Rien n'est jamais acquis | Rachel & Octave
Octave DefresneATROPOS | THEN, LET IT BURN.
FC + disclaimer : Neil Patrick Harris par l'écureuil
Rythme de jeu : Lièvre
Warning : xénophobie (subie par le personnage), meurtre, deuil, rejet familial, activités criminelles, violences physiques et verbales
Trigger : description de nuque brisée
Disponibilité RP : full (9/9)
Couleur Dialogue : #993333
Messages : 100
Bézants : 2652
Multicomptes : Zuhra de Fronsac
Âge perso : 50 ans
Nature du sang : né moldu
Etat Civil : Marié
Occupation : Inventeur de la photographie magique, premier photographe du monde magique, peintre et faussaire
Joueur
FC + disclaimer : Neil Patrick Harris par l'écureuil
Rythme de jeu : Lièvre
Warning : xénophobie (subie par le personnage), meurtre, deuil, rejet familial, activités criminelles, violences physiques et verbales
Trigger : description de nuque brisée
Disponibilité RP : full (9/9)
Couleur Dialogue : #993333
Messages : 100
Bézants : 2652
Multicomptes : Zuhra de Fronsac
Âge perso : 50 ans
Nature du sang : né moldu
Etat Civil : Marié
Occupation : Inventeur de la photographie magique, premier photographe du monde magique, peintre et faussaire
Personnage
FC + disclaimer : Neil Patrick Harris par l'écureuil
Rythme de jeu : Lièvre
Warning : xénophobie (subie par le personnage), meurtre, deuil, rejet familial, activités criminelles, violences physiques et verbales
Trigger : description de nuque brisée
Disponibilité RP : full (9/9)
Couleur Dialogue : #993333
Messages : 100
Bézants : 2652
Multicomptes : Zuhra de Fronsac
Âge perso : 50 ans
Nature du sang : né moldu
Etat Civil : Marié
Occupation : Inventeur de la photographie magique, premier photographe du monde magique, peintre et faussaire
Succès
(#) Rien n'est jamais acquis | Rachel & Octave
missive rédigée par Octave Defresne le
Rien n'est jamais acquis
Dieu sait qu'je n'ai pas le fond méchant, je ne souhaite jamais la mort des gens
Mais si l'on ne mourait plus, j'crèverais de faim sur mon talus
19 déc. 1927 avec @Rachel Fabre | TW : aucun pour le moment
Neuf heures trente précises, tu te tiens devant la porte, dans l’entrée de ton atelier, droit comme un i, l’air tranquille sur le visage. Rachel Fabre ne t’a pas laissé beaucoup de temps pour te préparer – une semaine finalement, c’était peu – et heureusement que tu ne lui as pas écrit sur une simple intuition, mais en ayant déjà entamé le travail. Ce matin, tu es arrivé tôt, bien avant les premières lueurs du soleil, quittant ta femme endormie avec une pointe d’amertume. Et qu’on ne dise pas que tu n’es pas prêt à faire des sacrifices pour ton travail. Le jeu en vaudra peut-être la chandelle. Tout est prêt désormais, ton bureau vous attend, avec des papiers soigneusement disposés, des exemples concrets, des dossiers détaillés, certains mêmes moldus pour appuyer tes explications ; et tes machines pour les illustrer. Tu penses un instant, non sans ironie, que tu t’apprêtes à recevoir dans ce qui est aussi l’une des plus grandes maisons de faussaires de France la directrice de la plus grande prison de France, et tu as pour toi-même un petit ricanement. Déjà que tu avais l’impression de trahir tes principes… Tes réserves et tes doutes attendront ; tu as mis en marche un processus que tu ne pourras plus arrêter. Et de toute façon, ton orgueil ne te le permettrait pas. Puisqu’il faut marquer l’Histoire… Quel métier que le tien, tout de même.
– Madame la Directrice Fabre, je suis Octave Defresne. Enchanté.
Tu lui offres une poignée main ferme et mesurée, la salues comme tu le ferais avec n’importe quel autre partenaire potentiel. Que ce soit une femme n’a ici pas beaucoup d’importance puisqu’elle est à ce poste, le monde magique a depuis longtemps gagné contre toi et cet antique préjugé. Femme ou non, à la tête d’une prison, il vaut mieux lui offrir les respects traditionnels plutôt que les badineries ou flatteries qui plaisent au beau sexe. L’idée, pourtant, t’a bien traversé. Tu la chasses en offrant un sourire rayonnant à ton invitée.
– Si vous voulez bien me suivre.
Tu l’entraînes à ta suite dans l’escalier, avance d’un pas tranquille dans les couloirs décorés de photographies et de tableaux, et des dizaines de portes dont la plupart ne sont pas nommées de ce labyrinthe. Tu pourrais faire ce chemin les yeux fermés, mais tu sais qu’il peut être déroutant lors d’une première visite. Ton nom apparaît enfin en lettre d’or sur la porte que tu lui ouvres. La pièce est baignée d'une lumière douce, filtrée par les fenêtres enchantées qui donnent sur des jardins luxuriants imaginaires. Contrairement à son état habituel, ton bureau est presque désert. Les chevalets, les toiles en cours ont été soigneusement rangés, tout ce qui subsiste, c'est un espace épuré, parfaitement ordonné, avec un grand bureau de chêne massif au centre. Sur celui-ci, deux de tes appareils sont posés, recouverts d’un tissu, attendant d’être découverts et admirés. Tu désignes à la directrice le seul autre fauteuil disponible face au tien.
– Je vous en prie Madame. Je vous remercie une nouvelle fois de m’accorder cette entrevue.
Sourire poli et patient alors que tu contournes le meuble, t’installes et croises les doigts devant toi. La salle est désagréablement vide selon tes propres critères, mais l’intention ici est de prouver que ton invention peut s’intégrer dans des espaces exigus - quoique exigu serait un peu exagéré ici. Maintenant, pour savoir comment le lui présenter, il reste à déterminer ce qu’elle attend exactement de cet entretien, et le genre de femme et de sorcière qu’elle est. Elle ne t’aurait sans doute pas accordé une entrevue si rapide si la mention du monde moldu dans ta lettre l’avait trop heurtée, non ? Tu n’as pas la patience de faire planer le doute, arraches déjà une question au silence qui suit les politesses.
– Avant toute chose, je dois vous demander Madame ce que vous savez de la photographie, et de la photographie magique ?
dans une sorte de minuscule basse-cour au fond de son cerveau il engraissait un petit troupeau de rancunes que le temps accroissait - Si vous me poursuivez, prévenez vos gendarmes que je possède une arme et que je sais tirer.
Rachel FabreLACHESIS | SECRET IS THE ONLY WAY.
FC + disclaimer : Jessica Chastain, fassylovergallery
Warning : harcèlement scolaire, accident menant à un handicap physique, rejet paternel, guerre, deuil,u.c.
Trigger : aucun spécifiquement tant qu'on en discute au préalable.
Disponibilité RP : toujours disponible.
Couleur Dialogue : teal
Messages : 134
Bézants : 2357
Multicomptes : Neith Shafiq
Âge perso : 43 ans (02/03/1884)
Nature du sang : Née-moldue.
Etat Civil : Célibataire au coeur qui revient toujours au noble qu'elle exècre.
Occupation : Directrice du Fort Invisible, Sceptique pour l'Ordre du Temple.
Joueur
FC + disclaimer : Jessica Chastain, fassylovergallery
Warning : harcèlement scolaire, accident menant à un handicap physique, rejet paternel, guerre, deuil,u.c.
Trigger : aucun spécifiquement tant qu'on en discute au préalable.
Disponibilité RP : toujours disponible.
Couleur Dialogue : teal
Messages : 134
Bézants : 2357
Multicomptes : Neith Shafiq
Âge perso : 43 ans (02/03/1884)
Nature du sang : Née-moldue.
Etat Civil : Célibataire au coeur qui revient toujours au noble qu'elle exècre.
Occupation : Directrice du Fort Invisible, Sceptique pour l'Ordre du Temple.
Personnage
FC + disclaimer : Jessica Chastain, fassylovergallery
Warning : harcèlement scolaire, accident menant à un handicap physique, rejet paternel, guerre, deuil,u.c.
Trigger : aucun spécifiquement tant qu'on en discute au préalable.
Disponibilité RP : toujours disponible.
Couleur Dialogue : teal
Messages : 134
Bézants : 2357
Multicomptes : Neith Shafiq
Âge perso : 43 ans (02/03/1884)
Nature du sang : Née-moldue.
Etat Civil : Célibataire au coeur qui revient toujours au noble qu'elle exècre.
Occupation : Directrice du Fort Invisible, Sceptique pour l'Ordre du Temple.
Succès
(#) Re: Rien n'est jamais acquis | Rachel & Octave
missive rédigée par Rachel Fabre leLe crochet qu’elle devait faire sur Paris était habituel. Rachel se devait de monter au moins une fois par mois sur la capitale pour divers entretiens avec le département de Justice dont elle faisait partie. Cela et le Temple puisqu’elle y avait aussi ses obligations en tant que Sceptique. Elle faisait en sorte de tout rassembler sur la même semaine pour éviter de rester trop longtemps à Paris. Non pas qu’elle n’aimait pas Paris, mais Rachel préférait le Sud même si ce n’était pas celui dans lequel elle était née. Paris, avec sa grisaille, lui donnait rapidement le cafard. D’ailleurs, il ne faisait pas beau ce jour-là alors qu’elle arrivait devant l’atelier Defresne. Elle s’était renseignée au préalable avant de venir et avait déduit qu’il s’agissait d’un établissement sérieux a priori. Son temps était après tout compté et elle n’aimait pas le perdre.
Neuf heure trente précise, elle passa la porte de l’atelier. D’un mouvement de baguette magique, elle fait en sorte de sécher l’eau qu’elle a sur elle pour ne pas salir l’établissement. Lorsque son regard se pose sur l’individu en face d’elle qui est donc ce Monsieur Defresne, elle tend la main à son tour pour la serrer avec la même fermeté.
« Monsieur Defresne, enchantée également. »
Le ton est courtois sans enrobage. Rachel ne caresse jamais personne dans le sens du poil et ici, c’est elle la cliente, lui qui a quelque chose à vendre après tout. Les enjeux pour elle sont pourtant grands. Elle peut bien se faire voir de Coriolan dans son travail et elle n’allait pas laisser passer cette opportunité. Rachel sait pourtant qu’elle doit être prudente et n’en oublie pas que c’est la réputation du Fort Invisible dont il s’agit.
Sans un autre mot, elle le suit donc. Rachel ne pense pas grand-chose de la pièce dans laquelle ils se trouvent. Elle n’a aucune fibre artistique. Elle avait toujours pensé que ça, c’était l’affaire des riches que d’y avoir une quelconque sensibilité. Elle, elle avait eu besoin de manger et ce n’était pas vraiment vers l’art qu’elle s’était tournée. Encore moins la photographie même si elle ne dédaignait pas du tout ce nouveau concept. La seule fibre artistique qu’elle possédait était de retoucher ses vêtements parce que sa mère lui avait appris à coudre et broder. Mais elle n’avait aucune sensibilité artistique et elle était au mieux, dans la moyenne. Elle remarque néanmoins que l’atelier est fourni et qu’il y a de la place. Cela lui fait bonne impression.
A son remerciement, elle ne fait qu’acquiescer avec sérieux. Elle n’a pas grand-chose à dire de plus et Rachel ne se perd que rarement en digressions après tout. Les situations sociales la laissent toujours un peu inconfortables parfois. Si elle attend après lui, elle n’est pas surprise qu’il pose la question.
« Je viens du monde moldu, monsieur. La photographie y est implantée depuis quelques temps maintenant même si cela reste pour quelques occasions. »
Elle se rappelle de la photo de son père sur le front. Le poilu qu’il était avec sa barbe parmi ses collègues. Il l’avait envoyée à Sidonie pour la rassurer un peu. Quelques mois plus tard, il était mort dans les tranchées. Il y avait également une très très vieille photo de famille chez elle. Elle était petite, devait avoir entre cinq et sept ans. Dalila était encore plus petite. Sans doute que ses parents avaient payé un peu cher pour avoir cette photo de la maison et d’eux.
« Je ne connais pas les techniques utilisées en revanche. Je sais seulement que cela demande une certaine pratique. Quant à la photographie magique, je ne m’y suis jamais intéressée. »
Elle n’a aucune honte à avouer son manque de connaissance. Après tout, c’est lui l’expert. Qu’il fasse son travail d’expert.
Octave DefresneATROPOS | THEN, LET IT BURN.
FC + disclaimer : Neil Patrick Harris par l'écureuil
Rythme de jeu : Lièvre
Warning : xénophobie (subie par le personnage), meurtre, deuil, rejet familial, activités criminelles, violences physiques et verbales
Trigger : description de nuque brisée
Disponibilité RP : full (9/9)
Couleur Dialogue : #993333
Messages : 100
Bézants : 2652
Multicomptes : Zuhra de Fronsac
Âge perso : 50 ans
Nature du sang : né moldu
Etat Civil : Marié
Occupation : Inventeur de la photographie magique, premier photographe du monde magique, peintre et faussaire
Joueur
FC + disclaimer : Neil Patrick Harris par l'écureuil
Rythme de jeu : Lièvre
Warning : xénophobie (subie par le personnage), meurtre, deuil, rejet familial, activités criminelles, violences physiques et verbales
Trigger : description de nuque brisée
Disponibilité RP : full (9/9)
Couleur Dialogue : #993333
Messages : 100
Bézants : 2652
Multicomptes : Zuhra de Fronsac
Âge perso : 50 ans
Nature du sang : né moldu
Etat Civil : Marié
Occupation : Inventeur de la photographie magique, premier photographe du monde magique, peintre et faussaire
Personnage
FC + disclaimer : Neil Patrick Harris par l'écureuil
Rythme de jeu : Lièvre
Warning : xénophobie (subie par le personnage), meurtre, deuil, rejet familial, activités criminelles, violences physiques et verbales
Trigger : description de nuque brisée
Disponibilité RP : full (9/9)
Couleur Dialogue : #993333
Messages : 100
Bézants : 2652
Multicomptes : Zuhra de Fronsac
Âge perso : 50 ans
Nature du sang : né moldu
Etat Civil : Marié
Occupation : Inventeur de la photographie magique, premier photographe du monde magique, peintre et faussaire
Succès
(#) Re: Rien n'est jamais acquis | Rachel & Octave
missive rédigée par Octave Defresne le
Rien n'est jamais acquis
Dieu sait qu'je n'ai pas le fond méchant, je ne souhaite jamais la mort des gens
Mais si l'on ne mourait plus, j'crèverais de faim sur mon talus
19 déc. 1927 avec @Rachel Fabre | TW : aucun pour le moment
Voilà une femme qui ne s’embarasse pas de discours inutiles, et tu ravales les compliments que tu aurais pu lui servir pour l’amadouer si elle s’était montrée plus réticente. Bien, vous n’en parlerez que plus vite et mieux des affaires qui l’ont fait venir, tu ne t’en plaindras pas.
– Je viens du monde moldu, monsieur. La photographie y est implantée depuis quelques temps maintenant même si cela reste pour quelques occasions.
– Oh vraiment ?
Tu lui offres un sourire ravi de cette affirmation, aveu rare et précieux dans un monde sorcier qui a contre la nature que vous semblez partager tant de mauvaises pensées.
– Je ne connais pas les techniques utilisées en revanche. Je sais seulement que cela demande une certaine pratique. Quant à la photographie magique, je ne m’y suis jamais intéressée.
Tu hoches la tête, sérieux, t’avances un peu sur le bureau les mains toujours croisées, et adresses un regard aux machines sous leurs voiles que tu comptes lui montrer tout à l’heure.
– Et bien si vous connaissez la photographie moldue, cela sera tout de même plus simple de vous expliquer. Et je pourrais peut être vous faire grâce de tout le discours préparé pour tenter de vous convaincre que leurs inventions ne sont pas nécessairement idiotes par principe… Ce qui m’est très agréable, je dois le dire.
Acidité contenue dans cette dernière phrase, récit à moitié dit des heures perdues à caresser dans le sens du poil quelques conservateurs plutôt qu’à faire preuve de tes talents et qualités.
– Je commencerai par vous contredire cependant, la photographie s’est immiscée dans le monde moldu bien au delà des simples occasions, même si les machines sont encore trop onéreuses pour être à la portée de n’importe quel foyer. Les appareils personnels se multiplient depuis les inventions de George Eastman il y a maintenant trente ans. Les images sont partout, dans les journaux, les livres et atlas, dans les correspondances, et dans les maisons.
Une de tes mains se lève pour faire un geste vague, désignant un ensemble gigantesque que tu veux évoquer.
– Et au sein des administrations, pour ce qui nous intéresse. Voyez-vous - et en disant cela tu lui tends un dossier rempli de documents moldus marqués de l’administration de la ville d’Arcachon, qui utilisent les photographies comme illustration : zones concernées par des travaux, rapports sur des incidents et des individus… - les photographies ont l’avantage d’être plus difficilement sujettes à l’interprétation que les descriptions, et les modifier demandent une expertise particulière qui n’est certainement pas à la hauteur de n’importe qui.
Bien sûr, présenté ainsi, elle pourrait tout aussi bien aller acheter un appareil kodak et se passer de toi. Mais la nature est particulièrement bien faite quand il s’agit de tes affaires, et tu te trouves un homme des plus chanceux.
– Comme vous le savez certainement déjà, une partie des machines moldues réagissent assez mal dans dans des environnements chargés de magie, aussi il est exclu d’user de leurs technologies dans ce qui nous intéresse. Mais c’est là que votre serviteur intervient, car j’ai moi-même créé l’art et la technique de photographie magique. Bien sûr aujourd'hui, quelques concurrents peuvent proposer eux aussi des appareils pour les sorciers, la plupart les ont d’ailleurs créé d'après mes travaux et non ceux des moldus pour ne pas… je ne sais pas, j’imagine, se salir les mains ? Ce qui me donne un temps d'avance sur eux et je puis vous assurer que vous ne trouverez pas plus performantes que mes inventions.
Ce n’est même pas de l’orgueil mal placé quand tu dis cela. Tu découvres les deux appareils posés sur ton bureau en soulevant le drap avec précaution, et dévoiles une machine qui exige d'être posée sur un trépied et l'autre qui peut être portée par le photographe - les deux derniers modèles mis au point ici. Des bijoux, si quelqu’un doit te poser la question.
– Puis-je continuer, ou est-ce que vous avez des questions ?
dans une sorte de minuscule basse-cour au fond de son cerveau il engraissait un petit troupeau de rancunes que le temps accroissait - Si vous me poursuivez, prévenez vos gendarmes que je possède une arme et que je sais tirer.
Rachel FabreLACHESIS | SECRET IS THE ONLY WAY.
FC + disclaimer : Jessica Chastain, fassylovergallery
Warning : harcèlement scolaire, accident menant à un handicap physique, rejet paternel, guerre, deuil,u.c.
Trigger : aucun spécifiquement tant qu'on en discute au préalable.
Disponibilité RP : toujours disponible.
Couleur Dialogue : teal
Messages : 134
Bézants : 2357
Multicomptes : Neith Shafiq
Âge perso : 43 ans (02/03/1884)
Nature du sang : Née-moldue.
Etat Civil : Célibataire au coeur qui revient toujours au noble qu'elle exècre.
Occupation : Directrice du Fort Invisible, Sceptique pour l'Ordre du Temple.
Joueur
FC + disclaimer : Jessica Chastain, fassylovergallery
Warning : harcèlement scolaire, accident menant à un handicap physique, rejet paternel, guerre, deuil,u.c.
Trigger : aucun spécifiquement tant qu'on en discute au préalable.
Disponibilité RP : toujours disponible.
Couleur Dialogue : teal
Messages : 134
Bézants : 2357
Multicomptes : Neith Shafiq
Âge perso : 43 ans (02/03/1884)
Nature du sang : Née-moldue.
Etat Civil : Célibataire au coeur qui revient toujours au noble qu'elle exècre.
Occupation : Directrice du Fort Invisible, Sceptique pour l'Ordre du Temple.
Personnage
FC + disclaimer : Jessica Chastain, fassylovergallery
Warning : harcèlement scolaire, accident menant à un handicap physique, rejet paternel, guerre, deuil,u.c.
Trigger : aucun spécifiquement tant qu'on en discute au préalable.
Disponibilité RP : toujours disponible.
Couleur Dialogue : teal
Messages : 134
Bézants : 2357
Multicomptes : Neith Shafiq
Âge perso : 43 ans (02/03/1884)
Nature du sang : Née-moldue.
Etat Civil : Célibataire au coeur qui revient toujours au noble qu'elle exècre.
Occupation : Directrice du Fort Invisible, Sceptique pour l'Ordre du Temple.
Succès
(#) Re: Rien n'est jamais acquis | Rachel & Octave
missive rédigée par Rachel Fabre leL’intérêt d’Octave quand elle énonça son statut de née moldue n’échappa pas à Rachel. Elle se doutait néanmoins que si l’homme avait importé la photographie du monde moldu à celui sorcier c’était qu’il s’y connaissait un minimum. Cela ne voulait sans doute rien trop dire sur le fait qu’il soit issu d’une famille moldue. Rachel ne s’emballa donc pas restant parfaitement stoïque. Son attention est toute tournée et critique envers l’homme qui joue son rôle à merveille.
« Effectivement, passons cette étape et allons à l’essentiel. » conclut-elle non sans acquiescer légèrement la tête.
Elle n’était pas à convaincre en tant que personne issue du monde moldue. Pas dans ce sens, du moins. Rachel comprenait très bien l’apport que ce système pourrait avoir sur la prison et plus largement sur le système judiciaire. Ce serait à elle d’avoir le discours qu’Octave prépare aux autres pour son Directeur dans le département de justice magique. Mais ce serait lorsqu’elle serait réellement décidée de ce qu’Octave à lui vendre. Pour l’heure, elle n’était qu’attention, note également son acidité manifeste. Elle reconnaissait que cela ne devait pas être facile pour lui comme cela n’avait jamais été facile pour elle. Mais elle se demanda de plus en plus quels étaient les liens de cet homme avec le monde moldu.
Qu’il soit plus avancé qu’elle sur le sujet de la photographie dans le monde moldu ne l’étonne pas. Rachel ne se tient plus trop au courant de ce qui s’y passe même si elle fait le minimum pour sa mère. Sa vie est dédiée à la prison, l’Ordre et elle n’a que très peu de temps pour le reste. Aussi décida-t-elle de le croire pour ce coup-ci. Cela n’enlevait pas que de son expérience, ses parents n’avaient jamais pu se procurer d’appareil dans le village dans lequel elle avait grandi.
Tant mieux si les choses évoluent, pense-t-elle non sans une certaine nostalgie.
Peut-être ferait-elle un cadeau à Sidonie. Le temps passait et sa mère devenait vieille. Les récents évènements la poussaient également envisager d’immortaliser certains moments. Peut-être que cela permettrait qu’elle se réconcilie avec Dalila.
Récupérant le dossier, la rousse l’ouvre et observe. Son cerveau travaille également. Ce serait une fabuleuse idée pour beaucoup d’aspects de l’administration sorcière. Les services des forces de l’ordre mais pas seulement. Pour autant, Rachel ne savait pas à quel point se serait bien reçu. Elle pourrait néanmoins toujours intégrer cela à la prison. Peut être qu’avec des résultats probants en mettant l’accès sur la sécurité et la simplification administrative, elle pourrait montrer l’exemple. L’idée d’arranger un peu les affaires administratives du Fort était toujours dans un coin de son esprit. Ne pas rendre les choses compliquées, ni trop progressives, mais efficaces.
Relevant son regard sur l’homme, elle acquiesce lorsqu’il parle des disfonctionnements moldus dans un environnement sorcier. Elle sait ce genre de choses et la magie pouvait faire bien plus que certaines technologies des moldus. Mais une alliance des deux n’était pas incohérente ni irréalisable de son point de vue et c’était ce que semblait vouloir lui vendre Octave.
Lorsqu’il parle des copies de ses travaux, Rachel aurait presque envie de lever les yeux au ciel. Il fallait bien s’attendre à ce que les concurrents reprennent des idées. Mais elle se doute qu’il a sans doute raison. Si copies il y avait, c’était que certains n’osaient pas aller dans le cœur du monde moldu ce qu’Octave semblait vouloir faire. Ce qui le rendait indispensable en un sens… ce que Rachel n’aimait pas tant à vrai dire car à ses yeux, personne ne l’était.
Le regard bleu de Rachel tomba sur les deux appareils. Elle voyait très bien les ressemblances avec ceux moldus. Son regard analysant un peu, elle revint à Octace avant de lui répondre simplement :
« Non, continuez. »
Ses questions attendraient la fin. Elle préférait avoir le contenu global et une démonstration avant de se prononcer.
Contenu sponsorisé
Joueur
Personnage
Succès