[Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
(#) [Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
missive rédigée par César de l'Ours leDe l'Ours
Un nom de légende oublié sous une fine couche de poussière. Un nom qui jadis résonné autour du feu lorsqu'on racontait des contes de fée aux enfants. Un nom donné à leur ancêtre par le petit peuple. Les de l'Ours sont encore là et ils sont bien réels, des gens comme vous et moi : humain.Jean-Henry "César"
Dans la famille de l'Ours, on suit les traditions local moldu ainsi qu'une tradition familiale. Dans les Landes moldu, tout le monde possède un nom de baptême et un nom usuel. Le nom de baptême est utilisé uniquement administrativement, le reste du village vous connaissez par un autre nom. Jean-Henry se présente donc toujours comme César de l'Ours. Son nom de baptême reste entre lui et Dieu, et la bureaucratie.Les de l'Ours honorent leur ancêtre Jean de l'Ours qui fut ainsi baptisé en baptisant leur fils avec un nom composé commençant par Jean.
Naissance
24 février 1883. Né sous le signe du poisson, César à aujourd'hui 44 ans.Parents
Jean-Mathieu “Honoré” de l'Ours de sang-mêlé et Marie-Magdalaine “Albanie” Lasserre née moldu sont les fiers parents de César.Ils ses sont rencontraient sur les bancs de l'école. Albanie est guérisseuse en chef à l'hôtel-dieu.
Comme une grande part des de l'Ours avant lui, Honoré est chargé de liaison avec les créatures humanoïdes au ministère de la magie.
Nature du sang
Les de L'ours ont toujours était une famille de sang-mêlé et César n'y déroge pas. Qu'importe le sang, ce qui compte, c'est le caractère ! Si vous n'êtes pas oisif et savez traiter les gens avec respect, vous serait toujours bien accueilli à la table des de l'Ours.Situation matrimoniale
César un célibataire renfrogné. Il a dévoué le plus clair de son temps et énergie à son devoir. Aujourd'hui, il ne serait pas contre se trouver un partenaire, mais cela fait bien trop longtemps qu'il n'a pas joué cette danse et il est à présent habitué à son petit confort. César est homosexuel. La gent féminine ne lui a jamais fait ni chaud ni froid. Mais ne tenter pas d'en convaincre sa maman qui espère désespérément que son aîné se trouve un bon parti.Occupation
Fonctionnaire aux ministères des affaires magique, bureau de la préservation du secret magique. César est Chargé de liaison avec les créatures humanoïdes. À travers les siècles, il y a toujours eu un de l'Ours pour tenir ce poste.Scolarité
César fut éduqué en magie à Beauxbâtons où il fut un brillant élève. C'est dans la faction de la nuit qu'il trouva ses pairs.Composition baguette
Ce fier fils des Landes possède une baguette faite d’un bois d'acacia sombre. C'est un bois caractériel et très sélectif, appréciant les sorciers de talent. Le manche est sculpté comme si était fait d'uns entre-la de liane. A l'intérieur se trouve une Épine de monstre du Fleuve Blanc capable de produire des sortilège puissant et élégant. La baguette fait un fière 30 cm de longs, adéquats à la carrure de son propriétaire. Elle est mit-souple, se montrant quelque peu adaptable.- Spoiler:
Patronus
L'ours des Pyrénées est le Patronus de César. Ce grand mammifère calme, fier et sûr de lui est César tout entier.Epouvantard
C'est une peur très commune, rien d'extraordinaire en soit, mais monsieur en a bien honte. César est terrifié et déteste les clowns au plus haut point. Oui, oui, le grand monsieur tout velu a conservé sa peur enfantine. Que ce soit un comédien, une poupée ou même en peinture, la simple vue de cette abomination est assez pour lui donner la chair de poule.Amortentia
L'odeur d’une forêt de pins et la bruyère en fleur. Le vent iodé et un bon feu de bois. Une eau de cologne musqué et le romarin de son jardin.Particularité Magique
Ce sorcier de talent est devenu un animagus ours il y a 7 ans. Comme son patronus il prend la forme d'un ours des Pyrénées.Clotho
Ce vieux garçon a un tempérament calme de nature et il n'aime pas se prendre la tête. Il préfère les choses simples. César est patient et peut-être un peu trop. Il peut cependant être trop têtu pour son propre bien. Il aime son confort et peut difficilement être convaincu d'en sortir à moins d'être correctement alléché. Il préfère aller à la pêche et aller en randonnée en plein air plutôt que d'aller dans les clubs bruyants. Si dans sa jeunesse, il a pu être naïf envers le caractère des gens aujourd'hui, il est pleinement désabusé et blasé. César est toujours suivi par son fidèle compagnon : Lucie. Une jeune beagle au pelage clair. Il l'emmène partout, même au bureau.
Que pensez vous des moldus, et du fait que vous soyez obligés de vous cacher d'eux au quotidien ? Vaste question prise de tête… Certains sont juste con. Certains sont de brave et bonne personne. Juste des gens quoi. Mais si avant on pouvait ne pas s'en soucier… c'est de moins en moins le cas. Ils avancent, ils progressent et de plus en plus vite. Et la communauté magique ne doit pas ignorer cela. Car sinon un jour, les moldu nous prendront par surprise. Mais de là à les exterminer ou les mettre en esclavage… Faut pas exagérer quand même.
Quelle est votre opinion sur la famille royale magique de France ? Il est probablement mieux d'avoir un monarque avec une laisse autour du cou qu'un président incompétent. Suffit de regarder l'histoire moldu depuis qu'ils ont coupé la tête à leur roi, une vraie catastrophe. Au moins un monarque est formé à la tâche. Et temps mieux que ce soit une monarchie constitutionnelle. C'est bien d'avoir un contre pouvoir pour équilibrer tout ça. Quant à la reine… bouah… Pourquoi pas. On dirait juste qu'ils ont changé les règles qu'ils se sont eux même imposés, car ils ont failli à s'y tenir.
L'Aube Sorcière prend de l'ampleur, et Tarek Shafiq fait très souvent la une des journaux. Que pensez vous de cet homme ? Quel connard ce type. On n'a pas idée de dire des conneries pareilles. Certes, les choses doivent évoluer concernent le secret, mais de là à devenir des tyrans ? Quelle horreur. C'est le genre de connard qui dirait à ma mère qu’elle ne mérite même pas de travailler à l'hôtel-dieu ! Et elle est une des guérisseuses les plus dédiées et acharnées ! Aussi compétente voir même plus que n'importe quel sang pur ! Et abolir la monarchie constitutionnelle… Il peut bien se la fermer ce crétin..
(#) Re: [Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
missive rédigée par César de l'Ours le“Il était une fois, un homme et une femme mariés qui avaient une belle jeune fille. Ils habitaient tout près d'un bois où vivait un ours. Cet ours avait maintes fois remarqué la jeune fille et elle lui avait plu. La méchante bête guettait toujours cette jeune fille et ne savait comment faire pour l'enlever.
Un jour ou elle étendait le linge et où ses parents étaient partis au bourg, la bête se cacha derrière une haie. Quand la jeune fille s'approcha, la bête sortit du fourré, la saisit et l'emporta au fond de sa tanière.
La pauvrette croyait sa dernière heure arrivée ! Mais elle eut beau crier et pleurer, il n’y avait personne pour l'entendre. La jeune fille avait grande peur de la bête, mais l'ours faisait tout son possible pour la consoler, et il lui donnait tout ce qu'il pensait pouvoir lui faire plaisir. Quand elle se vit traitée ainsi, la peur lui passa un peu : et si bien qu'elle eut un enfant de l'ours. Cet enfant était fort beau, mais velu de la tête aux pieds comme son père. L'ours apportait du dehors toutes les provisions nécessaires, et la femme ne sortait jamais de la caverne. Quand il partait, il fermait l'entrée avec une grosse pierre.
Quand l'enfant eut dix ans, il était déjà fort et robuste comme son père. Un jour que l'ours était sorti, il s'approcha de la pierre et essaya de la remuer. Il n’y parvint pas. Au bout de deux ans, un jour que l'ours était encore absent, son fils essaya de faire bouger la pierre ; d'un coup d'épaule, il la renversa. Alors, il dit à sa mère :
— Maman, il ne faut plus rester ici, il nous faut retourner chez toi.
— Mais, mon fils, lui répondit la femme, si ton père l’ours nous rattrape, nous sommes morts.
— Non, non, nous nous cacherons si bien que l'ours ne nous verra pas.
Et ils s'échappèrent tous deux. À force de marcher, et de marcher encore, ils arrivèrent chez les parents de la femme. Les vieux furent bien surpris de revoir cette fille disparue sans qu'ils n'eussent jamais su pourquoi ni comment. Et voici qu'elle leur revenait maintenant accompagnée de cet enfant velu de la tête aux pieds comme un ours des bois, mais qui se tenait droit comme un homme. Leur premier soin fut de baptiser le garçonnet. On l'avait baptisé Jean mais, en souvenir de son père, tous l’appelaient Jean de l’Ours.
Chaque jour, il devenait plus fort et plus robuste. Au bout de huit ans, Jean de l'Ours déclara un jour qu'il s'ennuyait et qu'il voulait partir pour voir du pays. Son parrain lui donna quelques sous pour son voyage. Avant de se mettre en route, le jeune homme s’en alla chez le forgeron du bourg, et là, il se fit une barre du poids de cent quintaux. Cela fuit, il dit aux gens de sa famille :
— Maintenant, arrangez-vous comme vous pourrez. Moi, je m'en vais courir le monde.
Et il fit du chemin, et il fit du chemin...
Jean de l'Ours finit par rencontrer un berger avec sa meule de moulin et un vacher avec son bâton de treize nœuds, qui décidèrent de le suivre pour courir le monde.
À force de marcher, ils arrivèrent devant une belle maison, à la tombée de la nuit. Ils demandèrent au maître s'il pouvait les loger et les faire travailler. Quand l'homme vit ces trois garçons si robustes, l’un avec sa barre de cent quintaux, le second avec sa meule de moulin, et l’autre avec son bâton aux treize nœuds, la peur le saisit, et il ne savait que faire ni que dire. Pourtant, il ne laissa rien paraître et il leur fit apprêter un bon souper ; puis ils commencèrent à parler de l'ouvrage.
— J'ai fait bâtir un château, dit le maître de la maison, où nul ne peut demeurer ; le démon y est et tue tous ceux qui s'y installent. Si vous voulez y travailler et remettre cette propriété dans l’état où elle était avant qu'on la laissât à l'abandon, la terre vous appartiendra.
Le lendemain matin, le monsieur les mena au château. Là, il y avait tout ce qu'il fallait pour boire et pour manger. Mais, comme ils étaient sur le point de partir tous trois travailler aux champs. Jean de l’Ours dit aux autres :
— Lequel d’entre vous va rester ici pour faire la cuisine, aujourd’hui ?
— Oh ! Moi, je vais rester, dit le Berger.
— Bon. Et quand ce sera l'heure de dîner, tu sonneras la petite cloche qui se trouve à côté de la porte.
Et les deux autres s'en allèrent travailler au-dehors.
Le Berger, mettait la soupe au feu, quand une vieille arriva dans la maison et tenta de le chasser. Le berger refusa. Alors, la vieille sauta sur le Berger et elle commença à frapper sur le dos de l’homme, si bien qu'elle ne lui laissait pas toucher terre ! Lui aurait bien voulu saisir sa meule, afin de broyer la vieille sur les carreaux, mais il n'en eut pas le loisir ; et la vieille le laissa là, étendue par terre, comme mort.
Midi arriva ; les autres, n’entendant pas la petite cloche, rentrèrent au château. Le berger honteux, n'ausa pas avouer qu'une vieille l'avait humilié.
Le lendemain, ce fut au tour du Vacher de garder la maison. Jean de l’Ours lui dit :
— Quand ce sera l'heure de dîner, tu tâcheras de sonner la petite cloche mieux que le Berger.
— Oui, oui ! N’aie pas peur.
Les deux autres s’en allèrent travailler, et lui commença à faire le ménage. Sa soupe était déjà à demi-cuite et son fricot bouillait quand la vieille arriva et tenta de le chasser. Le vacher refusa. Alors, la vieille courut au bâton du Vacher, et lui aussi ; et ils commencèrent à tirer chacun de son côté, tu l’auras et je l'aurai ! À la fin, le bâton resta entre les mains de la vieille qui se mit en devoir d’en faire rouler les treize nœuds sur l’échine du Vacher : elle le laissa comme mort sur la place, à peine pouvait-il souffler.
Midi arriva. N’entendant pas la clochette, les autres rentrèrent. Le vacher honteux, n'ausa pas avouer qu'une vieille l'avait humilié.
Le lendemain, ils laissèrent Jean de l’Ours au logis et s’en allèrent travailler aux champs.
— Je sonnerai, oui ! Leur dit-il. N'ayez crainte.
Et voici Jean de l’Ours occupé à son ménage. Il prépara la soupe, le fricot, rien ne manquait. Soudain, la vieille arriva dans la cuisine.
— Bonjour, mon garçon.
— Bonjour, vieille.
— Vous faites de bons fricots ?
— Oh oui, dit Jean de l'Ours.
— Ne voudriez-vous pas m'en faire goûter un peu ? Lui dit la vieille.
— Oh ! N'y comptez pas ! Je ne l'ai pas préparé pour vous.
— Oh ! Si !
— Oh ! Non !
Et, en même temps, la vieille voulut sauter sur la barre de cent quintaux, mais Jean fut plus leste qu'elle. Aussitôt qu'il eut empoigné la barre, hop ! D’un coup, il écrasa la tête de la vieille ; puis il commença à lui donner tant de coups sur sa carcasse qu'il la mit toute en morceaux. Quand il l’eut tuée, il la porta dans une armoire, et l’enferma dedans. Ensuite, il alla sonner la clochette, quand les autres entendirent sonner la petite cloche - dan-dan ! dan-dan ! dan-dan ! ils furent bien surpris et ne savaient quel parti prendre.
Jean de l’Ours, en attendant leur retour, se mit à visiter tout le château, avec sa barre de cent quintaux à la main. Tout en allant de chambre en chambre, il trouvait ici des hommes grands comme des diables, là de vieilles sorcières, plus loin des nains : tous étaient des créatures de l'enfer. Quand il eut assommé tous ces démons avec sa barre, il alla chercher ses camarades à l'ouvrage.
— Eh bien, vous ne venez pas dîner ?
— Oh ! Nous n'osions pas.
— Allons, pauvres enfants, n'ayez plus peur de rien.
— Et comment t'y es-tu pris, toi ?
— Oh ! Dit Jean de l'Ours, tout à l’heure, je vous ferai voir l’abatis que j'ai fait.
Lorsqu'ils eurent dîné, Jean de l’Ours ouvrit la porte de l'armoire :
— La reconnaissez-vous, celle-ci ? Leur demanda-t-il.
Les deux garçons honteux reconnurent la veille.
Et Jean de l’Ours conduisit ses compagnons d'appartement en appartement pour leur montrer tout ce qu'il avait tué. Puis, ils allèrent faire une grande fosse pour enterrer tout cela. Mais, en creusant la terre, ils trouvèrent un grand trésor que les démons avaient enterré auprès du château. Avec cet or et cet argent, leur fortune était faite, et ils étaient également propriétaires du château et des terres. Car il était dit dans leur marché avec le monsieur que tout leur appartiendrait s'ils pouvaient remettre le domaine en état dans la quinzaine. Ainsi, les trois risque-tout étaient devenus des messieurs.”
Ceci n'est qu'une des versions de l'histoire de Jean de l'Ours. D'autre raconte aussi qu'il aurait terrassé un géant et sauvé trois princesses… Mais celle-ci est celle que ces descendants estiment être le plus proche de la réalité. Ce sont des choses difficiles à trancher après des siècles de tradition orale. L'histoire du rapt de l'Ours peut également être raconter en Savoie et en Espagne, mais son origine réelle est bien dans le sud des Landes et “l'Ours” était basque.
La part de l'histoire que les moldu suppose et fabule, est qu'en réalité l'Ours était un basajaun, un seigneur des forêts. Ces créatures bipèdes velues vivent avec leur dame des forêts, les basandere, dans la forêt d'Iraty, aux pieds de Pyrénées. Ces créatures fantastiques y habitaient encore de nos jours au fond de leur caverne voilée par leur magie primitive. Et jean de l'Ours, l'enfant née d'une humaine et d'un basajaun était un hachkos.
La famille estime que le rapt de leur ancêtre a dû avoir lieu à la fin du 10 ème siècle. Dans leur récit, elle est nommée Rosemond. Le château qu'avait gagné Jean et ses compagnons existe bien. Il est aujourd'hui en ruine sur la propriété de la famille. Maintes génération des de l'Ours ont grandi et joué dans ces ruines. Le trésor des diables a bel et bien existé et a permis à la famille de vivre confortablement, mais aujourd'hui il n'en reste plus grand-chose. Quant au vacher et au berger, leurs familles se sont liées aux de l'Ours ou sont parties. Quant à la fameuse barre en fer de cent quintaux, elle a été préservée par magie et est précieusement conservée par la famille.
Le basajaun qui a enfanté Jean n'a pas seulement donné sa fourrure à son fils, mais aussi sa magie, faisant aussi de la famille une famille de sorcier. Ils purent ainsi intégrer la communauté magique de l'époque. Le roi sorcier avait ordonné à la famille d'être le lien entre le peuple des basas et les sorciers. Dû à leur sang, ils étaient les seuls sorciers auquel les basas accepter de parler. La famille dut obéir à contrecœur, n'oubliant pas le rapt de leur ancêtre. Les relations étaient tendues, mais cela fonctionnait. Pendant des générations les de l'Ours furent l'intermédiaire des basas. Ils étaient même des fois amenés à représenter les centaures, lycanthrope, sirène et autres créatures humanoïdes.
Aujourd'hui, César est l'un des descendants directs de Jean de l'Ours. Il n'a plus grand-chose à voir avec le hachkos qu'était son ancêtre. César est bien humain. Certain, il est grand, costaud et poilu, mais il est bel et bien humain et c'est bien là le souci…
César est né en 1883 sur le domaine de sa famille, il eut une des enfances les plus sereines qu'un enfant puisse espérer. Son père Honoré l’avait emmené avec, lui rencontrer pour la première fois les basas lorsqu’il n’avait que 8 ans. Honoré l’aurai bien amené plus tôt, mais sa mère née moldu était furieusement contre. Elle a toujours eu naturellement peur des basas. César avait appris à un jeune âge à respecter les seigneurs et dame des forêt et ne les a jamais craints même si ces derniers ne voulaient avoir rien à faire avec lui. Il était au moins toléré par eux.
Le jeune garçon n’eut aucune difficulté pendant ses études à Beauxbâtons même s’il ne démontra pas de grandes ambitions. Il savait exactement ce qui l’attendait à la fin de ses études : un poste de fonctionnaire au ministère. César n’avait jamais réellement questionné cela. Il y aurait toujours un de l’Ours au ministère pour servir de liaison, c’était ainsi et cela le sera toujours, la tradition, tout ça… César acceptait cela comme une évidence, mais sans grandes convictions.
Mais voilà alors que la grande guerre arrive. Des murmures d’horreurs parcourent les forêts, racontant le carnage que les moldus, que les humains s’infligent. Les seigneurs refus alors de communiquer avec tout humain, y compris les de l’Ours, eux aussi jugés purement humains à présent et incapable de comprendre les créatures magiques.
César rage, César peste, cherchant désespérément à se faire entendre, à se faire comprendre. Il ne savait plus quoi faire quand ce qui semble être la raison même de son existence lui claque la porte au nez. Il cherche à la réouvrir de force, mais rien n'y fait. Les basas ne veulent plus parler aux humains, plus parler à des bêtes destructrices. Ils jugent qu'il n'y a aucune différence être les moldus et les sorciers, ils sont tous humains et les de l'Ours le sont aussi.
César ne sait plus quoi faire et le ministère n'arrange rien, faisant pression sur lui et son père pour trouver une solution. Il pense initialement que la solution est d'abandonner son humanité, d'essayer de devenir lui-même une bête, de devenir lycanthrope, mais sa famille l'en dissuade. Comment être le pont entre les deux mondes si on choisit un camp ? Est-ce vraiment nécessaire de se sacrifier ainsi et de risquer la mort ?
Le trentenaire décide alors de tenter de devenir animagus, de trouver l'animal en lui et de l'apprivoiser, de le dominer. Il pense avoir la compétence nécessaire pour y parvenir. Il parvient à faire la potion et commencer le voyage. Mais voilà… ce n'est pas aussi simple. Ses voyages dans sa conscience dure des jours, perdu à aérer dans des forêts qui semble vide de toute vie où il ne croise pas une âme. Il d'espérer se demandant s'il ne fait pas fausse route. César fini par trouver un feu de camp dans la forêt et y rencontre un inconnu et il discute ensemble de pourquoi César est là. Il continuera à trouver à chaque nouveau voyage quelqu'un de différents autour du feu. Il trouve des gens de sa famille, des collègues, des ancien amant, des basas… Il se demande pourquoi a-t-il commencé ce voyage. Qu'est-ce qu'il essaye d'accomplir ? Pourquoi aider le peuple qui a kidnappé son ancêtre ? Pourquoi devenir animagus ? Et finalement, un jour, un trouve un homme velu de la tête au pied, un homme comme son imaginaire avait dessiné Jean de l'Ours. Les deux hommes discutent longuement ensemble.
César en conclut qu'il n'avait jamais pleine accepter le rôle qui lui incombait de naissance, mais qu'à présent, il le désirait, en particulier maintenant avec le débat autour du secret magique. Les basas qu’il connaissait aujourd'hui n'était pas ceux qu'avait abusés son ancêtre. Il avait appris a apprécié ce peuple et ses costumes simples et honnêtes. En étant le pont entre les deux, il voulait assurer leur coexistence. Mais cela voulait dire accepter qu'il devait être réellement entre les deux partie et réellement écouter les basas et les comprendre. Et cela voulait dire aussi accepter réellement qu'il était, comme Jean de l'Ours, entre les deux.
C'est ainsi en acceptant cela qu'il parvient, après 3 ans de voyage spirituel, à trouver les deux portes. Les doute levée de son esprit, il n'u aucune difficulté ni hésitation et trouva l'animal au fond de lui. Il en riat à plein poumon de soulagement lorsqu'il vit derrière la porte le majestueux ours des Pyrénées, souverain des montagnes et compatriote français.
Apprivoiser l'Ours fut plus simple que de le trouver. Pendant ses voyages, il avait compris qu’il ne fallait pas le dominer, mais tout simplement apprendre à le respecter et à l'accepter tel qu'il était. Après 4 longues années, César était devenu animagus.
César a retrouvé sa place en tant que liaison entre les basas et le ministère. Les basas était agréablement surpris par son évolution. Comme quoi, peut-être reste il au fond de lui encore un peu de basajaun…
Crédit : conte extrait de "Contes populaires de la grande-Lande" de Félix Arnaudin.
(#) Re: [Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
missive rédigée par César de l'Ours le- Code:
<b>Jeffrey Dean Morgan</b> <em>|</em> @"César de l’Ours"
Pour le bottin des années de naissance :
- Code:
24.02.1883 @"César de l’Ours" - BeauxBâtons
Pour le bottin des particularités :
- Code:
<b>Animagus</b> @"César de l’Ours"
Pour le bottin des emplois :
- Code:
<b>Chargé de liaison avec les créatures humanoïdes</b> @"César de l’Ours"
(#) Re: [Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
missive rédigée par Alekseï Dzerjinski leOn va pouvoir se trouver un petit lien entre nos deux gros je pense, vu qu'ils bossent tous les deux au ministère bon courage pour ta validation !
(#) Re: [Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
missive rédigée par Invité leBienvenue par ici Il faudra peut-être qu'on se trouve un petit lien avec mon Vasco, entre hommes des bois grognons ça devrait le faire Bon courage pour la validation (d'habitude je dis "bon courage pour la fiche" mais clairement là j'arrive trop tard >)
(#) Re: [Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
missive rédigée par Tatiana Luscombe leBienvenue sur LoF !!!
J'adoooore ce FC et j'adore l'idée apportée avec ton personnage ~
Et puis quelle superbe fiche !!!
On se retrouve rapidement du côté des validés
(@Awona)
Maeve Le Noir (3)
Alessandro de Medici (4)
Luka Romanov (5)
Maeve Le Noir (3)
Alessandro de Medici (4)
Luka Romanov (5)
Maeve Le Noir (3)
Alessandro de Medici (4)
Luka Romanov (5)
(#) Re: [Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
missive rédigée par Auguste Lestrange leJte fais pas le discours des 10 jours du coup vu que la fiche est finie, je vois avec Arsène pour ta validation :3
(#) Re: [Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
missive rédigée par Invité leC'est une dinguerie cette fiche, un vrai régale à la lecture, un grand merci à toi pour ce moment du coup! j'espère que tu te plairas ici et si jamais tu passe du côté de la famille royale passe me faire un coucou
Galahad Anderson
Galahad Anderson
Galahad Anderson
(#) Re: [Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
missive rédigée par Giacomo de Medici leTrès hâte de pouvoir jouer les dramaaaa
(#) Re: [Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
missive rédigée par Gaëlle d'Adhémar le(#) Re: [Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
missive rédigée par Invité le(#) Re: [Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
missive rédigée par Loom Of Fate le(#) Re: [Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
missive rédigée par César de l'Ours leVous avez déjà des amours.
Et merci pour la validation!
@Alekseï Dzerjinski et @Ira de Sade pas de soucie pour discuter de possible lien :D
Et yes patron, @Loom Of Fate, je compte faire la fiche pour la famille de l'Ours. Toujours plus de nounours !
(#) Re: [Clotho | César de l'Ours] César de l'Ours - Descendant de conte
missive rédigée par Guilhem d'Apcher leTrop contente de te retrouver ici, en plus avec ce superbe perso je l'adore ton ours grognon, j'ai adoré la lecture, l'histoire familiale, la partie "conte" de l'histoire était tellement belle
Bref, superbe perso, au plaisir de te croiser en rp !!