[Lachesis | Alekseï Dzerjinski] cover your eyes, the devil's inside
(#) [Lachesis | Alekseï Dzerjinski] cover your eyes, the devil's inside
missive rédigée par Alekseï Dzerjinski leNom
La Russie tremble encore à la simple mention des Dzierżyński. Identité oubliée, transformée, cachée derrière le patronyme de fer. Car un homme ne peut être à l'origine de tout ça pas vrai ? Une créature de Dieu ne peut avoir emporté dans son sillage tant de vie et tracé sur les plaines des cicatrices de carmins. Mais le nom, autrefois porté avec fierté, est aujourd'hui masqué car la Sainte France ne peut l'accepter entre ces murs. Tronqué pour Januszew. C'est qu'on ne doit pas reconnaitre l'agent et que le patronyme du frère est trop connoté.Prénom
Le père a choisi seul le prénom de l'enfant. Le père avait volonté de fer sur la maisonnette et c'est d'une voix sans appel qu'il prononça Alekseï . Suivi, bien entendu et comme le veux la tradition du Edmoundovitch, le sien, le naturel. Alekseï. La défense de l'humanité. Plaisanterie qui n'en était pas une. Car c'est bien de cette humanité qu'il se fait le parrain. Les méthodes sont différentes mais le but est unique : préserver, avant tout, ce qui garantit la paix.Naissance
Jour d'hivers, 1 885. Le 3 ou le 4 Novembre, alors que la neige étouffait la Bielorussie. Fils d'aristocrate, enfance qui se promet joyeuse et grandiose.Parents
Si les parents d'Alekseï ne sont que des fers de lance de l'aristocratie biélorusse, nom que personne ne retiendra, c'est de son frère que l'Histoire se souvient. De 8 ans son ainé, Feliks a marqué le monde d'une emprunte d'acier.Nature du sang
Le sang est mêlé et il n'en a cure. La pureté est une légende, juste bonne à offrir des suffisances à ceux qui ne peuvent se gausser d'aucune. Seuls les actes individuels comptent. Et si Helena, sa mère, fut une enfant de la magie, son père est un moldu dont la puissance prévalait pourtant sur tant de sorciers à l'hémoglobine royale.Situation matrimoniale
On dit d'Aleskeï que son cœur est construit de glace. L'homme est célibataire et on ne lui connait aucune conquête. Mais qui pourrait connaitre les secrets d'un homme dont le silence est le métier ? Peut peuvent se gausser de savoir ce qui se glisse dans l'encéphale. C'est aux femmes que s'adressent les sentiments et, parfois, aux hommes que se glissent les émois. Il n'en parlera pas. Si le monde sorcier accepte les erreurs, lui peine à le comprendre et rejette en bloc ce que peuvent souffler ses songes.Occupation
Le monde d'Alekseï se sépare en deux. L'officieux, celui dont il est si fier mais qu'il ne partagera avec aucun français. Celui qui le place en chien de garde d'un empire qui a tout à créer alors que la révolution a laissé les cendres de son passage sur l'ancienne Russie. Agent secret pour la Guépéou (GPU), traqueur pour leur compte. Et l'officiel, qui le place au ministère des affaires magiques. Place ouverte par des laissé passé dont un ne parle que trop peu, corruption en berne pour faire entrer le soviet comme agent de communication entre l'URSS et la France. Car les pays ne peuvent que communiquer n'est-il pas ?Scolarité
C'est Koldovstoretz qui accueillit en son sein le futur tueur de monarque. Il y appris les arts de la magie et les secrets de ce qui ne devait pas sortir. C'est dans les bibliothèques qu'il continua ses recherches sur l'Ordre de sa mère, sur ce mastodonte dont elle se faisait enfant. Il n'était ni apprenti, ni chevalier. Mais c'est dans les plus obscurs des grimoires qu'il découvrit des vérités que seul lui pouvait percevoir.Composition baguette
On dit d'une baguette qu'elle peut prédire le futur. Celle d'Alekseï le prédestinait à la vie qu'il mènerait. Faite tout de tremble bois des révolutionnaires, elle appelait à elle seule les évènements de 1917. Un ventricule de dragon y a pris ses aises, boyaux de Norvégien à Crête. Elle est stylée de veinule d'argent, grande de ses quelques 37 centimètres. Alekseï a toujours été trop grand pour son âge. Si beaucoup pensait la baguette rigide, identique à l'esprit fermé de son porteur, elle se révéla étrangement flexible, s'adaptant aux contraintes comme le ferait l'agent.Patronus
L'âme est le reflet de ses convictions. Et si pour beaucoup en URSS Alekseï est synonyme de terreur, il est persuadé de toujours agir pour le bien. Il affronte les ennemis des siens sans fléchir et offre son puma comme symbole d'une lumière qu'on croirait éteinte. Fait ô combien utile pour sa couverture : qui soupçonnerait quelqu'un capable d'offrir la lumière ?Epouvantard
La peur. A l'écouter, rien ne lui fait peur. A l'entendre, il est sans faille. Et pourtant, la nuit le réveille parfois alors que la lune est encore noire. Ce sont les yeux des enfants Romanov qui le sortent de ses songes. La force de Nicolas alors que l'ordre était offert. "Tirez" qui raisonne. Et la vie qui s'arrache de leurs iris alors qu'ils s'effondrent contre ce mur, qui, un jour, deviendra célèbre.Amortentia
Il y a des odeurs qui font se réveiller l'instinct. Celui de la forêt sous la pluie, qui berce le loup de nostalgie. Presque autant que celle des dranikis que préparait sa grand-mère dans son enfance. Il n'y a pas de place pour le sang et la cruauté, contrairement à ce que veulent hurler ses détracteurs. Des choses simple. Le fumet de l'encens que brulait l'Ordre quand il fut fait chevalier. Et surtout, le parfum des souvenirs, l'odeur de la rose accrochée à cette femme qu'il n'a jamais revu et jamais abordé. Celle de l'adolescence, quand il n'était pas encore devenue le monstre d'aujourd'hui.Particularité Magique
C'est à vingt ans que fut mordu Alekseï. C'était une prérogative, une demande, une obligation. L'Ordre voulait de nouveaux guerriers sans en parler aux autres. Car le monde changeait et la guerre armait son fumet à l'horizon. Il devient loup garou dans la douleur mais surtout dans la fierté. Car aujourd'hui, c'est avec honneur qu'il arbore ces cicatrices.Lachesis
Il y a deux facettes à une même pièce. La première se gausse de fanatisme et ne s'arrête qu'au travail parfaitement effectué. Bourreau du travail, incapable de s'arrêter à une seule tâche tant l'esprit travaille. Minutieux, implacable. Alekseï est prêt à tout et ne reculera devant rien. L'ours russe est fait de glace. Qu'il en fait paraitre. Puis la deuxième facette, celle du mensonge. Celle qui le place comme un homme si humain et si attentionné avec les siens. Celle de celui arrivé en France avec de belles idées et la coopération comme fils conducteur. Il se perd parfois Alekseï. Entre les deux rôles, entre les deux êtres. Mais il le fait pour le meilleur. Et s'il vomit les idées de Grindelwald, une seule a raison dans son cœur : l'homme agit, toujours, pour le plus grand bien. Qu'importe les cadavres offerts aux pavés.
Que pensez vous des moldus, et du fait que vous soyez obligés de vous cacher d'eux au quotidien ? Les moldus ne sont pas un ennemi et ne l'ont jamais été. Son père, ainsi que son frère, sont des humains normaux. Le secret protège les sorciers et les protégera toujours. Pourquoi aller différemment ? C'est qu'il fut endoctriné dès le plus jeune âge à penser de la sorte. A se battre, crocs et griffes en premier pour que jamais rien ne change. Il tuera pour ce secret. Ne l'a-t-il déjà fait quand, dans l'ombre de la révolution russe, il devait intervenir contre les agissements du dernier sorcier dont on entendu parler les hommes ? Il agit pour le secret. Toujours.
Quelle est votre opinion sur la famille royale magique de France ? Les Français n'ont pas besoin de roi et de reines. L'URSS, elle, a tout compris en abattant leurs nobles. Que les fous se gorgent de privilège et continuent à se gaver. Un jour la France reprendra sa vraie place et n'agira comme sa lointaine cousine de l'autre côté de la Manche. Pour l'heure, Alekseï n'offre nulle vérité sur ses pensées. Tous le savent russe mais il préfère jouer la carte des avis qui n'intéressent personne. Il n'est pas français, se serait idiot que de parler n'est-ce pas ?
L'Aube Sorcière prend de l'ampleur, et Tarek Shafiq fait très souvent la une des journaux. Que pensez vous de cet homme ? Merci de nous répondre, en quelques mots, à votre guise.
(#) Re: [Lachesis | Alekseï Dzerjinski] cover your eyes, the devil's inside
missive rédigée par Alekseï Dzerjinski leQu'elle était belle sa mère dans ses habits de journée, la gorge couverte par une redingote blanche et rouge, ornée d'hermine. C'était son vêtement le plus riche. C'était également son vêtement le plus chaud. L'hivers ne pardonnait rien cette année. Serré contre sa mère, Alekseï écoutait ses histoires. Contrairement à son frère, la magie s'était éveillée en son sein et, contrairement à son frère, c'est avec sa mère qu'il passait le plus clair de ses jours. Là où Père apprenait à Feliks tout ce qu'un futur militaire se devait de savoir, lui découvrait les livres d'écoles et les secrets de famille. Il y avait, sur l'un des ouvrages, une croix gravée. Les doigts du jeune garçon s'enflammèrent alors qu'il en caressait l'embossage. Et ça ? demanda-t-il. Le sourire de sa mère, d'une douceur sans faille, ne cacha pas son mouvement en avant. Elle enleva l'ouvrage des mains du petit, lui offrant un Tu es trop jeune zaïtchik* agaçant. Les sourcils de l'enfant se froncent et ses lèvres se tendirent sur une moue qui, il le savait, avait toujours fait craquer sa mère. Helena ne céda pourtant pas cette fois.
La croix retourna dans son placard et elle le fit descendre de ses genoux. Si Alekseï commença immédiatement à bouder, Helena savait parfaitement comme détourner l'attention de son fils. Et c'est non sans un sourire amusée qu'elle lui proposa de descendre aux cuisines. Il était bientôt quatre heures. Et jamais Alekseï ne louperait l'heure du gouté. Le visage de l'enfant s'illumina. Il ne prit pas la main qui lui était tendu, s'échappant de la pièce pour courir jusqu'à l'odeur qui, depuis dix minutes déjà, l'aguichait de son parfum. Des brioches attendaient. Félix, son frère, est là, fier comme un paon. C'est qu'il a beau venir de fêter ses dix huit ans, son grand frère est toujours présent quand il s'agit de l'embêter. Ou pire, d'ébouriffer sa chevelure pleine d'épis.
1898, Koldovstoretz
La neige. Encore et toujours. Noël arrivait mais cette année Alekseï n'avait pas voulu rentrer à la maison. Les histoires de Félix sur le tsar et la famille impériale russe l'agaçaient. Son frère s'engageait en politique et cela l'ennuyait au plus au point. Il avait d'autre plan pour les vacances. Irina était restée et il ne pouvait mentir en offrant qu'elle lui plaisait. Amour enfantin, première histoire d'adolescent. Alekseï était maladroit.
Et elle ne voulait pas de lui. Il eut beau s'assoir à côté d'elle pendant le repas de Noël, elle refusa de tendre sa main pour la prière. Soit disant que c'était bon pour les sans magie. Il n'aimait pas ça Alekseï. Cette pseudo différence qu'on offrait à ceux nés de parents purs. Son père était un moldu. Mais son père n'était pas n'importe qui et l'orgueil grandissant du jeune biélorusse n'allait pas en s'améliorant.
Il lui prouverait qu'il n'était pas juste un imbécile parmi les autres. Elle avait frappé dans sa fierté et Alekseï allait lui montrer. C'est vers la réserve de la bibliothèque qu'il se dirigea, vexé comme un pou. Il était dans les meilleurs de sa promotion. Il était promis à de grandes choses ! Foi de Dzierżyński, il allait lui montrer !
Pourtant, aujourd'hui, quelque chose clochait dans le rangement du bibliothécaire. Alekseï avait ses accès à cette zone normalement fermée, petit mot d'un professeur qui l'adorait pour l'aider dans ces recherches. Un ouvrage sortait de l'ordinaire. Alekseï passait bien trop de temps dans les rangées pour ne pas connaitre l'ordre et le classement par coeur.
Un autre livre.
Une autre image.
Ses doigts, comme autrefois, en caressèrent la couverture. La croie de son enfance y était gravée. Les mots, à l'intérieur, étaient obscurs Mais ils raisonnaient avec des paroles de sa mère, avec des actes qu'il l'avait vu tant et tant faire. Génitrice à la symbolique étrange alors que certaines reliques prenaient formes. Puis, au dessus de tout, le latin qu'on l'avait forcé à apprendre. Dieu qu'il avait eu du mal à oublier les formes si habituelles du cyrillique pour d'autre, plus rondes et élancées. Non nobis, Trivia, non nobis, sed nomini tu da gloriam. Ce que sa mère offrait. Cette vérité que....
L'Ordre s'offrait comme une créature timide dont il ne découvrait que la naissance des charmes. Mais la décision était prise. A l'aube, il écrirait à sa mère. Et au crépuscule, elle le ferait les rejoindre.
1905, Biélorussie
La fièvre ruisselait sur son front. La douleur le faisait hurler mille morts. Il avait mal. Mal comme jamais il n'avait eu mal. Et la main de sa mère, dans la sienne, serrait fort. Il hurlait, encore et encore. Ses os craquaient. Sa gorge le brulait. Là où le loup avait enfoncé ces crocs brûlant. Là où la malédiction se déversait comme une trainée de poudre dans le sang enflammé. Sa mère le tenait plus fort encore, au risque de s'arracher les doigts et de se briser les os.
Elle ne le lâcherait pas.
Car aujourd'hui, son benjamin devenait une lueur de l'Ordre. Car aujourd'hui, Alekseï embrassait les traces de son grand père et de son grand père avant lui. Il avait plié le genou, fait aspirant chevalier pour le nom qu'il n'arborait pas mais dont la moitié coulait dans ses veines. Il avait juré les préceptes de l'Ordre et, quand en était arrivé le choix cruel des agents du chaos, il s'était proposé en tout premier. Devenir un loup ne devait pas être si terrible pas vrai ? Après tout, seules les lunes seraient complexes.
Quelle belle foutaise quand la douleur se faisait fournaise.
Il hurla une nouvelle fois. Le feu se rependait partout, modifiait tout. Allait-il survivre ? On l'avait prévenu. On lui avait dit que le changement serait douloureux mais qu'il ne serait rien face à la première transformation. Si proche. Un mois, à peine. Juste quelque vingt sept jours a attendre alors qu'Hécate se couchait à l'aube et que son bourreau venait le découvrir.
Alekseï ruisselait de sueur mais, alors que une nouvelle lune se levait, ce n'est au côté de sa mère mais bien des siens qu'il hurla à l'astre si beau, là haut, dans ce ciel couvert d'étoile. La meute. Celle qui n'avait pas encore de nom. Mais qui le prendrait bien assez vite.
1917, Russie
Il n'aurait cru être mêlé aux affaires de moldus à nouveau. Son frère l'avait fait venir mais ce n'était qu'en sa qualité de Dzerjinski qu'il était présent aujourd'hui. Les Chevaliers avaient du ménage à faire et alors que la Russie hurlait sous le poids de ses chaines, ceux qui se couvriraient de carmins étaient envoyés. La meute presque au complet, alpha en tête de liste et lui, beta determiné à ce que rien ne change.
Car Raspoudine, si proche ami de l'empire et de l'impératrice, mettait le secret en danger. Ils avaient carte blanches. Ils pouvaient tout faire, tout offrir. Et si jamais Alekseï n'avait reculé pour obtenir des artéfacts, se faisant chevalier de la mort dans son fanatisme sans faille, jamais il n'aurait cru que le sang puisse autant ressortir sur la neige.
La chute des grilles fut un massacre. L'arrivée des bolcheviks fut un outrage. La violence hurlait partout. Le peuple grondait, enivrée par les idées de Lenine et par la soif d'égalité. Les idées du communisme lui plaisait et Alekseï se prie à scander les mêmes chants que ces frères d'arme. Il se prie à brandir la faucille et le marteau, à hurler pour le peuple dont il n'avait pourtant jamais réellement fait parti. Ils prirent le palais sous les hurlements de armes et les grondements de voix. Le peuple avait faim. Le peuple voulait du sang.
Ils en eurent plus qu'il n'aurait pu en couler. Tous s'écroulèrent sous l'avancée de l'armée rouge. La meute se teinta de carmin alors que leur force décuplée traçait des silons dans les chairs. Ils étaient méthodiques car eux n'avaient qu'un seul et unique objectif. Retrouver celui qui ne cachait plus son secret. Détruire ce que le Romanov avait mis en place. Et s'assurer que rien ne change.
Presque. Presque rien ne change.
Car se fut à peine quelque mois plus tard que Félix vient le trouver. Les ordres étaient clairs, les instructions simples. La meute allait se charger de Raspoutine pour qu'enfin se termine son règne. Mais... les objectifs n'étaient pas tout à fait ceux offert par le frère. Car c'est devant une famille complète que se retrouvèrent les quelques loups et les nombreux soldats qui avaient suivi. Et si, pour l'Ordre et pour son père, Alekseï s'était engagé dans l'armée et respectait l'uniforme qui ne le quittait jamais, appuyer sur la détente fut la chose la plus étrange qu'il n'eut jamais à faire. Car quand le : feu raisonna, l'instinct seul pris le dessus. Et les yeux d'Olga s'inscrivirent en lettre de sang dans son esprit. Pitié. Pas elles, suppliait la voix du tsar, dans un coin de la pièce. Avant qu'Ermakov n'abrège ses souffrances. Et que se termine le règne de la famille impériale.
1927, Russie
Il nous a quitté à l'aube. Alekseï ne répond pas, le salut militaire suffisant à absorber toute émotion. Son corps a été retrouvé. Surement du surmenage. Le camarade Félix était un grand homme et il oeuvrait pour notre pays. Attaque cardiaque. Que le loup aurait tout donné pour fleurer le parfum de mort autour de son ainé, et y découvrir la touche de poison qui accompagnait le décès de tous les opposants politiques depuis quelques années. Il ne dit pourtant rien. Staline n'était pas homme à accepter qu'on le contredise. Son agent encore mois. De toute manière, ce n'était à lui que répondait Alekseï. Il avait d'autres supérieurs, autrement plus respectables. Ce n'était l'homme de fer qu'aimait le biélorusse. C'était les idées d'égalité qui s'installaient sur le monde et qui offrirait à tous un statu identique. Qu'importait le sang. Qu'importait le rang.
Camarade Alekseï, il vous revient, si je ne m'abuse, de continuer les travaux de votre frère. Des camarades nous ont informé d'une présence... étrange en France. De particularité physique qui n'appartiennent qu'à une famille qu'on croyait éteinte. Je n'ai besoin de vous expliquer plus de détail... Un mince sourire grima les lèvres du Dzierżyński. Encore une fois, les ordres se croisaient. Car si les Romanov étaient dangereux pour l'URSS, ils l'étaient plus encore de par la malédiction qu'ils charriaient dans leurs veines. Et l'Ordre, dans toute sa grandeur, refusait que des créatures si étranges foulent encore cette terre.
Les demandes étaient simples. Efficace. Et avec le soutient de la mère patrie, tout devenait possible. Même s'infiltrer jusqu'aux sommets de la France et découvrir ce royaume faible qui n'avait su, à l'instar de son pays natal, couper les têtes couronnées.
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missive rédigée par Alekseï Dzerjinski le- Code:
<b>alexander skarsgard</b> <em>|</em> @"Alekseï Dzerjinski"
Pour ajouter le personnage dans une famille :
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@"Alekseï Dzerjinski" (F/F/NB · 42 ans)
Pour le bottin des années de naissance :
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03.11.1885 @"Alekseï Dzerjinski" - Koldovstoretz
Pour le bottin des particularités :
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<b>Lycanthrope </b> @"Alekseï Dzerjinski"
Pour le bottin des emplois :
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<b>Délégué URSS au BUREAU DE LA COOPÉRATION MAGIQUE INTERNATIONALE</b> @"Alekseï Dzerjinski"
Pour les membres de l'ordre du temple :
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<b>Chevalier</b> @"Alekseï Dzerjinski"
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missive rédigée par Auguste Lestrange le(#) Re: [Lachesis | Alekseï Dzerjinski] cover your eyes, the devil's inside
missive rédigée par Arsène d'Apcher leTellement contente de t'accueillir avec un personnage aussi badass Et ce début de fiche
Bref je suis sous le charme et j'ai beaucoup trop hâte de voir la suite de cette fiche ! Tu sais où me trouver si tu as besoin de quoi que ce soit
Pour le blabla du staff, tu as 10 jours pour réaliser ta fiche (jusqu'au 14.10.2023) avec la possibilité de demander un délai si tu as besoin, n'hésite surtout pas
(#) Re: [Lachesis | Alekseï Dzerjinski] cover your eyes, the devil's inside
missive rédigée par Tatiana Luscombe leQuel début de fiche ! Quelle angoisse latente pour ma pauvre petite Romanov cachée dans les jupons du Cirque de Paris ! J'ai tellement d'idées pour de possibles liens... Je rejoins les autres en pâmoison !
Vivement la suite, j'ai bien hâte de dévorer à la lecture tout ce que tu nous réserves pour ce personnage.
(@Awona)
(#) Re: [Lachesis | Alekseï Dzerjinski] cover your eyes, the devil's inside
missive rédigée par Invité le(#) Re: [Lachesis | Alekseï Dzerjinski] cover your eyes, the devil's inside
missive rédigée par Alekseï Dzerjinski le@Arsène d'Apcher je bénis le copié / collé et franchement, prendre des noms de famille existant c'est vraiment une idée à la con
@Tatiana Du Cirque je viendrai te chercher ma douce, ne t'inquiète pas j'adore
(#) Re: [Lachesis | Alekseï Dzerjinski] cover your eyes, the devil's inside
missive rédigée par Loom Of Fate leBienvenue en France ! Laissez-passer pour la France |
Mais quelle pépite ce perso, cette fiche, la manière dont tu t'es servie du lore et de la révolution russe je suis conquise Pas très objective mais j'ai tellement HATE de suivre la quête d'Alekseï en France et aux choix qu'il va faire et comment il va faire pour parvenir à ses fins Voilà un petit qu'il va pas falloir chercher, et ça fait trop plaisir de voir un homme aussi dévoué à l'Ordre du Temple et qui est prêt à tout pour sa mission. Bref je suis sous le charme et je te mets dessuite dans ma liste d'attente rp
Bienvenue dans l'histoire Loom of Fate ! Tu es désormais libre de vagabonder à ta guise sur les pavés de Paris et partout en France. Pour commencer ton aventure de la
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missive rédigée par Invité leSi tu veux causer lien, on pourra!
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missive rédigée par Alekseï Dzerjinski le(#) Re: [Lachesis | Alekseï Dzerjinski] cover your eyes, the devil's inside
missive rédigée par Invité leIl tient un bar dans Paris. Pro loup et anti secret xD
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missive rédigée par Invité leEncore un loup... et anti-secret ? J'ai bien lu ? Quelle horreur !
Bienvenue
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missive rédigée par Alekseï Dzerjinski le(#) Re: [Lachesis | Alekseï Dzerjinski] cover your eyes, the devil's inside
missive rédigée par Invité leTu as le salut de mon frère Silas Rosier -chasseur de créatures magiques- lui non plus n'a pas pu te saluer et je viens de l'expulser pour répondre à Tatiana...