Famille de l'Ours
César de l'OursCLOTHO | THIS IS OUR WORLD NOW !
FC + disclaimer : Jeffrey Dean Morgan
Warning : R.A.S.
Trigger : viol
Disponibilité RP : Dispo
Couleur Dialogue : #0066ff
Messages : 64
Bézants : 954
Multicomptes : Non, aucun.
Âge perso : 44
Nature du sang : Sang mélée
Etat Civil : Célibataire
Occupation : Fonctionaire au Ministère de la magie : Chargé de liaison avec les créatures humanoïdes
Joueur
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(#) Famille de l'Ours
missive rédigée par César de l'Ours le- Spoiler : Conte de Jean de l'Ours :
- “Il était une fois, un homme et une femme mariés qui avaient une belle jeune fille. Ils habitaient tout près d'un bois où vivait un ours. Cet ours avait maintes fois remarqué la jeune fille et elle lui avait plu. La méchante bête guettait toujours cette jeune fille et ne savait comment faire pour l'enlever.
Un jour ou elle étendait le linge et où ses parents étaient partis au bourg, la bête se cacha derrière une haie. Quand la jeune fille s'approcha, la bête sortit du fourré, la saisit et l'emporta au fond de sa tanière.
La pauvrette croyait sa dernière heure arrivée ! Mais elle eut beau crier et pleurer, il n’y avait personne pour l'entendre. La jeune fille avait grande peur de la bête, mais l'ours faisait tout son possible pour la consoler, et il lui donnait tout ce qu'il pensait pouvoir lui faire plaisir. Quand elle se vit traitée ainsi, la peur lui passa un peu : et si bien qu'elle eut un enfant de l'ours. Cet enfant était fort beau, mais velu de la tête aux pieds comme son père. L'ours apportait du dehors toutes les provisions nécessaires, et la femme ne sortait jamais de la caverne. Quand il partait, il fermait l'entrée avec une grosse pierre.
Quand l'enfant eut dix ans, il était déjà fort et robuste comme son père. Un jour que l'ours était sorti, il s'approcha de la pierre et essaya de la remuer. Il n’y parvint pas. Au bout de deux ans, un jour que l'ours était encore absent, son fils essaya de faire bouger la pierre ; d'un coup d'épaule, il la renversa. Alors, il dit à sa mère :
— Maman, il ne faut plus rester ici, il nous faut retourner chez toi.
— Mais, mon fils, lui répondit la femme, si ton père l’ours nous rattrape, nous sommes morts.
— Non, non, nous nous cacherons si bien que l'ours ne nous verra pas.
Et ils s'échappèrent tous deux. À force de marcher, et de marcher encore, ils arrivèrent chez les parents de la femme. Les vieux furent bien surpris de revoir cette fille disparue sans qu'ils n'eussent jamais su pourquoi ni comment. Et voici qu'elle leur revenait maintenant accompagnée de cet enfant velu de la tête aux pieds comme un ours des bois, mais qui se tenait droit comme un homme. Leur premier soin fut de baptiser le garçonnet. On l'avait baptisé Jean mais, en souvenir de son père, tous l’appelaient Jean de l’Ours.
Chaque jour, il devenait plus fort et plus robuste. Au bout de huit ans, Jean de l'Ours déclara un jour qu'il s'ennuyait et qu'il voulait partir pour voir du pays. Son parrain lui donna quelques sous pour son voyage. Avant de se mettre en route, le jeune homme s’en alla chez le forgeron du bourg, et là, il se fit une barre du poids de cent quintaux. Cela fuit, il dit aux gens de sa famille :
— Maintenant, arrangez-vous comme vous pourrez. Moi, je m'en vais courir le monde.
Et il fit du chemin, et il fit du chemin...
Jean de l'Ours finit par rencontrer un berger avec sa meule de moulin et un vacher avec son bâton de treize nœuds, qui décidèrent de le suivre pour courir le monde.
À force de marcher, ils arrivèrent devant une belle maison, à la tombée de la nuit. Ils demandèrent au maître s'il pouvait les loger et les faire travailler. Quand l'homme vit ces trois garçons si robustes, l’un avec sa barre de cent quintaux, le second avec sa meule de moulin, et l’autre avec son bâton aux treize nœuds, la peur le saisit, et il ne savait que faire ni que dire. Pourtant, il ne laissa rien paraître et il leur fit apprêter un bon souper ; puis ils commencèrent à parler de l'ouvrage.
— J'ai fait bâtir un château, dit le maître de la maison, où nul ne peut demeurer ; le démon y est et tue tous ceux qui s'y installent. Si vous voulez y travailler et remettre cette propriété dans l’état où elle était avant qu'on la laissât à l'abandon, la terre vous appartiendra.
Le lendemain matin, le monsieur les mena au château. Là, il y avait tout ce qu'il fallait pour boire et pour manger. Mais, comme ils étaient sur le point de partir tous trois travailler aux champs. Jean de l’Ours dit aux autres :
— Lequel d’entre vous va rester ici pour faire la cuisine, aujourd’hui ?
— Oh ! Moi, je vais rester, dit le Berger.
— Bon. Et quand ce sera l'heure de dîner, tu sonneras la petite cloche qui se trouve à côté de la porte.
Et les deux autres s'en allèrent travailler au-dehors.
Le Berger, mettait la soupe au feu, quand une vieille arriva dans la maison et tenta de le chasser. Le berger refusa. Alors, la vieille sauta sur le Berger et elle commença à frapper sur le dos de l’homme, si bien qu'elle ne lui laissait pas toucher terre ! Lui aurait bien voulu saisir sa meule, afin de broyer la vieille sur les carreaux, mais il n'en eut pas le loisir ; et la vieille le laissa là, étendue par terre, comme mort.
Midi arriva ; les autres, n’entendant pas la petite cloche, rentrèrent au château. Le berger honteux, n'ausa pas avouer qu'une vieille l'avait humilié.
Le lendemain, ce fut au tour du Vacher de garder la maison. Jean de l’Ours lui dit :
— Quand ce sera l'heure de dîner, tu tâcheras de sonner la petite cloche mieux que le Berger.
— Oui, oui ! N’aie pas peur.
Les deux autres s’en allèrent travailler, et lui commença à faire le ménage. Sa soupe était déjà à demi-cuite et son fricot bouillait quand la vieille arriva et tenta de le chasser. Le vacher refusa. Alors, la vieille courut au bâton du Vacher, et lui aussi ; et ils commencèrent à tirer chacun de son côté, tu l’auras et je l'aurai ! À la fin, le bâton resta entre les mains de la vieille qui se mit en devoir d’en faire rouler les treize nœuds sur l’échine du Vacher : elle le laissa comme mort sur la place, à peine pouvait-il souffler.
Midi arriva. N’entendant pas la clochette, les autres rentrèrent. Le vacher honteux, n'ausa pas avouer qu'une vieille l'avait humilié.
Le lendemain, ils laissèrent Jean de l’Ours au logis et s’en allèrent travailler aux champs.
— Je sonnerai, oui ! Leur dit-il. N'ayez crainte.
Et voici Jean de l’Ours occupé à son ménage. Il prépara la soupe, le fricot, rien ne manquait. Soudain, la vieille arriva dans la cuisine.
— Bonjour, mon garçon.
— Bonjour, vieille.
— Vous faites de bons fricots ?
— Oh oui, dit Jean de l'Ours.
— Ne voudriez-vous pas m'en faire goûter un peu ? Lui dit la vieille.
— Oh ! N'y comptez pas ! Je ne l'ai pas préparé pour vous.
— Oh ! Si !
— Oh ! Non !
Et, en même temps, la vieille voulut sauter sur la barre de cent quintaux, mais Jean fut plus leste qu'elle. Aussitôt qu'il eut empoigné la barre, hop ! D’un coup, il écrasa la tête de la vieille ; puis il commença à lui donner tant de coups sur sa carcasse qu'il la mit toute en morceaux. Quand il l’eut tuée, il la porta dans une armoire, et l’enferma dedans. Ensuite, il alla sonner la clochette, quand les autres entendirent sonner la petite cloche - dan-dan ! dan-dan ! dan-dan ! ils furent bien surpris et ne savaient quel parti prendre.
Jean de l’Ours, en attendant leur retour, se mit à visiter tout le château, avec sa barre de cent quintaux à la main. Tout en allant de chambre en chambre, il trouvait ici des hommes grands comme des diables, là de vieilles sorcières, plus loin des nains : tous étaient des créatures de l'enfer. Quand il eut assommé tous ces démons avec sa barre, il alla chercher ses camarades à l'ouvrage.
— Eh bien, vous ne venez pas dîner ?
— Oh ! Nous n'osions pas.
— Allons, pauvres enfants, n'ayez plus peur de rien.
— Et comment t'y es-tu pris, toi ?
— Oh ! Dit Jean de l'Ours, tout à l’heure, je vous ferai voir l’abatis que j'ai fait.
Lorsqu'ils eurent dîné, Jean de l’Ours ouvrit la porte de l'armoire :
— La reconnaissez-vous, celle-ci ? Leur demanda-t-il.
Les deux garçons honteux reconnurent la veille.
Et Jean de l’Ours conduisit ses compagnons d'appartement en appartement pour leur montrer tout ce qu'il avait tué. Puis, ils allèrent faire une grande fosse pour enterrer tout cela. Mais, en creusant la terre, ils trouvèrent un grand trésor que les démons avaient enterré auprès du château. Avec cet or et cet argent, leur fortune était faite, et ils étaient également propriétaires du château et des terres. Car il était dit dans leur marché avec le monsieur que tout leur appartiendrait s'ils pouvaient remettre le domaine en état dans la quinzaine. Ainsi, les trois risque-tout étaient devenus des messieurs.”
Ceci n'est qu'une des versions de l'histoire de Jean de l'Ours. Mais celle-ci est celle que ces descendants estiment être le plus proche de la réalité.
La part de l'histoire que les moldu fabule, est qu'en réalité l'Ours était un basajaun, un seigneur des forêts. Ces créatures bipèdes velues vivent avec leur dame des forêts, les basandere, dans la forêt d'Iraty, aux pieds de Pyrénées. Ces créatures fantastiques y habitaient encore de nos jours au fond de leur caverne voilée par leur magie primitive. Et Jean de l'Ours, l'enfant née d'une humaine et d'un basajaun était un hachkos.
La famille estime que le rapt de leur ancêtre a dû avoir lieu à la fin du 10 ème siècle. Le château des diables qu'avait gagné Jean et ses compagnons existe bien. Il est aujourd'hui en ruine sur la propriété de la famille. Le trésor des diables existé et a permis à la famille de vivre confortablement, mais aujourd'hui il n'en reste plus grand-chose. Quant à la fameuse barre en fer de cent quintaux, elle a été préservée par magie et est précieusement conservée par la famille.
Le roi sorcier avait ordonné à la famille d'
La famille ne tien pas en hautes estimes la royauté qui les a forcés dans leur servitude envers la communauté magique. La famille est divisé concernant la préservation magique mais reste plutôt favorable à la conservation du secret. Fut un temps, cette famille aurai été massacré sans le secret.
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▻ Prénom Nom ( H/F · xx ans · libre )
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