[TW] troubles - alessandro ((massacre))
Lorenzo de MediciATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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(#) [TW] troubles - alessandro ((massacre))
missive rédigée par Lorenzo de Medici leTroubles
ft Alessandro de medici
Thème | Il n'avait pas le choix. Les yeux visés sur le mur noirci par les flammes, Lorenzo ne bougeait plus. Le feu avait dévoré son bureau, emporté avec lui tant d'informations et de manuscrits. Des livres collectionnés de ci et de là, héritage des bibliothèques du monde. Le feu avalait tout ce qu'on lui présentait et elle avait versé sur les plaies un sel que Lorenzo n'aurait de fait de voir gangrener, encore et encore, tout ce qu'elle avait pu un jour aimer. La cigarette, entre ces doigts, se consumait sans qu'il ne la porte même à ses lèvres. Il l'avait allumé à la moldu, briquet glissé au creux de sa poche de veston. Pas de cravate aujourd'hui pour le sorcier mais ce même uniforme qu'il portait, jour après jour, symbole de cette réussite mensongère vomit par le géniteur.
Sur les vestiges de son bureau trônait le portoloin qu'il avait fait demander. Un allé simple pour l'Italie. Lorenzo n'aimait le feu de cheminée. Il lui préférait les objets du quotidien, commandé pour l'occasion, dans le secret. Les allés et retours du parrain de la famille ne concernaient que lui et c'était un de ces nombreux sous fifre qui avait fait passer l'autorisation, en secret. Une de plus, pour nettoyer ses mains quand c'est pourtant de sang qu'elles allaient se tacher. Il tira une latte, une seule, sur le bâtonnet cruel, avant de l'éteindre et de le faire disparaitre d'un mouvement de baguette.
Palladio.
Le nom revenait en boucle dans son esprit. Elle et sa stupide boule de poil. Elle que les services n'avaient réussi à débusquer des buissons parfaitement entretenus. Elle qui s'était glissée dans sa demeure, dans son bureau, et qui avait trahit confiance et honneur. Elle à qui il avait promis la mort et qui n'avait reçu que des éclats. Les hommes ne l'avaient pas retrouvé. Ils n'y étaient pas arrivés puis Lorenzo avait offert autre ordre. Les ressources ne pouvaient se gaspiller éternellement à courir après une chimère.
Palladio.
L'Italie du Sud, qui fleurait bon au nez, qui emmenait avec elle ses bruyères et ses garigues. L'Italie du Sud qu'il avait toujours aimé fréquenter, quand la pauvreté offrait de gagner le peuple plus facilement que le moindre discours amoureux. L'Italie du Sud, qui trahissait quand son lieutenant perdait le contrôle de sa famille. Il serait remplacé. Par plus fidèle et moins fou.
Un oeil à sa montre. Il avait donné rendez-vous à Alessandro. C'est ensemble qu'ils remettraient de l'ordre dans le Sud de leur pays. Ensemble qu'ils viendraient à bout de ce qui commençait à gronder. Alessandro prendrait sa suite, un jour prochain. Lorenzo voulait qu'il connaissait. Qu'il vive. Qu'il découvre. A bientôt trente ans, son fils avait déjà du sang sur les mains. Peut-être pas comme ça. Jamais, réellement, comme ça. La décision avait été prise sans concerter Agnès. Elle n'aurait pas voulu. Elle ne voulait jamais que son chérubin se tâche l'âme et les ailes. Le mal était déjà bien trop fait, ancré sans que personne ne puisse l'en déloger. Leurs âmes se salissaient de crimes. Pour le futur. Pour leur famille. N'était-ce, finalement, qu'un moindre mal quand on agissait pour les siens ?
Les questions psychiques n'étaient le sujet. Lorenzo aurait, bien assez, le temps de se torturer l'esprit quand serait fini la sale besogne. Cette fois, il n'enverrait quelqu'un d'autre. Cette fois, il se déplacerait en personne. On ne le craignait plus, plus assez. Il n'était Ernesto, ne voulait plus de l'ombre tentaculaire de son père sur ces actes. Trois ans. Une ultime mise en garde. Une cruelle punition.
Onze heures, précises. Et le couperet tomberait sur la famille Palladio. Comme sonnent les cloches de l'Apocalypse, comme raisonne la violence de la fin du monde. Ils seraient cavaliers, pour l'heure du dernier jugement. Car Dieu en décidait ainsi et qu'entre ses mains, Lorenzo couperait les têtes. Avocat et juge à la fois de ceux qui ne savaient même qui arrivaient jusqu'à eux. Palladio père avait été prévenu. La visite des grands. La visite des fous. Un au revoir. Il n'en savait rien. Lorenzo voulait que les faits soient rapides. Il ne prendrait pas de plaisir au massacre. Pauvre prévention pour son âme.
Sur les vestiges de son bureau trônait le portoloin qu'il avait fait demander. Un allé simple pour l'Italie. Lorenzo n'aimait le feu de cheminée. Il lui préférait les objets du quotidien, commandé pour l'occasion, dans le secret. Les allés et retours du parrain de la famille ne concernaient que lui et c'était un de ces nombreux sous fifre qui avait fait passer l'autorisation, en secret. Une de plus, pour nettoyer ses mains quand c'est pourtant de sang qu'elles allaient se tacher. Il tira une latte, une seule, sur le bâtonnet cruel, avant de l'éteindre et de le faire disparaitre d'un mouvement de baguette.
Palladio.
Le nom revenait en boucle dans son esprit. Elle et sa stupide boule de poil. Elle que les services n'avaient réussi à débusquer des buissons parfaitement entretenus. Elle qui s'était glissée dans sa demeure, dans son bureau, et qui avait trahit confiance et honneur. Elle à qui il avait promis la mort et qui n'avait reçu que des éclats. Les hommes ne l'avaient pas retrouvé. Ils n'y étaient pas arrivés puis Lorenzo avait offert autre ordre. Les ressources ne pouvaient se gaspiller éternellement à courir après une chimère.
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Un oeil à sa montre. Il avait donné rendez-vous à Alessandro. C'est ensemble qu'ils remettraient de l'ordre dans le Sud de leur pays. Ensemble qu'ils viendraient à bout de ce qui commençait à gronder. Alessandro prendrait sa suite, un jour prochain. Lorenzo voulait qu'il connaissait. Qu'il vive. Qu'il découvre. A bientôt trente ans, son fils avait déjà du sang sur les mains. Peut-être pas comme ça. Jamais, réellement, comme ça. La décision avait été prise sans concerter Agnès. Elle n'aurait pas voulu. Elle ne voulait jamais que son chérubin se tâche l'âme et les ailes. Le mal était déjà bien trop fait, ancré sans que personne ne puisse l'en déloger. Leurs âmes se salissaient de crimes. Pour le futur. Pour leur famille. N'était-ce, finalement, qu'un moindre mal quand on agissait pour les siens ?
Les questions psychiques n'étaient le sujet. Lorenzo aurait, bien assez, le temps de se torturer l'esprit quand serait fini la sale besogne. Cette fois, il n'enverrait quelqu'un d'autre. Cette fois, il se déplacerait en personne. On ne le craignait plus, plus assez. Il n'était Ernesto, ne voulait plus de l'ombre tentaculaire de son père sur ces actes. Trois ans. Une ultime mise en garde. Une cruelle punition.
Onze heures, précises. Et le couperet tomberait sur la famille Palladio. Comme sonnent les cloches de l'Apocalypse, comme raisonne la violence de la fin du monde. Ils seraient cavaliers, pour l'heure du dernier jugement. Car Dieu en décidait ainsi et qu'entre ses mains, Lorenzo couperait les têtes. Avocat et juge à la fois de ceux qui ne savaient même qui arrivaient jusqu'à eux. Palladio père avait été prévenu. La visite des grands. La visite des fous. Un au revoir. Il n'en savait rien. Lorenzo voulait que les faits soient rapides. Il ne prendrait pas de plaisir au massacre. Pauvre prévention pour son âme.
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(#) Re: [TW] troubles - alessandro ((massacre))
missive rédigée par Alessandro de Medici leCeux des hommes de son père qui croisent sa route ne manquent pas de l’observer, œillades à la dérobées lorsqu’il semble ne pas y prêter attention – une erreur, bien entendue. Aucun n’ose pourtant commenter, quand bien-même l’impulsion leur eût brûlé les lèvres. Alessandro n’en manque rien, lucide quant à l’enjeu qui lévite dans l’air ambiant, comme suspendu à d’invisibles fils de tension et d’attente. Celle de ces prédateurs et charognards conscients du camouflet que leur supérieur a subi, au moins aussi impossible à étouffer que l’odeur âcre de brûlé, au premier étage et les traces noircies. L’outrage exige une réaction adéquate et son absence confessera à de bien litigieuses conclusions. Alessandro le sait. L’a-t-il même jamais ignoré, cette règle tacite ?
Sa foulée ne souffre alors d’aucune hésitation, son regard d’aucune trivialité. Hors de question d’infléchir son chemin pour gérer quelque question secondaire, quand Lorenzo l’a fait mander. Sa mère a bien entendu cherché à en savoir davantage, connaître les raisons de cette soudaine exigence et il n’a pu satisfaire à sa curiosité en dépit de ses hypothèses savamment occultées. Affirmer ne pas savoir n’est en rien un mensonge, car Lorenzo ne l’a pas encore entretenu avec certitude de l’objet de cet appel. Il n’a pas trahi la madone, quand son ignorance n’est de fait qu’une assurance de son innocence. Et Alessandro n’y accorde pas même une pensée lorsqu’il s’annonce d’un discret toc à l’encadrement de la porte rongée, poussant le battant outragé pour rejoindre Lorenzo.
“Père,” offre-t-il avec une formalité d’usage.
Sa mire ne le flatte qu’un instant avant d’effleurer les contours du portoloin. Lorenzo s’est donc bel et bien souvenu de leur discussion. Ainsi le message sera aussi limpide que l’on put l’espérer et alessandro s’en satisfait, tout en revenant à son géniteur.
“Serons-nous seuls ?”
Non qu’il en conçu de la peur, seul Ernesto a jamais été capable d’inspirer chez lui la crainte ou l’angoisse, mais Alessandro ne connaît pas le moins du monde le domaine des Palladio, pas plus sa topographie que son contenu, ou ses résidents, et une fois le châtiment entamé, une fuite par quelque porte secondaire inconnue deviendra plus que probable, pour ceux qui ne croiseront pas leur route immédiate. Tout cela n’est après tout qu’une question d’efficacité et de calcule, Lorenzo n’est certainement pas étranger au concept comme il l’est celui de fidélité. La besogne n’a rien d’esthétique, mais elle n’échappe nullement au besoin d’un travail bien fait. La mire jauge l’humeur, considérant de possibles suggestions, rendu prudent par l’incarnation de leur besoin de talion à l’égard des félons.
“Que suis-je censé savoir de notre destination ?”
Stratégie alternative. L’heure n’est pas à l’affrontement avec Lorenzo et celui-ci semble d’une humeur des plus sombres. Les Palladio eurent dû trembler.
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(#) Re: [TW] troubles - alessandro ((massacre))
missive rédigée par Lorenzo de Medici leTroubles
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Thème | Son fils. Annoncé. Prévu. Présenté. Son fils qui se tient devant lui, toujours aussi droit, toujours aussi noble. De cette grandeur qu'il a volé à ses ancêtres, certainement pas à son père. Lorenzo l'observe, un peu trop longtemps, avant de prendre appui sur le bureau derrière lui. Au fil des années, Alessandro lui ressemble de plus en plus. Même iris de ce bleu jumeau. Même mâchoire. N'auraient-ils été présenté comme père et fils que la filiation aurait quand même été évidente. Seuls les cheveux noirs dénotent, changent. Dans son enfant, Nolwenn a laissé des traces. Sang Le Noir qui s'exprime dans le seul qui n'embrassera jamais leur cause. L'ironie aurait pu être partagée sur Alessandro avait eu le moindre semblant d'humour. Jamais entre eux. Pour s'il y avait seulement jamais rien eu entre eux. Mais au moins le fils est là, répondant à l'appel du parrain pour déchainer l'enfer. Au moins le fils est à ses côtés.
Alessandro,
La tête s'incline en réponse. Lorenzo ne sourit pas; Aujourd'hui, il n'a pas le visage à ça. Il ne l'a jamais quand il travaille, loin de la nuit et du paon qu'il offre à tous. Quand le parrain reprends le dessus, les traits se tendent presque autant que les poings.
Des hommes nous attendront là bas. Pour verrouiller les sorties. Il ne doit pas y avoir de survivant. Ils appelleront à la vengeance et de nouvelles dissension ne sont pas réellement au menu. Lorenzo ouvre une armoire, protégée des flammes et en sort des armes. Alessandro aura sa baguette, bien plus affutée que celle de son père mais Lorenzo a tenu à ce que son fils sache également tirer et se battre. Sans dédain pour les moldus, simplement pour se défendre si le bois venait à casser. Je te laisserai choisir deux armes. Une blanche et une à feu. La collection est immense. Ses propres armes viennent rejoindre sa ceinture. Nulle besoin de les cacher là où ils vont. Le monde leur appartient en Italie, encore plus dans le Sud. Ta baguette, également. Ces fourreaux permettent de dégainer plus vite, Il offre des yeux divers rangement de cuir, crée pour le duel, amélioré grâce aux retours de combattants du club. A quoi bon embaucher, hors de prix, une équipe de recherche quand des gens payaient pour tester et que leurs blessures donnaient de meilleurs résultats ?
Il s'harnache Lorenzo. De pieds en cape. Refait les lacets des chaussures. Vérifie l'arme à sa ceinture, les balles à l'intérieur, le fil du couteau. Nuls doutes sur ce qu'ils vont faire, s'il y avait pu en persister
Tu as un plan des lieux sur mon bureau. L'architecte nous l'a fait parvenir hier, dans l'après-midi. Majoritairement, tu n'auras qu'à me suivre. Almerto nous attends. Normalement, sa famille se réunie pour l'anniversaire d'un de ces fils, ce soir. Le gamin est né il y a quelque semaines mais ils n'avaient réussi à trouver de date pour tout le monde. Nous avons reçu une carte. Les autres invités ne se présenteront pas.
Il termine de lacer sa chaussure, avant de se redresser. Même ses cheveux, gommés, ne bougent.
Alessandro, je compte sur toi aujourd'hui. Que ta baguette ne frémisse pas une seconde. Je leur ai promis le sang et aucun ne doit en sortir. Pas même les enfants. Personne. Je refuse que dans dix ans un gosse débarque pour hurler à la justice. Si tu tombes sur Allegria avant moi, je la veux. Nous frapperons à midi. Précise.
Alessandro,
La tête s'incline en réponse. Lorenzo ne sourit pas; Aujourd'hui, il n'a pas le visage à ça. Il ne l'a jamais quand il travaille, loin de la nuit et du paon qu'il offre à tous. Quand le parrain reprends le dessus, les traits se tendent presque autant que les poings.
Des hommes nous attendront là bas. Pour verrouiller les sorties. Il ne doit pas y avoir de survivant. Ils appelleront à la vengeance et de nouvelles dissension ne sont pas réellement au menu. Lorenzo ouvre une armoire, protégée des flammes et en sort des armes. Alessandro aura sa baguette, bien plus affutée que celle de son père mais Lorenzo a tenu à ce que son fils sache également tirer et se battre. Sans dédain pour les moldus, simplement pour se défendre si le bois venait à casser. Je te laisserai choisir deux armes. Une blanche et une à feu. La collection est immense. Ses propres armes viennent rejoindre sa ceinture. Nulle besoin de les cacher là où ils vont. Le monde leur appartient en Italie, encore plus dans le Sud. Ta baguette, également. Ces fourreaux permettent de dégainer plus vite, Il offre des yeux divers rangement de cuir, crée pour le duel, amélioré grâce aux retours de combattants du club. A quoi bon embaucher, hors de prix, une équipe de recherche quand des gens payaient pour tester et que leurs blessures donnaient de meilleurs résultats ?
Il s'harnache Lorenzo. De pieds en cape. Refait les lacets des chaussures. Vérifie l'arme à sa ceinture, les balles à l'intérieur, le fil du couteau. Nuls doutes sur ce qu'ils vont faire, s'il y avait pu en persister
Tu as un plan des lieux sur mon bureau. L'architecte nous l'a fait parvenir hier, dans l'après-midi. Majoritairement, tu n'auras qu'à me suivre. Almerto nous attends. Normalement, sa famille se réunie pour l'anniversaire d'un de ces fils, ce soir. Le gamin est né il y a quelque semaines mais ils n'avaient réussi à trouver de date pour tout le monde. Nous avons reçu une carte. Les autres invités ne se présenteront pas.
Il termine de lacer sa chaussure, avant de se redresser. Même ses cheveux, gommés, ne bougent.
Alessandro, je compte sur toi aujourd'hui. Que ta baguette ne frémisse pas une seconde. Je leur ai promis le sang et aucun ne doit en sortir. Pas même les enfants. Personne. Je refuse que dans dix ans un gosse débarque pour hurler à la justice. Si tu tombes sur Allegria avant moi, je la veux. Nous frapperons à midi. Précise.
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(#) Re: [TW] troubles - alessandro ((massacre))
missive rédigée par Alessandro de Medici leNul rire. Nulle bonne humeur. Nul hédonisme. Pourtant, Lorenzo n’en est que plus supportable. Alessandro opine, sans chercher à discuter. La sentence est d’une logique implacable. Pas de survivants pour réclamer une justice qui n’est pas la leur. Pas de survivants, parce que c’est le prix à payer pour la trahison et que cette pestilence se transmet hélas beaucoup trop aisément. Leur flanc français n’est pas suffisamment stable pour se permettre de voir l’italien leur faire défaut. Il faut sévir sans attendre.
Sur le bureau noircit et craquelé sont disposés des plans, qu’il n’a cependant pas le temps de consulter, attention s’accrochant à l’armoire et son contenu. Des armes moldues, celles que Agnès n’acceptera jamais de le voir utiliser, qu'il manie pourtant depuis l’âge de treize ans. Il a d’ores et déjà ses préférences, main sûre au choix sur l’instant. Contrairement à Lorenzo, cependant, il les dissimule sous les pans de sa veste, joue de son apparence élancée, de cette délicatesse que la présence de Lorenzo ne fait qu’accentuer.
“Très bien.”
Sa baguette quitte son étui usuel, remplacé par celui qu’on lui présente. Ils s’harnachent dans un silence relatif. Les mots sont inutiles quand les gestes sont plus qu’éloquents. Rien n’est laissé au hasard. Rien n’est laissé au doute. Quand enfin Alessandro approche des feuillets à disposition, Lorenzo a déjà repris. Il réfléchit, pondère, avant de glisser d’une voix tranquille dépourvue de toute forme d’émotion, le regard ne quittant pas un instant les plans qu’il étudie avec attention, apprenant les éléments stratégiques à maîtriser.
“Peut-être devriez-vous conserver l’enfant.”
Il se permet parce qu’il est son héritier. Parce que l’empire des Medici, tout exécré puisse-t-il être, est son dû, lorsque Lorenzo disparaîtra enfin. Alessandro tient à le voir prospérer autant qu’il est possible.
“Que la dynastie entière des Palladio disparaisse en raison des errances d’une femme reste un échec pour votre gouvernance. Vous savez tout aussi bien que moi à quel point les femmes peuvent être irréalistes, fantasques. Et les Palladio vous ont toujours suivit, tout comme ils ont suivi Monsieur votre Père.”
Ernesto ne fut jamais appelé grand-père de sa bouche. Pas une seule fois. Il ne le sera d’ailleurs jamais. Alessandro n’y prête aucune attention, continuant de vérifier les points d’entrée de leur lieu de visite.
“Faites en sorte que l’enfant soit élevé en vous remerciant de l’avoir épargné, conscient que sa soeur est responsable de la disprition des siens, que la faiblesse et la complaisance de son père l’ont aveuglé. Quand il sera en âge, mariez-le à une fille d’un vassal irréprochable, et rendez-lui les biens de sa famille. Et il ne sera plus question de laisser les fantaisies d’une femme troubler nos affaires.”
Bien entendu, de nombreuses femmes se mêlent de ce qui ne devrait pas les regarder, à commencer par cette idiote de Marie qui se pense une maîtresse politicienne quand elle n’est pas plus douée qu’une paysanne tout juste débarquée de sa campagne. Mais cela vaut tout autant pour les Le Noir, et même Agnès. Il suffit de voir le désastre de la fête destinée à Giacomo pour se rendre compte que le beau sexe n’est bien que cela, et que leur émotivité est un éceuil pour tout capitaine qui se respecte.
Cette fois, il tourna son regard fixe et inflexible vers Lorenzo.
“Nous savons tous les deux combien l’esprit d’un enfant est malléable.”
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(#) Re: [TW] troubles - alessandro ((massacre))
missive rédigée par Lorenzo de Medici leTroubles
ft Alessandro de medici
Thème | Un sourcil se soulève à la proposition. Il l'enjoint à continuer, l'écoute attentivement tout en terminer d'attacher le harnachement. Il vérifie les balles dans le barillet, observe la sécurité qui saute facilement, la détente un rien sensible qu'il effleure d'un doigt, en apprenant le point de non retour. Chacune des armes dans cette armoire fut testée, au moins une fois, par sa personne. Entretenue uniquement par un elfe de maison, non achetable par d'autre et certainement pas Pipo, l'imbécile aux ordres d'Agnes. Dans ce bureau, les choses sont affaires d'homme. Oh, bien sur, Marie s'offre des excuses et des passe droits, rôle de fille préférée en étendard. Mais Marie n'est que la fille. Et Agnès n'est même pas de son sang. Alessandro, quand bien même Lorenzo le sait le haïr de toute son âme, est son héritier. N'en déplaise aux hommes, n'en déplaisent aux autres. Alessandro, aujourd'hui, est le plus à même de prendre sa suite. Et Lorenzo compte bien l'encrer dans la cervelle de ces molosses, par la violence et l'intellect.
Alors il écoute attentivement. Très attentivement. Le visage ne montre rien de ces pensées alors qu'il le rejoint devant la carte, observe une nouvelle fois les lieux. Il y a bien des portes dérobées dans ce palais de courant d'air. Le regard de son fils est fixe, de promettant nulles morts mais bien une froideur polaire. Lorenzo, jamais, n'a vu la moindre once de chaleur dans ce regard bleu jumeau du sien. Lui ressemblant tant sans pour autant offrir le moindre soupir commun avec son géniteur. Au moins Agnès lui a-t-elle offert à un fils à son image, à défaut de lui offrir le moindre bonheur.
Il lui faudra un tuteur. Pour qu'il ne grandisse pas dans la haine mais bien la gratitude. Aurais-tu des idées ?
Il l'écoute, il lui confie la parole. Les mots, de la bouche d'Alessandro, sont d'une grande justesse. Au moins un des Medici réfléchissait-il. Lorenzo, parfois, souvent, se laisser porter par ses émotions. Reproches ô combien offerts par le géniteur avant qu'il ne devienne le parrain. Ernesto le trouvait trop sanguin. L'âge, s'il atténuait les colères, ne réduisait pourtant pas les violences.
Lorenzo n'en prononce pas plus, se contentant d'observer son fils. Alessandro passe, encore, toujours, des tests quand il est en compagnie de son frère. D'héritier, il est le seul, Lorenzo y a veillé et Agnès n'est pas tombée enceinte après avoir mis au monde leurs deux enfants. Mais Alessandro a des cousins. Car si une chose est certaine, c'est que le sang est sacré chez les Medici. Quelqu'il soit. La compétition, entre Lorenzo et son frère, fut bénéfique à la famille pendant un temps. Alessandro pourrait avoir rival s'il offrait des erreurs. Il n'en a fait qu'une, une tragique et sanglante, durant toutes les années qu'il a passé aux côtés de son géniteur. Une rattrapé par une intelligence vive et cruelle.
Regard à sa montre de la part du parrain. Il leur reste encore un peu de temps avant de devoir partir. Assez pour qu'Alessandro lui offre ses pensées et ses plans. Jusqu'ici, ses mots furent constructifs.
Alors il écoute attentivement. Très attentivement. Le visage ne montre rien de ces pensées alors qu'il le rejoint devant la carte, observe une nouvelle fois les lieux. Il y a bien des portes dérobées dans ce palais de courant d'air. Le regard de son fils est fixe, de promettant nulles morts mais bien une froideur polaire. Lorenzo, jamais, n'a vu la moindre once de chaleur dans ce regard bleu jumeau du sien. Lui ressemblant tant sans pour autant offrir le moindre soupir commun avec son géniteur. Au moins Agnès lui a-t-elle offert à un fils à son image, à défaut de lui offrir le moindre bonheur.
Il lui faudra un tuteur. Pour qu'il ne grandisse pas dans la haine mais bien la gratitude. Aurais-tu des idées ?
Il l'écoute, il lui confie la parole. Les mots, de la bouche d'Alessandro, sont d'une grande justesse. Au moins un des Medici réfléchissait-il. Lorenzo, parfois, souvent, se laisser porter par ses émotions. Reproches ô combien offerts par le géniteur avant qu'il ne devienne le parrain. Ernesto le trouvait trop sanguin. L'âge, s'il atténuait les colères, ne réduisait pourtant pas les violences.
Lorenzo n'en prononce pas plus, se contentant d'observer son fils. Alessandro passe, encore, toujours, des tests quand il est en compagnie de son frère. D'héritier, il est le seul, Lorenzo y a veillé et Agnès n'est pas tombée enceinte après avoir mis au monde leurs deux enfants. Mais Alessandro a des cousins. Car si une chose est certaine, c'est que le sang est sacré chez les Medici. Quelqu'il soit. La compétition, entre Lorenzo et son frère, fut bénéfique à la famille pendant un temps. Alessandro pourrait avoir rival s'il offrait des erreurs. Il n'en a fait qu'une, une tragique et sanglante, durant toutes les années qu'il a passé aux côtés de son géniteur. Une rattrapé par une intelligence vive et cruelle.
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(#) Re: [TW] troubles - alessandro ((massacre))
missive rédigée par Alessandro de Medici leIls n’ont jamais été proches. Pas mentalement. Pas émotionnellement. Certainement pas physiquement. La dernière fois que Lorenzo l’a touché, il le soigna des blessures que ses ordres même lui ont infligé. Des années. Alessandro se crispe sensiblement à son approche, alors, lorsqu’il le rejoint devant les cartes. Presque épaule contre épaule. Il n’en montre rien de plus, l’observe en silence, attendant sa réponse. Un fragment de curiosité s’attache à la réponse sans qu’il n’en fasse rien, lui préférant le silence.
La suggestion ne concerne pas uniquement les Palladio, évidemment. Elle concerne son autorité d’héritier, sa capacité à offrir des solutions qui seront appliquées et à en retirer des alliés, et du soutien, plus tard. Beaucoup plus tard.
“Faites part de votre décision à un cercle choisi par vos soins, sans mentionner que vous cherchez un tuteur parmi eux, voyez qui se propose, prenez celui qui ne se sera pas proposé. Il aura attendu votre décision sans avoir fait de calcul personnel.”
L’obéissance est après tout la qualité recherchée. Ceux trop empressés de plaire risqueront de tâcher l’esprit de l’enfant lorsqu’il grandira. Le dévouement a cela qu’il ne souffre aucune comparaison. Alessandro ne le sait que trop bien, Agnès en icône.
“Ou bien, si vous préférez les motiver à plus de diligence, offrez le tutorat en récompense à l’un de ceux ayant particulièrement brillé. Dans un cas comme dans l’autre, l’individu choisit aura lui aussi une influence sur l’enfant. Voyez la chose comme une culture quelconque.”
Deux terreaux différents ne donneront pas le même résultat, allant jusqu’à modifier la couleur de certaines plantes. Mais cela, seul son esprit à lui le comprendra, la précision est inutile pour Lorenzo. Seule compte la compréhension de l’image donnée. Là encore, Alessandro n’est que trop conscient de l’enjeu, Pietro a eu tout autant la main sur ce qu’il est devenu que Lorenzo lorsque son géniteur s’est enfin intéressé à lui. Depuis le choix de ses armes jusqu’à sa capacité à tuer, la main de chacun a fait sa part.
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(#) Re: [TW] troubles - alessandro ((massacre))
missive rédigée par Lorenzo de Medici leTroubles
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Thème | Lorenzo écoute, attentivement. Les deux propositions, qui offriront des résultats grandement différents et pourtant tout aussi positif l'un que l'autre. L'idée d'offrir le gamin à Pietro l'appelle mais il ne le fera pas. Son cousin ne peut tout gerer, tout prendre en charge. Alors le visage du parrain reste inexpressif, attentif. Il ne répond rien, pour le moment, laissant à Alessandro le loisir d'analyser une dernière fois les plans. Il les a apprit par coeur, tant et tant de fois regardé. La moindre porte, le plus petit sentier. Les extérieurs, quadrillés à la perfection. Les ordres seront donc à peine différents. Ceux de l'homme qui ne doute plus, qui a terminé un plan rondement mené. Alessandro doit être écouté. Son fils, qu'importe son esprit... étrange, est terriblement intelligent.
Les doigts glissent sur le mur, encore noirci. Les yeux s'arrêtent sur tous les petits détails qui l'agacent et l'obsèdent depuis que Allegria s'est introduit chez lui. Il ne doit pas se laisser mener par la colère et la haine. Il doit rester maitre de lui-même, le plus possible, sans quoi il y perdrait bien plus que ce qu'il escomptait.
Il est l'heure. offre-t-il comme on tonne une condamnation à mort. N'est-ce pas finalement ce qu'il promet. Juge et bourreau de cette famille qui aurait du mieux tenir ses femmes.
Il s'approche, vérifie une ultime fois les balles dans son chargeur et ses doigts se posent sur le portoloin. La sensation le prends au nombril, toujours aussi désagréable. Une battement de paupière et les voilà en Italie, sous le ciel ô combien brulant de leur beau pays. A la maison. Là où les attendent quatre hommes. Deux autres sont postés dans les hauteurs, à l'abri des regards indiscrets. Le parrain se déplace toujours en groupe, ne prenant aucun risque. La délégation ne surprendra pas.
Alessandro ? Je te laisse offrir les directives. Elles ont légèrement changé.
Qu'il prenne la décision, sous l'oeil avisé du parrain. De toute manière, il ne reviendra pas dessus, confiance offerte à l'héritier devant temoin. S'il n'est pas d'accord, ils en parleront plus tard, loin des regards. Lorenzo ne veut plus entendre les mots acides qui remontent à ses oreilles. Alessandro est un De Medici. Alessandro est son fils. Et la survie de la mafia dépends de la filiation parfaite.
Les doigts glissent sur le mur, encore noirci. Les yeux s'arrêtent sur tous les petits détails qui l'agacent et l'obsèdent depuis que Allegria s'est introduit chez lui. Il ne doit pas se laisser mener par la colère et la haine. Il doit rester maitre de lui-même, le plus possible, sans quoi il y perdrait bien plus que ce qu'il escomptait.
Il est l'heure. offre-t-il comme on tonne une condamnation à mort. N'est-ce pas finalement ce qu'il promet. Juge et bourreau de cette famille qui aurait du mieux tenir ses femmes.
Il s'approche, vérifie une ultime fois les balles dans son chargeur et ses doigts se posent sur le portoloin. La sensation le prends au nombril, toujours aussi désagréable. Une battement de paupière et les voilà en Italie, sous le ciel ô combien brulant de leur beau pays. A la maison. Là où les attendent quatre hommes. Deux autres sont postés dans les hauteurs, à l'abri des regards indiscrets. Le parrain se déplace toujours en groupe, ne prenant aucun risque. La délégation ne surprendra pas.
Alessandro ? Je te laisse offrir les directives. Elles ont légèrement changé.
Qu'il prenne la décision, sous l'oeil avisé du parrain. De toute manière, il ne reviendra pas dessus, confiance offerte à l'héritier devant temoin. S'il n'est pas d'accord, ils en parleront plus tard, loin des regards. Lorenzo ne veut plus entendre les mots acides qui remontent à ses oreilles. Alessandro est un De Medici. Alessandro est son fils. Et la survie de la mafia dépends de la filiation parfaite.
Puss in Boots 2: Death Whistle Theme
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(#) Re: [TW] troubles - alessandro ((massacre))
missive rédigée par Alessandro de Medici lePassé le premier instant, Alessandro se détourne, reporte son attention sur les cartes. Que Lorenzo réfléchisse donc, cela ne peut pas lui faire de mal. La proposition est sensée, il le sait, n’a nullement à s’en embarasser. Et s’il refuse, cela ne changera pas la face du monde. Son regard suit les lignes d’encre imprimées, son attention se focalisant aisément sur les entrées, les recoins. La demeure est vaste, l’architecture complexe. Les lièvres auront de nombreuses cachettes. Lorenzo l’a certainement considéré, cependant. L’un des passages attire sa curiosité, et il l’examine davantage, se penchant au-dessus du papier qu’il dévore de la mire.
Au glas de la voix paternelle, Alessandro s’arrache à sa contemplation, sécurise une dernière fois ses armes et s’approche du portoloin. La désagréable sensation de déplacement magique se dissipe aisément, le laissant libre de comparer les environs aux schématiques étudiées plus tôt. La chaleur martèle, écrase, sans qu’il ne cille, opine pour Lorenzo et explique les directives spécifiques concernant l’enfant, sans rien montrer. Lorenzo a donc accepté ses idées. En cela, au moins, ils s’entendent donc. Les ordres sont concis, pragmatiques et binaires, orientés pour laisser aussi peu de place à l’interprétation que possible.
Qu’ils ne gâchent pas tout.
Puis, c’est le moment de vérité. Des pas, sur le sentier de pierres blanches parfaitement taillées, puis une silhouette impeccablement apprêtée, l’allure fière et le cheveu noir. Alessandro se prend à étudier son profil, qui s’avance entre les oliviers parfumés, ces traits d’oiseau de proie qui eussent confessé un caractère dangereux s’il n’y avait eu l’évident relâchement de la forme, les discrètes preuves de l’amour pour l’alcool que ne compensent pas les combats. Lui, médicomage le voit. Un simple coup au foie suffira. Sa mire frémit, s’élance un instant vers Lorenzo, avant que la voix de l’inconnu ne retentisse.
“Signor de Medici, sono felice che lei abbia potuto unirsi a noi! Monsieur de Medici je suis ravis que vous ayez pu nous rejoindre !”
Alessandro reste un pas en arrière, attendant le signal paternel. Le premier sang lui revient, une évidence après l’insulte qu’Allegra leur a fait. L’homme est seul et insouciant, aucune légilimencie n’est nécessaire pour en témoigner. Même la présence des molosses n’y change rien. Le Parrain se déplace toujours accompagné, en raison de son statut. Il rejoint les deux Medici, offre les honneurs, et toujours rien, toujours aucune suspicion. Alessandro étudie un instant les alentours à la recherche d’une quelconque duperie. Leur hôte ne peut ignorer la disparition de sa fille, tout de même, ou s’en préoccupe-t-il si peu ? Qu’une brebis ait erré ne semble plus si surprenant.
“Sono onorato che tu abbia accettato l'invito. Je suis honoré que vous acceptiez l'invitation.”
Un mouvement semble pourtant vouloir donner tort à Alessandro, avant qu’il ne mire une forme féminine qui semble chercher à se joindre à eux. Grande et brune, semblable à sa fille sans doute. Alessandro n’abaisse pas pour autant sa vigilance, les femmes ont bien assez prouver leur duplicité. Mais l’homme se tourne à l’instant vers lui, et il est forcé de lui accorder un semblant d’attention, opine aux flatteries sans jamais sembler touché. Le regard est aussi lisse que les traits sont inexpressifs. En vérité, il profite du mouvement pour adresser une question silencieuse à Lorenzo, attendant de l’imiter, quelle que soit sa décision.
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Thème | Si Alessandro n'est pas l'image que se faisait Lorenzo de son fils, au moins ne le déçoit-il pas. Alessandro est froid, méthodique, directif. Dans l'instant, ils se ressemblent. Loin des paillettes, Alessandro est identique à lui et Lorenzo en aurait peur. Au moins prend-il la peine de faire tout redescendre à chaque seconde, quand il s'échine sur le corps de femmes ou lorsqu'il se bat avec la frénésie de la vie. Alessandro, lui, est déjà mort. Les emotions feintes ne transparaissent même plus dans ses iris vides.
Qu'importe. Il est de toute manière trop tard pour faire marcher arrière. Trop tard pour changer le passé, essayer de revenir sur ce qu'ils furent et se qu'ils seront. Lorenzo fut un mauvais père. Il le sait, parfaitement. Absence en étendard quand le rejeton de son épouse ne faisait que pleurer quand il s'approchait. Petit, tout petit, il aurait aimé le tenir parfois dans ses bras. Les crocs d'Agnes empêchaient le lien. Ils étaient trop jeunes. Ils n'auraient dû s'arracher la liberté aussi tôt. Son père avait fait une erreur, une seule, en le mariant à l'héritière Colonna : sous estimer son propre fils.
Le sourire se fait faux sur les lippes du parrain quand apparait le feu de sa colère. Signor Palladio, dans toute sa suffisance. Le lieutenant, le fidèle lieutenant, dont la fille en personne commit le père. N'avait-il donc aucun contrôle sur ses enfants. L'espace d'un instant, la volonté de Lorenzo faiblit. Il comprends, il apprends. Alessandro, à ses côtés, n'est-il la preuve parfaite que non, tout parents qu'ils étaient, ils ne pouvaient imposer parfaitement leur volonté. Un corps, sous les falaises d'Italie, le prouvait. Une seconde, seulement. Allegra avait certainement agit seule, sans le concert des siens. Mais ils répondraient. Comme Lorenzo aurait répondu de ce qu'avait fait son fils s'il n'y avait eu, en jeu, l'importance de la légalité.
Mio caro amico! È un piacere vederti. Non potevo rifiutare il tuo invito, che povero compagno sarei stato. Mon cher ami ! C'est un plaisir de te voir. Je ne pouvais refuser ton invitation, quel piètre camarade aurais-je fais.
Il s'avance, tout sourire, comme à son habitude. Offre deux bises sonores sur les joues du frère. Ils doivent rentrer avant d'attaquer. Que les portes ne se referment pas devant eux. A l'extérieur, il y a potentiellement public. A l'interieur... Oh à l'intérieur, il n'y aura que les murs pour avoir les yeux rivés sur le sang.
L'épouse, présent à son tour. L'épouse qui ressemble tant au visage qu'il a giflé, au visage sur lequel il aurait vomi. Un relent de colère flamboie, ne s'échappe pas une seule seconde du parrain. Contrôle, toujours. Emotions fortes mises au placard pour que rien n'en vienne. Il a beau lever les yeux sur le comportement d'Alessandro, lui comme Marie ne sont que de parfaits miroirs de leurs parents. Lorenzo et Agnes ont fait grandir leurs petits dans un terrain acide, dans un terreau stérile. Ils ne pouvaient devenir autre.
Mia cara Antonia. Ancora così bella, anche dopo tanti anni. Attento, Almerto. Tua moglie è troppo affascinante per un ubriaco come te. Ma chère Antonia. Toujours aussi belle, même après tant d'année. Attention, Almerto. Ta femme est bien trop charmante pour un ivrogne comme toi.
La voilà qui glousse. Lorenzo offre bras par dessus l'épaule de son lieutenant, offrant qu'ils se mettent en chemin.
Ti ricordi Alessandro? Mio figlio. Tu te souviens d'Alessandro ? Mon fils. Les yeux se portent jusqu'à l'enfant, qui n'en est depuis longtemps plus un. La longue carcasse d'Alessandro, qu'Almerto observe de haut en bas. Au moins quinze ans qu'il n'a vu l'héritier prodige, le petit prince devenu adulte. Cosa hai spinto Alessandro. Un uomo bello come tuo padre. Puoi esserne orgoglioso, dimmelo Lorenzo. Deve spezzare molti cuori.. Qu'est ce que tu as poussé Alessandro. Aussi bel homme que ton père. Tu peux en être fier dit moi Lorenzo. Il doit briser bien des coeurs. Rires qui se répondent. Mots qui continuent, qui discutent. Qui offrent banalité. Comme deux vieux amis qui se revoient après trop d'années lointaines.
Ils rentrent. C'est tout ce qu'ils demandent.
Qu'importe. Il est de toute manière trop tard pour faire marcher arrière. Trop tard pour changer le passé, essayer de revenir sur ce qu'ils furent et se qu'ils seront. Lorenzo fut un mauvais père. Il le sait, parfaitement. Absence en étendard quand le rejeton de son épouse ne faisait que pleurer quand il s'approchait. Petit, tout petit, il aurait aimé le tenir parfois dans ses bras. Les crocs d'Agnes empêchaient le lien. Ils étaient trop jeunes. Ils n'auraient dû s'arracher la liberté aussi tôt. Son père avait fait une erreur, une seule, en le mariant à l'héritière Colonna : sous estimer son propre fils.
Le sourire se fait faux sur les lippes du parrain quand apparait le feu de sa colère. Signor Palladio, dans toute sa suffisance. Le lieutenant, le fidèle lieutenant, dont la fille en personne commit le père. N'avait-il donc aucun contrôle sur ses enfants. L'espace d'un instant, la volonté de Lorenzo faiblit. Il comprends, il apprends. Alessandro, à ses côtés, n'est-il la preuve parfaite que non, tout parents qu'ils étaient, ils ne pouvaient imposer parfaitement leur volonté. Un corps, sous les falaises d'Italie, le prouvait. Une seconde, seulement. Allegra avait certainement agit seule, sans le concert des siens. Mais ils répondraient. Comme Lorenzo aurait répondu de ce qu'avait fait son fils s'il n'y avait eu, en jeu, l'importance de la légalité.
Mio caro amico! È un piacere vederti. Non potevo rifiutare il tuo invito, che povero compagno sarei stato. Mon cher ami ! C'est un plaisir de te voir. Je ne pouvais refuser ton invitation, quel piètre camarade aurais-je fais.
Il s'avance, tout sourire, comme à son habitude. Offre deux bises sonores sur les joues du frère. Ils doivent rentrer avant d'attaquer. Que les portes ne se referment pas devant eux. A l'extérieur, il y a potentiellement public. A l'interieur... Oh à l'intérieur, il n'y aura que les murs pour avoir les yeux rivés sur le sang.
L'épouse, présent à son tour. L'épouse qui ressemble tant au visage qu'il a giflé, au visage sur lequel il aurait vomi. Un relent de colère flamboie, ne s'échappe pas une seule seconde du parrain. Contrôle, toujours. Emotions fortes mises au placard pour que rien n'en vienne. Il a beau lever les yeux sur le comportement d'Alessandro, lui comme Marie ne sont que de parfaits miroirs de leurs parents. Lorenzo et Agnes ont fait grandir leurs petits dans un terrain acide, dans un terreau stérile. Ils ne pouvaient devenir autre.
Mia cara Antonia. Ancora così bella, anche dopo tanti anni. Attento, Almerto. Tua moglie è troppo affascinante per un ubriaco come te. Ma chère Antonia. Toujours aussi belle, même après tant d'année. Attention, Almerto. Ta femme est bien trop charmante pour un ivrogne comme toi.
La voilà qui glousse. Lorenzo offre bras par dessus l'épaule de son lieutenant, offrant qu'ils se mettent en chemin.
Ti ricordi Alessandro? Mio figlio. Tu te souviens d'Alessandro ? Mon fils. Les yeux se portent jusqu'à l'enfant, qui n'en est depuis longtemps plus un. La longue carcasse d'Alessandro, qu'Almerto observe de haut en bas. Au moins quinze ans qu'il n'a vu l'héritier prodige, le petit prince devenu adulte. Cosa hai spinto Alessandro. Un uomo bello come tuo padre. Puoi esserne orgoglioso, dimmelo Lorenzo. Deve spezzare molti cuori.. Qu'est ce que tu as poussé Alessandro. Aussi bel homme que ton père. Tu peux en être fier dit moi Lorenzo. Il doit briser bien des coeurs. Rires qui se répondent. Mots qui continuent, qui discutent. Qui offrent banalité. Comme deux vieux amis qui se revoient après trop d'années lointaines.
Ils rentrent. C'est tout ce qu'ils demandent.
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(#) Re: [TW] troubles - alessandro ((massacre))
missive rédigée par Alessandro de Medici leUn instant, l’interaction de Sieur Palladio et de Lorenzo fait naître un vernis de curiosité à ses mires claires, observation éphémère. Les masques sont fascinants dans leur richesse, mais Alessandro est plus intéressé par l’œuvre pour laquelle ils se sont déplacés. Ils se mettent en chemin sous les bons mots de Lorenzo et les rires ineptes de la maîtresse de maison, leurs gardes sur les talons, bien qu’on ne leur accordât pas plus d’un regard. Légèrement en retrait, Alessandro ne dédaigne pas cette place, parfaitement à son aise loin des regards veules ou concupiscents, bien qu’il ne montra rien de son déplaisir quand on rappelle sa présence, trop conscience de la pompe.
Sa mire croise celle de Palladio, et Alessandro pare ses traits d’un sourire digne de Guilhem, tentant de son mieux d’adoucir tout ce qui put alarmer leur proie. Il offre une répartie spirituelle sans trop en faire, laisse les rires fuser tout en étudiant avec un intérêt réprimé. Derrière le précieux des mires, une question à la teneur incertaine. La discussion se poursuit, banalités et courtoisies. L’attention d’Alessandro dévie, s’accroche au paysage, le compare mentalement aux plans qu’il a étudié plus tôt dans le bureau de Lorenzo. Rien ne doit être laissé au hasard. Rien ne doit leur échapper. Au dehors, il y a quelques gardes, sans grande surprise.
Eux ? Ils rentrent. Et personne ne soulève le moindre soupçon. De nouveau, Alessandro jauge Lorenzo, et cette fois, sa mire est aigüe. S’il ne prend le premier sang, lui le fera. Mais l’impatience ne fait pas partie de ses fautes, il sait juguler ses impulsions et attend, que le premier sort fuse, que le premier corps tombe, que le bruit d’une arme à feu déchire le silence autant que les boucliers. Alessandro n’a jamais tué avec une baguette, lorsqu’il a tué, c’est en laissant faire la nature, la gravité. Il s’est contenté de donner une poussée sur un corps, rien de plus. Est-il même capable de tuer d’un sort ? Son choix ne se porte pas sur l’impardonnable, il n’est d’ailleurs pas nécessaire. L’humain est fragile, délicat.
Cent manières de mourir, une seule de naître. L’air manque aux poumons de sa victime, et alors qu’elle devient bleue, Alessandro semble sentir un frisson, sur son derme, la danse d’écailles lustrées sur son échine. C’est le démon qui guide sa main, certitude froide qu’il accepte tandis que les paroles de son mentor lui reviennent, les sermons et les leçons des témoins de l’éclat, presque tangibles à son esprit, au milieu de ce pandémonium. L’épuration est une épreuve comme une autre, un creuset pour tremper sa volonté et ses capacités. Ses pas le dissimulent aux traits adversaires, de nouveaux sorts fusent. Il rate deux fois, avant que son maléfice de corde ne pende l’un des convives.
Deux fois qu’il tue par l’air. Changer de méthode est absolument nécessaire. Une autre leçon. Ne pas se montrer prévisible. Par soucis du détail, il cherche à repérer ses alliés, se dissimulant davantage pendant les quelques instants qui lui sont nécessaires. Une fois ceux-ci repérés, il s’en désintéresse, fait feu de son arme. Il est meilleur sorcier qu’il n’est tireur, assurément, mais l’enfant est de dos, hébété. Une cible aisée, mais qui a le mérite de nettoyer le plateau d’opposition des distractions. Le maelström semble durer des heures à ses sens grandement sollicités, depuis le grand hall central jusqu’à la recherche des survivants dans les salles annexes et les étages du palais. Il n’en est pourtant rien.
Ses pas le mènent loin d’une salle de musique à présent silencieuse, esquivant le hall à l’air empestant les relents humains pour rejoindre Lorenzo et leurs hommes.
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(#) Re: [TW] troubles - alessandro ((massacre))
missive rédigée par Lorenzo de Medici leTroubles
ft Alessandro de medici
Thème | Les loups pénètrent dans la bergerie aux rytmes de leurs mots. Ils s'infiltrent dans les lieux, accompagnés. Qui ne le serait pas ? Quand, par Merlin, Lorenzo de Medici et l'héritier de sa chair, se déplaceraient-ils sans garde du corps ? Rien d'étrange. Rien d'unique. Rien d'original. Tout comme dans les éternelles habitudes. Un anniversaire, rien d'autre. Des sourires, des belles paroles. Un enfant qui se levera et viendra souffler ses bougies, comme tant d'autre l'ont fait avant lui.
Les beaux mots. Les doux compliments. L'amitié d'un chien pour son maitre.
Maitre dont les doigts, autour de la laisse, se resserrent. Les yeux croisent ceux d'Alessandro. Pas encore. Quelques mots. Quelques rires. Lorenzo est un acteur mais ce soir, la pièce n'est pas la sienne. Ce soir, ils sont réalisateurs de la tragédie, de la juste vengeance. Et, alors qu'ils parviennent au coeur de la ville - plans tant et tant de fois étudiés - les doigts tirent pour de bon sur la laisse qui étrangle. Le couperet s'abat et Damoclès, enfin, offre toute la vengeance de ceux qui ont un jour été bafoué.
Mais Lorenzo n'est pas cruel. La mort s'abat vite. Le corbeau étends des ailes d'albatros quand part le premier coup. Les armes à feu, si elles sont utiles, ne sont ses préférés. On tue proprement quand on sait le faire. Et la lame, sur la gorge dévoilée, glisse en un chuintement fin. La mort est si douce, si rapide. La mort tâche. Tombe sur les doigts du parrain en autant de gerbes de sang qui s'étendent. La mort n'est pas propre. La mort n'est pas belle. Au moins offre-t-il à celui qui fut si fidèle la possibilité de l'obtenir vite.
C'est l'épouse qui parvient à le blesser. Le coup n'était pas prévu mais cogne en plein visage. Il sent la peau s'ouvrir. Sa peau rougit, sa peau se réchauffe quand sa propre hémoglobine se mélange à celle des ennemis.
Uccidili Tuez-les
Il essuie trop rapidement le sang, ne prend même la peine de sortir sa baguette. On lui a apprit les duels, on lui a montré comment tuer avec sa magie. Elle est trop mauvaise, trop désagréable. Les armes à feu et les armes blanches, elles, ne l'ont jamais trahit. Monstre inéducable, il remonte les couloirs, il s'offre toutes les pièces pour mettre fin aux jours de tout ceux qui ont un jour embrassé le nom Palladio.
Le souffle est court quand l'adrénaline retombe. Ils se sont donnés rendez-vous à un seul lieu. Lorenzo est loin d'être le premier a arrivé mais les regards, lorsqu'ils passent la porte, sont tous fixes. Personne ne s'inquiète. Il n'y a pas de femmes dans leur rang. Hors de question d'une émotion mal contrôlée. Dans les glaces de la salle de musique, le reflet qui l'observe n'est qu'à moitié le sien. Les yeux clairs, sous le sang, ressortent plus froids encore qu'ils ne le sont en réalité. Ses vêtements sont tâchés. Ses mains sont abimées. Il s'est battu, ne s'en souvient déjà plus. La mort fut un long couloir blanc, dont les échos reviendront hanter ses rêves, s'ils les laissent arriver jusqu'à lui.
E il bambino ? Et l'enfant ? La question fait mouche. Non trovato, Don. Pas trouvé Don. Les dents se serrent. Et les yeux se portent au fils, qui arrive à leur suite. Alessandro ? Recourt. Encore. Mettre l'enfant, son enfant, en avant. Et faire de lui cet héritier qu'ils refusent de voir.
Les beaux mots. Les doux compliments. L'amitié d'un chien pour son maitre.
Maitre dont les doigts, autour de la laisse, se resserrent. Les yeux croisent ceux d'Alessandro. Pas encore. Quelques mots. Quelques rires. Lorenzo est un acteur mais ce soir, la pièce n'est pas la sienne. Ce soir, ils sont réalisateurs de la tragédie, de la juste vengeance. Et, alors qu'ils parviennent au coeur de la ville - plans tant et tant de fois étudiés - les doigts tirent pour de bon sur la laisse qui étrangle. Le couperet s'abat et Damoclès, enfin, offre toute la vengeance de ceux qui ont un jour été bafoué.
Mais Lorenzo n'est pas cruel. La mort s'abat vite. Le corbeau étends des ailes d'albatros quand part le premier coup. Les armes à feu, si elles sont utiles, ne sont ses préférés. On tue proprement quand on sait le faire. Et la lame, sur la gorge dévoilée, glisse en un chuintement fin. La mort est si douce, si rapide. La mort tâche. Tombe sur les doigts du parrain en autant de gerbes de sang qui s'étendent. La mort n'est pas propre. La mort n'est pas belle. Au moins offre-t-il à celui qui fut si fidèle la possibilité de l'obtenir vite.
C'est l'épouse qui parvient à le blesser. Le coup n'était pas prévu mais cogne en plein visage. Il sent la peau s'ouvrir. Sa peau rougit, sa peau se réchauffe quand sa propre hémoglobine se mélange à celle des ennemis.
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Il essuie trop rapidement le sang, ne prend même la peine de sortir sa baguette. On lui a apprit les duels, on lui a montré comment tuer avec sa magie. Elle est trop mauvaise, trop désagréable. Les armes à feu et les armes blanches, elles, ne l'ont jamais trahit. Monstre inéducable, il remonte les couloirs, il s'offre toutes les pièces pour mettre fin aux jours de tout ceux qui ont un jour embrassé le nom Palladio.
Le souffle est court quand l'adrénaline retombe. Ils se sont donnés rendez-vous à un seul lieu. Lorenzo est loin d'être le premier a arrivé mais les regards, lorsqu'ils passent la porte, sont tous fixes. Personne ne s'inquiète. Il n'y a pas de femmes dans leur rang. Hors de question d'une émotion mal contrôlée. Dans les glaces de la salle de musique, le reflet qui l'observe n'est qu'à moitié le sien. Les yeux clairs, sous le sang, ressortent plus froids encore qu'ils ne le sont en réalité. Ses vêtements sont tâchés. Ses mains sont abimées. Il s'est battu, ne s'en souvient déjà plus. La mort fut un long couloir blanc, dont les échos reviendront hanter ses rêves, s'ils les laissent arriver jusqu'à lui.
E il bambino ? Et l'enfant ? La question fait mouche. Non trovato, Don. Pas trouvé Don. Les dents se serrent. Et les yeux se portent au fils, qui arrive à leur suite. Alessandro ? Recourt. Encore. Mettre l'enfant, son enfant, en avant. Et faire de lui cet héritier qu'ils refusent de voir.
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(#) Re: [TW] troubles - alessandro ((massacre))
missive rédigée par Alessandro de Medici leLa vue du sang, sur le faciès de Lorenzo, le fige. Non par angoisse, mais par appréciation. Il y a quelque chose de sauvagement artistique, dans la chair racée ainsi ouverte, dans les lèvres de la plaie suintant l’ichor déchu et vorace. Fluide précieux versé en manière d’offrande aux spectres de toutes les âmes que son implacable hubris a pu emporter, sur la terre même où il répand le feu et le sel. Et pourtant, la balafre est tout autant une grossièreté, insulte qu’une main de plébéien eut porté un tel coup plutôt que la sienne quand la vie de Lorenzo lui appartient. Loin d’une quelconque naïveté, Alessandro n’émet aucun commentaire, pourtant, se contente d’élever sa baguette pour faire disparaître l’insolence ainsi placardée à tous les vents.
Plus que la lésion, ce sont les mots alors prononcés qui le figent. L’enfant est introuvable. Quelque chose se serre, dans sa poitrine. Les écailles ondulent, vagues chitineuses glissant entre ses omoplates.
“Non può essere uscito da solo, è troppo giovane Il ne peut être partit tout seul, il est trop jeune”
Un léger silence, tandis qu’il tire les conclusions de ses propres mots. Fort heureusement, les molosses qui forment la garde de Lorenzo ce jour ne comptent pas parmi les plus lents. Déjà, il voit la compréhension faire jour dans leurs yeux.
“Abbiamo controllato tutta la casa. Deve essere fuori. Spargiti e cerca nei giardini. Nous avons passé la demeure au peigne fin. Il doit être à l’extérieur, séparez-vous et cherchez dans le jardin.”
Ce n’est nullement l’instant pour espérer défaire l’autorité paternelle, alors que son plan initial est en péril, alors à la place, il s'appuie sans égo sur Lorenzo, cherchant son regard, attendant son approbation pour que ses hommes obéissent. Lorsqu’ils sont seuls, car c’est là ce qu’Alessandro désire, sa poigne mentale broie les dernières onces de ses hésitations au profit de l’instant et du besoin de cette mission. Retrouver l’enfant est trop important, l’opportunité trop belle de s’imposer et de créer ce qui sera peut-être demain un allié solide pour lui. Brièvement, Alessandro pondère l’idée de préfigurer la chose avec délicatesse mais Lorenzo devra se passer d’une telle douilletterie, le temps est soudainement une essence précieuse qu’ils ne peuvent se permettre de gaspiller.
“Seguitemi per favore, e nessuna domanda Suivez-moi je vous prie, et ne posez aucune question.”
Le ton est péremptoire, mais il a de bonnes raisons à cela. La journée, fort heureusement, s’avère suffisamment chaude pour que la chose qui sommeille en lui ne se montre pas trop paresseuse.
“Non potrò comunque rispondere Je ne pourrais pas répondre de toute façon.”
La concentration vient plus aisément, cette fois, sans doute une grâce de l’adrénaline qui frémit encore dans ses veines, et des actes commis plus tôt. La créature est là, déjà éveillée lorsqu’il tourne son oeil intérieur vers elle, son immense corps est déjà partiellement déployé et Alessandro glisse en lui comme dans une eau claire, leurs deux êtres se mêlant, se confondant avec une aisance presque gracieuse, presque divine. Ses mains se font pattes, les ongles deviennent griffes, ses traits humains laissent place au museau du reptile, à la longue langue bifide qui fouette l’air, aux crocs mortels et venimeux. Le derme hâlé se tord, se couvre d’écailles aux nuances de vert et de brun, les muscles se renforcent, s’épaississent tandis qu’il s’allonge, et s’allonge encore.
Lorsque la transformation s’achève, en l’espace de quelques battements de cœur, la haute silhouette a laissé place libre au démon intérieur, le dragon dans toute son interminable splendeur mortelle. Deux mètres trois de long, une centaine de kilos et une capacité à sentir le sang et la chair à plusieurs kilomètres de distance. La créature cligne des yeux, faisant quelques pas, sa langue jouant dans l’air avant qu’elle ne produise un puissant sifflement et ne se mette en chasse.
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Thème | Le fils spigne, comme il le fait toujours. Christ qui de ses doigts vient proteger la chair paternelle. C'est Cristoforo qu'ils auraient du le nommer à la naissance. le prénom fut une idée d'Agnes, une de plus. Alessandre qui gravit le monde et conquit l'empire. Lorenzo n'avait qu'a être là, qu'elle lui vomit quand il arriva pour le baptême. Elle avait tant raison. Son fils soigne et le sang s'arrache à la peau. Il ne prend même le temps de gratter le minuscule frémissement fait à la chair. Bien sur que cela gratte. La peau recousue à la sorcière est bien différentes des fils et des aiguilles.
L'ordre est offert par son fils avant lui. Très bien. Très belle réaction du gamin et, alors que Lorenzo va pour lui offrir compliment, Alessandro continue à parler. A ordonner même. Les sourcils se froncent. Le coeur s'arrête.
Car à la place du fils créature de Satan s'offre. Dragon aux écailles luisantes, à la peau suintante et à la langue fourchue. Voilà que le pieu devient le pire, que Dieu s'incline face au serpent du jardin d'Adam. La langue est bifide. Les pupilles fendues. Le corps immense, trop long, trop lourd, trop gros. Alessandro qui cache en son sein un monstre quand c'est du père qu'on grogne les echecs.
Lorenzo ne bouge pourtant pas. Nulle horreur aux traits. Ils n'ont pas le temps. Dans l'action, dans les feux, ils doivent agir. Ils parleront plus tard. On parle toujours plus tard. Car le parrain n'est pas une femme. Il ne s'attarde pas à des jérémiades et des mots et des mots et des mots. Oh en public, le voilà qui se pare de tous les atours du paon, qui caquette comme un coq dans un poulailler. Mais voilà bien longtemps qu'il en est le renard et s'il se couvre de plume, devant son fils, il ne le fait pas.
Andiamo. Allons-y.
Comme seul mot, comme seule constatation. De toute manière, comme là si justement fait remarqué Alessandro, sous cette forme il ne peut parler. Et c'est sous cette forme qu'il sera le plus efficace pour traquer. S'ils tombent sur homme, au pire Lorenzo offrira qu'il a invoqué la créature. Ce serait plausible, quoi que stupide. C'est d'un chien de chasse dont ils auraient besoin. pas cette... chose, dont Lorenzo ne connait même la race. Cette bête sous laquelle roule l'âme de son enfant. Il a mis au monde un monstre.... A lui d'essayer de sauver le reste de l'Homme, de lui offrir un chemin qui ne détruira ni le monde ni leur famille. Pietro sait-il ? Bien sur que Pietro sait. Et n'en a soufflé mot.
Les dents du parrain se serrent. Qu'importe. L'important est le résultat, pas la manière. Si la Bête peut traquer, alors il la suivra. Et il fait confiance à son fils, contre toute vraisemblance.
L'ordre est offert par son fils avant lui. Très bien. Très belle réaction du gamin et, alors que Lorenzo va pour lui offrir compliment, Alessandro continue à parler. A ordonner même. Les sourcils se froncent. Le coeur s'arrête.
Car à la place du fils créature de Satan s'offre. Dragon aux écailles luisantes, à la peau suintante et à la langue fourchue. Voilà que le pieu devient le pire, que Dieu s'incline face au serpent du jardin d'Adam. La langue est bifide. Les pupilles fendues. Le corps immense, trop long, trop lourd, trop gros. Alessandro qui cache en son sein un monstre quand c'est du père qu'on grogne les echecs.
Lorenzo ne bouge pourtant pas. Nulle horreur aux traits. Ils n'ont pas le temps. Dans l'action, dans les feux, ils doivent agir. Ils parleront plus tard. On parle toujours plus tard. Car le parrain n'est pas une femme. Il ne s'attarde pas à des jérémiades et des mots et des mots et des mots. Oh en public, le voilà qui se pare de tous les atours du paon, qui caquette comme un coq dans un poulailler. Mais voilà bien longtemps qu'il en est le renard et s'il se couvre de plume, devant son fils, il ne le fait pas.
Andiamo. Allons-y.
Comme seul mot, comme seule constatation. De toute manière, comme là si justement fait remarqué Alessandro, sous cette forme il ne peut parler. Et c'est sous cette forme qu'il sera le plus efficace pour traquer. S'ils tombent sur homme, au pire Lorenzo offrira qu'il a invoqué la créature. Ce serait plausible, quoi que stupide. C'est d'un chien de chasse dont ils auraient besoin. pas cette... chose, dont Lorenzo ne connait même la race. Cette bête sous laquelle roule l'âme de son enfant. Il a mis au monde un monstre.... A lui d'essayer de sauver le reste de l'Homme, de lui offrir un chemin qui ne détruira ni le monde ni leur famille. Pietro sait-il ? Bien sur que Pietro sait. Et n'en a soufflé mot.
Les dents du parrain se serrent. Qu'importe. L'important est le résultat, pas la manière. Si la Bête peut traquer, alors il la suivra. Et il fait confiance à son fils, contre toute vraisemblance.
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(#) Re: [TW] troubles - alessandro ((massacre))
missive rédigée par Alessandro de Medici leSes pattes avalent si aisément le sol qu’il lui faut prendre garde à ne pas abandonner Lorenzo derrière lui. Ses muscles frémissent de puissance, de la violence contenue d’un prédateur cherchant sa proie. La lenteur de Lorenzo est cependant l’occasion pour lui de trier tout ce qu’il ressent, éliminer le goût de leurs hommes pour ne conserver que celle des étrangers, des Palladio. Ce n’est pas un exercice dont il est coutumier, et tout le temps dont il dispose ainsi est bon à prendre, pour être certain de la piste qu’il suit.
Peu à peu, celle-ci devient plus claire, plus évidente tandis qu’ils s’éloignent. Les effluves sanglantes se mêlent à celles de la peur d’un singe évolué, piquante. La trace olfactive lui arrache un nouveau sifflement profond, tandis qu’il lutte contre l’instinct qui pousse le Dragon à vouloir tuer sans se poser de questions. Progressant au travers des jardins, il laisse derrière lui le reste de leurs hommes, pousse le long d’une colline rocailleuse qui ne pose pas le moindre problème à ses griffes et ses écailles.
//Par ici !//
Il s’arrête un instant, tourne ses yeux noirs vers Lorenzo, s’agitant d’impatience. Quand celui-ci le rejoint, il reprend la route et effectivement, l’odeur se fait de plus en plus forte. Sans y réfléchir, le Dragon jaillit de derrière une butte, pile à côté de sa cible, gueule déjà béante et crocs vénéneux déployés. Il est néanmoins vulnérable, et un sort éclate sur ses écailles, lui arrachant un grondement de douleur. L’armure naturelle l’a néanmoins préservé du plus gros de l’impact, et aura certainement détourné l’attention de l’homme suffisamment pour que Lorenzo s’en occupe.
Se redressant, le Dragon glisse d’une impulsion derrière l’humain, le laissant lui tomber dessus sans sourciller, pour amortir le choc et essayer de sauvegarder l’enfant. Même avec un homme adulte sur le dos, il n’a guère de mal à soulager sa patte et son flanc blessé, et observe le lieu où ils se trouvent avec davantage d’intérêt. Il s’agit, de ce qu’il en comprend, de la bordure du domaine des Palladio... et certainement d’un lieu depuis lequel transplaner, ou dans lequel se trouve au moins un portoloin.
Mais avant qu’il ne puisse penser à agir sur cette information, le vagissement de l’enfant lui vrille les sens....
Lorenzo de MediciATROPOS | THEN, LET IT BURN.
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(#) Re: [TW] troubles - alessandro ((massacre))
missive rédigée par Lorenzo de Medici leTroubles
ft Alessandro de medici
Thème | Le dragon s'elance et le parrain le suit. Il remercie, sans le faire réellement, tous ceux qui sont passés avant lui. Pietro, pour l'obliger à une activité régulière. Les coatchs sportifs, pour l'entrainer à courir même quand l'alcool roulait encore dans ses veines, contre vent et marrée, contre gueule de bois et prise de stupéfiant. Lorenzo a 46 ans mais Lorenzo s'entretient. Parrain à la fierté haute, parrain qui ne fuit pas, parrain qui terminera son café si la police venait le chercher.
Mais parrain qui sait qu'il doit parfois courir. Parrain qui préfère les armes moldus à la magie, qui se bat avec ses poings et qui encaissent les coups sourire goguenard à la bouche tachée de sang. Lorenzo se moque, Lorenzo rit. Lorenzo est homme de spectacle. Sauf quand l'obligation devient légion. Sauf quand il se concentre et que ses traits perdent de leur jeunesse pour n'offrir que la ligne du lion au plus profond de son front, sillon qui finira par être ancré éternellement.
Il suit le dragon et manque louper une pierre dans son ascension quand l'animal lui parle. Son pas trébuche, il se rattrape. Ses yeux clairs se froncent, se tournent sur le dragon plein de question.
Plus tard.
Toujours plus tard.
Il court en armant. Il recharge l'arme à feu. De toute manière, un silentio fut lancé, de loin, isolant la batise. Que la police n'intervienne pas. De toute manière, qui de droit a été grassement payé pour ralentir les actions des soldats.
On touche Alessandro. La machoire du parrain se crispe, la balle part sans même donner le temps à sa personne d'apparaitre. Il a visé , il a touché. Compensation de ses capacités décevantes en magie que d'être parfait avec ce que les Hommes ont crée de leur propres mains. Les Moldus ont ça qu'ils offrent et cherchent innovations quand ils ne furent bénis d'aucune sorte.
Silenzio ! Silence !
L'ordre, dans la bouche du parrain, ne frémit d'aucune possibilité de refus. Il fut père. Il fut fils. Il ne permet nul refus.
Sa main se glisse au gosse. Il évite les coups inutiles. Les tentatives de morsure. C'est dans ces bras qu'il le charge. Le morveux est jeune, très jeune. Trop jeune.
Torniamo indietro. Il Giudizio è stato offerto. Rentrons. Le Jugement a été offert.
Comme s'ils étaient Dieux.
Comme s'ils pouvaient s'octroyez les sanctions du Très Haut.
Mais parrain qui sait qu'il doit parfois courir. Parrain qui préfère les armes moldus à la magie, qui se bat avec ses poings et qui encaissent les coups sourire goguenard à la bouche tachée de sang. Lorenzo se moque, Lorenzo rit. Lorenzo est homme de spectacle. Sauf quand l'obligation devient légion. Sauf quand il se concentre et que ses traits perdent de leur jeunesse pour n'offrir que la ligne du lion au plus profond de son front, sillon qui finira par être ancré éternellement.
Il suit le dragon et manque louper une pierre dans son ascension quand l'animal lui parle. Son pas trébuche, il se rattrape. Ses yeux clairs se froncent, se tournent sur le dragon plein de question.
Plus tard.
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Il court en armant. Il recharge l'arme à feu. De toute manière, un silentio fut lancé, de loin, isolant la batise. Que la police n'intervienne pas. De toute manière, qui de droit a été grassement payé pour ralentir les actions des soldats.
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