Il y a toujours des conséquences
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(#) Il y a toujours des conséquences
missive rédigée par Auguste Lestrange leLe couloir est propre sans être du dernier standing, un aménagement tout à fait honnête sans nul doute, avec quelques conforts. La lumière est électrique, l’ampoule grésille de façon très diffuse, projetant sa lueur orangée sur les murs blancs, les portes impersonnelles, le sol couvert d’une moquette sombre. Des sons occasionnels proviennent de l’une des portes, au bout du long couloir, étouffés et déformés par les murs épais. La fenêtre donnant sur l’extérieur, depuis le mur du fond, offre une clarté plus rafraîchissante et plus froide, tombant en hauban poudreux jusqu’à se dissoudre dans l’atmosphère légèrement poussiéreuse.
Et dans cette immobilité nocturne s’avance une silhouette grelottante dans ce qui fut, encore quelques heures plus tôt, une superbe robe de bal à présent déchirée, brûlée en plusieurs emplacements et imbibée d’eau après l’averse subie quelques minutes plus tôt. La peau pâle est contusionnée, et même déchirée par endroits, résultats des efforts produits pour quitter le piège qui s’est refermé sur lui par sa maladresse. Ses cheveux noirs, toujours longs, collent à son visage, à sa gorge et à ses épaules, sans qu’il ne cherche à les chasser. Mortellement pâle, dans ce corps d’emprunt, Auguste se contente d’avancer, forçant sa volonté un pas après l’autre.
Tu n’es pas en sécurité ce soir.
A l’arrière de ses pensées rampe la crainte que les Medici n’aient pas abandonné la traque. Que l’un d’eux l’ait suivi. Il a fait tout ce qu’il a pu, pourtant. Pendant d’interminables et douloureuses minutes, ce fut tout ce qu’il eut à l’esprit, jusqu’à ce que le mascaret de la peur ait reflué pour le laisser transit face à face avec l’énormité de ce qui vient d’advenir. Auguste sait que tout n’est pas encore limpide, que la pleine mesure ne viendra que petit à petit en un crescendo horrifique pour lui, il se connaît suffisamment pour l’anticiper. Et c’est exactement pour ces raisons, pour toutes ces raisons, qu’il se trouve ici en cet instant.
A sonner chez Edmoundovitch de tout son entourage.
Son souffle est volontairement lent, et involontairement haché, Auguste essayant à tout prix de contenir ses nerfs et la douleur provenant des côtes qu’il s’est probablement fêlé. Dès la pression de la sonnette relâchée, il croise les bras serrant sans mot dire et espérant que l’homme ne soit pas absent pour une raison ou pour une autre. Le bruit, au bout du couloir, attire brièvement son regard avant que toute son attention ne se recentre sur la porte. Est-ce qu’il a entendu ? Devrait-il sonner une seconde fois ? Non, c’est un ancien révolutionnaire, il aura certainement les sangs aussi prompts que lors de leurs duels...
Une vague nausée lui fait pincer les lèvres, lorsque son esprit s’égare dans cette direction, le souvenir bien trop proche de ce qui s’est passé chez les Medici. Et sur l’instant, son angoisse a raison de lui. Il sonne à nouveau. Il sonne à nouveau. Sa respiration semballe à nouveau tandis que ses doigts s’accrochent au laiton brillant, tremblants. Son coeur tambourine, menace de quitter son torse, quand une humidité qui n'a rien à voir avec la pluie s'accroche à ses yeux.
Pitié, qu'il lui ouvre !
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(#) Re: Il y a toujours des conséquences
missive rédigée par Alekseï Dzerjinski leConséquences
ft Auguste Lestrange
Thème | Il est tard. Trop tard. Très tard. Et comme chaque nuit, le sorcier peine à trouver le sommeil. Etouffé dans Paris, il sait qu'il lui faudra retourner chez Elric, au pire. Au mieux aller courir dans les vastes forêts du Gevaudan, offrir son odeur qu'il a le droit de deposer sur les arbres pour le reste de la meute. Il tourne le loup, en cage, dangereusement proche de craquer, violement enfermé. Les lettres restées sans réponses l'agacent. Il attend cet hibou de malheur, qui apporte avec lui les soutiens du Parti ou de sa meute, la seule, la véritable. Même le joker vient à lui manquer dans ces instants d'errance nocturne. Alekseï ne dort que trop peu. Le militaire a conditionné son esprit à ne pas avoir besoin de sommeil. Mais l'absence le garde. Il tombera, enfin, aux petits jours. Il s'inquiète Alekseï. Il s'inquiète trop, pour tout, pour eux. Tatiana, en tête de liste. Chaque nuit, il se rappelle qu'il ne devrait pas la côtoyer, que c'est dangereux, que c'est cruel. Qu'ils n'iront nul part quand il charie dans ces veines ce que le Coeur lui a apprit être transmissible et qu'il refuse de permuter dans les veines de l'innocence. Et sa belle, sa belle qui rêve au prince charmant et qui n'a trouvé que soldat, que chevalier qui a depuis longtemps oublié ses voeux quand il a massacré femme et enfants. Ses lunettes n'ont pas quitté son nez, alors que les papiers s'entassent sur le bureau. Seule marque de vie de l'appartement trop impersonnel. Alekseï est maniaque, trop maniaque. Il range dès qu'un cheveux dépasse. Peur des souvenirs, de la police qu'il a pendant si longtemps été. Rentrer chez quelqu'un, c'est comprendre son identité. Ici, en France, Alekseï ne veut laisser nulle possibilité et nulle doute. Car il est certain qu'ils possèdent la même police secrete que dans son propre pays. Et qu'un bolchevik, en territoire ennemi, n'est pas un allié.
Il tourne et tourne.
Plus vraiment. Animal pris en faute, le son lui parvient. Les pas dans le couloir. Les battements de coeur. Le souffle. Il se fige. Si proche du chasseur, si certain de l'incident. Ses yeux clairs, rendus presque sombre par l'absence de lumières, se figent sur la porte. D'un mouvement de baguette, les lumières s'éteignent, sauf celles juste derrière la porte, celle qui n'a été que trop visible. Tout éteindre, d'un coup ? Stupidité des nouveaux romans d'action dont on gave les enfants. Lui est méthodique et, dans les ténèbres du reste de son appartement, le loup se tient près. Une attaque, voilà qui conviendrait à ses nerfs. Qui lui ferait presque du bien. De quoi se battre, de quoi se défendre sans devoir nullement retenir ses coups. Oh, il a fait des duels. Mais aucun à mort, aucun pour la survie, aucun comme il a pu effectuer durant les traques. Le sang bouille dans ses veines. La fatigue meurt quand revient la si agréable adrénaline. Le frisson de l'angoisse. Il est seul cette fois. Il n'a pas à s'inquiéter pour les siens. Chasser, en solitaire, ne convenait pas au loup mais plaisait terriblement fort à l'homme. Tant mieux. C'était l'homme qu'on mettait en danger cette nuit.
On sonne.
On sonne et les sourcils se froncent. Quel genre d'imbécile sonnerait à sa porte ? Immédiatement, les sens reprennent le dessus. On sait qu'il est loup, il est presque impossible qu'il ne sache pas que quelqu'un est là. La baguette ne se range pas, bien au contraire, alors qu'il ne s'approche pas tout de suite. Il analyse, il écoute. Souffle rauque, mais rapide. Petit coeur. Une femme ? L'odeur pue. Sueur, en premier plan. Transpiration de course folle et de peur instinctive. Il ne reconnait pas l'odeur de la femme. Elle n'est pas bien grande, c'est certain, il l'entend à la manière dont ses pieds se posent sur le sol et à la faiblesse de ces appuis. Il se concentre, plus encore. Elle sent l'hémoglobine et il ne sait si c'est la sienne ou celle de quelqu'un d'autre. Quelle est donc cette satané inconnue qui vient chez lui, si tard dans la nuit ?
On sonne encore.
Et encore une fois.
Précipitation. L'odeur de peur est la plus marquante. Alekseï serre les dents, garde sa baguette quand il s'approche de la porte. C'est de côté qu'il se présente. Jamais de face. Bien trop facile d'envoyer un sort dans le bois, le coupant par la même. La mort, ainsi, n'est clairement pas l'option qu'il choisirait. Les yeux plissés, si petits qu'ils en deviennent invisibles, Alekseï se prépare à l'attaque. La porte s'ouvre de volé, la baguette est pointée sur la poitrine de l'inconnue avant même qu'elle ne puisse réagir.
Ses traits sont ceux d'une étrangère. Par Rod, que fout-elle ici, sur son palier ? Pourquoi, de tous les immeubles, vient-elle sonner chez lui ? Sa porte, parmi des dizaines d'autre. Elle le cherche lui. Et tout, de sa mise à son effroi, offrent qu'elle sort de quelque chose de terrible. Mais Alekseï n'est pas homme à se laisser émouvoir. Sa baguette ne quitte pas sa cible. Ses traits ne se détendent pas. Le prédateur n'a rien à cacher quand il ne sait même qui elle est.
Je doute que se soit une heure pour sonner chez les gens mademoiselle. Qu'est-ce que vous faites ici ? Qui que vous cherchiez, je doute d'être la bonne personne.
Son français ronfle de russe, l'action ne lui laissant guerre de le temps de réfléchir à ses mots. Mais parler sa langue maternelle serait stupide. Elle a l'air plus que française et ses traits n'offrent aucune traces de ces beaux pays slaves. Il la surveille, l'observe, l'analyse. Haute stature, encore plus augmentée qu'il ne fait rien pour se diminuer. Le loup impressionne. Et veut impressionner.
Il tourne et tourne.
Plus vraiment. Animal pris en faute, le son lui parvient. Les pas dans le couloir. Les battements de coeur. Le souffle. Il se fige. Si proche du chasseur, si certain de l'incident. Ses yeux clairs, rendus presque sombre par l'absence de lumières, se figent sur la porte. D'un mouvement de baguette, les lumières s'éteignent, sauf celles juste derrière la porte, celle qui n'a été que trop visible. Tout éteindre, d'un coup ? Stupidité des nouveaux romans d'action dont on gave les enfants. Lui est méthodique et, dans les ténèbres du reste de son appartement, le loup se tient près. Une attaque, voilà qui conviendrait à ses nerfs. Qui lui ferait presque du bien. De quoi se battre, de quoi se défendre sans devoir nullement retenir ses coups. Oh, il a fait des duels. Mais aucun à mort, aucun pour la survie, aucun comme il a pu effectuer durant les traques. Le sang bouille dans ses veines. La fatigue meurt quand revient la si agréable adrénaline. Le frisson de l'angoisse. Il est seul cette fois. Il n'a pas à s'inquiéter pour les siens. Chasser, en solitaire, ne convenait pas au loup mais plaisait terriblement fort à l'homme. Tant mieux. C'était l'homme qu'on mettait en danger cette nuit.
On sonne.
On sonne et les sourcils se froncent. Quel genre d'imbécile sonnerait à sa porte ? Immédiatement, les sens reprennent le dessus. On sait qu'il est loup, il est presque impossible qu'il ne sache pas que quelqu'un est là. La baguette ne se range pas, bien au contraire, alors qu'il ne s'approche pas tout de suite. Il analyse, il écoute. Souffle rauque, mais rapide. Petit coeur. Une femme ? L'odeur pue. Sueur, en premier plan. Transpiration de course folle et de peur instinctive. Il ne reconnait pas l'odeur de la femme. Elle n'est pas bien grande, c'est certain, il l'entend à la manière dont ses pieds se posent sur le sol et à la faiblesse de ces appuis. Il se concentre, plus encore. Elle sent l'hémoglobine et il ne sait si c'est la sienne ou celle de quelqu'un d'autre. Quelle est donc cette satané inconnue qui vient chez lui, si tard dans la nuit ?
On sonne encore.
Et encore une fois.
Précipitation. L'odeur de peur est la plus marquante. Alekseï serre les dents, garde sa baguette quand il s'approche de la porte. C'est de côté qu'il se présente. Jamais de face. Bien trop facile d'envoyer un sort dans le bois, le coupant par la même. La mort, ainsi, n'est clairement pas l'option qu'il choisirait. Les yeux plissés, si petits qu'ils en deviennent invisibles, Alekseï se prépare à l'attaque. La porte s'ouvre de volé, la baguette est pointée sur la poitrine de l'inconnue avant même qu'elle ne puisse réagir.
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(#) Re: Il y a toujours des conséquences
missive rédigée par Auguste Lestrange leLa porte s’ouvre à la volée et c’est un glapissement irrépressible qui l’accompagne, crevant la gorge endolorie de ce qu’il a ravalé. Corps qui se jette en arrière, quand bien même est-ce là ce qu’il désire, que de voir les austères traits du bolchévik, de l’ancien soldat révolutionnaire se découper dans cette luminosité qui donne à son profil des allures de spectres. Son épaule heurte le mur opposé, immédiatement suivie de son dos, un instant avant que l’information ne fasse finalement son chemin au travers d’une psyché transie de peur.
Edmoundovitch. Qui le braque de sa baguette.
Auguste est forcé de plaquer une main sur sa bouche, dans l’espoir de contenir sa nausée autant que ce qui reste de sa dignité. Les mots, dans son esprit aux abois, sont un mantra, une prière. Il est tard, il ne m’attendait pas, il ne peut pas me reconnaître. Ils dévalent son esprit, tandis que ses yeux arrondis, immenses dans le clair-obscur, dévorent sa présence, bleus comme les ecchymoses qui ornent son derme. Il lui faut soutenir son poids d’un bras apposé au mur, ses jambes menaçant de l’abandonner, lorsqu’il parle enfin.
Il eut voulu parler russe, en l’instant, mais les mots lui échappent, tandis qu’il happe de grandes goulées d’air entre ses phalanges blanchies et mouchetées de sang. Et quand il parvient enfin à s’exprimer, la douceur de sa voix d’emprunt, flûtée et fragile comme un cristal, lui répugnent sans qu’il ne sache très exactement pourquoi. Ou peut-être refuse-t-il de savoir, tout simplement. Il doit s’y reprendre à plusieurs fois pour parvenir à articuler, là où tout fut clair dans ses pensées, hymne répétée, rouée et améliorée, bouée à laquelle se raccrocher.
“Je sais que... Je sais que cela va paraître improbable mais je... Je suis désolé, vous étiez la seule personne que je... J’ai fait quelque chose de... Vous étiez le seul, Edmoundovitch, je ne pouvais pas les mener chez nous, ça aurait tout changé, ça aurait tout... Je suis désolé.”
Phalanges qui se crispent plus encore, yeux inondés, en lutte farouche contre l’inévitable qui ne cesse de se rapprocher. Edmoundovitch n’attendra pas éternellement des explications, il doit absolument se contrôler et offrir un semblant de raison.
“C’est difficile à croire avec mon... mon apparence mais je... C’est une apparence d’emprunt. Je suis Auguste. Et... Je... Si, si vous êtes la bonne personne. Je sais que... Je sais que je vous en demande beaucoup, je suis désolé, je ne pouvais pas faire autrement.”
La peur imprègne chaque parcelle de son être, depuis le léger claquement de ses dents au parfum qui se mêle à celui de son sang bleu si aisément versé. Et c’est avec nervosité qu’il s’appuie davantage contre le mur, se redressant jusqu’à laisser échapper un hoquet de douleur contenu. Ses côtes. Ses gestes, perclus de tension sont saccadés et gauches, tandis qu’il ouvre la poche sans fond qu’il a réussi à sauver. Le museau du niffleur en sort, puis la créature toute entière, qui, cette fois, ne se jette pas à la recherche de trésors.
Jean-Eustache reste près de lui, tandis qu’il cherche et manque, l’objet qui prouvera ses dires. Il s’entame la lèvre jusqu’au sang dans son désir de rester silencieux tandis que sa fouille se fait plus désespérée, glissant au sol jusqu’à finalement sentir les contours de l’anneau. La chevalière marquée du sceau des Lestrange. Il l’enferme dans son poing, la sort de la poche, le métal mordant sa chair avant qu’il ne se force à respirer, encore, et ne se redresse péniblement pour la montrer à l’ambassadeur.
“Je sais que,” il s’interrompt, déglutit péniblement, “je sais que je vous en demande beaucoup mais vous êtes la seule personne qui... à qui je fasse confiance, ce soir...”
Alekseï DzerjinskiLACHESIS | SECRET IS THE ONLY WAY.
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(#) Re: Il y a toujours des conséquences
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ft Auguste Lestrange
Thème | Il hume. Et il ne sent pas l'onde de l'odeur des Lestrange. Pas le moindre souvenir de son ami. Qui que soit cette étrangère, elle n'est pas Auguste. Ses battements de coeur n'ont le rythme de son ami. Sa voix est différente. Pire encore, quand elle montre la chevalière, alors que le prédateur ne baisse pas sa garde, elle ne fait qu'intensifier la méfiance. Et c'est d'un pas brusque qu'il avance. Ses doigts se glissent au peu de tissu qu'il reste, l'agrippe de sa force de garou qu'il ne cherche même à cacher. Cette fille, cette folle, se fait passer pour quelqu'un qu'elle ne devrait pas. Auguste, dans ce monde, est important. Il connait des ficelles et à, certainement, beaucoup d'ennemis. La France n'est pas l'URSS. La France ne gage d'autant de violence et de paranoïa. Et pourtant, Alekseï la cherche, la renifle et l'imagine partout. Feliks lui a apprit à se mefier. Le cœur a terminé de le créer dans une image de doute et de soupçon rarement infondé.
Alors, quand il l'attrape au col des vestiges de sa tenue, l'oblige à rentrer -sauvegarder les apparences pour les commères du quartier, pour ce qu'elles valent - et ferme la porte, il sait qu'il va l'interroger. Qu'il lui manque des compétences; Qu'il doit apprendre à faire de son esprit un mur opaque ou bien un gouffre sans fond. Offensif ou défensif. La question ne trouva jamais réellement réponse. Bientôt. Il savait attaquer, il savait frapper dur et fort. Il devait rendre son esprit de marbre, pour ne pas recourir au cyanure dès la mauvaise option prise. Mourir ne l'enchantait pas, encore moins maintenant qu'il commençait à lentement tomber amoureux.
Là n'était pas la question. Et c'est sans la moindre seconde de transition que la jeune femme est plaquée contre le mur, que la baguette est pointée devant son visage, menaçante.
Quel fut le premier jeu auquel nous jouâmes avec Auguste ?
Les réponses pouvaient être multiplies. Celles de ceux qui ne savent pas, qui les ont seulement vu. Et celle du concerné, qu'elle prétend être. Auguste lui aurait parlé en Russe. Auguste aurait offert bien d'autre possible que cette chevalière, certainement volée. Alekseï ne peut même imaginer que la peur détruit l'encéphale et empêcher de réfléchir correctement. Son propre coeur s'est emballé, à de nombreuses reprises. Quand le froid de Mongolie menaçait ses frères. Quand les soldats de l'armée blanche avaient pointé les armes. Tout garou qu'il soit, il restait mortel. Mais si la peur l'avait enlacé de ces bras moites, jamais il n'avait perdu le contrôle. Jamais il n'avait pu le faire. Sur un front de guerre, oublier était mourir. Sur un front de guerre, faiblir était mourir. Pire encore ; mourir était mettre en danger ses proches. Et ça, jamais Alekseï ne l'accepterait.
Alors, quand il l'attrape au col des vestiges de sa tenue, l'oblige à rentrer -sauvegarder les apparences pour les commères du quartier, pour ce qu'elles valent - et ferme la porte, il sait qu'il va l'interroger. Qu'il lui manque des compétences; Qu'il doit apprendre à faire de son esprit un mur opaque ou bien un gouffre sans fond. Offensif ou défensif. La question ne trouva jamais réellement réponse. Bientôt. Il savait attaquer, il savait frapper dur et fort. Il devait rendre son esprit de marbre, pour ne pas recourir au cyanure dès la mauvaise option prise. Mourir ne l'enchantait pas, encore moins maintenant qu'il commençait à lentement tomber amoureux.
Là n'était pas la question. Et c'est sans la moindre seconde de transition que la jeune femme est plaquée contre le mur, que la baguette est pointée devant son visage, menaçante.
Quel fut le premier jeu auquel nous jouâmes avec Auguste ?
Les réponses pouvaient être multiplies. Celles de ceux qui ne savent pas, qui les ont seulement vu. Et celle du concerné, qu'elle prétend être. Auguste lui aurait parlé en Russe. Auguste aurait offert bien d'autre possible que cette chevalière, certainement volée. Alekseï ne peut même imaginer que la peur détruit l'encéphale et empêcher de réfléchir correctement. Son propre coeur s'est emballé, à de nombreuses reprises. Quand le froid de Mongolie menaçait ses frères. Quand les soldats de l'armée blanche avaient pointé les armes. Tout garou qu'il soit, il restait mortel. Mais si la peur l'avait enlacé de ces bras moites, jamais il n'avait perdu le contrôle. Jamais il n'avait pu le faire. Sur un front de guerre, oublier était mourir. Sur un front de guerre, faiblir était mourir. Pire encore ; mourir était mettre en danger ses proches. Et ça, jamais Alekseï ne l'accepterait.
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(#) Re: Il y a toujours des conséquences
missive rédigée par Auguste Lestrange leChaque seconde de ce silence soupçonneux est une épreuve de plus pour ses nerfs, impuissant qu’il est. Et pour chaque seconde, la crainte d’être rejeté grandie. Des raisons, il en existe tant qu’elles lui donnent le tournis, à moins que ce ne soit l’adrénaline qui reflue et le laisse impuissant et plus vulnérable encore. Il voit dans le signet son seul espoir, quand les mots et l’esprit vacillent, il reste l’indéfectible vérité de ces armoireries gravées dans l’argent, le corbeau avec ses ailes déployées, si fier, si loin de tout ce qu’il est, ici et maintenant.
Le signet qui tinte au sol lorsqu’il le lâche, lorsque le geste d’Edmoundovitch, trop vif pour qu’il le perçoive, le rapproche, l’agrippe et lui faire perdre l’équilibre. Le tissu, sous les doigts rudes, manque se déchirer plus encore tandis qu’il trébuche, obéissant sans discuter quand on l’oblige à entrer. Jean-Eustache se glisse dans leur sillage, se dissimule dans les lambeaux de sa robe. Loin d’être tiré d’affaire, Auguste ne peut pourtant s’empêcher de pousser un soupir de soulagement à l’idée de ne plus être dehors, exposé à toute présence malveillante.
Le bolchévik a beau se montrer implacable, c’est une mire débordante de reconnaissance éperdue qu’il tourne vers lui. Il est à l’abris. Personne ne viendra le chercher ici. Ils n’oseront pas. Edmoundovitch est un allié, un ami même. Et il est lié à Arsène. Pourtant, tout comme pour Arsène, Auguste ne peut réprimer un frisson de peur animale à la présence du loup. Toujours. Et à la baguette toujours pointée sur lui. Et le doute s’insinue à nouveau, enfoncé comme les clous d’un cercueil dans son esprit par le marteau des mots et des exigences.
Il ne me croit pas. Non. Il ne l’eut pas traité ainsi. La question fait son chemin, peinant à trouver sens dans son esprit. Il se plaque une main sur le visage, essaie péniblement de se ressaisir, s’accroche désespérément à ce mince espoir. Il est, après tout, réellement Auguste et il a la réponse. Il n’a qu’à réussir à parler, et pourtant, parler lui semble être un effort insurmontable. Il s’arrache pourtant à son mutisme comme il eut arraché le couteau d’une plaie, forçant une fois de plus, bien que le son soit étouffé par ses phalanges.
“Un... Un verre ou une vérité,” sa main retombe, son regard croise le sien, hagard, “je vous ai invité dans une salle privée après que... après qu’Armand nous eûmes présentés. Et je vous ai proposé ce jeu, et nous avons... nous avons échangé. Ma première question était...” Ses battements de coeur s’intensifièrent, hurlant douloureusement contre les barreaux de son torse, “la raison de votre venue à cette fête. Et... Et vous, vous m’avez demandé comment j’avais appris à parler russe. A parler aussi bien. Et nous avons, nous avons bu jusqu'à l'ivresse, ou pressque.”
Sa main tremble, ping fermé contre sa propre gorge.
“Je suis Auguste. Je... Je sais que c’est dur à croire... C’est... Je suis sous polynectar. Je suis sous...” Il inspire profondément, violemment, serre les dents tandis qu’un tremblement irrépressible le secoue. “Polynectar,” répète-t-il, espérant ancrer le mot, “ma voix aussi, c’est une potion... Je suis désolé, Edmoundovitch, j’ai besoin de... j’ai besoin de votre aide. Je crois que j’ai fait quelque chose de...” Il ne sait pas réellement, bloque, la mire s’égarant dans le vide, hantée. Son silence s’étire, s’étiole, avant qu’il ne souffle d’une voix si basse que seule l’ouïe lupine peut l’entendre. “Je crois que je viens de causer une guerre.”
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(#) Re: Il y a toujours des conséquences
missive rédigée par Alekseï Dzerjinski leConséquences
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Thème | La voix chevrote mais la voix offre la réalité. La voix a du mal mais elle parle de points de détails qu'eux seuls peuvent connaitre. La baguette du Russe s'abaisse. Ses iris glacés observent, encore et encore, ce visage qu'il ne reconnait pas, cette odeur qui trompe, ces traits inconnus. Une femme ? Pourquoi ? Pourquoi par tous les dieux a-t-il revetu les atours d'une femelle ? Une femme qui a vécu horreur au regard de sa tenue et... serait-ce du sang ? L'odeur est pourtant entêtante. Les détails ne lui ont pas sauté au visage. Il fatigue l'imbécile. Il le sent quand il loupe tant de possible.
Parbleu Auguste, calme toi. Le tutoiement sort naturellement. Vouvoyez, alors qu'ils sont ainsi ? Vouvoyer alors que la peur hurle de tous les pores de la peau du Lestrange et qu'il vient se réfugier chez lui ? L'inutilité n'aurait jamais atteint de tel sommet. Suis moi.
La baguette est baissée, pas rangée. Le sorcier ferme à clef sa porte avant de se retourner et de trainer à sa suite le Lestrange jusqu'au salon. Dans l'âtre, aucun feu ne brulait mais il en allume un d'un mouvement de baguette avant de lancer la machine à café. D'un geste de la tête, il lui indique de s'assoir sur l'un des fauteuils. L'appartement manque de personnalité, il le sait. Il ne cherche nullement à le remplir. Le logement de fonction sera certainement exactement dans l'état où il l'a trouvé quand il partira. D'un sort, les papiers qu'il étudiait se ranger. Qu'importe l'état dans lequel se trouve Auguste : il y a ici des choses bien trop secretes pour être dévoilée au premier venu. Le Lestrange restait un corbeau et ils n'étaient amis de l'URSS.
C'est une bouteille d'alcool très fort et deux verres qui parviennent jusqu'à Alekseï. De la vodka, de son pays. Lointaine de la soupe que la France servait. Il la faisait venir à bon prix, avantage du Parti sur lequel il ne cracherait pas.
Bois ça.
Le verre est offert plus comme un ordre qu'une proposition. Alekseï s'installe en face du Lestrange, le toise une nouvelle fois de haut en bas. Non, définitivement, il ne parviendra pas à se faire au visage qu'il observe. Cette femme n'est pas Auguste.
Que s'est-il passé ?
Alekseï se fiche bien de la guerre. Qui que se soit les concernées, les Lestrange étaient bien assez puissants pour les écraser sous leurs bottes et que personne ne les voit disparaitre. Des ennemis, ils en avaient certainement moults. Comme toutes les grandes familles de France. On ne devient immenses sans avoir des réfractaires. Mais de là à qualifier de guerre.... venant d'Auguste, le terme n'était certainement pas offert à la légère. Et les traits du slave, marqués, se plissaient plus encore à l'attente de la réponse. Alekseï était pourtant un soldat. Pire. Un tueur. Et il avait besoin d'analyse méthodique avant quoi que ce soit.
Parbleu Auguste, calme toi. Le tutoiement sort naturellement. Vouvoyez, alors qu'ils sont ainsi ? Vouvoyer alors que la peur hurle de tous les pores de la peau du Lestrange et qu'il vient se réfugier chez lui ? L'inutilité n'aurait jamais atteint de tel sommet. Suis moi.
La baguette est baissée, pas rangée. Le sorcier ferme à clef sa porte avant de se retourner et de trainer à sa suite le Lestrange jusqu'au salon. Dans l'âtre, aucun feu ne brulait mais il en allume un d'un mouvement de baguette avant de lancer la machine à café. D'un geste de la tête, il lui indique de s'assoir sur l'un des fauteuils. L'appartement manque de personnalité, il le sait. Il ne cherche nullement à le remplir. Le logement de fonction sera certainement exactement dans l'état où il l'a trouvé quand il partira. D'un sort, les papiers qu'il étudiait se ranger. Qu'importe l'état dans lequel se trouve Auguste : il y a ici des choses bien trop secretes pour être dévoilée au premier venu. Le Lestrange restait un corbeau et ils n'étaient amis de l'URSS.
C'est une bouteille d'alcool très fort et deux verres qui parviennent jusqu'à Alekseï. De la vodka, de son pays. Lointaine de la soupe que la France servait. Il la faisait venir à bon prix, avantage du Parti sur lequel il ne cracherait pas.
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Le verre est offert plus comme un ordre qu'une proposition. Alekseï s'installe en face du Lestrange, le toise une nouvelle fois de haut en bas. Non, définitivement, il ne parviendra pas à se faire au visage qu'il observe. Cette femme n'est pas Auguste.
Que s'est-il passé ?
Alekseï se fiche bien de la guerre. Qui que se soit les concernées, les Lestrange étaient bien assez puissants pour les écraser sous leurs bottes et que personne ne les voit disparaitre. Des ennemis, ils en avaient certainement moults. Comme toutes les grandes familles de France. On ne devient immenses sans avoir des réfractaires. Mais de là à qualifier de guerre.... venant d'Auguste, le terme n'était certainement pas offert à la légère. Et les traits du slave, marqués, se plissaient plus encore à l'attente de la réponse. Alekseï était pourtant un soldat. Pire. Un tueur. Et il avait besoin d'analyse méthodique avant quoi que ce soit.
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(#) Re: Il y a toujours des conséquences
missive rédigée par Auguste Lestrange leUn bref et incongru éclat de rire, preuve de sa nervosité. Il ne sait répondre autrement à la demande du bolchevik. Le calme paraît un prospect bien distant en l’instant. Et pourtant il essaie. Tente de réguler sa respiration sifflante. Tente de ravaler les tremblements instinctifs qui secouent son corps dont la fragilité lui devient graduellement insupportable. La familiarité du ton comme de l'appellation sont poussières au vent des émotions qui grondent sous l’os. L’ordre est à peine plus impactant, quoi qu’il obéisse presque sans le voir. Ses pas sont engourdi, le rire continue de mourir en écho le long de ses nerfs et de ses pensées.
Le soudain grondement du feu lui arrache un sursaut, léger cette fois. L’adrénaline retombe enfin, comme le dernier souffle d’un été ardent qui laisse dans son sillage les premiers frimas de l’automne. L’odeur lui rappelle les flammes qui ont rongé le bureau de Lorenzo et Auguste s'assoit dans le fauteuil le plus éloigné de l’âtre. Jean-Eustache, lui, vient se rouler contre l’une de ses cuisses. Lentement, sa respiration se calme, s'assouplit tandis que les flammes, toutes porteuses de mauvais souvenirs qu’elles puissent être, apaisent le froid qui s’accroche à lui, commence à sécher sa peau et ses cheveux. Un soupir de soulagement couru depuis son cœur jusqu’à ses lèvres, avant qu’il ne pince de nouveau.
Ses doigts errent lentement tandis que ses sens reprennent lentement leurs droits, tandis que son esprit cesse de l’aiguiller comme une bête traquée, pour devenir un lent et confus amalgame d’épuisement et d’angoisse sourde. Il a fui la propriété des Medici, fui au travers de la ville. Le verre trouve sa main. Il a fui. Et après ? Et avant ? La brûlure de l’alcool est bienvenue. Elle est vive, directe, physique. Elle racle sa chair de l'intérieur, y trace des lignes de flammes. Il en est reconnaissant. Le feu liquide éloigne de nouveau l’angoisse, affûte brièvement l’esprit et les sens. Lorsque son regard se porte enfin sur Edmoundovitch, ses pupilles sont sensiblement dilatées.
“Alekseï.”
Que s’est-il passé ?
“Les Medici donnent une fête ce soir.”
Est-ce même encore le cas ? Il n’a aucune idée de l’heure qu’il peut être. Son regard darde alentours, cherchant une horloge, une fenêtre, quelque chose qui lui permette de gagner quelque semblant de compréhension du temps passé. Il ne sait pas combien de temps il s’est terré dans les allées sombres, transplanant au travers de la capitale de point sûr en point sûr, pour semer de possibles poursuivants. Comment peut-il même expliquer ce qu’il s’est passé ? L’idée même lui soulève le cœur, quand bien même il tente de remettre ses souvenirs des dernières heures à leur juste place. Un autre verre ne lui aurait sans doute pas fait de mal.
“Donnait, peut-être, je ne sais pas,” il secoue légèrement la tête, ses doigts trouvent la forme du niffleur, “J’ai pris la place d’une des invitées. Je voulais continuer mon enquête sur eux. Leurs activités, sur… leur possible implication dans, dans la mort de mon frère.”
Je suis un imbécile, est la pensée qui le frappe. Et avec elle, une nervosité renouvelée. Il triture la poche sans fond, puis plonge la main dedans. C’est une pleine poignée de documents épars qu’Auguste en ressort, qu’il essaie de lisser, parcours d’un regard éperdu. Qu’il ait au moins fait tout ça pour une bonne raison ! Pour un résultat ! N’importe quel résultat. Il le faut. Si tout cela n’a servi à rien alors… Le cœur bat et bat, plus fort, plus douloureusement, se récrie contre cette simple idée. Lorsque les mains tremblent et manquent de froisser de nouveau les délicates feuilles de papier, il les dépose sur la table basse, presse les paumes contre les accoudoirs.
Sa respiration manque de rythme.
“J’ai réussi à m’introduire à l’étage,” là encore, la notion du temps lui a échappé, “mais pas à repérer les sorts d’alerte. J’ai pu m’échapper mais je ne suis pas sûr qu’ils ne m'aient pas identifié.”
Son regard trouve à nouveau Edmoundovitch.
“J’étais poursuivi. Je ne sais pas si j’ai réussi à les semer”, il se passe une main sur le visage, grimace à la vision de ses doigts délicats, “Je sais que je n’ai pas le droit d’imposer ça à qui que ce soit mais je… j’avais besoin… d’aide.”
L’admettre lui brûle la bouche bien plus que toute la vodka du monde.
“Jusqu’à présent nos tensions les uns envers les autres… Je ne peux pas me permettre de leur offrir un casus belli.”
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(#) Re: Il y a toujours des conséquences
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Thème | Une bête se glisse sur la cuisse d'Auguste, où de cette femme qu'il ne sait qui elle est. De qui diable Auguste a pris l'apparence ? Pourquoi s'éloigner tant des flammes. Il le regarde, il écoute son coeur et sa respiration alors qu'il boit à son tour le verre. Pas d'un seul coup, juste pour fixer un peu plus la pensée et l'efficacité. Les traits d'Auguste ne changent pas. Ce putain de polynectar est efficace, il devrait même' lui demander d'où il le sort pour l'utiliser à l'avenir. L'heure n'est pas à ça. L'heure est aux explications. S'il apprécie le Lestrange, il n'est pas une heure pour venir chez lui, dans cette tenue, de cette manière. N'a-t-il donc pas de garde du corps ? Des gens chez qui se réfugier. Des proches, de vrais. Ne lui avait-il dit être profondément ami avec l'héritier Romanov, celui là même qu'Alekseï devrait égorger dès qu'il mettra un pied dehors ?
Les iris reviennent à lui. Moins effrayés. Y trône toujours un sentiment qu'Alekseï ne connait que trop bien. Il l'a éprouvé pour sa meute. Il l'a éprouvé pour les siens. Même pour lui, alors que sonnait le feu et que s'agaçait la violence, quand le sang recouvrait la neige grise de la capitale. La peur ne s'éloigne jamais réellement quand elle a fait son nid. Gros chat, elle ronronne en attendant sagement, d'une patience proverbiale. Lui se fait chien, près à l'arracher de son coussin paisible.
Medici donc. Le nom qu'Auguste avait déjà offert. Les italiens, s'il n'oubliait pas. Les fastueux, irrespectueux et certainement pas nobles imbéciles se croyant rois.
Il le ressert. Habitude que de boire ensemble ? Alekseï refuse. Il est toujours maitre de son esprit et de ces actes. Perdre le contrôle signifie le danger. Pour lui. Pour la Russie.
блять (putain) L'injure est soupirée alors que les doigts du russe viennent agripper son nez. Ils ne t'auront pas suivi jusqu'ici. Je le sentirais. A quoi bon mentir; Ses grognements et ses reflexes d'animaux ont largement suffit à valider les suppositions d'Auguste. Au pire aura-t-il fait jouer ses contacts pour savoir la vérité. Januszew est un garou. La belle affaire. Reste là pour la nuit. J'ai une chambre d'ami s'il le faut et si tu veux dormir sur le canapé, je peux rester et veiller. Voilà que le chien de garde se réveille. Après tout, n'a-t-il jamais été autre chose que le chien fidèle du Coeur. Un loup bien dressé, donnant la patte quand il le fallait et montrant la dentition blanche à l'Ordre pour montrer que le plan se déroulait à la perfection. Il y croyait. Dur comme fer. En son maitre comme en ses idées. Fais juste attention à ta bestiole. Povrebine est chasseur et je ne voudrai pas qu'il le dévore. Le flereur, planqué dans un coin, comme d'habitude. L'animal sortirait les crocs à peine hostilité découverte ou proie a porté. Tout occupé par ses pensées, il en oublie même de préciser ce qu'est la bête.
Aucun soupir ne lui échappe suite à ses mots. Il met en place la protection, se lève, observe la fenêtre. Pas de lumière, du moins il croit. Il attrape ses lunettes sur le bureau. La vision des loups, mauvaise, aggravée par l'age. Les ténèbres lui répondent. Sa baguette, remise à sa place, frisonne pourtant. Ils ne l'ont certainement pas suivi. Mais la prudence est cruelle.
Les iris reviennent à lui. Moins effrayés. Y trône toujours un sentiment qu'Alekseï ne connait que trop bien. Il l'a éprouvé pour sa meute. Il l'a éprouvé pour les siens. Même pour lui, alors que sonnait le feu et que s'agaçait la violence, quand le sang recouvrait la neige grise de la capitale. La peur ne s'éloigne jamais réellement quand elle a fait son nid. Gros chat, elle ronronne en attendant sagement, d'une patience proverbiale. Lui se fait chien, près à l'arracher de son coussin paisible.
Medici donc. Le nom qu'Auguste avait déjà offert. Les italiens, s'il n'oubliait pas. Les fastueux, irrespectueux et certainement pas nobles imbéciles se croyant rois.
Il le ressert. Habitude que de boire ensemble ? Alekseï refuse. Il est toujours maitre de son esprit et de ces actes. Perdre le contrôle signifie le danger. Pour lui. Pour la Russie.
блять (putain) L'injure est soupirée alors que les doigts du russe viennent agripper son nez. Ils ne t'auront pas suivi jusqu'ici. Je le sentirais. A quoi bon mentir; Ses grognements et ses reflexes d'animaux ont largement suffit à valider les suppositions d'Auguste. Au pire aura-t-il fait jouer ses contacts pour savoir la vérité. Januszew est un garou. La belle affaire. Reste là pour la nuit. J'ai une chambre d'ami s'il le faut et si tu veux dormir sur le canapé, je peux rester et veiller. Voilà que le chien de garde se réveille. Après tout, n'a-t-il jamais été autre chose que le chien fidèle du Coeur. Un loup bien dressé, donnant la patte quand il le fallait et montrant la dentition blanche à l'Ordre pour montrer que le plan se déroulait à la perfection. Il y croyait. Dur comme fer. En son maitre comme en ses idées. Fais juste attention à ta bestiole. Povrebine est chasseur et je ne voudrai pas qu'il le dévore. Le flereur, planqué dans un coin, comme d'habitude. L'animal sortirait les crocs à peine hostilité découverte ou proie a porté. Tout occupé par ses pensées, il en oublie même de préciser ce qu'est la bête.
Aucun soupir ne lui échappe suite à ses mots. Il met en place la protection, se lève, observe la fenêtre. Pas de lumière, du moins il croit. Il attrape ses lunettes sur le bureau. La vision des loups, mauvaise, aggravée par l'age. Les ténèbres lui répondent. Sa baguette, remise à sa place, frisonne pourtant. Ils ne l'ont certainement pas suivi. Mais la prudence est cruelle.
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(#) Re: Il y a toujours des conséquences
missive rédigée par Auguste Lestrange leLe verre s’emplit à nouveau, pour se vider tout aussi vite. Auguste n’a aucun doute sur sa capacité à encaisser et l’alcool est un solide remède pour ses nerfs vacillants. Il doit tenir, même ici. Si Alekseï est suffisamment généreux pour ne pas lui claquer la porte au nez, cela ne signifie pas qu’il doive se laisser aller, quand bien même il crève d’envie de le faire. Et pourtant, il ne peut empêcher le soulagement de lui trancher les fils dès que la voix du bolchévik affirme qu’il ne laissera pas ses hypothétiques poursuivants l’avoir, ses épaules frémissant un bref instant avant que sa silhouette ne se voûte légèrement.
“Bol'shoye spasibo Merci beaucoup.”
D’une main étrangère qu’il passe sur son visage, Auguste pince l’arrête du nez, espère faire refluer l’intense étaux qui lui serre les tempes. Sa dextre tremble toujours, trahissant la tension latente. Il ne réagit pas, à la mention de ses sens, s’est depuis longtemps fait une idée précise d’Alekseï et de ce qu’il est. Une raison de plus pour être venu ici plutôt qu’ailleurs. On ne s’attaque pas impunément à un ambassadeur, mais encore mois à un lycanthrope. Un autre verre ne lui fera décidément pas de mal, mais avec sa décente actuelle, il va peut-être devoir rembourser la réserve de vodka de son hôte.
“Tu n’es pas mon…”
Il s’arrête, interdit, l’observe attentivement, troublé et cherchant ses mots. Tu n’es pas mon chien, eut-il voulu dire, mais les implications de cette réaction sont bien trop nombreuses et complexes pour sa capacité émotionnelle immédiate, alors à la place, il se rembrunit, hésite avant d’opiner légèrement du chef, expirant lentement.
“Спасибо. Я не уверен, что смогу заснуть. Merci, même si je ne vais probablement pas réussir à dormir.”
Nouveau passage de la main sur son visage, trop fin, trop étroit. Lorsque son bras retombe, il attrape au vol l’éclat de son reflet dans une surface vitrée. Pâle, les yeux cernés, échevelés. Les traits lui rappellent ceux de sa cousine, Lucilla. Par pur réflexe, et pour occuper ses mains maintenant que le verre est vide, il le repose et entreprend d’offrir un semblant d’ordre à cette longue crinière dont il est contraint de retirer des feuilles, des brindilles et des morceaux de roches. La tâche, mondaine, lui permet de rassembler ses esprits, d’essayer de retrouver un fil cohérent.
“Все должно быть хорошо, оно принадлежит Арсену Ca devrait aller, elle appartient à Arsène.”
Même si, après cette soirée, Jean-Eustache doit davantage sentir comme lui que comme son véritable maître. Libérant une de ses mains, il vient percher le Niffleur sur ses genoux, puis reprendre son ouvrage, faisant disparaître les débris dans sa poche sans fond pour éviter de salir davantage l’appartement d’Alekseï. Et tandis que celui-ci observe par la fenêtre, guette, peut-être, Auguste plonge dans le silence, ses mains allant et venant pendant de longues minutes, tandis que sa respiration achève de s’apaiser, que la tension le quitte et qu’implacablement, les pensées reviennent, le rongeant.
“Как это было ? Comment était-ce ?” glisse-t-il finalement, le regard toujours rivé face à lui. “Что ты почувствовал, когда впервые убил кого-то? Qu’as-tu ressentis, la première fois que tu as tué quelqu’un ?”
Sa voix s’échoppe sur le mot, ses mains s’immobilisent tandis qu’il ferme brièvement les yeux, la culpabilité piquant son coeur maintenant que la rage impuissante et la haine l’a quitté, incapable même de comprendre comment il en est arrivé à ressentir de telles émotions.
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(#) Re: Il y a toujours des conséquences
missive rédigée par Alekseï Dzerjinski leConséquences
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Thème | Mon ? Le mot s'interrompt. Bien sur. Alekseï ne le relève même pas. Ses sens sont tournés vers l'extérieur, vers les réactions du flereur. Il est silencieux, comme la mort, lançant à Auguste le temps de s'adapter. L'absence de l'adrénaline dans les veines peut faire mal. Comme une redescente de morphine, offrant parfois une addiction. La peur ne le fait pas pourtant et si le souffle, lentement, s'apaise, Alekseï reste aux aguets. Espérant que la potion finisse par enfin s'atténuer. Il n'aime pas avoir des étrangers chez lui. Il n'aime pas avoir des gens chez lui. Cette femme n'arrive pas à trouver la grace d'Auguste à ses yeux et si elle s'exprime comme lui, elle fleure trop différemment.
Appartient à Arsène. Bien sur. N'était-ce le frère même de son Alpha qui possédait un petit elevage de ces créatures de malheur ? Alekseï aimait les croups des d'Apcher. Il n'avait pas vraiment d'affecte pour les fouineurs et voleurs. Les niffleurs étaient, à ses yeux, identiques aux castors : des nuisibles. Dans la nature, les nuisibles étaient éradiqué quand ils proliféraient trop. Alekseï était homme de secret. Les créatures au pelage brun n'en laissait aucun en vie.
La question suivante le surprends, attire son regard sur la silhouette féminine. Que c'est-il passé d'autre, dans cette soirée maudite. Alekseï ne connait pas les italiens. Tout au plus a-t-il entendu parler de l'Antre des Naufragés, sans jamais daigner s'y rendre. On ne fricote pas avec ce genre de lieu quand on a des choses à se reprocher. Il n'aurait de toute manière pas eu d'entrée. La violence n'était, à ses yeux, pas un amusement. Elle était réservée pour l'horreur et lui ne se tachait les mains que pour les siens. Le faire gratuitement avait un goût bien trop aigre.
Kazhetsya, menya vyrvalo. Je crois que j'ai vomi. Je crois. Bien sur que non. le souvenir était imprégné dans la chair jusqu'à la corde. Acide. Cruel. Violent. Eto byla voyna. C'était la guerre. Comme s'il avait besoin d'une excuse. YA pochuvstvoval oblegcheniye. Eto byl on ili ona. YA spas svoyego, lishiv zhizni. Po krayney mere, na etot raz ya byl vinoven lish' napolovinu. Muzhchiny delayut uzhasnyye veshchi. Vazhno prosto pomnit', chto my delayem eto ne radi razvlecheniya. J'ai ressenti du soulagement. C'était lui ou elle. J'ai sauvé les miens en prenant une vie. Au moins, cette fois, ne fus-je qu'à moitié coupable. Les Hommes font des choses horribles. L'important est seulement de se souvenir que nous ne faisons ça par plaisir.
Le premier en défense. puis tous les autres. puis les iris claires des enfants Romanov qui ne le quittent pas. Puis le souffle de Roksana qui s'étouffe dans sa poitrine après qu'il frappe, alors qu'il explosait son visage. Chacun était marqué, profondément, dans ces chairs. Chacun avait boursoufflé pour toujours le reflet de son âme. Excuse après excuses, il s'était pourtant forgé dans le sang.
Et les souvenirs affluaient quand Alekseï les arrêta nette. Culpabiliser ne menait qu'à la mort. Culpabiliser ne servait à rien et ne ramènerait, jamais ceux qu'il avait pu tuer. Toujours avec une raison, une raison valable. Qu'il se convainquait. Pour ne pas devenir fou.
Ne perefraziruyte eto. Vy by soshli s uma. Smert' – eto ne prekrasnaya veshch'. Chelovechestvo — ne prekrasnaya veshch'. No inogda u nas net vybora. My dolzhny deystvovat'. Ne ressasse pas ça. Tu deviendrais fou. La Mort n'est pas une belle chose. L'Humanité n'est pas une belle chose. Mais parfois, nous n'avons pas le choix. Il faut agir.
Mots de soldats. Education de soldat. On ne compte plus les cadavres pour une Révolution. Et Alekseï avait les mains plus couvertes de sang qu'il ne voudrait jamais l'avouer.
Appartient à Arsène. Bien sur. N'était-ce le frère même de son Alpha qui possédait un petit elevage de ces créatures de malheur ? Alekseï aimait les croups des d'Apcher. Il n'avait pas vraiment d'affecte pour les fouineurs et voleurs. Les niffleurs étaient, à ses yeux, identiques aux castors : des nuisibles. Dans la nature, les nuisibles étaient éradiqué quand ils proliféraient trop. Alekseï était homme de secret. Les créatures au pelage brun n'en laissait aucun en vie.
La question suivante le surprends, attire son regard sur la silhouette féminine. Que c'est-il passé d'autre, dans cette soirée maudite. Alekseï ne connait pas les italiens. Tout au plus a-t-il entendu parler de l'Antre des Naufragés, sans jamais daigner s'y rendre. On ne fricote pas avec ce genre de lieu quand on a des choses à se reprocher. Il n'aurait de toute manière pas eu d'entrée. La violence n'était, à ses yeux, pas un amusement. Elle était réservée pour l'horreur et lui ne se tachait les mains que pour les siens. Le faire gratuitement avait un goût bien trop aigre.
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Et les souvenirs affluaient quand Alekseï les arrêta nette. Culpabiliser ne menait qu'à la mort. Culpabiliser ne servait à rien et ne ramènerait, jamais ceux qu'il avait pu tuer. Toujours avec une raison, une raison valable. Qu'il se convainquait. Pour ne pas devenir fou.
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(#) Re: Il y a toujours des conséquences
missive rédigée par Auguste Lestrange leIl y a un voile, à présent, sur les prunelles océanes, l’aveux d’une barrière de décence brisée. L’expression, sur les traits empruntés, est grave et hâve. Vomir, oui, cela lui semble être une réaction parfaitement logique, même en pleine guerre, et Auguste ne cherche pas un instant à savoir si on lui ment. Pourquoi n’est-il pas malade, lui ? Coupable, ça oui, il se sent coupable mais ce qui broie son coeur semble incapable de quitter le carcan de celui-ci. Il cherche pourtant, Auguste, aussi loin qu’il le peut, ou l’ose, mais rien. Et cette seule constatation l’angoisse davantage encore. Soulagement, nausée, il eut pris n’importe quoi plutôt que de se sentir comme une poupée désarticulée.
“Я чувствую себя виноватым. Вот и все. Je me sens coupable. C'est tout.”
Au fond, ce n’est pas assez. Son regard choie sur ses mains, celles qui ont tenues la baguette. Comment sa culpabilité eut-elle été suffisante ? Lui n’a pas agi lors d’une guerre. Il n’a pas agi par besoin, par choix binaire, tué ou être tué, il eut pu le paralyser, l’aveugler, le ligoter même, le contrôler... Il a choisi de le tuer. Délibérément. Se sentir coupable est tout naturel, c’est le moins qu’il puisse ressentir. Le moins. Qu’avait fait cet homme, pour l’emplir d’une telle haine, d’une rage si violente qu’il décide de prendre sa vie ? Il s’en souvient. Les images sont gravées dans sa mémoire. Vivide. Mais il a été son juge, juré et bourreau, il s’est adjugé la sentence.
Et sur l’instant, il en a exulté. La voix d’Alekseï s’élève à nouveau, semblant deviner ses pensées. Attire un regard devenu fuyant. Ne pas ressasser. Aisé à conseiller, mais qu’en est-il de le mettre en pratique ? Il voit la scène se jouer sous ses yeux, il s’entend prononcer le sort. Peut presque sentir l’abomination sur sa langue. Lui a eu le choix. Pas uniquement de mettre fin à ses jours, mais également d’user de la magie noire. Lui qui jusqu’à présent aura pu affirmer n’y avoir jamais toucher a désormais l’âme souillée. Et encore maintenant, je pense à mon salut plutôt qu’à l’homme que j’ai tué. Peut-être est-il bien aussi égoïste qu’on peut le prétendre.
“И как уберечь их призраки? Et comment tiens-tu leurs spectres éloignés ?”
Il baisse légèrement la tête.
“Он даже не был чистым... Ce n'était pas même propre... ”
Le silence retombe entre eux, inconfortable et Auguste ferme un bref moment les yeux, avant de se relever, les jambes encore flageolantes. Jean-Eustache, lui, reste installé dans le fauteuil tandis qu’Auguste tente, une fois les débris retirés de ses cheveux, de soigner les griffures et les contusions les plus bégnines qu’il a subi. Là encore, le soin et l’attention dévient temporairement son esprit de ce qui l’occupe désormais. Lui n’est pas un soldat mais un jeune homme de bonne famille à qui on a toujours épargné une rencontre aussi fracassante avec le pire de l’humanité, bien qu’il en eût déjà eu des aperçus, au cours de ses voyages.
Lorsqu’il se redresse, ses épaules faiblissent sous le poids du vide qu’il se refuse à observer. Sa mire trouve la haute silhouette d’Alekseï, découpée dans la lueur extérieure, pâle, s’y accroche. Il déglutit brièvement, expire, décidé à ne plus céder à la panique comme à son arrivée. Il hésite, lui, à court de mots ! Mais c’est en fin de compte par respect qu’il en vient à s’exprimer, pour ne pas laisser Alekseï avec des bribes d’explications décousues alors qu’il risque peut-être sa vie en choisissant de l’héberger. Il lui doit au moins de comprendre clairement dans quoi il a mis les pieds avec lui, même si cela signifie finir de nouveau dehors.
“Nos familles sont ennemies, nous, les Lestrange et les De Medici. C’est ainsi depuis des générations, mais la chose a pris un tournent violent depuis que mon père a été anobli par le roi, puis qu’il a eu une liaison avec la femme d’un Medici.”
Observant toujours Alekseï, Auguste ne laissa s’écouler qu’un instant, avant de poursuivre.
“L’époux de cette femme le défia en duel, et y perdit la vie. Après ça... Personne n’a réellement été tout à fait en paix. J’étais encore enfant quand ils ont envoyé pour la première fois des hommes de mains pour nous enlever, probablement pour nous tuer. Si Alaric n’avait pas été là je...”
Il n’eut été qu’une victime de plus, sans Alaric, qui l’a finalement payé de sa vie bien des années après.
“Et il n’est pas le seul. Des deux côtés, il y a eu des morts. Parfois, c’est une certitude, parfois un soupçon. Mon père a toujours cherché à me tenir éloigné de ces affaires, comme mon frère cadet, mais pas Alaric. Je souhaitais trouver des preuves que Lorenzo de Medici a ordonné le meurtre de mon frère...”
Et si c’est le cas ? A présent qu’il est confronté à la réalité de la violence entre leurs deux familles, Auguste n’est plus du tout certain de l’objectif de sa quête. Savoir, uniquement savoir ? Ou est-ce qu’il désire plonger tête la première dans cet univers de violence dont Crépus l’a épargné. Est-ce que lui aussi ira tuer des Medici pour venger Alaric, si Lorenzo est bien responsable ? Est-ce qu’il veut réellement tuer à nouveau ? Il n’en a aucune idée, pour l’heure, interdit devant la propre somme de son ignorance.
“Je ne pouvais pas risquer de mener de possibles poursuivants jusqu’à la demeure de ma famille, ça aurait été une excuse en or pour eux. Mais je peux repartir, je... ne désirais pas t’instrumentaliser. La potion devrait cesser de faire effet bientôt, ça ne devrait plus tarder.”
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Thème | Culpabilité qu'il n'a même besoin d'exprimer tant elle coule du moindre pore de sa peau. Alekseï n'est pas homme d'empathie. Il l'a muselé pour la faire terre, l'enfouir sous terre et ne plus jamais la laisser surgir. Mais face à cette femme, qui parle comme son ami, de ce russe parfait, il ne peut s'empêcher d'en ressentir. Dernier regard à la fenètre avant de se rapprocher. De resservir de la vodka.
Tem luchshe, yesli vy pochuvstvuyete sebya vinovatym. Eto to, chto otlichayet monstrov ot lyudey.. Tant mieux que tu culpabilises. C'est ce qui différencie les monstres des Hommes..
Il relève les manches de sa chemise, dévoilant les cicatrices qui en couture la peau. Alekseï n'est pas beau torse nu. Son corps a subit les dommages de la guerre, de la mort, du froid et des loups. Il a détruit sa chair à traquer des fantomes en Sibérie. Il a encaissé des balles et des coups de couteau. Il fut fils de l'aristocratie : il est devenu enfant de la Révolution. Et cette mère n'est pas douce, pas même aimante. Cette mère est violente.
Sergueï. Piotr. Nicolas. Marie. Olga. Atenïa. Franz. David. Jack. Antoine. Il énumère en remontant les cicatrices sur ses doigts; Faites de main d'homme. Il y a plus de traces que de prénoms dits. Il n'irait pas jusqu'à offrir Roksana et tant et tant d'autre. Certain dont il ne connaissait même l'identité. Ikh prizraki nikogda ne za gorami. Oni soprovozhdayut kazhdyy moy shag. Leurs spectres ne sont jamais éloignés. Ils accompagnent chacun de mes pas. Il soupire, remet sa chemise en place. I v svoikh vospominaniyakh ya ne imeyu prava ikh zabyt'. Et en leurs mémoires je n'ai aucun droit de les oublier..
Il boit son propre verre, cul sec. Ses yeux ne se goinfrent d'aucun peine. A peine le souffle d'un fantome dans le bleu.
Reste ici. Je n'ai que faire que des italiens viennent fureter chez moi. Je suis slave. Nous ne sommes pas fait du même bois que vous. Aucun orgueil. Juste une certitude. Le froid construisait les hommes d'une autre manière. La guerre n'est pas déclarée, Auguste. Tant qu'ils ne savent pas que c'était toi, tu n'as rien à craindre. Les russes et les italiens ne sont pas réellement en bon terme. Je suis ambassadeur de mon pays, après tout. Il pourrait y avoir mille raisons que j'envoie un espion chez eux, mille autre que les querelles entre vos familles.
Jamais il n'évoque la paix, lui ardant partisans de la fin pour justifier le début. La paix était une fable de bourgeois. La véritable fin n'arrivait qu'à la mort d'un des deux parties. La Révolution avait réussi car ils avaient achevé l'empire d'une balle dans la tête de Nicholas et si les filles furent protégées par les diamants, elles tombèrent comme les autres.
Va prendre une douche. L'eau te fera du bien et lavera tes mains.
Parce que le sang tâche et le sang colle.
Mais c'est surtout l'âme qu'il salie.
Tem luchshe, yesli vy pochuvstvuyete sebya vinovatym. Eto to, chto otlichayet monstrov ot lyudey.. Tant mieux que tu culpabilises. C'est ce qui différencie les monstres des Hommes..
Il relève les manches de sa chemise, dévoilant les cicatrices qui en couture la peau. Alekseï n'est pas beau torse nu. Son corps a subit les dommages de la guerre, de la mort, du froid et des loups. Il a détruit sa chair à traquer des fantomes en Sibérie. Il a encaissé des balles et des coups de couteau. Il fut fils de l'aristocratie : il est devenu enfant de la Révolution. Et cette mère n'est pas douce, pas même aimante. Cette mère est violente.
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Reste ici. Je n'ai que faire que des italiens viennent fureter chez moi. Je suis slave. Nous ne sommes pas fait du même bois que vous. Aucun orgueil. Juste une certitude. Le froid construisait les hommes d'une autre manière. La guerre n'est pas déclarée, Auguste. Tant qu'ils ne savent pas que c'était toi, tu n'as rien à craindre. Les russes et les italiens ne sont pas réellement en bon terme. Je suis ambassadeur de mon pays, après tout. Il pourrait y avoir mille raisons que j'envoie un espion chez eux, mille autre que les querelles entre vos familles.
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(#) Re: Il y a toujours des conséquences
missive rédigée par Auguste Lestrange leSes yeux fixent le plafond blanc, lisse et impersonnel, sans rien en voir, l’esprit toujours encombré par les évènements de la soirée, et à présent, par sa discussion avec Alekseï. Du silence troublé de la salle de bain, il n’entend rien, pas plus que du bruit de l’eau, ou du distant son d’une automobile passant dans la rue en bas. Dans ses oreilles et dans son esprit, Auguste repasse les séquences en boucle, comme les bobines de films de sa sœur Aliénor, à l’Imaginarium. Déjà, leur ordre lui semble erroné, leur contenu tronqué, le résultat de son attention, de ses points d’accroche. Il lui semble avoir quelque chose au bout de la langue sans réussir à le formuler. La sensation noue son ventre désagréablement, élançant ses nerfs à la vigueur émoussée par l’intensité des émotions vécues jusque-là.
Dans ses oreilles résonnent les menaces de Lorenzo et de son molosse, la voix qu’il a empruntée énonçant le sort mortel, la liste des noms prononcée par Alekseï. Les mots qu’il lui a adressés. Quelque chose ne va pas. Impossible de mettre le doigt dessus. Ou peut-être est-ce l’idée de vivre à jamais avec ce spectre penché au-dessus de son épaule. Il veut oublier, quand bien même est-ce égoïste, quand bien même est-ce impossible. La lueur dans les yeux de cet homme lui reste encore, son regard à l’instant où il a compris qu’il est mort.
L’eau coule, tiède, chasse une part de la fatigue, chasse la sueur et le sang, comme s’ils n’avaient jamais existé. Son corps a repris ses formes usuelles, terrain connu, moins aliénant. Quelque part, pense-t-il presque distraitement, je peux peut-être oublier. Pas son corps. Pas sa voix. Sa baguette certes, la baguette d’ébène sans ornement aucun, simplement bien entretenue, si différente de celles des autres nobles. Il peut oublier, s’il essaie vraiment, s’il y met tout son coeur. Mais il ne le fera pas. Peut-être est-ce cela qui ne va pas.
Une fois complétement lavé, Auguste se sèche, tire de la poche sans fond de quoi se rhabille, en homme cette fois, dignement. L’idée que son apparence eut été à demi-nue dans les restes de sa robe de bal sous les yeux du bolchévik l’embarrasse mais impossible d’y rien changer. Il se recoiffe, sobrement, observe un instant son reflet dans le miroir du lavabo. Immobile, il ressasse, encore, traits dénués d’expression, à moins que l’épuisement et l’apathie n’en soient. Jean-Eustache gratte légèrement son pantalon, essayant d’attirer son attention.
Le temps s’étire, s’efface. Et puis il se détourne. Ramasse le Niffleur, sa baguette. Repasse sa chevalière et fait disparaître les restes de la robe dans son autre poche sans fond, celle de sa veste. Il revient dans le salon, qui tient aisément dans la cuisine du grand manoire parisien appartenant à sa famille. Cherche Alekseï du regard. Le Niffleur s’agit un peu, contre son bras. Il le repose sur le fauteuil qu’il a occupé plus tôt, s’approche du slave, lentement, le regard fixe. Lorsqu’il s’arrête enfin, dans cet étrange silence gorgé de connaissances autant que de non-dits, Auguste reste encore incertain. Il prend sa mesure, celle de ces cicatrise qu’Alekseï lui a montré, des noms qu’il a donnés, presque comme une offrande, une vulnérabilité en échange de la sienne.
“Nikolaï est legilimens. Mais pas juste légilimens, il est... il ressent les émotions.”
Son regard vacille, puis s’échappe. Ses nerfs réclament leur dû, doigts qui viennent chercher la blague à tabac.
“Si ça ne te dérange pas,” demande-t-il en l’indiquant, ne sachant que trop bien la sensibilité des lycanthropes.
Un bref instant, le silence s’installe de nouveau. Un bref instant seulement.
“... Ce n’est pas mon meilleur ami, Alekseï.”
Son regard le trouve de nouveau. Cette fois, il ne vacille plus.
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(#) Re: Il y a toujours des conséquences
missive rédigée par Alekseï Dzerjinski leConséquences
ft Auguste Lestrange
Thème | Auguste a obéit et si Alekseï a chastement détourné les yeux devant son corps de femme, c'est qu'il n'est pas réellement homme à s'intéresser à la chair. Il a allumé en cigarette, ouvert la fenêtre. Ses pensées roulent et questionnent, cherchent le lien entre les Lestrange et les Medici. Les Italiens sont des fous. S'attaquer, de plein fouet, à des membres d'une des familles les plus puissantes de France est suicidaire. Lorenzo de Medici. Le nom roule comme un souvenir. Auguste semble le craindre. Sur le rebord de la fenêtre, la senestre serre un peu trop fort. Son ami a fait une erreur, une erreur qui, il l'espère, n'aura pas trop de conséquences. Pas de quoi déclencher une guerre. Il cherche ce qui aurait pu le compromettre. Qu'est-ce qu'il a pu laissé, du polynectar ? A-t-il attaqué avec sa baguette ? La femme, dont il a pris l'identité. Où est-elle ? Peut-elle parler ? L'agent des renseignements a bien trop l'habitude de cette vie de secret et, pire que tout, il sous estime souvent les autres. Persuadé que seule l'URSS peut former des agents efficaces et près à tout. Qui a-t-il de mieux, après tout, pour un gouvernement que des gens profondément embrigadés et patriotiques ?
Povrebine sort de sa cachette, vient se frotter contre son maitre. Les longs poils de ses oreilles chatouillent le nez du sorcier alors que le flereur offre une caresse de son museau. C'est sur l'épaule du maitre qu'il s'installe, ronronnant, observant l'extérieur. Sa tête, à intervalles réguliers, se blottie dans la nuque. Jusqu'à ce que les griffes sortent et qu'il s'évanouisse, à l'arrivée d'Auguste. L'animal est sauvage. Le niffleur le fait fuir plus encore.
Un signe de tête pour offrir l'affirmation de la cigarette. La fenêtre est, de toute manière, toujours ouverte. Le froid s'y engouffre. Octobre est chaud en France. Alekseï lui en demande une, toujours sans parler. Le visage est de nouveau fermé. Les yeux n'observent que rarement Auguste, tout bercé par les lumières de Paris.
L'interrogation s'y installe pourtant, quand ils reviennent vers Auguste. Que vient faire Nikolaï ici ? L'information est pourtant capitale. Vitale même. Le Romanov lit dans les pensées et les âmes. Il devinera, aisément, ce que veut lui faire Alekseï. En a-t-il trop dit, qu'Auguste offre des secrets comme s'il avait lui-même confié quelque chose d'immense ? Qu'il ait tué la famille royale n'en est pas réellement un. Il est bolchevik. Ils ont tous tué la famille royale. Peut-être pas comme lui. Peut-être pas de sang froid quand l'ordre était jeté comme une évidence. Ils les avaient abattu comme des vaches menées à l'abattoir. Mais les vaches ne résistaient pas avec des diamants, elles.
Et s'il cherche, cherche et cherche, il ne trouve nulle possibilité à sa réponse.
Pourquoi tu me dis ça, Auguste ?
Je ne vois pas le rapport.
Oh si, bien sur que si. Mais il préférait l'entendre de ces propres mots. De sa propre bouche. Tout plutôt que des suppositions.
Povrebine sort de sa cachette, vient se frotter contre son maitre. Les longs poils de ses oreilles chatouillent le nez du sorcier alors que le flereur offre une caresse de son museau. C'est sur l'épaule du maitre qu'il s'installe, ronronnant, observant l'extérieur. Sa tête, à intervalles réguliers, se blottie dans la nuque. Jusqu'à ce que les griffes sortent et qu'il s'évanouisse, à l'arrivée d'Auguste. L'animal est sauvage. Le niffleur le fait fuir plus encore.
Un signe de tête pour offrir l'affirmation de la cigarette. La fenêtre est, de toute manière, toujours ouverte. Le froid s'y engouffre. Octobre est chaud en France. Alekseï lui en demande une, toujours sans parler. Le visage est de nouveau fermé. Les yeux n'observent que rarement Auguste, tout bercé par les lumières de Paris.
L'interrogation s'y installe pourtant, quand ils reviennent vers Auguste. Que vient faire Nikolaï ici ? L'information est pourtant capitale. Vitale même. Le Romanov lit dans les pensées et les âmes. Il devinera, aisément, ce que veut lui faire Alekseï. En a-t-il trop dit, qu'Auguste offre des secrets comme s'il avait lui-même confié quelque chose d'immense ? Qu'il ait tué la famille royale n'en est pas réellement un. Il est bolchevik. Ils ont tous tué la famille royale. Peut-être pas comme lui. Peut-être pas de sang froid quand l'ordre était jeté comme une évidence. Ils les avaient abattu comme des vaches menées à l'abattoir. Mais les vaches ne résistaient pas avec des diamants, elles.
Et s'il cherche, cherche et cherche, il ne trouve nulle possibilité à sa réponse.
Pourquoi tu me dis ça, Auguste ?
Je ne vois pas le rapport.
Oh si, bien sur que si. Mais il préférait l'entendre de ces propres mots. De sa propre bouche. Tout plutôt que des suppositions.
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(#) Re: Il y a toujours des conséquences
missive rédigée par Auguste Lestrange leIl sait, lorsqu’il offre l’information. Il sait combien elle est précieuse. Il sait ce qu’elle peut représenter. Alors… Pourquoi est-ce qu’il l’offre ? Cette même question en écho d’entre les lèvres d’Alekseï, comme s’il eut lui-même pu épier ses pensées. Une bonne question, très certainement. Et Auguste en contemple les nuances d’une réponse qui n’existe pas encore, pas totalement. Il tire sur sa cigarette, la même que celle offerte au bolchévik, laisse la nicotine achever les sursauts de ses nerfs. Alekseï a raison, ici, ils ne viendront pas, et que vont-ils donc penser ? Qu’Allegra est une espionne russe ? Ils n’en auront certainement que faire, rien ici ne les intéressera.
Alors Auguste expire la fumée prégnante, approche le cendrier et y verse le rebut tombé, gestes simples qui ancrent l’instant. Pourquoi est-ce qu’il lui a révélé cela ? Un aveu pour un aveu ? Peut-être. Cela semble de circonstance. Mais c’eut été mentir que d’affirmer qu’il s’agit de la seule raison qui le motive. Et si Auguste est bien des choses, il n’est pas un menteur.
“Parce que tu le croiseras.”
C’était inévitable.
“Parce qu'ici, c’est sa parole qui fera foi et pas la tienne.”
C’était une certitude.
“Parce que c’est un homme manipulateur et qu’il sait comment user de ce qu’il sait des autres. Et parce que je ne veux pas que tu fasses la même erreur que moi.”
La cigarette revient à ses lèvres, et il observe Alekseï. Encore. Est-il vraiment un simple ambassadeur, cet ancien soldat qui semble ne trembler devant aucune menace ? Ou bien tout autre chose ? Auguste sait qu’il se laisse trop aisément approcher, qu’il eut mieux fait de garder ses distances, quitte en cette nuit à risquer la guerre, se montrer plus méfiant envers lui. Mais il ne l’a pas fait.
“Je t’en dois une. Pour ton aide.”
Un instant passe, le silence en toute ponctuation de ses mots.
“Je dois prévenir Arsène, au sujet des Medici. Si tu peux te libérer, veux-tu m’accompagner ?”
La famille Lestrange n’est pas la seule qui a maille à partir avec les italiens. Le Baron du Gévaudan a perdu son père par leur faute, et il est un allié précieux qui voudra certainement connaître les informations que les documents qu’il a pu arracher au bureau de Lorenzo contiennent. Et après l’aide providentielle d’Alekseï, il est bien naturel de lui proposer de faire partie du voyage. Il est, aux dernières nouvelles, membre de la meute du Gévaudan. S’accrocher aux éléments pragmatiques de cette nuit lui semble la seule forme de contrôle qu’il peut encore posséder, la seule manière d’exorciser ce qui rampe dans ses pensées.
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