He had it coming, he only had himself to blame | Raphaël & Octave
Octave DefresneATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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(#) He had it coming, he only had himself to blame | Raphaël & Octave
missive rédigée par Octave Defresne le
He had it coming, he only had himself to blame
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12 déc. 1927 avec @Raphaël Malefoy | TW : aucun pour le moment
La missive est courte, mystérieuse et assez flatteuse pour te faire soulever un sourcil tant de curiosité que de plaisir. Monsieur Malefoy requiert tes compétences de maître en peinture et ce n’est pas tous les jours qu’on te reconnaît le talent. Ton invention et son art ont effacé pour beaucoup ton amour des pinceaux et des toiles et tes talents de peintre - pourtant remarquables à en juger par les éloges que tu recevais pendant tes études. On se tourne fort peu vers toi quand cela touche au troisième art, ce qui te vexerait si cela ne disait pas quelque chose de la grandeur et de l’aura de ton autre génie. Bah - tu te contenteras de n'impressionner que les connaisseurs si on t’accorde le titre de grand homme de ton temps, si ton nom se retrouve un jour dans les livres d’histoire. Et tant pis si aujoud’hui la plupart des toiles qu’on te passe en commande sont des faux.
Mais Raphaël, lui, est venu à l’atelier deviser de création de catalogues ou poser dans les plus beaux atours de la maison Malefoy. Tu as fait avec lui ces images qui n’existent qu’afin de faire rêver les riches qu’ils pourront peut-être paraître moitié aussi beaux en payant une fortune la même toilette. Une absurdité. Tu n’apprécies la mode que portée par les créatures les plus divines, en dehors cela t’ennuie un peu et tu aimes les mannequins bien plus que les tissus. Un portraitiste dans l’âme. Mais Raphaël, donc, est venu et a pu admirer les portraits et paysages peints, découvrir que tu enseignais également le dessin et apprendre que l’on te donnait volontiers ce rang de maître qu’il te donne dans sa lettre. Il payera bien, aucun doute : c’est un Malefoy. Ce n’est pourtant pas l’argent qui te pousse à lui donner rendez-vous dans quatre jours à peine - toi qui fait une joie d’être un homme si pris qu’il ne peut généralement pas se libérer sous quinzaine. Pas le prestige du nom non plus, pour toi la noblesse n’est pas une chose que l’on doit honorer particulièrement - d’ailleurs c’est ton plaisir que de faire patienter les puissants. Non mais voilà, le blond est beau et il te flatte, deux excellentes raisons de lui rendre la pareille et te montrer arrangeant.
Et puis on te demande de donner ton avis - tu ne vas quand même pas te faire prier.
Le rendez-vous est fixé pour la fin d'après-midi le lundi suivant. Les heures qui la précèdent sont calmes et studieuses, on travaille, on étudie, tu peins. La morsure de l’hiver ne vous atteint pas dans la serre enchantée et les grandes fenêtres donnent sur un jardin qui semble déjà au printemps tant il baigne dans le soleil. Les uns finissent par partir arrivés au bout de leur journée, les autres t'accordent un signe de tête avant de disparaître au dernier étage où ils vont s’affairer jusqu’au bout de la nuit dans l’Envers et où tu les rejoindras. Regard curieux à l’horloge pour chercher une heure. Quelques minutes encore, quelques coups de pinceaux judicieusement placés et tu abandonnes ton travail, enlèves ton tablier et tes manches de cuirs, et te rends d’un pas sûr jusque dans l’entrée pour accueillir celui qui doit arriver. Tu connais si bien ces couloirs que tu sais en combien de temps exactement tu vas les traverser, et que tu seras devant la porte à l’heure précise que vous aviez convenue - une autre largesse de ta part qui ne fait pas grâce aux autres de cette attente que toi pourtant tu détestes. Les vitraux baignent de leurs lumières la salle ouverte et l’escalier de fer blanc, donnant une impression de chaleur, mais au bruit du souffle sur la lourde porte tu devines que pour venir il aura dû affronter un vent mordant et vif.
dans une sorte de minuscule basse-cour au fond de son cerveau il engraissait un petit troupeau de rancunes que le temps accroissait - Si vous me poursuivez, prévenez vos gendarmes que je possède une arme et que je sais tirer.
Raphaël MalefoyLACHESIS | SECRET IS THE ONLY WAY.
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(#) Re: He had it coming, he only had himself to blame | Raphaël & Octave
missive rédigée par Raphaël Malefoy leHe had it coming,
he only had himself to blame
he only had himself to blame
Plus d’un sourcil Malefoy se seraient levé en le voyant ainsi se diriger d’un pas vif et décidé le long des trottoirs du Faubourg, si on connaissait sa destination finale. On reconnaissait Octave Defresne pour son expertise. Prétendre le contraire aurait été idiot, à ce niveau là. Allez, quoi, on l’engageait même régulièrement à l’Atelier Malefoy pour son expérience et sa technique, on n’allait pas commencer à faire comme si on ne voyait pas son talent indéniable, si ? Raphaël lui même avait eu le plaisir de poser devant son objectif à plusieurs reprises. Parce que oui, c’était un plaisir. Le bougre savait ce qu’il faisait, et aimait ce qu’il faisait, et ça, on ne pouvait pas dire que c’était le cas de tout le monde. Alors bon… Qu’il soit sang-mêlé ou dépourvu de titre de noblesse, on s’en foutait un peu, non ? Ça ne gênait pas pour le professionnel, alors ça ne gênerait pas dans le privé non plus.
Dans le doute, Raphaël n’avait prévenu personne de son escapade. D’une, ça ne les regardait pas. De deux, si ses doutes se confirmaient, c’était un peu la honte, alors mieux valait rester sous les radars. Raphaël comptait pas mal sur la discrétion de Defresne. C’était aussi pour cela qu’il l’avait choisi lui, et pas un de ces poseurs de nobles qui ne pouvaient s’empêcher de colporter le moindre ragot. Personne n’avait besoin de savoir qu’il avait peut-être claqué une fortune dans une contrefaçon sans le savoir.
Ladite potentielle contrefaçon sous le bras, emballée dans du papier kraft, Raphaël passa enfin la grille alambiquée de l’Atelier Defresne de son pas allongé, pressé de se mettre enfin à l’abri des bourrasques hivernales qui lui rosissaient les joues. Pile à l’heure, comme toujours. Raphaël détestait les retardataires. Tiens, il avait même une minute d’avance. Il allait devoir attendre devant la porte, les yeux rivés sur l’aiguille de sa montre, à attendre que la plus grande atteigne le douze, pour lever la main et venir appuyer sur la sonnette.
Il n’en eut pas le temps. La porte s’ouvrit devant lui, ponctuelle. Bien. C’était appréciable. Raphaël fit un pas à l’intérieur de l’atelier, sans retenir son regard curieux. Une subtile effluve de vernis et de térébenthine, réconfortante, vint lui chatouiller le nez. Il se sentit immédiatement très à l’aise.
Après un rapide tour d’horizon des lieux, ses yeux se posèrent presque instinctivement sur la silhouette d’Octave, à laquelle ils se greffèrent pour ne plus la lâcher. Comme souvent, Raphaël lui trouva des airs de vieil oiseau, ce qui n’était pas nécessairement une mauvaise chose. Cela dépendait de l’oiseau.
Sourire au bord des lèvres -bon ou mauvais signe ?-, Raphaël s’avança vers l’artiste, bras tendu devant lui pour initier une poignée de main réglementaire et parfaitement ennuyeuse. « Monsieur Defresne. Merci de m’accueillir chez vous. » commença-t-il en s’approchant, son tableau toujours sous le bras. Son regard se fit plus bas, plus secret. « Je n’ai pas pu vous expliquer en détails les raisons de ma venue dans ma missive, mais je remercie d’avoir su vous libérer si rapidement. » Politesses de convenance. Sincères, mais dépourvues de saveur. Contrairement à son business, il l’espérait. Il libéra le tableau de sous son bras, et fit un léger signe de tête. « Peut-être pourrions nous en discuter quelque part de plus… privé ? » suggéra-t-il avec des airs de conspirateur. Regard plissé, voix basse. Cela aurait pu être amusant, s’il n’avait pas été aussi en colère.
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(#) Re: He had it coming, he only had himself to blame | Raphaël & Octave
missive rédigée par Octave Defresne le
He had it coming, he only had himself to blame
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12 déc. 1927 avec @Raphaël Malefoy | TW : aucun pour le moment
L’homme est parfaitement ponctuel, pénétrant dans le hall à l’heure précise, encombré d’un paquet de craft qui ressemble furieusement à un tableau. Tu lui souris, essayant de lutter contre ta curiosité qui voudrait que tu scrutes ce qu’il t’emmène plutôt que lui - mais ce serait tellement impoli.
– Monsieur Defresne. Merci de m’accueillir chez vous.
– C’est toujours un plaisir Monsieur Malefoy.
Il s’avance vers toi, l’air plus sérieux :
– Je n’ai pas pu vous expliquer en détails les raisons de ma venue dans ma missive, mais je remercie d’avoir su vous libérer si rapidement.
C’est une politesse de sa part, mais une qui semble dire qu’il n’est pas vraiment fier de ce qui l'amène ici. Il faudra peut-être garder le secret sur cette entrevue ? Oh que cela est amusant ! Mystère et flatterie sont deux mets dont tu raffoles tout particulièrement.
– Peut-être pourrions nous en discuter quelque part de plus… privé ?
Sa voix complote, son regard s’assombrit - et toi face à lui, tu rayonnes. Cet air lui va assez bien et tout cela te divertit beaucoup. Rien que de le voir faire le conspirateur à ta porte valait largement le temps que tu lui offres. S’il savait le genre de demandes dont tu t’occupes au dernier étage du bâtiment, peut-être ferait-il moins de manières, mais tu ne comptes pas le Malefoy dans ta liste de clients… Tu ne lui offriras pas le decorum de l’Envers, mais pas besoin d’en arriver là pour obtenir ta discrétion.
– Mais tout à fait, suivez-moi.
Tu l’entraines à ta suite à l’étage, au milieu du labyrinthe de couloirs et de portes, jusqu'à une plus massive où ton nom est noté en lettres d’or : Octave Defresne, directeur. Tu devrais faire rajouter Maître devant, d'ailleurs. Le fenêtres enchantées donnent sur un coucher de soleil chaleureux dans un jardin fantastique, la cheminée crépite, quelques nouvelles toiles cachées sous des draps sur leurs chevalets, le bureau massif et les fauteuils de velour - rien qu’il ne connaisse pas déjà mais dans une lumière un peu plus sombre que celle dont il a l’habitude, une ombre propice aux secrets. Tu lui désignes un fauteuil avec un sourire.
– Je peux vous offrir quelque chose à boire ? Ou quelque chose qui vous réchauffera d’être venu jusqu’ici par ce temps ?
Tu le dis et tapotes deux coups de baguettes sur un buffet massif qui s’ouvre pour dévoiler bouteilles d’alcools raffinés et coûteux. C’est le début de la soirée, et tu ne saurais faire affaire sans te montrer d’abord un hôte exemplaire. Deux autres coups pour servir - une de ces bouteilles ou même un café s'il préfère - avant que tu n’oses, enfin, poser des yeux curieux sur son paquet. Un tableau, c’est presque certain. Pourquoi t’emmener la toile d’un autre ? Ou est-ce l’une des tiennes ? Non, il n’en aurait pas fait une telle affaire. Les questions et les théories se bousculent. Tu relèves les yeux vers lui, lui offrant un air tout à fait amical et confiant.
– Sachez Monsieur que ma discrétion vous est toute acquise, et ce quel que soit le sujet dont vous souhaitez m’entretenir.
Une évidence mais qui n’est jamais mauvaise à rappeler. Cette histoire semble l’ennuyer vraiment, vu son air, et tu ne voudrais pas qu’il s’inquiète plus que c’est déjà le cas - cela creuserait des plis tout à fait désagréables sur son merveilleux visage.
– Je vous en prie, ne me faîtes pas plus languir, et dîtes-moi de quelle façon je puis vous aider ?
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(#) Re: He had it coming, he only had himself to blame | Raphaël & Octave
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Defresne avait-il deviné le genre d’affaire qui amenait Raphaël jusqu’ici ? Difficile de dire ce qui pouvait bien se cacher derrière ce grand sourire et ces amabilités de circonstance. Le masque du commerçant qui tentait de dissimuler sa curiosité. Avait-il en face de lui un véritable amateur d’art en quête de réponses, ou un noble poulet à plumer ? Les deux n’étant pas incompatibles, bien entendu.
L’idée bouscula l’apparente tranquillité de Raphaël, mais il n’en montra rien. Sans un mot de plus, il emboîta le pas à Defresne, le suivant jusqu’à son bureau confortable. Il remercia, et s’installa avec l’aplomb -ou l’arrogance- de ceux qui sont partout chez eux, se débarrassant de son manteau pour l’abandonner sur le dossier de l’un des fauteuils avant de prendre place dans l’autre. Son regard suivit l’artiste à travers la pièce, s’arrêtant ici et là sur les quelques morceaux de toile que l’on pouvait parfois apercevoir. L’ambiance, aujourd’hui était différente, mais il n’aurait pas su dire en quoi.
« Votre poison sera le mien. » dit-il finalement d’un air désinvolte. On attendait de lui qu’il sache apprécier les alcools fins et luxueux, mais la réalité était tout autre. Franchement, il fallait l’avouer, il n’en avait pas grand chose à faire. Il était là pour tout autre chose, et il avait en horreur l’habitude très galante de tourner autour du pot. Fort heureusement, Defresne ne semblait pas s’en encombrer.
À la demande du peintre, Raphaël soupira et déchira du pouce l’emballage qui protégeait le tableau, dévoilant une petite peinture à l’huile. Sur la toile, un paysage aux collines jaunies et désolées s’étalait, morose. Au centre se dressait un arbre noueux aux branches dénudées, au pied duquel une jeune femme, seule lueur de vitalité de l’image, rencontrait la Mort. Un vent léger venait soulever les pans du manteau gris de la faucheuse et les boucles dorées de la demoiselle. Les deux personnages semblaient en pleine conversation. Négociation ? Promesse ? Marchandage ? L’un d’eux tournait parfois la tête vers l’extérieur de la toile, comme pour vérifier que personne n’écoutait.
Raphaël tendit le tableau à Defresne, un air sombre sur le visage. « Connaissez vous le peintre Barnabé Bauveau ? Il est né de parents moldus, et pourtant ses toiles sont tout aussi remarquables que les grands peintres sorciers de sang-pur de l’époque. J’ai été désolé d’apprendre sa mort, il y a quelques années. Depuis sa disparition, ses esquisses et des tableaux sont devenus très recherchés parmi les connaisseurs, mais j’imagine que je ne vous apprends rien. » déclara-t-il avec un soupir. Il abandonna le tableau entre les mains expertes de Defresne, et saisit le verre qu’il lui avait servit, s’amusant à faire tourner le liquide à l’intérieur, sans le boire. « Vous comprenez bien que lorsque l’occasion s’est présentée à moi d’obtenir l’une de ses oeuvres, j’ai sauté dessus. Un de mes contacts de confiance m’a présenté à l’une de ses connaissances, un artiste dont l’atelier se situe près de la cité des Fusains. L’homme venait d’expertiser une toile qu’il avait récupérée et était formel quant à son authenticité. Je l’ai donc achetée. Mais… j’ai des doutes désormais. »
Raphaël soupira et sa mâchoire se contracta. Idiot. Il était d’usage, lorsqu’on était riche et qu’on le pouvait, de passer uniquement par des enchères privées, ou de dépenser des sommes folles en expertises multiples. Comment aurait-il pu le savoir ? Il avait trouvé à la toile quelque chose de charmant qui l’avait attiré, et comme un gosse avec une pièce en main ne peut s’empêcher de l’échanger contre une sucrerie. « Je ne suis pas un artiste. Je n’ai aucun talent de peintre. Pourtant, quelque chose me gêne dans ce tableau. Il est… différent. J’ai peur d’avoir été un peu trop hâtif dans son acquisition, et j’espérais que peut-être, vous pourriez apaiser mes craintes ou les confirmer. »
Octave DefresneATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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Le blond ne se fait pas prier pour dévoiler à ton regard curieux l’objet de sa visite, plus pressé de cela que de déguster le verre qui va à lui. Le papier craft s’ouvre sur une huile qui te fait lever un sourcil de surprise et te fige un instant derrière ton bureau. Il te faut toute la volonté du monde pour te remettre en mouvement et poser le verre que tu viens de te servir. Qu’est-ce donc que cette histoire, un piège peut-être ? Il te tend le tableau et t’explique son admiration pour l’artiste dont la toile devrait être. La mention des parents moldus aurait sans doute quelque chose de terriblement amusant si la situation dans laquelle tu es n’étais pas si effroyable. C’est qu’il a raison de douter de l’authenticité de son achat et tu le sais fort bien sans même te pencher sur la peinture : elle n’est pas de Bauveau, elle est de toi. Du très bel ouvrage, d’ailleurs, à ton avis qui n’est pas si humble.
– Je ne suis pas un artiste. Je n’ai aucun talent de peintre. Pourtant, quelque chose me gêne dans ce tableau. Il est… différent. J’ai peur d’avoir été un peu trop hâtif dans son acquisition, et j’espérais que peut-être, vous pourriez apaiser mes craintes ou les confirmer.
Cela a quelque chose de rageant de penser qu’une intuition aura peut-être raison de la reconnaissance que mérite cette toile. Oui, bon, ce n’est pas Bauveau lui-même qui la peinte : mais n’est-elle pas une variation splendide de ce qu’il a pu faire et un hommage respectueux de son travail ? Une œuvre très récemment sortie de l’Envers, commandée sans doute pour profiter de l’envolée des prix du travail de l’artiste défunt. Elle aurait dû rester quelques années dans une collection privée, mais elle a déjà été revendue et expertisée par un concurrent donc ? Voilà au moins qui peut avoir un intérêt, il faudra rendre visite à cet homme. Tu tires un chevalet d’entre deux bibliothèques pour y poser la toile et te poses devant elle comme pour la découvrir avec curiosité.
– Hm. En ce qui concerne le thème et la composition, c’est bien du Bauveau, quoique je ne connaissais pas cette peinture. Les pigments ressemblent à ceux qu’a pu utiliser l’artiste pour sa série très prisée de demoiselles - si vous êtes amateur je suis l’heureux propriétaire de l’une d'entre elles que je vous montrerai avec joie. Le peintre était aussi connu pour de très long coup de pinceaux qui pouvaient étirer la peinture, et voyez ici le tracé qui traverse presque la moitié de la toile et change un peu la texture des bords ? A le regarder ainsi en tout cas, ce pourrait tout à fait être l’une de ses œuvres.
Tu lui confies dans un sourire en te retournant vers lui et en reprenant ton verre abandonné depuis trop longtemps. A quel point doute-t-il pour te l’emmener ainsi ? S’il doit la faire une troisième fois expertisée et que quelqu’un découvre la supercherie, tu passeras pour un idiot à t’être fait berner par la fraude… Impossible de remonter jusqu'à toi comme faussaire, mais tout de même ta réputation pourrait en prendre un coup.
– Bien sûr je ne saurais me prononcer définitivement sans une analyse un peu plus poussée. Si cela pouvait vous rassurer, je serai heureux de m’y atteler tout de suite si vous le voulez.
C’est un mensonge bien sûr, tu préfèrerais qu’il se soit retrouvé rassuré de ton observation et que vous devisiez du travail de Bauveau pour oublier cette frayeur - mais il faut te garder encore une porte de sortie pour lui avouer que c’est un faux s’il est trop suspicieux. Comment présenter ça avec intelligence ?
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Rythme de jeu : Escargot
Warning : Langage vulgaire, violence, maltraitance, guerre, meurtre, PTSD, angoisses
Trigger : Descriptions graphiques de torture et violences sexuelles (évocation ok, avec parcimonie)
Disponibilité RP : Bientôt
Couleur Dialogue : #couleur
Messages : 30
Bézants : 617
Multicomptes : Non, aucun.
Âge perso : 30 ans
Nature du sang : Officiellement pur. En vérité, sang-mêlé.
Etat Civil : Célibataire endurci et réfractaire
Occupation : Employé -fictif- de l'entreprise familiale le jour, potionniste de génie la nuit.
Personnage
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Succès
(#) Re: He had it coming, he only had himself to blame | Raphaël & Octave
missive rédigée par Raphaël Malefoy leHe had it coming,
he only had himself to blame
he only had himself to blame
Raphaël se détourna avec bonheur du tableau, ravi de ne plus l’avoir entre les mains. Cette toile, qui pourtant lui avait tant plu au premier regard, l’agaçait désormais passablement. Ses couleurs lui semblaient ternes et passées, l’arbre nu aux branches tordues qui trônait au centre du paysage le déprimait… mais ce qui l’énervait le plus, c’était ces petits personnages et leurs messes basses. Ça, et les regards en coin qu’ils venaient de temps en temps lui jeter lorsqu’il venait admirer la toile provoquaient chez lui une réaction parfaitement enfantine.
Il se sentait exclu d’un secret.
Un comble.
C’était peut-être ce qui lui avait mis la puce à l’oreille, la première fois. Il avait cru déceler quelque chose de moqueur dans l’attitude des personnages, comme s’ils se riaient de lui. C’était en venant légèrement appuyer du pouce sur la toile, pile sur le visage de la femme pour faire cesser son regard narquois qu’il s’était rendu compte d’un détail quasi imperceptible. Le vernis qui couvrait la peinture, sous son doigt, collait. C’était infime. Peu l’auraient remarqué, et certainement pas ces férus d’art qui se contentaient de regarder les oeuvres sans jamais oser les toucher, de peur de leur faire perdre leur caractère sacré.
Mais ça, ce qu’il avait senti sous ses doigts, c’était un vernis neuf. Jauni ce qu’il fallait, certes, mais la texture ne mentait pas. Elle était granuleuse, accrochant la peau d’une manière si subtile que Raphaël avait dû caresser les pigments une bonne partie de journée pour être certain qu’il ne se trompait pas.
Et quand bien même, le vernis était neuf ? Cela pouvait avoir été l’oeuvre d’une restauration récente. Mais… dans le doute, mieux valait avoir l’avis d’un expert.
Raphaël amena finalement son verre à ses lèvres. Ce n’était plus de son ressort, désormais. Les secrets du tableau était entre les mains professionnelles d’Octave Defresne, qui n’avait eu besoin que de quelques minutes pour sortir de son chapeau une analyse probante du tableau. Raphaël haussa les sourcils, impressionné.
Non, le gars faisait son boulot, c’était tout. Pas la peine d’en faire tout un plat.
Raphaël s’approcha pour venir observer de lui-même les fameux coups de pinceaux longs, et ne décela rien du tout. « Je ne vois rien… » déclara-t-il, frustré. Evidemment, qu’il ne voyait rien. Il avait grandit dans un foyer où ce qui se rapprochait le plus d’une oeuvre d’art était une mauvaise toile qui représentait un champ de coquelicots -ou une herbe couverte de coccinelles, on n’avait jamais réellement su- signée en lettres grossières par un certain Olaf, accrochée au dessus de la porte du salon.
Raphaël se redressa, soupira. « Je suppose que oui, je pourrais vous la laisser quelques temps. Je peux même vous la vendre, si elle vous intéresse. À prix d’ami, bien sûr. Vu comme on se les arrache en ce moment, vous pourriez sûrement en faire quelque chose. Un artiste tel que vous… » dit Raphaël en souriant sincèrement. Il ne plaisantait qu’à peine. Ce que certains pouvaient faire surgir grâce à leurs pinceaux n’avait rien à envier à certain enchantements.
Octave DefresneATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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Occupation : Inventeur de la photographie magique, premier photographe du monde magique, peintre et faussaire
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(#) Re: He had it coming, he only had himself to blame | Raphaël & Octave
missive rédigée par Octave Defresne le
He had it coming, he only had himself to blame
O vous les arracheurs de dents, tous les cafards, les charlatans, les prophètes
Comptez plus sur oncle Archibald pour payer les violons du bal à vos fêtes
12 déc. 1927 avec @Raphaël Malefoy | TW : aucun pour le moment
Alors que tu t’éloignes du tableau, c’est lui qui s’en rapproche - curieuse danse que vous faîtes autour de la toile.
– Je ne vois rien…
Ta main se crispe un peu autour de ton verre, et il te faut un effort conséquent pour ne pas grimacer. Bien sûr qu’il ne voit rien ! Pense-t-il que parce que c’est un Malefoy, il devrait détenir le talent naturel de voir, comprendre ce genre de choses ? Que son sang et son nom peuvent lui offrir le don que tu as cultivé dans le travail et l’abnégation. Il ne voit rien parce qu’il ne sait pas regarder, lui qui a pourtant dû grandir au milieu de tableaux et de beautés diverses, quand il n’y avait pas même un toit au-dessus de ta tête toutes les nuits. Mais tu as étudié pour comprendre, pour connaître, pour apprécier, aiguiser tes yeux pour ces affaires mieux que n'importe quel homme du monde. Inutile de te mettre en colère pour si peu, il n’a même pas dû penser que sa constatation était un peu blessante. Tu devrais avoir l’habitude aujourd'hui de ne plus te vexer des maladresses des nobles. Tu bois, la chaleur de l’alcool chassant un peu l’aigreur sur ta langue.
– Je suppose que oui, je pourrais vous la laisser quelques temps. Je peux même vous la vendre, si elle vous intéresse. À prix d’ami, bien sûr. Vu comme on se les arrache en ce moment, vous pourriez sûrement en faire quelque chose. Un artiste tel que vous…
Tu es content de boire pour garder une contenance alors qu’il dit ceci, presque avec le sourire et malgré son soupir. Est-ce un piège ou une mauvaise blague ? Voilà qu’il te propose de racheter ton propre travail, et tu n’arrives pas à lire sur ses traits s’il est simplement trop désolé de sa situation ou s’il te menace à demi-mots. Qu’est-ce que cela veut dire, un artiste tel que toi, dans ce contexte, au juste ? S’il pense que c’est un faux, qu’imagine-t-il que tu pourras en faire, si ce n’est l’utiliser en cours comme cas d’études ? Ce n’est pas comme s’il était sensé savoir que tu enseignes bien l’art des faussaire à certains étudiants… Tu es suspicieux, peut-être un peu sur la défensive même, mais tu parviens à lui accorder un sourire.
– Oh, vous n’aurez même pas besoin de me la laisser, je peux faire ça très vite.
Et en joignant le geste à la parole, tu abandonnes le verre maintenant vide pour tirer d’un tiroir une petite boîte en bois.
– Quant à votre offre généreuse, disons que nous en reparlerons quand nous serons fixés, voulez-vous ? Si le tableau s’avérait être un faux, je ne pourrais vous l’acheter pour une somme qui effacerait votre légitime colère, mais je vous l’échangerai volontiers pour le faire étudier contre mon aide pour dénoncer les coupables et obtenir justice d’eux - c’est que, vous le devinez, j’ai une petite autorité dans ces milieux… C’est un drame de penser que l’on peut abuser des bonnes gens ainsi, et je ne permettrais pas à mes concurrents de se faire déloyaux au péril des amateurs d’art eux-mêmes.
Beaucoup de vaines paroles et très peu de sens - ton agacement et ton impatience ont tendance à te rendre inutilement volubile. Tu tires de la boite une sorte de petit couteau de peinture, grattes devant ses yeux un coin de la toile avant de poser le résultat dans une fiole dans laquelle tu verses un petit liquide - un sort qu’on ne doit réserver qu’en dernier recours, car ton geste fait une trace que les yeux avertis ne manqueront pas de voir tant que la plaie n’aura pas été restaurée. Quel malheureux coup du destin te pousse donc à saboter ainsi ton travail ?… Tu essaies de ne pas y penser, refermes la fiole et en attendant que la potion agisse inspectes sérieusement le cadre et les bords de la toile. C’est inutile maintenant, le vernis révèlera tout, trop coloré pour son âge véritable, mais tu ne peux pas au moins faire semblant d’être un homme sérieux sous peine de révéler être l’auteur de la supercherie. Tu dois avoir l’air de douter encore un peu. Tu reprends, sur le ton de la discussion badine :
– Tout de même c’est dommage, j’aime assez le sujet de ce tableau. Qu’en pensez-vous ?
dans une sorte de minuscule basse-cour au fond de son cerveau il engraissait un petit troupeau de rancunes que le temps accroissait - Si vous me poursuivez, prévenez vos gendarmes que je possède une arme et que je sais tirer.
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