[Atropos | Galahad Anderson] Galahad Anderson | they say i'm an anarchist
Giacomo de Medici
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(#) [Atropos | Galahad Anderson] Galahad Anderson | they say i'm an anarchist
missive rédigée par Galahad Anderson leNom
Des noms, il en a appréhendé plusieurs, comme autant de vies effleurées sans jamais vraiment les connaître. Dupont, le mensonge passe-partout, le tapis jeté sur ses véritables origines dans l'espoir d'en étouffer le feu. En vain. Delacour, le nom côtoyé mais jamais obtenu, l'aurait-il désiré. Mais ça n'a jamais été le cas, n'est-ce pas ? Ça n'aurait été qu'ajouter un mensonge de plus. Anderson, finalement, réclamé comme un retour aux sources, comme un lien ténu avec ceux qui l'ont conçu. Le nom d'un père qu'il n'a jamais connu, dont la tête a roulé au sol avant même sa naissance, pour la gloire d'une république cruelle, pour les beaux yeux d'une justice aveugle.Prénom
Sa mère ne l'a pas eu bien longtemps dans les bras, mais assez pour choisir son prénom. Et il en fallait un qui inspire la grandeur, pour compenser la fange l'ayant vu naître. Galahad le bon chevalier, Galahad le seul à aller jusqu'au bout de sa quête. Un talisman autant qu'une promesse faite au monde, celle de voir le fils poursuivre l’œuvre de son père. Il le porte comme un bouclier mais aussi comme un fardeau, rappel permanent de ses errances, de ses échecs. Un prénom finalement trop grand pour lui, auquel il s'accroche pourtant, comme à une fragile bouée dans la tempête.Naissance
Ce n'est pas tous les jours que les cris d'un nourrisson résonnent entre les murs d'une prison - encore moins dans l'univers glacé du Fort Invisible. C'est pourtant ce qui se produisit le 12 janvier 1889, en plein cœur de l'hiver. L'enfant ne put goûter bien longtemps aux bras de sa mère, condamnée à y passer le reste de ses jours. S'il n'a bien sûr aucun souvenir de cet évènement, il a pu s'en faire ses propres images en côtoyant à son tour les lieux, bien des années plus tard - comme si sa naissance, il y a 38 ans, l'avait condamné à revenir un jour occuper une cellule.Parents
Repères perdus les uns après les autres, château de cartes s'effondrant lentement mais inexorablement. Gustaf Anderson, le père mort avant même sa naissance, mort sans avoir connu jusqu'à son existence, à lui qui grandissait en secret dans le giron maternel. Jeanne Dupont, la mère gardée secrète bien trop longtemps, annoncée morte plutôt que d'avoir à reconnaître l'infamie d'un parent enfermé à perpétuité au Fort Invisible. Alfred Dupont, ensuite, grand-père par le sang, père de substitution dans les faits, même si la maladie ne l'a laissé exercer ce rôle bien longtemps. Six années à couver son petit-fils, à tenter de le préserver de ses origines troubles. Eugénie, enfin, la seule à lui rester, enfant tentant de se jouer mère, bonnes intentions égarées dans une autorité trop sévère, dans des ambitions trop hautes pour lui. Et en toile de fond, les Delacour, bienfaiteurs lointains, qui n'ont jamais réussi à percer sa défiance. De tous ces repères, ne demeure aujourd'hui que le lien ténu qu'il tente d'entretenir avec sa mère - ou plutôt, ce qu'il en reste, les années de captivité ayant à jamais transformé l'anarchiste convaincue en une épave gelée.Nature du sang
Il est bien loin le sang bleu de la noblesse. Loin et pourtant si proche, juste de l'autre côté des murs, dans la petite dépendance des Delacour qui l'a vu grandir. Les origines toutefois ne mentent pas. Les racines danoises des Anderson ne camouflent pas leur sang mêlé ; les Dupont ne sont pas plus purs de leur côté. Un statut dont il ne s'est jamais embarrassé, cependant, allant jusqu'à le défendre bec et ongles avec la fougue de l'adolescence, pour maintenant se contenter de hausser les épaules quand on veut lui brandir à la face.Situation matrimoniale
Sensibilité à fleur de peau sous la carapace désillusionnée, il tomberait pour les premiers bras promettant de l'accueillir. Hommes ou femmes, il n'a jamais vu de différence, trop affamé d'affection peut-être pour faire la fine bouche. Mais à ne pas être assez regardant, on reproduit les mêmes erreurs, encore et encore. Et ses mœurs dissolus tout comme ses origines trop modestes ne lui ont jamais permis de garder bien longtemps ces amours pour lesquelles il pourrait pourtant se damner, le laissant éternel célibataire au coeur brisé.Occupation
L'habileté magique en défaut, mais agile de ses mains, comme en compensation. Dans une autre vie, il aurait pu s'essayer à l'art délicat de la fabrication des baguettes, lui a qui a toujours eu une sensibilité particulière pour le bois. Mais de chemins tortueux en souvenirs effacés, son existence l'a mené dans le giron des Savelli. Serveur à la Taverne du Jeu de Paumes, il officie aussi comme homme de main, missions douteuses pour lesquelles il se salira les mains sans se plaindre, au gré des besoins des parrains de Marseille. Ses instants désœuvrés le trouveront souvent à sculpter distraitement de petites figurines de bois, comme un écho lointain de ce qui aurait pu être.Scolarité
Pendant quelques secondes s'étirant comme une éternité, le tableau de Mélusine est resté sombre, comme décidé à lui refuser l'admission qu'il avait pourtant reçue avec un soulagement manifeste. C'est qu'en dehors de ses visions, ses capacités magiques étaient du genre timides. Est finalement apparue une plage l'invitant dans la faction de l'Aurore, où il n'aura pas exactement brillé. Le carcan scolaire n'était pas de ceux où il pouvait s'épanouir, et il a très vite préféré abandonner les rêves de grandeur que sa sœur entretenait à son égard. Il aura tout de même cédé à ses exigences en suivant les cours d'Art Divinatoire en dernière année, mais ni feuilles de thé ni boules de cristal ne l'auront aidé à amadouer son don.Composition baguette
Aucune surprise dans la boutique lorsqu'une baguette en bois de tilleul le choisit, juste avant son entrée à Beauxbatons. On dit le bois idéal pour ceux qui pratiquent la divination, et même s'il en est plus une victime qu'un maître, il trouva un certain réconfort dans cette validation de ses visions. Dotée d'un crin de kelpy, la baguette fut malheureusement perdue au front en 1917. Il ne s'amusa même pas à la chercher, quand il fut enfin autorisé à pouvoir en réclamer une, bien des années plus tard. Quelques économies furent nécessaires pour qu'il retrouve une nouvelle baguette, toujours taillée du même bois, mais possédant cette fois un cœur en racine de dictame.Patronus
Galahad n'a jamais été un sorcier assidu, trop prompt à se décourager, à choisir la facilité. Ajoutons à cela que de nombreuses années à consommer la Morpheus ont sévèrement atrophié ses capacités déjà flageolantes. Eut-il fait des choix plus éclairés qu'il aurait pu voir se dessiner les contours d'un léopard de mer aux dents acérées - mais les horreurs dont il a été témoin pendant la guerre ont à jamais enterré ses chances de faire apparaître le moindre patronus.Epouvantard
Qu'est-ce qu'un épouvantard quand son propre don, son propre esprit, lui fournit sans cesse de nouvelles visions cauchemardesques, mélange confus de souvenirs et de scènes à venir, de visages connus et étrangers, déformés, monstrueux, d'écailles glacées et de cratères fumants ? Rencontrerait-il une telle créature qu'il aurait sans doute du mal à la différencier d'une manifestation de sa double vue. Une chance, finalement, car le monstre s'épuiserait à changer de forme à la vitesse de ses terreurs.Amortentia
Parfum puissant, chimique et enivrant des substances illicites, du poison qui endort les sens et apaise les terreurs. Si entêtant, si grisant, qu'on en oublierait presque les odeurs qui s'y mêlent, et qu'il préfère oublier. Celle du lait chaud sucré au miel qu'Eugénie lui servait quand le sommeil lui échappait, tout petit déjà. Celle douce et lointaine d'un parfum féminin, synonyme d'amour autant que d'amertume.Particularité Magique
Sa lourde ascendance n'est pas le seul fardeau que sa naissance lui ait assuré. Les visions ont commencé dès son plus jeune âge, dès les premières manifestations de sa magie ; hallucinations dignes des cauchemars les plus crus, troublant son regard d'un voile vaporeux et le laissant à bout de souffle, douloureux et déboussolé. Leur déclenchement a toujours été aléatoire, bien qu'un stimuli sensoriel y soit souvent associé. Il peut s'agir d'un son, du contact d'un objet ou d'une personne, d'une odeur même. Ses espoirs d'éviter une nouvelle crise se sont très vite révélés être vains, mais il en a gardé une certaine méfiance face à la nouveauté. L'âge et les fréquentations douteuses aidant, c'est vers la Morpheus qu'il s'est tourné pour endormir sa double vue. Aujourd'hui encore, il en use et en abuse, détraquant sa magie mais refoulant ainsi la majorité de ses visions à son sommeil peuplé de cauchemars.Atropos
Manipulable - Pessimiste - Loyal - Polyvalent - Habile - Cœur d'artichaut - Résigné - Désordonné - Méfiant - Pragmatique - Sensible - Cynique - Torturé - Attentif - Introverti - Amer
La fureur adolescente, bouillonnante, dirigée contre le monde entier, a laissé place à une causticité désabusée. Finis les cris et les éclats de colère ; il aborde désormais la vie les dents serrées, avec le défaitisme de celui qui a par trop souvent échoué. Échoué à contrôler ses visions, échoué à décrocher de la Morpheus, échoué à trouver une place dans un monde qui n'était pas taillé pour lui. Ce n'est pourtant pas l'envie de se créer un cercle stable qui manque. Alors dès qu'il en trouve une esquisse, il s'y accroche, loyauté chevillée au corps, chien de garde trop effrayé de se retrouver sans niche pour mordre la main qui nourrit.
Suiveur et pas leader, il préfère obéir que prendre des initiatives ; confronté à un choix difficile, il prendra souvent l'option de botter en touche. La vie lui a appris que les choses se passaient très mal lorsqu'il prenait des décisions. Soyons honnêtes, elles ne se sont pas non plus très bien passées quand il a suivi celles des autres, mais au moins ce n'est pas de sa faute. Son rapport à l'autorité est pourtant délicat. Se faire aboyer dessus, très peu pour lui. Il se braque, devient carne têtue - mais une carne qui s'apprivoise d'une caresse bien placée, d'un compliment murmuré. Influençable, rendu chaque jour plus perméable aux mots des autres par la drogue affaiblissant ses pensées, il a pourtant ses propres idées, bien ancrées au fond de son esprit. Où elles restent sagement cantonnées, la plupart du temps.
Que pensez vous des moldus, et du fait que vous soyez obligés de vous cacher d'eux au quotidien ? Renouer avec sa mère l'a amené à connaître ses convictions, à vouloir les partager pour créer un lien là où l'histoire avait voulu les en empêcher. Au début plus du mimétisme qu'une foi inébranlable, ses errances ont fini par le persuader de la dangerosité des moldus. Les moldus qui tuent par centaines, font de la bouillie et du feu des vies humaines. Les moldus qui jugent, enferment et torturent. Peut-être n'y a-t-il que la magie pour les mater, pour se protéger de leur folie. La grande guerre l'a montré, aucun secret magique n'a su éviter aux sorciers de mourir dans cet immense charnier.
Quelle est votre opinion sur la famille royale magique de France ? Un monde le sépare de cette royauté lointaine, symboles qu'il peine à lire, rôle qu'il ne parvint pas à comprendre. Son intérêt pour eux est aussi fragile que leur statut sous le joug du Ministère. Il laisse aux biens nés les intrigues de cour ; dans son monde tourmenté, ils ne lui seront jamais d'aucune utilité.
L'Aube Sorcière prend de l'ampleur, et Tarek Shafiq fait très souvent la une des journaux. Que pensez vous de cet homme ? Ses mots s'engrainent dans son esprit, y font écho à des idées semées depuis longtemps. Mais tout comme la royauté, il est trop lointain, trop inaccessible, pour que ses discours ne soient autre chose que des jolies tournures. Rien de concret, seulement de la politique. De quoi débattre autour d'un verre, de quoi occuper son esprit en attendant en vain le sommeil.
caught in a dream
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(#) Re: [Atropos | Galahad Anderson] Galahad Anderson | they say i'm an anarchist
missive rédigée par Galahad Anderson leChronologie
Sur demande de M. Alfred Dupont, en sa qualité de grand-père maternel, appuyé par la famille Delacour, et afin d'assurer la qualité de vie ainsi que l'éducation de l'enfant, nous recommandons qu'il soit retiré à sa mère et confié à sa famille maternelle au plus tôt [...] La sœur aînée du nourrisson est déjà sous la garde de M. Alfred Dupont et il paraît préférable que la fratrie ne soit pas séparée. Comme décidé lors du procès, le patronyme de l'enfant a été modifié afin de la protéger. Nous conseillons la même mesure pour son frère.
[extrait de procès-verbal, Fort Invisible]
Chère mère,
"Mère". Je ne pensais jamais écrire ce mot, empoisonné que j'étais par les mensonges d'Eugénie. Elle te dit morte, le sais-tu ? Et je l'ai cru, bien sûr, des années durant. Je pense que je ne pourrai jamais lui pardonner. Jamais lui faire confiance en tout cas, de ça je suis sûr. Comment savoir maintenant ce qui est vérité et ce qui est pure fiction ? Elle te dit cruelle, égoïste, dérangée. Mais les choses ne peuvent pas être si simples. C'est là la raison de ma lettre, si je dois être parfaitement honnête. Je veux une autre version des faits. Des explications sur les évènements qui nous ont emmené jusque là. Une image du foyer que je n'ai jamais connu, des parents qu'on m'a caché. Eugénie serait furieuse de trouver cette lettre. Mais n'est-ce pas la meilleure raison de l'écrire ?
Chère mère,
Il s'est passé beaucoup de temps depuis ma dernière lettre, et je m'en excuse. Mon quotidien a été des plus chaotiques au cours des derniers mois. J'ai quitté mon poste aux Antiques Rêveries, pour rejoindre un groupe de sorciers hétéroclite qui m'a accueilli en son sein comme un membre d'une famille étrange, faite de pièces qui s'assemblent là où personne ne l'aurait parié.
Tu n'approuverais probablement pas tout ce que nous sommes amenés à faire. Mais il serait imprudent que je m'étende plus à ce sujet - je serais naïf de penser que mes lettres ne sont que pour tes yeux. Je sais que tes ambitions me voyaient plus loin, plus haut. Eugénie et toi êtes assez semblables, en ce sens. Mais pour la première fois, j'ai l'impression d'appartenir à quelque chose. D'avoir trouvé un semblant de foyer. Et nous trouvons de nouveaux moyens de gérer mes crises, de limiter les visions. Tu n'imagines pas la liberté que je découvre, chaque jour.
J'espère ne pas trop te décevoir.
Référé en raison d'un comportement dangereux pour lui et pour les autres, le patient insistait que leur position allait être frappée par un bombardement, et refusait tous les ordres, prisonnier d'un apparent délire paranoïaque, qui s'est plusieurs fois manifesté depuis. Les équipes sur place ont d'abord attribué ce comportement à une forme inhabituelle d'obusite.
[...]
Malgré les traitements habituels, le patient fait preuve de crises de dissociation particulièrement violentes, très différentes de l'apathie manifestée par la majorité des soldats référés depuis le front. Nous avons dû écarter de l'équipe soignante certains membres trop religieux, qui parlaient de possession. La science se passera de ce genre de superstitions.
[extraits de compte-rendus cliniques]
Chère mère,
Si proche, et pourtant j'ai le sentiment que nous sommes plus éloignés que jamais. Car c'est depuis le Fort Invisible que je t'écris ces mots. L'ironie de la situation prêterait à sourire, ne trouves-tu pas ? Revenu entre les murs qui m'ont vu naître, comme si toute ma vie avait tendu à me ramener ici. Et sous le même chef d'accusation que toi : mise en danger du secret magique. Es-tu fière ? Bien sûr, rien d'aussi flamboyant que tes exploits. Mais les sorciers ne prêtent pas une oreille très attentive aux exactions des moldus, pour peu qu'on commette l'erreur de se servir de la magie pour leur échapper. Je ne t'apprends rien, sûrement. Et j'imagine que notre nom n'a pas joué en ma faveur. La justice est peut-être aveugle, mais elle a oublié d'être sourde.
Je doute que cette lettre te parvienne un jour. Les gardiens n'ont pas l'air de m'avoir à la bonne. J'aimerais trouver un moyen de te croiser, de mettre sur ton écriture un visage autre que celui des rares photos ayant résisté à la razzia d'Eugénie. Mais j'ai l'impression que je pourrais passer ici une existence entière sans jamais apercevoir ton ombre. Savoir que seuls quelques murs nous séparent me rendrait furieux, si j'en avais encore la force.
Peut-être est-ce finalement mieux que tu ne me saches pas ici.
Trivia
Ꜿ Les années ont vu sa peau s'orner de nombreux tatouages. Son dos en particulier n'offre plus guère de peau nue. Parmi les nombreux motifs se trouve notamment un cavalier sans tête qu'il ne se rappelle pas avoir reçu et dont la signification lui échappe.
Ꜿ A l'époque des tranchées, il a sympathisé avec un soldat anglais qui lui a appris une comptine à se réciter pour tenter de gérer ses crises. Censée compter les pies, elle était plus indiquée sur le front pour dénombrer les corbeaux. One for sorrow. Two for joy. Three for a girl and four for a boy [...] Il l'utilise toujours à ce jour.
Ꜿ Il souffre de migraines régulières et met ça sur le compte de l'abus de substances, du manque de sommeil ou encore de sa double vue. Elles sont en réalité la conséquence de son oubliettage des plus conséquents - mais l'avantage avec ce sort, c'est qu'il ne risque pas de s'en rappeler.
Ꜿ Les tatouages ne sont pas les seuls souvenirs que porte sa peau. La grande guerre lui aura valu son lot de cicatrices, notamment une balafre au mollet droit qui, traitée par des moldus, n'a pas eu une guérison aussi belle qu'avec l'aide de Dictame. Plusieurs autres, en majorité aux poignets, font suite à son internement.
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(#) Re: [Atropos | Galahad Anderson] Galahad Anderson | they say i'm an anarchist
missive rédigée par Galahad Anderson le- Code:
<b>Joel Kinnaman</b> <em>|</em> @"Galahad Anderson"
Pour ajouter le personnage dans une famille :
- Code:
@"Galahad Anderson" (M · 38 ans)
Pour le bottin des années de naissance :
- Code:
<b>12.01.1889</b> @"Galahad Anderson" - Beauxbatons
Pour le bottin des particularités :
- Code:
<b>Double vue</b> @"Galahad Anderson"
Pour le bottin des emplois :
- Code:
<b>Serveur à la Taverne du Jeu de Paumes</b> @"Galahad Anderson"
caught in a dream
(#) Re: [Atropos | Galahad Anderson] Galahad Anderson | they say i'm an anarchist
missive rédigée par Alekseï Dzerjinski leJe suis tellement fan girl de ce perso j'ai troooop hate de le voir en jeu le début promet du pâté et vraiment hâte de suivre vos aventures avec ta douce (ou pas) frangine !
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(#) Re: [Atropos | Galahad Anderson] Galahad Anderson | they say i'm an anarchist
missive rédigée par Auguste Lestrange leBon, c'est le TC, tu connaîs déjà mais par principe, tu as 10 jours pour la fiche et si besoin de plus, tu sais où nous trouver XD
(#) Re: [Atropos | Galahad Anderson] Galahad Anderson | they say i'm an anarchist
missive rédigée par Arsène d'Apcher leQuel chouette perso se dessine là Ta plume est décidément toujours incroyable
Très hâte de voir ce petit en jeu! Bon courage pour la rédaction de l'histoire
Qui cause ma déraison, ma déroute, ma déveine
Doucement j'y plongerai sans qu'une main me retienne
Lentement je m'y noierai sans qu'un remord ne me vienne ❞
(#) Re: [Atropos | Galahad Anderson] Galahad Anderson | they say i'm an anarchist
missive rédigée par Aureus De Wendel le(#) Re: [Atropos | Galahad Anderson] Galahad Anderson | they say i'm an anarchist
missive rédigée par Arsène d'Apcher leQui cause ma déraison, ma déroute, ma déveine
Doucement j'y plongerai sans qu'une main me retienne
Lentement je m'y noierai sans qu'un remord ne me vienne ❞
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(#) Re: [Atropos | Galahad Anderson] Galahad Anderson | they say i'm an anarchist
missive rédigée par Galahad Anderson leLa rédaction de l'histoire avance tranquillou dans les coulisses, elle ne devrait pas tarder à faire son apparition ici /o/
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(#) Re: [Atropos | Galahad Anderson] Galahad Anderson | they say i'm an anarchist
missive rédigée par Zuhra de Fronsac leSi hâte d'en lire plus !
- Carte de visite (par Chibi):