(Gautier) Un cœur noble sait ce qu’il doit, bien avant de savoir ce qu’il veut
(#) (Gautier) Un cœur noble sait ce qu’il doit, bien avant de savoir ce qu’il veut
missive rédigée par Gautier de Valoys leNom
Prénom
Naissance
Né le
Parents
Nature du sang
Le sang bleu coule dans les veines de Gautier, membre des De Valoys, une lignée royale respectée et vieille de plusieurs siècles. Il est deSituation matrimoniale
Gautier a été fiancé, dans le respect des traditions séculaires de sa famille. Mais ce projet de mariage s’est tragiquement effondré lors des attentats de 1917, où il perdit sa fiancée ainsi que plusieurs proches. Depuis lors,
Occupation
Néanmoins, derrière sa mission se cache un rêve éteint, celui de devenir Auror. Épris d'un profond désir de justice et d'équité, Gautier, plus jeune, nourrissait l'ambition de défendre l'ordre et protéger les innocents. Mais son rang et les lourdes attentes de sa famille ont mis un frein à cet idéal, l'orientant vers une destinée plus conforme à ses obligations.
Scolarité
Entamant sa scolarité àComposition baguette
Taillée dans lePatronus
Âme noble et pure, Gautier est capable d’invoquer un Patronus à l’image d’unPourtant, cet acte prodigieux n’est pas exempt de difficultés. Les tourments intérieurs de Gautier et les fluctuations de sa magie, intimement liées à ses émotions, brouillent parfois son incantation. Dans ses instants de doute, seules des lueurs fragmentées ou des esquisses du Patronus émergent. Mais lorsque son esprit s’apaise et que ses certitudes s’affirment, le cheval ailé apparaît dans toute sa splendeur, aveuglant le mal d’une lumière presque divine.
Epouvantard
Sa peur la plus viscérale se dessine dans un voile de brume noire, dense et oppressante, qui se déploie pour révéler un tableau de désolation.Autour de lui, les figures familières de sa famille s’éloignent, divisées et désunis, leurs regards empreints de reproches et d’amertume. Figé devant cet héritage réduit à néant, Gautier est spectateur impuissant de l’effondrement de tout ce qu’il s’était promis de protéger.
Cette vision lui murmure
Amortentia
Elle s’ouvre sur la fragrance délicate d’uneÀ cette note florale succède la chaleur apaisante du
Enfin, une légère effluve d’
Particularité Magique
Aucune.Lachesis
Gautier est l'incarnation même de la noblesse, non pas celle de la naissance, mais celle des convictions et des actions. Dans son regard, on lit la rigueur de celui qui a appris à ne jamais faillir à ses principes, un homme d’honneur dont la droiture est une seconde peau. Pourtant, derrière cette façade de perfection, il cache une sensibilité profonde, un cœur meurtri par les pertes et les désillusions.
Sa noblesse de caractère ne se manifeste pas seulement par des gestes grands et visibles, mais par un souci constant du bien-être des autres. Gautier ne juge pas les individus selon leur statut ou leur sang, mais selon ce qu’ils incarnent véritablement. Il est celui qui tend la main sans compter, qui offre son soutien sans attente, et qui cherche à comprendre le monde sans jamais en imposer ses vues. Il est une présence apaisante pour ceux qui l’entourent, un homme respecté et apprécié par le peuple, qui le voit comme un modèle de vertu. Mais au fond cette admiration populaire est souvent accompagnée de solitude, car Gautier n’a jamais su totalement s’affranchir de l’ombre imposante de sa lignée.
Malgré sa beauté d’âme, une part de lui demeure hantée par les pertes irréparables qu’il a subies. L’innocence de sa jeunesse a été emportée par des tragédies qui ont laissé des cicatrices invisibles mais persistantes. Le décès de membres de sa famille et de sa fiancée, lors de l'attentat de 1917, a brisé une partie de lui qu’il n’a jamais pu réparer. Et son meilleur ami, mort empoisonné, a laissé en lui une douleur lancinante et une quête de vérité qui ne trouve pas de répit. Ces deuils l’ont transformé, l’ont poussé à remettre en question non seulement la justice, mais aussi la légitimité du pouvoir et des traditions auxquelles il était destiné. Il cherche à comprendre ce monde de plus en plus complexe et incertain, tout en étant à la fois attaché à son héritage et révolté par les injustices qui frappent ceux qu’il aime.
Il est un homme de convictions, oui, mais pas un homme de dogmes. Sa curiosité, loin de s’arrêter aux frontières de son propre monde magique, s’étend aussi à celui des moldus, dont il admire l'ingéniosité. Il rêve d’un monde où les barrières entre les deux sociétés ne seraient plus qu’un lointain souvenir, où la coexistence pacifique serait possible sans que l’on brise le secret magique. Mais cet idéal, loin d’être utopique, est un combat qu’il mène en secret, bien souvent dans l'ombre de ceux qui pensent le contraire.
Gautier n’est pas un homme qui se contente de suivre la voie tracée par ses aînés. Il cherche à faire sa propre place, mais la tâche est difficile, car les attentes sont lourdes, et le poids de l’histoire se fait souvent trop oppressant. Il aspire à une révolution, sans éclat ni violence, une transformation des mentalités qui se ferait par le dialogue et la compréhension. Mais ce désir de changement n’est jamais libre de contradictions : il se heurte à la réalité politique, aux choix de son frère, le roi Adelstan, dont le pouvoir absolutiste menace de réduire à néant l’héritage qu’il cherche à préserver.
En dépit de ses doutes, de ses luttes intérieures et de ses peurs, Gautier demeure un homme d’une grande intégrité. Il porte ses idéaux avec fierté, mais aussi avec une forme d’humilité. Il sait qu’il n’a pas toutes les réponses, qu’il n’a pas tous les pouvoirs, mais il est convaincu que les choix qu’il fait, aussi modestes soient-ils, peuvent éclairer le chemin de ceux qui, comme lui, aspirent à un monde plus juste. Une mélancolie imprègne son regard, mais sous cette tristesse, il y a toujours l’espoir – l’espoir que, malgré les épreuves et les tourments qui le traversent, il pourrait peut-être accomplir ce qui semble, aux yeux de beaucoup, impossible.
Que pensez vous des moldus, et du fait que vous soyez obligés de vous cacher d'eux au quotidien ? Pour lui, les Moldus ne sont ni des ennemis ni des êtres inférieurs. Il les considère comme des humains, avec leurs propres luttes et leurs propres mérites, souvent ignorés ou mal compris par la communauté magique. Là où certains éprouvent de la méfiance, Gautier ressent plutôt une forme de curiosité. Il admire leur capacité à vivre sans la magie, à se frayer un chemin dans un monde qui leur est en grande partie étranger. Il voit en eux une ténacité que les sorciers, protégés par leurs pouvoirs, n'ont jamais eu à développer.
Il rêve d'un avenir où sorciers et Moldus échangent plus ouvertement, sans que le secret magique ne vienne tout perturber. Il croit profondément que cela pourrait mener à une meilleure harmonie, à un monde plus juste. Et bien que cet idéal semble encore lointain, il reste convaincu qu'il est possible de changer les choses.
Néanmoins, son engagement envers le secret magique n'en est pas moins résolu. Il le défend non par désir de domination ou d'inégalité, mais par nécessité. La protection du secret magique est pour lui une question de survie, non seulement pour sa famille, mais pour l’ensemble de l’héritage qu’il représente. Il redoute que, si ce secret venait à être levé, ce monde fragile dans lequel il vit, ainsi que ceux qu’il chérit, ne disparaissent dans le chaos. Ce n’est pas une volonté de maintenir une frontière infranchissable, mais une mesure de sécurité, une ligne de défense qu’il cherche à préserver tout en nourrissant l'espoir qu’un jour, les deux mondes puissent se rapprocher sans compromettre l'équilibre précieux qu’il défend.
Quelle est votre opinion sur la famille royale magique de France ? Membre de cette lignée, il en est fier, mais il ne peut ignorer les fractures qui la rongent. Il perçoit une institution autrefois majestueuse, aujourd’hui déchirée par les divergences de ses membres, chacun poursuivant des aspirations souvent contradictoires, voire égoïstes. Ce qui autrefois faisait la grandeur de leur nom semble aujourd’hui se diluer dans un enchevêtrement de choix personnels qui oublient les principes mêmes qui ont forgé la lignée royale.
Gautier ne peut que constater cette désunion grandissante, et cette implosion lui serre le cœur. Il ressent la dégradation d'une famille qui, autrefois, symbolisait la cohésion, la noblesse et l’honneur. La politique du roi Adelstan, l’afflige particulièrement. Si Gautier reconnaît la brillante intelligence de son frère, il se heurte à son autoritarisme et à une vision rigide, figée dans des principes absolus, loin des valeurs d’équilibre et de progrès qu’il chérit. La France magique, sous le règne de ce roi, semble s’enfermer dans un passé qui ne nourrit plus le présent.
Malgré cela, Gautier reste profondément attaché à sa famille. C'est un amour sincère, teinté de tristesse et d'espoir, qui nourrit son désir de restaurer ce qui a été perdu. Pour lui, la lignée royale, bien qu’éclatée et vacillante, reste porteuse d’une histoire qu’il est prêt à défendre contre vents et marées. Il aspire à redorer cette image, à retrouver la dignité de leur nom, quitte à se confronter un jour frontalement à l'autorité du trône.
L'Aube Sorcière prend de l'ampleur, et Tarek Shafiq fait très souvent la une des journaux. Que pensez vous de cet homme ? Tarek Shafiq incarne tout ce que Gautier redoute dans l’évolution de la société magique. Bien qu'il soit devenu une figure incontournable, il est perçu comme un homme dont l’activisme cache un danger dissimulé derrière une révolte qui semble noble en apparence. Charismatique, il séduit par sa vision, mais il incarne avant tout des compromis risqués, flirtant avec des idéaux séduisants mais potentiellement dévastateurs. Si ces idéaux prenaient forme, ils risqueraient de briser l’équilibre fragile que Gautier s’efforce de préserver.
Reconnaissant l’influence grandissante de l’homme, il ne peut ignorer le fait que Shafiq parvient à toucher une partie du peuple. Pourtant, c’est un catalyseur de tensions qu'il représente, un homme prêt à déstabiliser un monde déjà fragile. Ses idées, prônant la domination de certaines races ou groupes, menacent directement l’harmonie entre les différentes factions de la communauté magique.
Tout en comprenant l’ampleur de son pouvoir et l'adhésion qu'il suscite, Gautier reste sur ses gardes, préférant la confrontation d’idées et la modération à l’appel d’une révolution violente et incontrôlée. Une telle voie ne pourrait que mener à la destruction plutôt qu'à une transformation durable et réfléchie.
(#) Re: (Gautier) Un cœur noble sait ce qu’il doit, bien avant de savoir ce qu’il veut
missive rédigée par Gautier de Valoys leTrès tôt, Gautier fut entouré de nourrices attentives et de précepteurs érudits, qui s’attelèrent à forger son esprit et son comportement selon les plus hautes exigences de son rang. Il se montrait studieux et appliqué, habité par une fierté pour l’héritage qu’il incarnait. Ce respect pour son nom se nourrissait aussi des lieux qu’il arpentait empreint de la présence de ses ancêtres. Les portraits, suspendus aux murs des vastes salles et des corridors, observaient silencieusement son quotidien. Les regards peints de ses aïeux, austères ou bienveillants le suivaient partout, rappelant la grandeur et les responsabilités associées à son rang. Gautier, loin d’en être intimidé, trouvait dans ces figures historiques une source d’inspiration.
Lorsqu’il ne se consacrait pas à ses leçons, il aimait plonger dans les livres anciens de la bibliothèque royale, se perdant dans des contes divers. Ces histoires peuplaient ses nuits, nourrissant ses rêves d’enfant et apaisant ses solitudes. Sous la lueur vacillante des chandelles, il s’endormait, imaginant les aventures de ces héros dont le sang coulait peut-être dans ses propres veines.
Parmi tous ses ainés, Gautier entretenait une relation privilégiée avec Léopold. Ce dernier trouvait toujours du temps à offrir à son jeune frère. À travers des promenades dans les jardins ou dans les grandes bibliothèques du château, il était devenu pour lui un guide, un mentor et, à bien des égards, un refuge. Il lui enseignait, non pas à travers des leçons rigides, mais par le simple échange de regards et de paroles, par des récits captivants, et par cette présence attentive qui faisait grandir le garçon. Il savait aussi, dans un sourire ou une étreinte fraternelle, offrir à Gautier ce sentiment de sécurité dont il avait tant besoin dans une maison où les responsabilités pesaient sur tous. Son influence douce et naturelle finit par s’inscrire dans les gestes et les pensées de Gautier. Ainsi, à mesure qu’il grandissait, il se surprit à adopter ce même sens du devoir.
À onze ans, Gautier fit son entrée à Beauxbâtons, où il s’illustra rapidement dans les disciplines mêlant réflexion et habileté. L’histoire de la magie, qu’il étudiait avec une fascination presque révérencieuse, devint l’un de ses domaines de prédilections, lui permettant de relier le passé aux enjeux du présent avec une maturité rare pour son âge. Les sortilèges et la défense contre les forces du mal révélaient quant à eux son talent pratique, méthodique et précis du maniement de sa magie.
Sa troisième année marqua un tournant. L’opportunité d’un échange scolaire à Poudlard, lui permit de parfaire son anglais et de s’imprégner des savoir-faire propres au monde sorcier britannique. Ce séjour, au-delà de l’apprentissage académique, enrichit sa compréhension des traditions et des pratiques magiques, nourrissant sa soif de connaissance et son ouverture d’esprit.
Chaque jour, ses pensées se tournaient vers ses frères, partis combattre au front. L’idée de rester les bras croisés, rongé par l’inquiétude et le remords, lui était insupportable. Dans le silence de sa chambre aux rideaux tirés, entouré de lettres qu’il lisait sans relâche, Gautier se retrouvait face à lui-même. Là, ses pensées prenaient une direction plus personnelle, plus douloureuse. Il pensait souvent à Éléonore, son amie d’enfance, celle qui devait bientôt devenir sa fiancée. Ce mariage, soigneusement arrangé pour perpétuer la lignée des De Valoys, ne s’appuyait pas sur les élans du cœur, mais sur leurs devoirs. Gautier éprouvait pour elle une profonde affection, forgée par des années d’une amitié sincère, mais il savait que ce n’était pas de l’amour. Pas pour lui, en tout cas. Il se demandait parfois ce qu’elle ressentait, si elle, de son côté, espérait plus de cette union. Cette incertitude l’étouffait autant que la perspective d’un avenir dicté par la raison d’État. Enfermé dans sa cage dorée, Gautier rêvait parfois de liberté, de choix, de sentiments véritables. Mais ces songes, fragiles et fugitifs, disparaissaient toujours au lever du jour, éclipsés par le poids des responsabilités.
En 1917, une lettre, apportée par un hibou au plumage sombre, bouleversa à jamais la vie de Gautier. Le sceau royal brisé, ses yeux s’arrêtèrent sur les mots qui racontaient l’indicible : un attentat, des explosions, des pertes humaines terribles. Parmi les victimes, plusieurs de ses proches avaient péri. Parmi eux, sa fiancée, celle qu’il aurait dû épouser pour sceller une alliance entre deux grandes maisons, celle qu’il connaissait depuis toujours, avait perdu la vie dans ce carnage. Et comme si le sort avait voulu appuyer la cruauté de cet instant, cela s’était déroulé quelques jours avant son anniversaire.
La nouvelle le frappa comme un sort en pleine poitrine. D’abord, il resta immobile, figé dans un silence qui semblait éternel. Puis, lentement, une douleur sourde, le submergeant totalement. Sa gorge se serra, ses mains tremblèrent, et une boule d’angoisse s’installa au creux de son estomac.
Pourquoi ?
La question martelait son esprit, encore et encore. Pourquoi elle ? Pourquoi eux ? Pourquoi pas lui, cloîtré ici au Royaume-Uni, à l’abri, inutile, pendant que sa famille affrontait des horreurs au-delà de l’imaginable ? Une culpabilité écrasante s’abattit sur lui, une ombre pesante qu’il ne parvint plus à dissiper.
Mais au-delà de la perte d’Éléonore, c’était l’absence de ses proches qui creusait en lui une douleur encore plus profonde. Ces frères et sœurs, ses cousins, ces figures familières qui avaient peuplé son enfance, n’étaient plus que des souvenirs figés.
Dans les jours qui suivirent, Gautier s’isola davantage, s’éloignant même des rares compagnons qu’il avait tolérés jusque-là. Dans sa chambre, cette grande pièce devenue trop vide, il errait comme un fantôme. Chaque nuit, il se réveillait en sursaut, assailli par des cauchemars où les rires de ses proches se mêlaient aux cris et aux explosions. Dans ses rêves, le visage d’Éléonore surgissait, pâle, immobile, figé dans une dernière expression qu’il ne pouvait supporter. Et toujours, en arrière-plan, les rires de ses proches se transformaient en échos déchirants, jusqu’à ce qu’ils se taisent définitivement.
Lorsqu’il n’était pas prostré, il tentait de lire ou d’écrire, mais les mots restaient flous, éclipsés par le vacarme imaginaire des bombes magiques qui avaient anéanti son monde. Parfois, il s’asseyait devant un miroir, observant son propre reflet comme s’il espérait y trouver une réponse, une explication. Mais il n’y voyait qu’un homme brisé, rongé par une tristesse qu’il ne parvenait pas à nommer et par une anxiété qui le consumait à petit feu.
Les conséquences de cet événement marquèrent Gautier à jamais. Une part de lui se referma, une blessure qu’il cacherait aux yeux du monde derrière des sourires polis et un comportement irréprochable. Mais dans l’intimité, dans la solitude de ses pensées, cette douleur restait vive, à la fois cicatrice et fardeau, une trace indélébile de cette journée funeste où tout avait changé.
Tiraillé entre sa culpabilité et le besoin de contribuer à l’effort de guerre, Gautier avait pris la décision de se rendre dans un hôpital de fortune à Londres, une ville assiégée par le chaos de la guerre. Loin de ses terres françaises, il se sentait à la fois impuissant et obligé d’agir. Là-bas, parmi les blessés et les souffrances, il s’efforçait de jouer un rôle, d’être un soutien moral et physique pour ceux qui, comme lui, étaient déchirés par la guerre. Chaque jour, il offrait son aide là où il le pouvait, que ce soit pour réconforter ou apporter un peu de normalité à un monde dévasté.
C’est au sein de cet environnement tumultueux qu’il croisa le chemin d’une jeune Anglaise, bénévole elle aussi, une sorcière de sang-mêlé, fille d’un peintre reconnu. L'alchimie fut immédiate. Dès leurs premiers échanges, un lien invisible se tissa entre eux, subtil mais puissant. Ils échangèrent des regards, des sourires discrets qui disaient tout sans qu’un mot ne soit prononcé. Il y avait une douceur dans leurs gestes, dans leurs mains qui se frôlaient parfois, un frisson d’intimité qui naissait de cette proximité inévitable, mais qu'ils n’osaient jamais franchir pleinement.
Malgré la guerre qui les entourait, leur relation devint un havre de paix éphémère. Elle devint rapidement son premier amour, réciproque, mais marquée par l’impossibilité de se projeter plus loin. Elle, plus âgée et plus expérimentée, semblait percevoir la fragilité de ce lien naissant et n’insistait pas, respectant cet espace qu’ils s’étaient créés, mais ne faisant qu’alimenter un désir commun de quelque chose de plus, de plus fort. Mais malgré la tendresse qu'ils partageaient, une ombre pesait sur eux, une barrière invisible que Gautier n’arrivait pas à franchir. Il ne pouvait offrir à cette jeune femme que des bribes d’affection. Il savait que ce lien, aussi précieux soit-il, serait perdu dans l’écho des années qui passeraient.
Lorsque la guerre prit fin en 1918, Gautier retourna en France, mais rien ne pouvait réparer les cicatrices qu’elle avait laissées, ni les siennes, ni celles de la société tout entière. La paix était fragile, à peine un souffle d’espoir avant que le monde ne se retrouve plongé dans un chaos géopolitique, et craint, dans le même temps, que les De Valoys n'y survivent pas.
En
(#) Re: (Gautier) Un cœur noble sait ce qu’il doit, bien avant de savoir ce qu’il veut
missive rédigée par Gautier de Valoys le- Code:
<b>Joe Alwyn</b> <em>|</em> @"Gautier de Valoys"
Pour ajouter le personnage dans une famille :
- Code:
@"Gautier de Valoys" (M · 28 ans)
Pour le bottin des années de naissance :
- Code:
<b>24.04.1899</b> @"Gautier de Valoys" - Beauxbâtons et Poudlard
Pour le bottin des romances :
- Code:
@"Gautier de Valoys" - Célibataire
Pour le bottin des emplois :
- Code:
<b>Diplomate à la Confédération internationale des mages et sorciers (représente les De Valoys et la France)</b> @"Gautier de Valoys"
(#) Re: (Gautier) Un cœur noble sait ce qu’il doit, bien avant de savoir ce qu’il veut
missive rédigée par Constantin Chaumet leLe choix, l'ava, le texte, la personnalité. Adiou. Je vais l'épouser. I can save him, ok ? Pourquoi tu fais coup sur coup des trésors ? hé oh ! (
ANAPHORE
(#) Re: (Gautier) Un cœur noble sait ce qu’il doit, bien avant de savoir ce qu’il veut
missive rédigée par Arsène d'Apcher leBon par contre c'est terrible il ressemble vraiment trop à Chad Michael Murray je crois que mon cerveau a acté :slurp:
En tout cas rebienvenue officiellement avec ce personnage de dingue à nouveau làààààà
Ca fait trop plaisir de voir les de Valoys coloniser le fofo
Pour le blabla du staff, tu as 10 jours (jusqu'au 30.11.2024) pour faire ta fichette, avec évidemment la possibilité de demander du temps supplémentaire en cas de besoin
Et comme d'hab, on est disponibles en cas de besoin tu connais la maison
Bon courage pour la rédaction de la fin de cette pépite
Qui cause ma déraison, ma déroute, ma déveine
Doucement j'y plongerai sans qu'une main me retienne
Lentement je m'y noierai sans qu'un remord ne me vienne ❞
(#) Re: (Gautier) Un cœur noble sait ce qu’il doit, bien avant de savoir ce qu’il veut
missive rédigée par Denise Loisel leBienvenue à notre preux chevalier et longue vie au prince charmant!
(#) Re: (Gautier) Un cœur noble sait ce qu’il doit, bien avant de savoir ce qu’il veut
missive rédigée par Alice d'Apcher leJe suis trop contente de voir que tu as déjà craqué, c'est tellement torp cool ! puis un De Valoys, une famille que j'aime tendrement, que peu demander le peuple
Re-bienvenue sur le fofo, tu connais déjà les clefs héhéh
Anya d'Apcher
Anya d'Apcher
Anya d'Apcher
(#) Re: (Gautier) Un cœur noble sait ce qu’il doit, bien avant de savoir ce qu’il veut
missive rédigée par Neith Shafiq leBienvenue chez toi
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(#) Re: (Gautier) Un cœur noble sait ce qu’il doit, bien avant de savoir ce qu’il veut
missive rédigée par Auguste Lestrange le(#) Re: (Gautier) Un cœur noble sait ce qu’il doit, bien avant de savoir ce qu’il veut
missive rédigée par Zuhra de Fronsac leTrop hâte de lire la suite de la fiche de Gauthier
- Carte de visite (par Chibi):
(#) Re: (Gautier) Un cœur noble sait ce qu’il doit, bien avant de savoir ce qu’il veut
missive rédigée par Léopold de Valoys le(z'avez vu comme il est beau le p'tit frère de Léo ?)
(#) Re: (Gautier) Un cœur noble sait ce qu’il doit, bien avant de savoir ce qu’il veut
missive rédigée par Louis de Valoys letellement hâte d'en lire plus
Je suis sûre que Louis et lui pourraient bien s'entendre