Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
(#) Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Priam Rosier leNom
Rosier. Plus qu'un nom, un devoir. Priam le porte avec autant de fierté que de crainte, le brandit en étendard pour mieux camoufler ses doutes et fait tout ce qui est en son pouvoir pour s'en montrer digne. Rosier, c'est le nom qui fait de lui ce qu'il est, mais c'est aussi celui qu'il a volé à ses aînés. Il n'aurait jamais dû passer de benjamin à aîné, mais les drames de la vie en ont décidé autrement.Prénom
Priam, prénom issu de la mythologie grecque, prénom d'un roi qui a failli, qui n'a pas su protéger les siens, prénom synonyme de couronne brisée. Priam, prénom-prophétie au son duquel il se perd dans trop de doutes. Priam, dont il s'est juré de ne pas réécrire l'histoire. Priam, comme l'inévitable rappel que le poids sur ses épaules pèse un peu trop lourd. Puis Victarion, second nom du coeur, marque de tendresse maternelle à laquelle il se réfère lorsqu'il manque de courage, second prénom comme le lien tacite entre sa mère et lui, comme signe de leurs ressemblances et de leur amour commun pour la poésie du poison.Naissance
Il est né durant l'été, alors que le soleil caressait la roseraie familiale. Certains diront que la saison durant laquelle il a vu le jour a influencé la personne qu'il est devenu, et face à qui il est, on pourrait presque penser qu'ils n'ont pas tort. Priam est un enfant du plein été, couronné par la constellation du Lion, constellation qui lui va presque trop bien, lorsqu'on a l'occasion de le voir ôter son masque. Une constellation qui, pourtant, lui irait presque mal, lorsqu'on voit les fissures qui strient son âme. Sans doute que tout aurait été différent, si Agrippa et Trivia n'avaient pas trouvé la mort si jeunes. Toujours est-il que son anniversaire tombe tous les 5 août et qu'il foule cette terre depuis l'année 1895.Parents
Castor : Patriarche Rosier, première branche d'une famille aux épines bien plus dangereuses que celle des fleurs dont ils tirent leur nom. Priam le craint autant qu'il l'aime et lui voue un respect sans faille. Il n'a de cesse de vouloir le rendre fier et fait tout ce qui est en son pouvoir pour supporter le poids de la couronne qu'on a plus ou moins posé de force sur sa tête. De Priam, Castor ne connaît qu'une façade, loin d'imaginer que son fils se perd dans les plaisirs de la chair et ceux du jeu.Geneviève : Elle est celle qui lui a donné la vie et celle dont la tendresse a rythmé l'enfance. Elle est celle qui lui a appris le sublime pouvoir des poisons et qui lui a transmis sa passion des fleurs. Il les aime tout autant qu'elle et il n'est encore aujourd'hui pas rare de les voir se promener dans l'allée de la roseraie familiale, roseraie dont ils sont tous les deux très fiers. Priam a très mal vécu la dépression de sa mère à la suite de la mort de ses aînés et c'est sans doute en partie ce qui justifie qu'il n'ait pas réussi à faire totalement son deuil. Elle est aujourd'hui la seule à connaître les multiples visages de son fils et s'il craignait profondément le regard qu'elle porterait sur lui, il a été soulagé de découvrir que cela ne changeait rien à l'affection qu'elle lui porte.
Trivia et Agrippa : Ils étaient les grands, ceux qui faisaient de lui le benjamin de la famille. Leur mort a été un véritable traumatisme pour Priam qui ne s'en est jamais vraiment remis. Leur image est figée dans une sorte de perfection permanente qu'il essaye tant bien que mal d'atteindre. C'est encore plus vrai pour Agrippa, à la hauteur duquel il ne se sent pas. Il lui arrive fréquemment de penser qu'il aurait mieux valu qu'il soit celui que la mort est venue prendre.
Diane : Elle est la seule soeur qui lui reste, mais elle est bien plus que ça. Elle est celle qui a fait de lui un grand frère, celle qu'il s'est juré de protéger et dont la promesse a pris des proportions qui le dépassent après le décès de ses aînés. Elle est son garde-fou, elle est celle qui l'a sauvé lorsque tout lui semblait noir et il est prêt à lui sacrifier le monde si cela s'avère nécessaire. Son désir de la protéger est tellement dévorant qu'il se retrouve à la faire suivre, parce qu'il se refuse à l'éventualité de la perdre.
Nature du sang
Le sang est pur, immaculé, et il semble évident pour Priam qu'il doit en être ainsi. Il est très fier de ce fait, très fier de se dire que la magie circulait dans les veines du moindre de ses ancêtres. S'il ne se soucie pas du statut de sang de celles qu'il entraîne entre ses draps, il en irait différemment s'il se devait de faire naître un héritier.Situation matrimoniale
Eternel célibataire, Priam se refuse au mariage. Il voit ce dernier comme autant de chaînes qui viendraient restreindre le réconfort qu'il trouve dans les draps de trop de femmes. S'il ne se sent pas capable de supporter le poids de son nom sans rencontrer ses amours d'un soir, il est d'autant plus décidé à retarder son mariage depuis qu'il a convaincu son père de ne marier sa sœur qu'une fois qu'il sera lui-même l'époux de quelqu'un. La condition de cet accord, c'est qu'il doit cependant accepter de rencontrer les femmes que son père pense dignes de rejoindre la famille Rosier. Ne tient qu'à lui de trouver des raisons de ne pas donner suite.Occupation
Priam est un Rosier, et à ce titre, il a appris depuis son plus jeune âge à charmer la mort sous toutes ses formes. Véritable virtuose du poison, il parvient à en apprivoiser les aspects et ses parents disent régulièrement qu'il finira par les surpasser tous les deux. Passionné par les plantes, et notamment par les fleurs, il a fait de celles-ci sa marque de fabrique, suivant plus volontiers les pas de sa mère que ceux de son père, même s'il respecte et use volontiers du savoir qu'il a hérité de celui-ci. Il est donc en charge de la partie "poisons et administration de ceux-ci" de la boutique familiale en accord, bien évidemment, avec son père. Il tient cependant la boutique -et notamment la partie apothicaire- lorsqu'il est nécessaire de remplacer quelqu'un à ce poste.Liens recherchés
Il est celui que Priam a choisi pour suivre sa soeur dans toutes ses activités. Le job est particulièrement bien payé, demande peu de qualifications et n'a que trois consignes : Protéger sa soeur sans se faire voir. Se révéler uniquement au besoin de chasser la mort. Faire des rapports quotidiens des activités de celle-ci et plus encore des personnes dont elle croise un peu plus précisément la route. Priam veut des noms, Priam veut pouvoir enquêter sur l'identité des concernés, Priam veut contrôler.
Priam te connaît, te fréquente et t'apprécie même. Il est cependant loin d'imaginer ce que tu caches les nuits où la lune est trop ronde, loin de comprendre qu'il a laissé entrer le loup dans sa bergerie et sans doute vaudrait-il mieux qu'il ne sache jamais ton secret. Vous n'avez sans doute jamais parlé de son avis sur la question, justifiant vos relations dont la base n'est rien d'autre qu'un mensonge, finalement. Déception croisera la colère sur le chemin de vos destins respectifs.
Il n'y a rien de noble dans votre nom, rien de trop important dans votre position, vous êtes une anonyme, habitante de l'éternelle nuit qui veille sur les lieux illégaux. Vous avez croisé la route de Priam lors de l'une de ses déambulations nocturnes et vous avez décidé de lier vos destins le temps d'une étreinte. Qu'il s'agisse d'un cas isolé ou d'une compagnie plus régulière, vous ne connaissez de Priam que ses traits et le nom qu'il vous a offert, l'officieux, celui qui vient protéger le masque en journée, ainsi que, sans doute, la rose laissée là au petit matin, remplaçante parfumée de celui qui se voudrait double pour supporter sa vie.
Vous fréquentez les Rosier non pas pour leur personnalité mais davantage pour leur talent... particulier. Vous savez apprécier la mort glissée dans un flacon et vous trouvez bien des utilités à ce qu'ils vendent à l'arrière de leur boutique. Prince dont l'ambition dévorante nourrit de tristes desseins ou Discret secret dont l'identité n'est Personne, vous cherchez à régler vos ennuis de façon définitive. Que vous n'ayez mis les pieds là-bas qu'une fois ou bien mille, soyez assuré que le secret de votre entreprise ne quittera jamais les lèvres scellées des Rosier.
Vous connaissez l'autre facette de la boutique, celle qui fournit les ingrédients et les potions. Votre chemin a croisé un peu par hasard celui de Priam un jour où il remplaçait au comptoir.
Votre nom est synonyme de puissance, de réussite et de fierté familiale. De Priam, vous ne connaissez que le masque, celui de l'héritier qui tente d'être digne de la réputation des Rosier, qui se pare de superbe lorsqu'il vous croise et dont l'Impeccable vient orner le prénom. Il a pu être votre camarade de classe, dans ce cas vous vous souvenez sans doute de l'irréprochabilité de son comportement passé la première année, ou peut-être du drame venu le couronner. Vous l'avez croisé plus tard, alors vous ne savez de lui que la prestance dont il se drape pour vous côtoyer. Vous connaissez la rumeur, celle qu'il dit qu'il recherche la femme qui sera digne de poursuivre l'héritage des Rosier. Peu importe ce que vous pensez de ce qu'il renvoie, vous ne connaissez que la moitié d'un homme qui lutte de toutes ses forces pour se montrer Digne.
Votre nom n'est pas de ceux qui comptent et vous connaissez de Priam l'autre part de lui, celle qui parie, qui joue, boit, et passe la nuit ailleurs que chez lui. Vous connaissez les rires, le scintillement du regard alors qu'il abat ses cartes sur la table, vous connaissez la moue si spécifique qu'il a lorsque la chance le quitte pour gagner la compagnie d'un autre, vous connaissez l'Autre, celui dont le nom ne brille pas, celui dont l'identité factice a pourtant plus de sincérité qu'on ne veut bien le penser. Vous avez joué, vous avez parlé, vous avez ri avec cet Autre et vous ne savez rien des roses qui viennent orner sa couronne.
Carnet de rp
(#) Re: Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Priam Rosier le@Diane Rosier
Elle est la seule soeur qui lui reste, mais elle est bien plus que ça. Elle est celle qui a fait de lui un grand frère, celle qu'il s'est juré de protéger et dont la promesse a pris des proportions qui le dépassent après le décès de ses aînés. Elle est son garde-fou, elle est celle qui l'a sauvé lorsque tout lui semblait noir et il est prêt à lui sacrifier le monde si cela s'avère nécessaire. Son désir de la protéger est tellement dévorant qu'il se retrouve à la faire suivre, parce qu'il se refuse à l'éventualité de la perdre.
@"Castor Rosier"
Patriarche Rosier, première branche d'une famille aux épines bien plus dangereuses que celle des fleurs dont ils tirent leur nom. Priam le craint autant qu'il l'aime et lui voue un respect sans faille. Il n'a de cesse de vouloir le rendre fier et fait tout ce qui est en son pouvoir pour supporter le poids de la couronne qu'on a plus ou moins posé de force sur sa tête. De Priam, Castor ne connaît qu'une façade, loin d'imaginer que son fils se perd dans les plaisirs de la chair et ceux du jeu.
@"Geneviève Rosier"
Elle est celle qui lui a donné la vie et celle dont la tendresse a rythmé l'enfance. Elle est celle qui lui a appris le sublime pouvoir des poisons et qui lui a transmis sa passion des fleurs. Il les aime tout autant qu'elle et il n'est encore aujourd'hui pas rare de les voir se promener dans l'allée de la roseraie familiale, roseraie dont ils sont tous les deux très fiers. Priam a très mal vécu la dépression de sa mère à la suite de la mort de ses aînés et c'est sans doute en partie ce qui justifie qu'il n'ait pas réussi à faire totalement son deuil. Elle est aujourd'hui la seule à connaître les multiples visages de son fils et s'il craignait profondément le regard qu'elle porterait sur lui, il a été soulagé de découvrir que cela ne changeait rien à l'affection qu'elle lui porte.
Agrippa & Trivia Rosier
Ils étaient les grands, ceux qui faisaient de lui le benjamin de la famille. Leur mort a été un véritable traumatisme pour Priam qui ne s'en est jamais vraiment remis. Leur image est figée dans une sorte de perfection permanente qu'il essaye tant bien que mal d'atteindre. C'est encore plus vrai pour Agrippa, à la hauteur duquel il ne se sent pas. Il lui arrive fréquemment de penser qu'il aurait mieux valu qu'il soit celui que la mort est venue prendre.
@Lorenzo de Medici
Lorenzo, comme le père qui connaîtrait tout de lui, tous les vices et les scories qui gangrènent son âme. Lorenzo, comme le père de celui qu'il n'a pas le droit d'être, comme celui qui lui a donné la possibilité d'exister, comme celui qui l'a libéré. Lorenzo, c'est cet homme qui a vu naître le masque, qui a accepté tout ce qui s'y trouvait et qui l'entraîne dans une liberté grisante grâce à laquelle Priam a l'impression de vivre à nouveau. S'ils ne sont pas liés par le sang, Priam le considère réellement comme un membre de sa famille à part entière, comme le reflet d'un père qui saurait et parviendrait à aimer ce que lui-même ne peut tolérer. Là où Castor est le père de Priam Rosier, Lorenzo est celui de Lucien, celui de l'ombre, celui du jeu et des plaisirs. C'est lui qui a vu au delà des apparences, c'est lui qui l'a vu s'effondrer sous le poids de sa couronne, c'est lui qui l'a présenté à Ma' et qui lui a permis, d'une certaine façon, de rencontrer Alice. C'est lui avec lequel il joue, parie et perd souvent et Priam ne saura jamais vraiment comment exprimer le soulagement et l'apaisement que Lorenzo a apporté à son âme. Alors, lorsque Lorenzo vient acheter du poison chez les Rosier, c'est à lui qu'il réserve ses meilleurs flacons. Il était là, lorsque ce second père est venu acheter la promesse de mort qui a volé la vie d'un Lestrange. Il gardera le secret jusqu'à la fin, jusqu'au jour où lui aussi croisera la faucheuse, vieille amie à qui il a confié bien des âmes au gré des essences qui naissent entre ses doigts.
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(#) Re: Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Priam Rosier le@Alice Beauregard
Alice et son regard, Alice et le bleu de ses yeux, azur irréel d'un ciel tombé fou amoureux de l'océan. Alice et l'irrémédiable désir, celui qui dévore et ne quitte jamais plus l'esprit, Alice comme ce souvenir qui le hante, comme les mots qui s'abandonnent au bord des lèvres, question posée, question volée, comme autant de promesses. « Qui est cette fille... ? » Réponse qui tombe comme une évidence, Alice qui guidera ses pas vers le pays des merveilles, avec qui il se rendra de l'autre côté du miroir, chercher l'apaisement d'une âme qui toujours se déchire. Alice, comme le souvenir de ses bras, perdu dans des draps dont il paye chacun des séjours, Alice comme la caresse qui s'égare le long des côtes, comme le baiser qui s'abandonne au coin des lèvres, une fois, deux fois, trop de fois pour pouvoir les compter. Alice, comme cette femme vers qui il ne cesse de revenir, contre le corps de laquelle il vient trouver refuge, mêlant leurs souffles comme s'il en avait besoin pour exister. Alice, aux traits qu'on oublie pas, Alice, présence rassurante qu'il a appris à apprécier, qu'il a appris à écouter, et qui a fini par transformer les roses en lys. Alice, A-Lys, la seule qui connaisse vraiment son nom dans les nuits d'abandon, Alice dont le regard l'a ensorcelé et dont la compagnie lui est devenue essentielle. Alice. Juste Alice. Rien qu'Alice.
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(#) Re: Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Priam Rosier le@Neith Shafiq
Neith, c'est un visage datant d'un autre temps, de celui où les responsabilités pesaient un peu moins lourd sur les épaules bien nées, celui de regards qui s'égarent sans jamais vraiment se rencontrer, trop d'années d'écart à l'époque pour qu'ils ne puissent vraiment se comprendre. Neith, c'est l'histoire d'un soir de hasard où ils se recroisent dans un bar. Neith, c'est lui qui l'approche, elle qui lui sourit, intérêts différents qui finiront par se rencontrer au fond d'un lit. Contre la douleur et les rires, la soirée s'est achevée dans la douceur des caresses et les baisers ivres de la tendresse. Souvenir agréable pour Priam, dont le seul regret tient dans le fait que Neith ne se méprendra jamais sur son identité. Il en va différemment pour la jeune femme, qui s'est retrouvée seule face aux conséquences de leurs étreintes. Si tout ça date aujourd'hui de plusieurs années, Priam voit d'un mauvais œil le fait qu'elle approche sa sœur, rendu craintif par le risque que Diane découvre un fragment du masque qu'il s'évertue à lui cacher. Les accords embarrassants du nom de Neith lui revenant trop souvent dernièrement, le jeune homme a mis la main sur un flacon qui lui permettra de comprendre ce qu'elle lui cache en abordant sa sœur. Mais les actes ont des conséquences et Priam n'est pas prêt pour ce qu'il risque d'apprendre.
@Gabrielle De L'Estang
Gabrielle, c'est l'histoire des lèvres enchanteresses, des mots qui glissent au creux des rêves et s'oublient lorsque vient le matin. Gabrielle, c'est le sourire qui se fane lorsqu'un jour Priam comprend qu'elle est bien plus que « Sa Gaby ». De L'Estang à la manière d'un échafaud vient couper la tête du désir, brise l'élan de l'affection, efface la tendresse bien plus rapidement qu'elle est née. Peur enflamme les tombeaux d'une relation idéale, embrase les velléités de fuite de Priam tout en éteignant une fois pour toutes les idées folles d'une jeune femme qui a tout perdu pour lui. Aujourd'hui, ils sont deux inconnus. Si pour lui, elle est un souvenir doux-amer dont il craint les conséquences, pour elle, il est la cause de son malheur, la raison de sa ruine et le nom de sa déchéance. Retrouvailles insoupçonnées viennent pourtant mettre les âmes à l'épreuve, Priam face au miroir de sa honte, Gabrielle face à celui de sa (p)haine.
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(#) Re: Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Priam Rosier le@"Prénom Nom"
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(#) Re: Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Lorenzo de Medici le❝ I could love you with my eyes closed, Kiss you with a blindfold,
Figure you out.
I might hold you with my hands tied and show you I'm the right guy❞
(#) Re: Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Priam Rosier leLorenzo de Medici a écrit:
--> Hey toi Je vais ajouter Alice dès maintenant, vu qu'on en a déjà discuté, est-ce que tu veux qu'on discute de Lorenzo par ici ou plutôt sur Didis ? (je t'enverrai le lien pour que tu me le valides !)
(#) Re: Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Invité leJe pose ma griffe ici
Hâte d’écrire avec toi
(#) Re: Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Priam Rosier leCamille Delacour (2nd compte)
Camille Delacour (2nd compte)
Camille Delacour (2nd compte)
(#) Re: Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Pietro de Medici leJe viens te proposer un lien avec Niamh et leur désamour partagé pour la lycanthropie ! Est-ce que ça te tenterait qu'ils aient pu se croiser et échanger dans les ruelles des Lanternes Violettes, Niamh se présentant comme alchimiste agréée et œuvrant pour trouver un remède contre cette malédiction (sans toutefois parler qu'elle est elle-même lycanthrope).
Une relation qui remonterait à quelques années, avec des creux dans leur fréquentation dû aux isolements subis par Niamh, voire qui peut continuer via lettres ?
Si l'idée te tente et t'inspire, n'hésite surtout pas
(#) Re: Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Priam Rosier leEt je pense effectivement qu'un lien s'impose, parce que leurs intérêts peuvent effectivement se croiser, même si la finalité diffère selon le regard que chacun y porte ! J'ai cette recherche de lien qui me semble correspondre :
La bête au visage humain H/F/NB · XX ans · Lycanthrope
Priam te connaît, te fréquente et t'apprécie même. Il est cependant loin d'imaginer ce que tu caches les nuits où la lune est trop ronde, loin de comprendre qu'il a laissé entrer le loup dans sa bergerie et sans doute vaudrait-il mieux qu'il ne sache jamais ton secret. Vous n'avez sans doute jamais parlé de son avis sur la question, justifiant vos relations dont la base n'est rien d'autre qu'un mensonge, finalement. Déception croisera la colère sur le chemin de vos destins respectifs.
En modifiant la fin, bien évidemment et en personnalisant l'idée ensemble ! L'idée me tente, m'inspire et me donne très envie de la concrétiser ! L'échange épistolaire je le valide absolument, pour le début du lien, on peut soit partir sur la discussion dans les ruelles, soit on peut faire passer ta minette en boutique (côté légal, évidemment) un jour où Priam était au comptoir et qu'elle elle cherchait des ingrédients. Ca peut justifier qu'ils aient discuté en profondeur du sujet. J'approuve également le fait qu'ils se soient rencontrés il y a plusieurs années, je trouve ça bien plus intéressant que s'ils venaient tout juste de se connaître.
Du côté de Priam, ça va pouvoir être super intéressant parce que ça va forcément l'ouvrir un peu à d'autres solutions que celle de faire "disparaître" le problème. Et puis le potentiel de drama est tel qu'il me met en joie !
(#) Re: Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Léopold de Valoys leJe pense qu'on a deux pistes pour partir sur un lien ! D'une part, les Rosier sont forcément connus des de Valoys, et je pense que Léo a forcément déjà fréquenté la partie légale du commerce et doit sans doute connaître (ou avoir entendu parler) de sa partie plus illégale. Je l'imagine peut-être avoir déjà commandé des remèdes "non autorisés" à cause d'ingrédients rares pour soigner les blessures de ses enfants suite aux attentats de 1917 (sa fille aînée et son fils cadets ont tous deux conservé des séquelles physiques visibles desdits attentats). Il aurait pu à cette occasion croiser au comptoir Priam. Par ailleurs, le Duc a des bases en potions, donc sûre qu'il est un client régulier du comptoir légal de la famille !
Deuxième piste possible, c'est l'aspect plus social / mondain ; les Rosier sont quand même bien implantés dans le paysage mondain français, donc je suis certaine qu'il a pu croiser aussi le visage plus "mondain" de l'héritier parfait que représente Priam ^^
Je ne sais pas si cela t"inspire, ou si tu as d'autres envies pour un lien avec Léo ? ^^
(#) Re: Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Raphaël Malefoy leJe pense qu'on peut facilement lier nos deux zozos avec quelque chose d'intéressant !
Dans sa précédente vie, Raphaël était un talentueux herboriste et potionniste (l'une des rares choses dans laquelle il est bon, d'ailleurs). Même s'il a dû officiellement abandonner cette ambition, c'est toujours quelque chose qui le passionne aujourd'hui, au point de s'être lancé dans le business secret de la potion expérimentale. Ayant effectué sa scolarité à Durmstrang (même si personne ne le sait), il est plutôt calé dans tout ce qui est magie noire, et n'a pas de tabou en ce qui la concerne, ce qui lui permet de repousser assez loin les limites de l'éthique sans trop de scrupules.
Je pense qu'il aurait forcément à un moment ou un autre eu affaire à l'entreprise secrète des Rosier, que ce soit en tant que client, ou même peut-être de collaborateur discret et ponctuel ? Quoi qu'il en soit, ils peuvent s'être rapprochés autour de cette passion commune, chacun tenu au secret de l'autre par son propre besoin de discrétion.
Sinon, Raphaël étant plutôt un oiseau de nuit, il a l'habitude de fréquenter les bars, clubs et autres endroits du genre, ne s'arrêtant pas aux établissements sélect réservés à l'élite, au contraire. Ils auraient aussi pu s'y croiser, complètement ignorants de leurs statuts mutuels (ou non).
Les deux idées peuvent même être liées, pour plus de croustillant.
N'hésite pas à m'envoyer un message ici ou sur Discord si ça te tente !
(#) Re: Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Priam Rosier leDu coup du coup du coup !
Effectivement, il a déjà pu tomber sur Pripri au moment des attentats. À cette époque-là, Priam est tout jeune et sans doute dans les débuts des moments où il est autorisé à tenir la boutique tout seul -les deux aspects de celle-ci. Priam à l'époque, il vient de découvrir ce qu'il peut faire en dissimulant son identité et du coup ça va super dans sa vie, il est même plus inventif qu'avant, il retrouve l'envie de créer des poisons (sa grande passion) mais sans doute aussi des potions, parce qu'il est doué dans les deux domaines.
J'adore l'idée que Léo soit venu chercher des remèdes un peu moins légaux. Là c'est nickel, parce que figure-toi que certains poisons sont aussi de très bons remèdes lorsqu'ils sont utilisés avec parcimonie, et du coup ça justifie totalement qu'il ait à faire à Pripri. Sans doute sous la supervision d'un de ses parents, mais il est déjà autonome sur la question, et je pense vraiment pas qu'on ait refusé de lui vendre des trucs illégaux. Simplement, on lui a peut-être plutôt donné rendez-vous à l'arrière de la boutique, si tu vois ce que je veux dire. Après, est-ce que Léo' a douté un peu quand on lui a donné les prescriptions ou est-ce qu'il a plutôt fait aveuglément confiance ? Ça je te laisse me dire.
Pour l'évolution du lien, effectivement Priam est pas mal connu dans le cercle mondain, où il fait très bien caméléon. Sur ça, j'ai un truc à te proposer qui rejoindrait également ton fiston (Coucou @Louis de Valoys ), je vois bien Priam se reconnaître en Louis, notamment dans la pression qu'il porte sur les épaules. Si ça t'intéresse, Louis, je voulais te proposer un lien où Priam essaye d'avoir le rôle que papa Lorenzo a eu pour lui. Pas certaine que Léo' voit ça d'un bon œil, s'il s'en rend compte, si ? Mais avant de pousser sur cet aspect-là, je voulais savoir si ça vous intéressait comme ébauche ?
Autre chose, sans doute qu'il a déjà croisé Léo plus jeune, genre pendant des réunions officieuses de l'Ordre (sans savoir de quoi parlaient les adultes) mais du coup c'est forcément un visage connu de Pripri, Léo. Du coup, y a peut-être moyen de trouver un début de lien autour de ça. Est-ce que Léo faisait déjà partie de la vie des Rosier (même de loin) au moment du drame qui a terrassé les aînés de la fratrie ?
Merci de me proposer un lien, je n'ose pas venir moi-même chercher des liens parce que j'ai peur qu'on n'ait pas envie d'en avoir avec moi. Il faut que je lise la fiche de ta mistinguette aussi, elle m'intrigue et je pense qu'il y a moyen de trouver quelque chose par ici aussi.
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Mes excuses à toi aussi, @Raphaël Malefoy j'ai complètement oublié de venir répondre sur ma fiche !
Déjà, j'adore le personnage de Raphaël, je trouve l'idée brillante et exécutée d'une main de maître. J'ai donc très envie d'un lien avec toi, tes idées me bottent aussi énormément !
Priam n'a pas trop de tabou avec la magie noire non plus, mais il ne l'utilise pas du tout et par contre il trouve l'Avada vulgaire, il lui préfère mille fois le poison qu'il considère comme un art.
MAIS DU COUP : il connaît forcément ton loustic (ou plutôt son prédécesseur) au moins de loin, parce qu'ils ont fait leur scolarité à quelques années d'écart. Dans ces conditions, on peut même ajouter une pointe d'étonnement dans les changements de Raphaël (forcément, hein, tu me diras, c'est pas la même personne). Mais je te propose que Priam n'en parle pas. Il est pas du genre à juger, est plutôt muet comme une tombe et je pense qu'il préfère le nouveau Raphaël à l'ancien, parce qu'ils ont effectivement des passions en commun. Je te propose pas qu'il devine hein, mais que ça ait soulevé des interrogations chez lui.
Pour ce qui est du rapprochement, je valide à 1516556% ! Ils peuvent s'être rencontrés d'abord du côté officiel de la boutique, et au fur et à mesure des discussions, ça a pu migrer de l'autre côté de celle-ci. Le secret des Rosier est un secret de polichinelle de toute façon, tout le monde le sait mais personne ne le dit. Priam sera ravi d'avoir quelqu'un avec qui expérimenter et créer de nouvelles choses, que ce soit dans le domaine des poisons (genre il peut innover dans le domaine si besoin) ou des potions, l'une de ses matières favorites dont il a d'ailleurs toujours utilité aujourd'hui.
Je propose effectivement de lier tout ça aux mondes respectifs de la nuit et du jour, je trouve l'idée qu'ils se soient reconnus mais se taisent sur la question d'un commun accord plutôt charmante. Je sais pas ce que tu en penses ?
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@Niamh Lupin J'ose pas te relancer sur didis, mais j'étais super enjouée par ton idée, si jamais elle te tente toujours
Camille Delacour (2nd compte)
Camille Delacour (2nd compte)
Camille Delacour (2nd compte)
(#) Re: Priam Rosier - “Il y a dans la mélancolie assez de poison pour tuer un homme.”
missive rédigée par Pietro de Medici leJe viens d'aller lire ta fiche (pour être certaine de maîtriser toutes les données de notre échange 2945508066 D'ailleurs au passage j'ai passé un très bon moment dans la lecture de celle-ci, merci hearts )
→ Merci du compliment ! C'est très gentil à toi
Et je pense effectivement qu'un lien s'impose, parce que leurs intérêts peuvent effectivement se croiser, même si la finalité diffère selon le regard que chacun y porte ! J'ai cette recherche de lien qui me semble correspondre :
La bête au visage humain H/F/NB · XX ans · Lycanthrope
Priam te connaît, te fréquente et t'apprécie même. Il est cependant loin d'imaginer ce que tu caches les nuits où la lune est trop ronde, loin de comprendre qu'il a laissé entrer le loup dans sa bergerie et sans doute vaudrait-il mieux qu'il ne sache jamais ton secret. Vous n'avez sans doute jamais parlé de son avis sur la question, justifiant vos relations dont la base n'est rien d'autre qu'un mensonge, finalement. Déception croisera la colère sur le chemin de vos destins respectifs.
En modifiant la fin, bien évidemment et en personnalisant l'idée ensemble ! L'idée me tente, m'inspire et me donne très envie de la concrétiser ! L'échange épistolaire je le valide absolument, pour le début du lien, on peut soit partir sur la discussion dans les ruelles, soit on peut faire passer ta minette en boutique (côté légal, évidemment) un jour où Priam était au comptoir et qu'elle elle cherchait des ingrédients. Ca peut justifier qu'ils aient discuté en profondeur du sujet. J'approuve également le fait qu'ils se soient rencontrés il y a plusieurs années, je trouve ça bien plus intéressant que s'ils venaient tout juste de se connaître.
Du côté de Priam, ça va pouvoir être super intéressant parce que ça va forcément l'ouvrir un peu à d'autres solutions que celle de faire "disparaître" le problème. Et puis le potentiel de drama est tel qu'il me met en joie !
Je suis toute aussi en joie ! Et très hypée par l'idée d'un tel lien Étant une Lupin, forcément elle va cacher au maximum sa Bête (c'est une honte, une maladie).
Je vais prendre l'idée de se croiser dans les ruelles, voire carrément sur une vente aux enchères à la sauvette où nos deux zouaves se seront disputé la même cargaison de plantes. A la fin, Niamh aura accepté de céder son enchère si Priam accepte de lui donner son adresse et une ristourne quand elle viendra acheter ce dont elle a besoin (n'ayant concrètement pas la nécessité d'une caisse entière).
De là, ils se seront croisés, écrits et côtoyés depuis quelques années (il faudra que je zieute ma chrono pour voir depuis quand exactement). A voir avec toi si tu veux que l'on joue en rp la découverte de Priam sur l'essence réelle des recherches de Niamh (pas qu'elle soit elle-même une lycan, autant garder ça plus tard). Le pourquoi elle veut guérir la lycanthropie et offrir une alternative à ceux qui ne veulent pas en guérir.
On pourrait coller ça vers Décembre si tu es à l'aise à jouer sur ce mois !
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J'enchaine avec Tatiana pour cette idée que tu avais :
"soit on peut faire passer ta minette en boutique (côté légal, évidemment) un jour où Priam était au comptoir et qu'elle elle cherchait des ingrédients."
Et ça j'aimerai beaucoup le jouer ! En effet, Tatie souffre d'une malediction (c'est une Romanov cachée) et elle se manifeste par une perte de mémoire progressive. L'oiselle tente désespérément d'en contrebalancer les effets avec beaucoup de lecture, relecture, notes écrites et autres exercices mentaux, mais tout ça a ses limites.
Je me disais qu'elle pourrait, en désespoir de cause et maintenant qu'elle est presque fiancée, qu'elle va devenir une star montante de Paris : user de moyens plus extrêmes et peut-être moins légaux. Et donc venir à la boutique pour avoir une infusion, thé, potion... N'importe quoi pour booster sa mémoire et peut-être repousser son problème.
Ca pourrait faire un sujet d'étude intéressant pour Priam ? Un défi même peut-être vu que ce n'est pas tous les jours que l'on croise un cas pareil ?