start fire - asger
Sybille AbeausiCLOTHO | THIS IS OUR WORLD NOW !
FC + disclaimer : Nina Dobrev par JoTagg
Rythme de jeu : Hirondelle
Warning : underco' - magie noire, rituel
Trigger : Aucun
Disponibilité RP : 0/5
Couleur Dialogue : #couleur
Messages : 93
Bézants : 1707
Multicomptes : Alekseï Dzerjinski, Alice Beauregard, Lorenzo de Medici
Âge perso : vingt huit années, jeunes croc
Nature du sang : sang mêlé, tâché d'ébène. Ignorance quand on se fiche du carmin
Etat Civil : célibataire - liberté, ô liberté chérie
Occupation : Rédactrice du De vous à moi, rubrique mondaine
Joueur
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Rythme de jeu : Hirondelle
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Personnage
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Succès
(#) start fire - asger
missive rédigée par Sybille Abeausi lestart fire
ft Asger Orlov
janvier 1928 - Thème | Le froid n'en démordait pas. Partout, de Paris au Sud de la France, il enroulait la France dans ces bras tendres. Et Sybille, digne fille du voyage, le subissait. Ses derniers émois furent pour l'Orient. Là bas, il ne neigeait pas. La bas, elle pouvait, en toute saison, afficher des robes légères. Ici, alors que ses yeux se portaient sur la neige, elle savait que son manteau serait son meilleur ami. Lui et le renard blanc qui gardait sa gorge au chaud. Elle en aurait bien besoin. La soirée, le galas même, était une fête mondaine. Il n'y aurait la famille royale et elle ne venait, de toute manière, pas pour eux. Elle venait pour les noms qu'on oubliait parfois, ceux qui n'avaient pas fait la une depuis longtemps.
Elle ne fut pas accueillit dans les éclats. Elle ne cherchait surtout pas la lumière des projecteurs. Non, elle laissait cela aux paons qui pavanaient sur scène, qui s'offraient tous les éclats alors que plus grand qu'eux n'étaient pas là. Il n'y avait, étrangement, pas beaucoup de monde ce soir. Deux cent personnes, à peine.
Ses oreilles travaillaient pourtant. En picorant des petits fours, la jeune femme discutait avec les uns et les autres, offrait là doux compliments et ici félicitations. Elle essayait d'être au courant de tout, pour mieux se faire voir. Certaine discussion se taisaient à son approche. Revers de la médaille du prénom qui ourlait les articles de journaux. Elle était une oreille de plus aux Lestrange, une de celles qui ne faisaient pourtant guère de dégats. Une réputation se faisait et se défaisait mais pas uniquement grâce à elle.
Un verre de vin à la main, Sybille finit pourtant par trouver le temps long. Il lui manquait une Armance ou un Crepus pour faire frissonner les foules. Pas même l'ombre d'un Medici. La soirée regorgeait de scientifiques en tout genre mais ce genre de discussion, Sybille les réservait pour d'autres moments, pour les cercles plus intimes des têtes à têtes. Mordant dans une tranche d'orange, elle emporta son verre avec elle.
Un balcon. De l'air pur. Et le paysage, sublime, des terres de champagne. Les De Rune avaient du goût, elle ne pouvait dire l'inverse. Et leur champagne était bon, même si elle lui préférait du vin. Elle sortie une cigarette et, les mains dans les poches, compris très rapidement qu'elle n'avait pris ni briquet ni fétiche. Un soupir lui échappa, alors qu'elle jurait, dans sa première langue, un russe emprunt d'accent gitan. Elle ne pourrait s'offrir sa dose de nicotine, à son grand désespoir. Les discussions barbantes le seraient plus encore et elle ne comptait pas rentrer, pas déjà.
Elle ne fut pas accueillit dans les éclats. Elle ne cherchait surtout pas la lumière des projecteurs. Non, elle laissait cela aux paons qui pavanaient sur scène, qui s'offraient tous les éclats alors que plus grand qu'eux n'étaient pas là. Il n'y avait, étrangement, pas beaucoup de monde ce soir. Deux cent personnes, à peine.
Ses oreilles travaillaient pourtant. En picorant des petits fours, la jeune femme discutait avec les uns et les autres, offrait là doux compliments et ici félicitations. Elle essayait d'être au courant de tout, pour mieux se faire voir. Certaine discussion se taisaient à son approche. Revers de la médaille du prénom qui ourlait les articles de journaux. Elle était une oreille de plus aux Lestrange, une de celles qui ne faisaient pourtant guère de dégats. Une réputation se faisait et se défaisait mais pas uniquement grâce à elle.
Un verre de vin à la main, Sybille finit pourtant par trouver le temps long. Il lui manquait une Armance ou un Crepus pour faire frissonner les foules. Pas même l'ombre d'un Medici. La soirée regorgeait de scientifiques en tout genre mais ce genre de discussion, Sybille les réservait pour d'autres moments, pour les cercles plus intimes des têtes à têtes. Mordant dans une tranche d'orange, elle emporta son verre avec elle.
Un balcon. De l'air pur. Et le paysage, sublime, des terres de champagne. Les De Rune avaient du goût, elle ne pouvait dire l'inverse. Et leur champagne était bon, même si elle lui préférait du vin. Elle sortie une cigarette et, les mains dans les poches, compris très rapidement qu'elle n'avait pris ni briquet ni fétiche. Un soupir lui échappa, alors qu'elle jurait, dans sa première langue, un russe emprunt d'accent gitan. Elle ne pourrait s'offrir sa dose de nicotine, à son grand désespoir. Les discussions barbantes le seraient plus encore et elle ne comptait pas rentrer, pas déjà.
@Asger Orlov
It's Dark in New Orleans - Port Sulfura Bands
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(c) DΛNDELION
Et je sais à présent, que le Mal est au cœur de l'Amour