudiants murmurent et commentent à voix basse. “Qui ?” Elle répète, et déjà ses tempes se couvrent de plumes noires. “Oh un Monsieur de Medici, oui c’est ça !”
Si tu avais été là, tu aurais pu suivre la pensée de ta fille sur ses traits, deviner chaque mot, chaque image. La colère qui s’efface pour la surprise, parce qu’elle connaît ce nom soit comme celui d’un de tes amis soit comme celui d’un des partenaires de l’Envers et que pour aucune de ces deux raisons il ne viendrait te visiter en journée et à l’improviste. Plus une pointe d’inquiétude, parce que Lucius face à elle ne sait rien de l’Envers, et que c’est peut-être grave ou important pour qu’on vienne te voir… Et finalement un peu de lassitude en pensant que ce crétin a sans doute laissé l’italien dans l’entrée sans rien faire d’autre que de venir lui faire perdre son temps à elle. Elle soupire et referme le lourd grimoire. “Je m’en occupe.” Lui prend un faux air choqué. “Mais je croyais que nous devions étudier en autonomie et ne pas nous absenter ?”
Malheureusement, tu n’étais pas dans la pièce pour voir la gifle.
Hécate prend le temps de défroisser ses vêtements et de reprendre son air le plus charmant - ce qui n’est pas peu dire - avant d’entrer d'un pas rapide dans l’entrée en s’exclamant :
– Veuillez nous excuser pour ce retard Monsieur de Medi…
Regard inquisiteur sur le visiteur qu’elle détaille de la tête aux pieds : non, ce n’est certainement pas l’homme qui était dans ta faction à Beauxbâtons.
– Monsieur de Medici ?
Peut-être qu’elle s’inquiète toujours un peu, ou peut-être qu’elle en a sa claque des jeunes arrogants qui pensent que le monde leur est dû et qu’elle sait que sans motif valable de te déranger, c’est toi qui t’emportera contre lui. Toujours est-il qu'elle finit par ajouter :
– Je vous conduis à mon père.
Et elle l'entraîne à sa suite d’un pas gracieux dans les escaliers, et au milieu du dédale de pièces de l’étage jusqu’à une porte qui annonce :
Laboratoire
Et une note à la main précise : Expérience en cours, ne pas déranger
La porte s’ouvre sur une pièce plongée dans une obscurité rouge d’où on vocifère :
– Lumière ! La lumière ! Fermez cette porte !
La pièce est sans doute grande, mais les tables chargées de chaudrons et alambics dans ce sombre ne permettent guère de voir à quel point. Ça sent le feu et l’encre et ça fume un peu. Sous tes yeux, les paillettes blanches qui peuplaient le liquide noir ont disparues, le mal est fait. Non mais c’est vrai, tu essaies seulement de réduire de moitié vos coûts dans la fabrication de pigments, ce n’est pas comme si ça pouvait avoir la moindre importance… Tu grognes penché sur la pipette, quand une main douce te touche le dos.
– Papa… Monsieur de Medici pour toi.
– Lorenzo ?
De toutes les choses improbables qui pouvaient arriver, vraiment ? Tu te retournes et remontes tes lunettes de sécurité pour découvrir l’étrange duo. Tes sourcils se soulèvent et tes yeux papillonnent sur le jeune homme.
– Ah non, pas Lorenzo.
De toutes les choses improbables, hein ?
dans une sorte de minuscule basse-cour au fond de son cerveau il engraissait un petit troupeau de rancunes que le temps accroissait - Si vous me poursuivez, prévenez vos gendarmes que je possède une arme et que je sais tirer.
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(#) Re: Spoiler
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C’est tout d’abord le son de la voix féminine qui lui parvient. Non les mots, perdus dans les méandres de ses propres pensées et auxquels Alessandro n’accorde aucune espèce d’importance, mais bien le pépiement importun, qui le tire de sa contemplation, attire son regard sur la forme féminine. L’attention qu’il porte à cette inconnue est franche et sans détour, une vague irritation à être dérangé par le commun, car il est évident à ses yeux que la demoiselle n’est pas Octave Defresne, ni d’ailleurs l’hère qu’il envoya l’annoncer. Elle connaît son nom, pourtant, et il opine simplement pour le lui confirmer.
Elle gagne cependant en intérêt lorsqu’elle affirme être son guide. Plût au ciel qu’il ne s’agisse que de cela et non d’un amuse-bouche jeté en pâture à Lorenzo, bien qu’elle soit blonde et non brune. Il s’écarte de l’objet de son étude, la rejoint d’une foulée souple. La marche s’effectue en silence, Alessandro profitant du calme ambiant, et observant avec un intérêt patiné de courtoisie les lieux franchis, un véritable labyrinthe minoen de couloirs et d’escaliers, et de quelques pièces promptement traversées. Et lorsqu’ils parviennent devant une porte close, Alessandro en dessine les contours, la teneur... et la note placée sur le battant.
“Att...”
tendez. Mais déjà, elle ouvre pour s’introduire à l’intérieur et il ne peut que soupirer aux braillements qui s’échappent des profondeurs enténébrées. Sa main se referme sur la poignée, clôt le battant après lui, ayant pénétré de deux foulées sèches à l’intérieur. L’odeur n’est en rien plaisante mais elle reste tolérable. Il a déjà eu son compte lors de sa formation à l’académie de médicomagie. A l’évidence, Octave Defresne, du peu qu’il en distingue en tout cas. Quel est donc l’imbécile incapable de noter les heures de disponibilités de son employeur pour ne pas le déranger ainsi ? En vérité, quel imbécile digne d’une ornière abandonne-t-il son poste d’aussi crasse façon ?
Est-ce là les bonnes pratiques Defresne ? Il ne sait l’affirmer.
“Alessandro,” corrige-t-il, platement, “son fils.”
Non qu’il en soit fier, ce n’est là qu’une banale vérité, sans plus de panache que le travail d’un chiffonier dans les rues à l’aube. Un bref instant, le regard clair plonge, s’attarde sur les mains de l’homme. Il n’est pas certain de l’antre impie dans lequel il a été conduit et ne tient pas particulièrement à lui serrer la main si celle-ci se voit couverte d’une quelconque substance irritante. Ou pire, qui tâcherait ses manches impeccables. L’inspection achevée, il relève la mire vers le sieur Defresne, approche de quelques pas supplémentaires, tâchant de mieux le discerner, s’attarde un instant sur la donzelle encore présente.
Quelle sotte, vraiment.
“C’est une visite professionnelle.”
Qu’il ne compte nullement conduire devant des yeux inadéquats, à moins de vouloir les retirer.
“Je peux attendre que vous ayez terminé, le cas échéant.”
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(#) Re: Spoiler
missive rédigée par Octave Defresne leTu te fais dans l'instant une vague idée de ce qu’il a pu se passer - il a donné son nom, on s’en est inquiété de par ce qu’il représente, et voilà ta tranquillité troublée et ton travail foutu. Bon peut-être que l’agacement te fait surestimer ce dernier point, la plume à papote a bien pris en note ton avancement - et tu devrais pouvoir améliorer le procédés avec un peu plus de temps, mais tu as avancé. Tout de même, c’est rageant - et d’ailleurs pourquoi Hécate l’a emmené jusqu’ici plutôt que de s’en occuper ?
– Alessandro, son fils.
Ah oui, bien sûr - ses enfants à lui aussi sont grands. Tu ne distingues pas parfaitement les traits dans le sombre, pas assez en tout cas pour deviner la filiation qu’il annonce, ni pour lire son impatience à l'égard de son guide. Il ajoute :
– C’est une visite professionnelle.
Ton bras chasse un rien autour de toi dans un geste d’impatience alors qu’il dit ceci.
– Oui, oui, je me doute bien. Si c'était simplement pour le plaisir de me rencontrer, comme vous êtes le fils de Lorenzo, vous seriez venu directement chez nous.
Ce qui aurait sans doute été préférable. Quelles affaires peuvent donc l’emmener en journée jusqu’ici ? L'idée te fait grimacer - c’est au mieux une ignorance crasse de votre mode de fonctionnement. Merde, Lorenzo ne peut donc pas s’occuper d'éduquer son môme, ou il croit qu’il te reste du temps libre avec les quatre tiens ? Ou peut-être le jeune audacieux sera venu sans même en parler à son paternel, désireux de fourrer son nez n’importe où et n’importe comment. Cette pensée là t’emplit d’une certaine lassitude - au moins ton ancien camarade de promotion a la politesse de ne pas attaquer directement ton orgueil.
– Je peux attendre que vous ayez terminé, le cas échéant.
Roulement d’yeux, tu ne fais aucun effort pour dissimuler ton agacement. Tu jettes un regard sur ton poste de travail avant de soupirer.
– Ce genre de choses peuvent durer longtemps… A moins que vous n’ayez une profonde passion pour l’alchimie et l’envie irrépressible de vous lier à moi par un serment inviolable - ce que j'évite généralement de faire avec les enfants de mes amis dès la première rencontre - disons que je m'arrête ici pour aujourd'hui. Hécate, range. Donne congé à ta classe après cela et monte.
Tu devines ses tempes qui noircissent - la colère féerique qu’elle ne sait pas cacher. Mais le père aimant s’efface derrière l’inventeur frustré et l’homme d’affaire occupé, et tu ne lui offres aucune compassion. Tu enlèves les sur-manches et le tablier de cuir pour les accrocher à leur place, reposes les lunettes et fais signe d’un geste au jeune importun de sortir et que tu le suis. La lumière, pourtant douce du couloir t’aveugle quelques instants après l’obscurité dans laquelle tu étais plongé ces dernières heures, et c’est l'habitude plus que tes sens qui guide tes pas au milieu du labyrinthe de couloirs jusqu'à la porte qui annonce ton nom : ton bureau. On aura largement baladé le jeune Medici au sein de l’Atelier pendant son passage. La salle est lumineuse, entourée de fenêtres enchantées qui donnent l’impression d’une alcôve donnant sur un jardin, au milieu de laquelle trône un bureau de chêne tout à fait majestueux, et trois fauteuils recouverts de velours de part et d’autre. Plusieurs chevalets, des peintures et des palettes entourent la pièce, perdus au milieu de plantes et de décors majestueux - photographies et paysages signé des noms Defresne, mais autant tes oeuvres que celles de ton entourage. Le tout est parfaitement ordonné, l’artiste a ses folies mais tu t’appliques à donner une image d’homme relativement censé.
Tu t'installes et invites d’un signe de la main à être imité. Tu ne lui as pas serré la main d’ailleurs… Mais il a quelque chose de ces hommes qui se trouveraient souillés de ton contact, dans la hauteur de ses traits et leur dessin. Maintenant que tu le vois à la lumière, tu es impressionné.
– Vous avez un port tout à fait aristocratique, jeune monsieur de Medici. Je doute que cela ce genre d’affaires qui vous emmènent, mais vous n’avez jamais songé à être modèle ?
Il est des statues grecques que tu fais étudier à tes élèves qui pourraient avoir à rougir de la comparaison. La vue du beau, au moins, t’adoucit un peu.
– Reprenons depuis le début et oublions cette déplorable introduction si vous le voulez bien. Octave Defresne, ravi de vous rencontrer.
Hochement de la tête respectueux qui aurait pu être une révérence, si tu étais debout et du genre à courber l’échine devant moitié plus jeune que toi.
– Et donc, puis-je savoir ce qui me vaut une telle visite maintenant ?
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Un instant de circonspection rampe entre eux, poisseux de son indécision, avant d’être balayé par l’impatience de l’artisan. Alessandro accueille l’affirmation d’un haussement de sourcils que l’obscurité occulte. Quelque chose, dans cette abrupte certitude, le pousse à répondre honnêtement, sans réflexion quant aux conséquences que peuvent avoir ses mots sur la psyché d’autrui qu’il comprend si mal – comme en cet instant.
“Je ne me serais pas permis.”
Lui, se rendre au domicile d’un homme qu’il ne connaît pas en dehors d’un office social ? Quelle idée saugrenue. Il ne veut pas non plus lui confirmer la couleur de ses sous-vêtements avec ça ? Cela, cependant, reste sous scellé. Qu’il ne comprenne pas le fonctionnement d’autrui ne signifie nullement qu’il est inepte et insulter ouvertement quelqu’un ne donne jamais de résultat probant. Tout du moins pas lorsque l’on recherche de la serviabilité.
C’est donc ainsi qu’au choix de laisser courir les digressions, Alessandro emboîte le pas de son hôte lorsque celui-ci le guide hors de la chambre noire. Au moins eut-il droit à un tour du propriétaire, si d’aventure la chose lui fut plaisante. Dans le bureau, un coup d’oeil intéressé informe Alessandro de l’environnement naturel de cette curieuse créature, homme dont il n’a que des bribes d’informations et une ébauche de première impression ratée.
Il y a pourtant du goût, ici, tel qu’on lui a appris à le reconnaître, une culture artistique évidente mais Alessandro n’en dit rien, accepte l’invitation à s’installer d’un signe de tête, s’exécutant. Et Defresne le surprend encore, le pousse encore une fois à répondre sans calcul. Une régularité qui ne manque pas de créer un sentiment diffus d’inconfort chez lui, qui est d’usage si impavide.
“Non, jamais,” et le ton trahit sa perplexité quant à l’appréciation de sa personne.
Mais il est clair que ce n’est pas la raison de sa présence, au demeurant floue même pour lui. Vous devriez vous rencontrer, lui a-t-on affirmé et il attend encore de s’en assurer. Mais au moins, semble-t-il, la conversation s’apprête à retourner sur des rails bien établies et selon un schéma dont il a connaissance. Et à ce titre, Alessandro s’adoucit volontairement, lui tend la main, ignorant de ses pensées.
“Un plaisir, Monsieur Defresne.”
En dépit de l’orgeuil maternel, Alessandro ne croit pas tout à fait à la séparation des classes. Princes de Rome dont les manants aux ordres de son père ont versé le sang, il n’est pas aveuglé par le clinquant de son titre, davantage conscient de la puissance de son héritage paternel pourtant honni. Ce ne sont pas les titres qui font la France, s’ils font encore l’Italie, ce sont bien les moyens.
“On m’a parlé de vos talents, et des services offerts par vos ateliers, tout en n’entrant guère dans les détails. Il se trouve que je suis l’héritier de Lorenzo et qu’à ce titre je souhaite établir mes propres relations avec nos partenaires sans passer par son chaperonnage.”
Le regard est direct, après la poignée de main. Le verbe sans détour.
“Je ne souhaite pas que l’on me cède sur le principe de ma relation filiale. De plus... je souhaite l’avis d’un expert sur un projet tout particulier. Êtes-vous disposez à me fournir cela ?”
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20 nov. 1927 avec @Alessandro de Medici
– Je ne me serais pas permis.
Haussement d’épaules pour accueillir l’information - qu’il est curieux ce jeune homme. Tu as bien arpenté les couloirs de la maison de son père, toi, quoique tu n’as pas le souvenir de l’y avoir croisé. C’est que pour éviter sa mère tes visites n’ont généralement lieu que lorsque Lorenzo est libéré de sa famille - tu ne tiens pas vraiment à assister à une de leurs crises. Pas étonnant qu’il ne soit pas enchanté de visiter les domiciles des autres vu l’ambiance qu’il doit y avoir chez lui.
La question est oubliée dans le laboratoire où vous abandonnez Hécate à ses plumes - au moins a-t-il eu le bon goût de ne pas loucher sur elle, voilà qui t’aurait mis de fort mauvaise humeur. Dans le bureau vous repartez à zéro en vous représentant, affichant un plaisir comme si les dernières minutes n’avaient pas eu lieu. Il te serre la main avec franchise, quand ton étreinte à toi est douce et respectueuse, comme si appuyer trop risquer d’abîmer la statue qu’il pourrait être tant il est charmant.
– On m’a parlé de vos talents, et des services offerts par vos ateliers, tout en n’entrant guère dans les détails. Il se trouve que je suis l’héritier de Lorenzo et qu’à ce titre je souhaite établir mes propres relations avec nos partenaires sans passer par son chaperonnage. Je ne souhaite pas que l’on me cède sur le principe de ma relation filiale. De plus... je souhaite l’avis d’un expert sur un projet tout particulier. Êtes-vous disposez à me fournir cela ?
Sa beauté est soudain un peu moins agréable, brouillée par un agacement qui te raidit un peu. Il a parlé avec une telle assurance et droiture, le petit insolent… Il veut se passer du nom de son père, mais il se permet de venir te déranger comme si tu étais l’un de leur valets sans s’assurer avant de tes dispositions ? Un sourcil se lève et tu demandes, comme si le doute était permis :
– Je suppose qu’en disant cela vous ne faîtes référence ni à mes qualités de photographe, de peintre ou d’enseignant ?
Il ne vient certainement pas poser, et tu doutes qu’il s’intéresse vraiment à ton art. Tu soupires, pinces ton nez avec tes doigts comme si tu étais aussi désolé que exaspéré. Tu cabotines un peu le personnage loufoque de l’artiste incompris pour ne pas risquer de te montrer trop désagréable d’emblée.
– Ah, jeune monsieur de Medici, vous me mettez dans une situation tout à fait inconfortable. Peut-être parce que je suis père moi-même, mais j’ai tendance à penser qu’en certaines occasions, il est nécessaire que les jeunes gens se fient à leurs chaperons. Les pères ne sont pas des ogres, mais des guides, vous êtes assez âgé pour le savoir.
Ta voix est pleine d’emphase, ton visage encore crispé dans cette émotion feinte, avant qu’en un instant ton air ne s’assombrisse et tes traits ne deviennent plus sérieux.
– Votre père aurait pu vous dire que nous avons nos manières et nos habitudes, et que nous n’aimons pas en déroger. Je tolère de sa part quelques libertés dans la façon dont il peut faire appel à moi, mais c’est uniquement parce que nous sommes amis depuis plus de trente ans. Si vous ne souhaitez pas que je vous cède sur des raisons filiales, comme vous dîtes, il faudra vous y conformer à l’avenir et faire tôt ou tard amende honorable sur cette entorse à nos usages.
Ton sourire poli a quelque chose de carnassier. Ce gosse a sans doute plus de puissance que toi tu ne pourras jamais en avoir, noblesse, richesse, héritage bénis, mais ici c’est ton domaine et ta loi. Tu pardonnerais peut-être au fils d’un ami, mais c’est lui qui te demande de le voir autrement. S’il veut être un homme émancipé de l’ombre de son père, il sera traité et testé comme tel.
– Quant à mon avis d’expert, rien ne fait mieux mon bonheur que de rendre service.
Hochement de tête enthousiaste, alors que tu croises les mains devant toi et sur ta poitrine. Tu es dur en affaires, mais tu es l’un des meilleurs et, au moins, tu aimes ce que tu fais.
– Mais d’abord, puis-je savoir ce que l’on vous a soufflé sur mes talents pour que vous veniez, au mépris de tout bon sens, à mon atelier, sans rendez-vous, et aux horaires où mon école est ouverte ? Peut-être aurais-je des éclairages à vous apporter.
dans une sorte de minuscule basse-cour au fond de son cerveau il engraissait un petit troupeau de rancunes que le temps accroissait - Si vous me poursuivez, prévenez vos gendarmes que je possède une arme et que je sais tirer.
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missive rédigée par Alessandro de Medici le" Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus Christ pour de bonnes oeuvres, que Dieu a préparées d'avance, afin que nous les pratiquions." Ephesiens 2:10
Il existe quelque chose de disgracieux dans la torsion des traits humains lorsqu’ils sont saisis par quelque manière d’émotion forte, une laideur grotesque, que le sentiment soit positif ou négatif. Alessandro la retrouve chez cet homme, en l’instant et il est tout d’abord incapable de discerner l’émotion en question, surpris même de son éclosion. Ainsi démuni, il est abandonné à sa simple contemplation, comme s’il eut été forcé de s’en tenir à décrire des symptômes évidents d’un mal inconnu pour lui. Alors il s’adjuge un instant de silence, ausculptant l’anatomie de la conversation, avant de se décider à réagir, très loin des rivages qu’habite Defresne.
“Je vois,” offre-t-il en manière d’atermoiement, abordant le fleuret de l’homme avec un intérêt chirurgical, “Puis-je vous suggérer d’embaucher un secrétaire, en ce cas, Monsieur Defresne ? Votre seuil est vide, et je me suis contenté de me présenter. Il ne m’eut pas été vexant de m’entendre proposer un autre lieu de rencontre, si quelqu’un avait eu la disponibilité de prendre ma carte et me rappeler par la suite, au lieu de me conduire séant auprès de vous. Quoique j’accepte volontiers votre avis sur le sujet, je n’ai pas l’intention de me voir attribuer les défauts d’autrui.” Si sa voix en vient à porter la moindre trace d’émotion, il s’agit d’une forme réservée de curiosité.
Ses longs cils sombres ourlent un instant ses joues lorsqu’il cille, la mire étudiant toujours cette expression étrangère, tandis que la voix assène avec une parfaite tranquillité. “Je me permettrais également de vous suggérer de prendre davantage en compte l’attention à laquelle Monsieur mon père est sujet, et qu’il vous sera certainement désagréable de découvrir en détail. Je puis vous assurer qu’elle peut être des plus intrusives et inopinées, comme nous en avons pu expérimenter la saveur, en particulier lorsqu’elle transgresse en territoire filial.” Fragment de silence qui laisse à son propos le temps de porter, avant qu’il ne glisse d’une voix douce : “Une suggestion uniquement, bien entendu. Vous êtes ensuite seul juge.”
Et voilà qu’ils en arrivent à l’instant qui lui importe, ayant, faut-il encore l’espéré, pu offrir au moins une logique fragmentaire à l’émois de son vis à vis. Un regrettable retard mais qui semble, en rétrospective, inévitable par la manière dont ils se sont retrouvés en tête à tête en ces lieux. “On m’a dit que vous pourriez m’intéresser quant à la question qui m’occupe,” explique Alessandro d’une voix atone, afin de rediriger la conversation sur l’objet de son intérêt, “mais je n’attends pas de vous un service gratuit, soyez-en certain.” Bien qu’il s’agisse d’une évidence, leur présentation toute entière lui semble inférer le besoin de clarté.
Il glisse une main sous sa veste, en tire sa baguette, et fait apparaître l’illusion d’un document couché sur une vieille feuille de papier préservée, calligraphiée à la main, à l’encre noire. Au bas du document s’ornent plusieurs sceaux officiels, dont celui de la famille De Medici, à laquelle il appartient quelque peu contre son grès. “Parlez-vous italien, Monsieur Defresne, ou désirez-vous que j’explicite l’objet de ce document ?”
Octave DefresneATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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Ton regard reste dur tandis qu'il te répond, ton agacement plus vif alors que le voilà qui conseille, qui suggère. Dans ta mauvaise humeur, tu lèves les bras au ciel, comme saisi d’une épiphanie de l’avoir ainsi écouté.
– Mais bon sang, mais c’est bien sûr! Un secrétariat ! Comment n'y ai-je pas pensé en huit ans que cet atelier existe ? Mieux encore, comment ai-je pu survivre sans vos lumières durant ce dernier demi-siècle ?
Tes bras retombent lourdement, emportant avec eux l'ombre de cette émotion que tu as feinte. Certes, tu es en colère, mais aussi fatigué, un peu las. Il parle bien au moins, belles phrases, joli verbe, mais il a quelque chose de perturbant quand il s'exprime : trop de neutralité et de froideur dans ses réponses alors que tu le couvres de reproches. C’est agaçant, et en même temps cela t’empêche de monter légitimement encore un peu dans le ton. Alors tu lâches, d’une voix un peu calmée, le regard sérieux et moins noir :
– Une suggestion, à mon tour, jeune monsieur de Medici : si vous vous apprêtez à énoncer une évidence, ne la formulez pas en conseil si vous ne voulez pas risquer de vexer vos interlocuteurs. Je sais bien que ce monde est rempli d’idiots, mais on ne sait jamais sur qui on est tombé.
Tu te laisses retomber dans ton fauteuil, appuies ta tête contre le rembourrage et tu te fais songeur.
– Je suppose que je ne devais pas m’attendre à ce que vous compreniez. Après tout votre simple nom a suffi à vous conduire jusqu’à moi au mépris de toutes les règles que je suis censé avoir fixées ici - mais vous avez raison, ce n’est pas vous que je dois blâmer pour le zèle de ma fille… Sachez que cet endroit, à cette heure de la journée, est une école et un atelier d’artistes. Certaines des personnes que vous auriez pu croiser entre ces murs ignorent à quoi j’occupe… mon temps libre. Comment vous dire cela…? Si je voulais faire affaire avec votre famille, je n’arriverais sans doute pas comme une fleur au milieu de l'après-midi dans l’une de vos entreprises tout à fait officielles pour en discuter - même pour seulement déposer une carte. Pour moi qui ne suis pas protégé par un nom aussi illustre que le votre, la discrétion et la prudence sont des vertus salvatrices.
Une note de tristesse effleure cette dernière phrase avant que tu ne repenses à ce qu’il a dit au sujet de "l'attention" de son père. Ah ! Que tes propres enfants ne parlent jamais de toi ainsi… L’idée te fait esquisser un sourire narquois. Tu n'étais pas si loin dans ton évocation du père comme un ogre.
– Et pour l’attention de monsieur votre père… Souhaiteriez-vous que nous faisions la liste de ses défauts et de ses fautes, cela vous soulagerait ? Je le connais depuis ses onze ans, et vous, vous êtes son fils - nous aurions sans aucun doute des choses tout à fait épatantes à nous apprendre…
Quel dommage que tu apprécies trop Lorenzo pour réellement faire cela - la conversation eût été édifiante. Mais si après des décennies tu n’as pas à te plaindre de son amitié, tu peux imaginer ce pourquoi il fait telle suggestion - tu n’es ni aveugle, ni idiot après tout. Tu te garderas bien de lui dire que de ses deux parents, son père est loin d’être celui qui t’inquiète le plus.
– Je vous offrirais bien ma compassion pour ce que je sais de lui, encore que ce ne soit pas pour vous que j’ai le plus de peine - mais si vous souhaitez travailler avec ses partenaires en vous passant de lui, faîtes attention. Aussi étrange que cela puisse vous paraître, il sait se montrer véritablement aimable, et certaines personnes l’apprécient sincèrement. Et je maintiens qu’à mon sujet, pour vous dire au moins comment me contacter en nous épargnant à tous deux du désagrément, il aurait été de très bon conseil.
Mais tout cela est passé maintenant, il faut parler affaire - et cette idée chasse toutes les autres. Tu es un artisan appliqué et passionné, après tout.
– On m’a dit que vous pourriez m’intéresser quant à la question qui m’occupe, mais je n’attends pas de vous un service gratuit, soyez-en certain.
Hochement de tête comme seule réponse. Tu es curieux de voir quelle affaire impérieuse peut le pousser à continuer une entrevue où on le reçoit si mal - et en cillant à peine.
– Parlez-vous italien, Monsieur Defresne, ou désirez-vous que j’explicite l’objet de ce document ?
– Devo ammettere di avere qualche lacuna, soprattutto per quanto riguarda le espressioni popolari del sud Italia... Ma nulla che mi impedisca di leggere e comprendere un documento ufficiale.Je dois reconnaître quelques lacunes, surtout en ce qui concerne les expressions populaires du sud de l'Italie... Mais rien qui ne m'empêche de lire et de comprendre un document officiel.
L’accent au moins est toujours parfait, peut-être un peu scolaire. Pour offrir le monde à Emma, il t’avait fallu apprendre un peu de ses langues - mais tu manques de pratique depuis quelques années. Tu tends une main pour demander à voir le dit-document, faisant soudain preuve d’une précaution extrême jusque dans tes souffles, et ne le saisis qu’à peine comme si ton contact pouvait souiller quelque mystère qu’il renfermerait.
– Et bien qu’avons-nous là…
Devant toi étalé l’objet de sa venue. Avant toute lecture tu regardes le papier, les sceaux, la calligraphie. C’est un morceau d’Histoire qu’il t’a emmené. Un texte aussi précieux doit avoir des protections, est-ce des runes dans le papier, des sortilèges dans l’encre, quelque chose d’encore plus complexe et sophistiqué ? La lecture parle de principauté, de Florence, et des Medici. Passionnant tout cela, passionnant. Tu lui souris en relevant la tête vers lui, un sourire qu’aucune malice ou rancœur n’habite plus maintenant, que l’enthousiasme et la curiosité.
– Oh, je vous en supplie, dîtes-moi comment je peux vous aider avec cette merveille.
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Décidément. Il semble que l’hystérie ne soit pas qu’un mal féminin. Alessandro, au demeurant patient, laisse volontiers la bride lâche à cette langue si bien pendue et en mal d’expression. En dépit des paroles de Desfresne, il n’a suffi que d’une petite mécompréhension pour que son organisation si bien pensée ne s’écroule comme un château de cartes, et il doute profondément que cela en dise plus sur le chaos qu’il peut provoquer que sur l’efficacité de l’organisation en question. Mais ça, c’est Desfresne qui en est concerné, pas lui. C’est à lui de choisir, et s’il préfère se voiler la face, tant pis pour lui. Il suffira de sauver un de ses apprentis à l’occasion, pour préserver son leg, et de laisser la nature faire son œuvre pour le reste.
“A votre convenance.”
Si Defresne a raison sur un point, c’est bien qu’il est son aîné et que ce n’est nullement à lui de faire son éducation. En revanche, la suite – et la méprise - qui en découle, le convint qu’il va devoir simplifier son verbe s’il désire se faire réellement comprendre ici. Pour toute réclame que son statut le rend privilégié, il y a un fond de vérité : il est bien plus lettré que ces petites gens et ce n’est nullement la première fois qu’il semble les perdre. Fort bien, il a déjà de la boue pour patronyme officiel, en souiller sa langue pour l’occasion. Alors il se penche légèrement en avant, secouant la tête d’un mouvement ajusté avant de glisser, le ton dénué d’émotions, se contentant de commenter platement les paroles de Defresne.
“Je n’ai pas l’intention de juger du caractère, des écueils ou des déboires de Monsieur Mon père avec vous, Monsieur Defresne. Je fais référence, en revanche, à l’étroite surveillance des aurors, et de la police magique, que subit sa personne. Une banale visite commerciale sur votre lieu de travail est, après tout, beaucoup moins prégnante de sous-entendus que la suggestion de votre relation personnelle avec lui. Ce sont ses contacts les plus proches qui sont le plus scrutés.”
Et s’il n’a pas meilleure devanture officielle que ses pénates, eh bien... là encore, c’est son problème, pas le sien. Comme tous ceux qui pensent apprécier son père par ailleurs. Mais les affaires familiales se règlent au sein de la famille, pas avec de sombres inconnus incapables de repérer la sombre ineptie qu’est l’évidence universelle. De plus en plus, Alessandro peine à croire qu’on eut pu lui vanter cet homme mais un âne n’est pas la monture adéquate pour une course de vitesse, peut-être ses compétences d’artistes sont-elles réellement aux antipodes de ses manières, ce qui s’avère être souvent le cas, chez les artistes. Nul besoin de prononcer un jugement définitif maintenant, autant aller jusqu’au bout.
L’entendre énoncer l’italien sans lui écorcher les oreilles vaut à Defresne un léger hochement de la tête.
“ Adeguata Adéquat”
D’un geste de la baguette, il fait léviter le document vers Defresne, son regard se faisant fixe et impavide. Lorsqu’il lui sourit, Alessandro ne réagit pas, figé. Il ne reprend vie qu’à l’instant où la voix de l’artiste rompt le silence, se redressant légèrement et replaçant le feuillet dans son écrin avant de ranger sa baguette. L’objet lévite toujours, infiniment délicat. Un simple morceau de papier, voilà ce qui enchaîne la sanglante famille Medici.
“Ceci,” esquisse-t-il d’une voix atone, “est l’édit d’abdication d’Anne-Marie-Louise d’Este, dernière survivante de la branche ducale Di Medici, à Florence qui fit leg de son titre et de ses biens à l’état Toscan.” Il y eut un instant de silence, avant qu’il ne reprenne. “Je souhaiterais que vous en réalisiez une copie et que vous modifiez certaines des tournures des conditions de cette abdication.” Marquant de nouveau un silence, il observe avec détachement les réactions de l’artiste, avant d’ajouter, pour faire bonne mesure et compléter sa pensée avant qu’il ne puisse à nouveau essayer de lui faire la morale. “J’attends votre avis sur la faisabilité de cette commission avant de mentionner les corrections de phrasés exactes. Par soucis de sécurité.”
Octave DefresneATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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Peut-être qu’un jour tu te noieras dans ta mauvaise foi ; parce qu’il t’en faut beaucoup pour soutenir le regard de cet homme - ce gamin même - et ne pas ciller. Il a raison - enfin sans doute a-t-il raison - et c’est insupportable. Plus insupportable encore son calme, ce visage qui n’offre aucun écho ni à ton impatience ni à ta colère… Depuis quand les enfants se montrent-ils plus sages et raisonnables que leurs aînés, se maîtrisent-ils mieux ? S’il te rendait un peu de tout cela, tu pourrais maudire son insolence, tu pourrais lui en vouloir, lui offrir ton mépris sans te sentir merdeux, en invoquant simplement ton privilège d’âge. Mais des privilèges il en a plus que toi, ils se voient mieux que les tiens quand sa voix reste neutre et la tienne s’enraille. Foutu crétin arrogant - tu ne sais pas bien si c’est lui ou c’est toi que tu maudis… D’ailleurs, entre tous les travers de Lorenzo, il faudra bien noter celui-là : il n’a pas jugé bon d’enseigner à son fils l’art d’être aimable ni celui de flatter l’orgueil de ceux dont il convoite les talents. Au moins a-t-il le bon goût de te faire oublier toutes ces choses déplaisantes qu’il t’inspirait encore à l’instant en te présentant le document. Il est admis maintenant que ton attention s’achète facilement avec ce qu’il faut de beauté - et c’en est une, pour sûr, cette merveille comme tu l’as nommée.
– Ceci, est l’édit d’abdication d’Anne-Marie-Louise d’Este, dernière survivante de la branche ducale Di Medici, à Florence qui fit leg de son titre et de ses biens à l’état Toscan. Je souhaiterais que vous en réalisiez une copie et que vous modifiez certaines des tournures des conditions de cette abdication.
Il lui manque moins de colère que de vie. Une statue, te disais-tu tout à l’heure ; c’était juste. Le voilà qui te présente l’un des documents les plus importants de son histoire familiale, un texte qui aura sans doute scellé le destin des siens d’une façon qui lui déplaît - sinon il ne serait pas ici, à te supporter - et il le fait d’un ton si glacial que pas une trace d’émotion n’y transparaît.
– J’attends votre avis sur la faisabilité de cette commission avant de mentionner les corrections de phrasés exactes. Par soucis de sécurité.
Tu hoches la tête, sérieux toujours malgré le sourire qui s’agrandit sur tes lèvres. Tout est toujours possible à condition d’avoir au moins deux de ces trois éléments : du temps, des moyens et suffisamment de compétences.
– Nous pouvons produire un tel document.
Le simple fait de l’imaginer te fait vibrer. Inutile de l’ennuyer avec les détails — mais déjà ton esprit se met en mouvement, effleurant mille questions techniques. Comment obtenir le papier et l'encre, les sceaux, la cire - quels sortilèges et quels effets plus pratiques, presque moldus ?… Tu peux produire quelque chose qui tiendra de l'œuvre d’art, qui le trompera-lui - mais ce ne doit pas être aussi difficile qu’il ne le pense - mais surtout qui trompera le monde. Ton travail se substituant à l’Histoire, ton talent contre la vérité… On ne reconnaît certainement pas assez la valeur d’un bon faussaire. Mais il faut se montrer raisonnable, avant de se montrer brillant, et tu reprends en fronçant les sourcils :
– En ce qui concerne les questions de sécurité, vous savez s’il existe des copies liées magiquement à l’original ?
Quoique tu sois trop consciencieux pour ne pas vérifier la présence de tels enchantements quelle que soit sa réponse.
– Et de quel temps disposons-nous ?
dans une sorte de minuscule basse-cour au fond de son cerveau il engraissait un petit troupeau de rancunes que le temps accroissait - Si vous me poursuivez, prévenez vos gendarmes que je possède une arme et que je sais tirer.
Alessandro de MediciLACHESIS | SECRET IS THE ONLY WAY.
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Succès
(#) Re: Spoiler
missive rédigée par Alessandro de Medici le" Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus Christ pour de bonnes oeuvres, que Dieu a préparées d'avance, afin que nous les pratiquions." Ephesiens 2:10
C’est avec une grande attention qu’Alessandro observe Defresne, marque de son regard si clair les lignes de ce faciès si expressif qu’il en devient, pour lui, surréaliste. Le lambeau d’histoire placé entre eux, il l’a déjà lu et relu, contemplé pendant des heures, des jours mêmes, prétextant souhaiter visiter l’histoire familiale, à Florence. Alors c’est Defresne qu’il mire, ne cherchant pas même à s’en dissimuler. Essaie de déceler le vrai du faux, dans son attitude, sans toutefois y parvenir. Cet homme est en cheville avec le Parrain, alors en dépit de ses simagrées, Alessandro se doit de conserver au moins une once de méfiance.
“Parfait.”
L’affirmation ne sera pas démentie, pas discutée. Son grand-père - pas Ernesto – lui a enseigné qu’un monarque talentueux sait se reposer sur des experts et Defresne est un expert. Alessandro a choisi de risquer gros. Eut pu s’en tenir à une plus humble collaboration, pour une première fois. Mais il n’a que faire d’une prudence qui l’eut dépeint timoré, alors qu’il ne l’est pas. Un bon souverain sait s’appuyer sur les experts, oui, mais accepte aussi de leur montrer ce qu’il est, pour ne pas entraver leur ouvrage. Et il écoute, pondère la question avec le sérieux qu’elle demande, il opine, laissant couler un bref silence avant de préciser.
“Je sais qu’il existe deux copies officielles, je ne sais pas encore si elles sont liées à celle-ci par magie, c’est une question sur laquelle je travaille. Si c’est également là une question ayant trait à votre domaine d’expertise, je vous ferais consulter dès que je pourrais les faire vérifier.”
Il se penche légèrement, et cette fois, uniquement cette fois, puise dans ce que Guilhem a pu lui apprendre pour offrir un sourire qui se veut solaire.
“Je suis patient. Vous aurez tout le temps que vous nécessiterez afin que l’ouvrage soit capable de soutenir un examen minutieux par les experts du prince de Florence. Si vous requérez des fonds supplémentaires, je les ferais verser sur l’un de vos comptes. Disposez-vous d’un coffre ailleurs qu’à Pactole ?”
Bref silence, son sourire s’étiolant sur ses derniers mots comme l’ultime rayon avant la nuit, ne laissant derrière lui que fraîcheur et calme profond. Defresne est-il réellement capable de cet extraordinaire mensonge historique ? Voilà une excellente question. Lorenzo ne s’embarrasse pas de partenariats qui ne rapportent pas, sauf bien entendu lorsqu’il s’agit de sa lubricité. Pour autant, l’impensable est-il à portée de main ? Si Defresne parvient à accomplir cet ouvrage-là, alors c’est la légitimité du prince de Florence qui sera remise en cause, l’abdication même du titre des princes Médici, couronnant Lorenzo... mais le couronnant lui, surtout, une fois de plus.
“Tout ce que je vous demande, c’est de me tenir informé de vos travaux. Voyez-vous, Monsieur Defresne,” et il pencha légèrement la tête de côté, “vous avez raison, je sais que mon père sait se faire apprécier, lorsqu’il le désire. Un pouvoir dont, vous l’aurez noté, je manque cruellement. Je ne chercherai pas à plaire à votre vanité, mais je puis vous assurer que je saurais respecter et vos talents, et votre intellect, et j’espère que vous fassiez de même. Pas plus que nous n’aurons besoin de decorum. Cette collaboration pourra nous offrir à tous deux l’occasion de jauger de l’autre, qu’en pensez-vous ?”
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