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un seul de ces cheveux - agnes & alessandro

Lorenzo de MediciATROPOS | THEN, LET IT BURN.
Lorenzo de Medici
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(#) un seul de ces cheveux - agnes & alessandro

missive rédigée par Lorenzo de Medici le

  •  
    un seul de ces cheveux
    ft Agnes de Medici &  Alessandro de Medici

     
    84423b7f19438accf5e168009b6d77038d7a4f12.gif26 Octobre - Thème | Le retour d'Italie était trop précipité. Dans les yeux de Neith, Lorenzo avait lu des choses qui n'aurait pas dû s'y trouver. Une compréhension qu'il devrait, rapidement, trop rapidement, éteindre et atténuer par des rires et des faux semblants. La colère, qui l'avait marbré, ourlant encore son être tout entier alors qu'il franchissait à nouveau, les portes de sa propre demeure. Ses phalanges, éclatées, n'avaient été soignées que par un rapide sort. Elles ne saignaient plus mais étaient encore bien trop abimées. Tant mieux, cela lui offrirait une excuse. Des détails à régler en Italie. N'y était-il allé pour affaire ? L'excuse marchait, quand il était avec sa grand mère au dimanche matin et dans un village où certain de ces hommes avaient élu résidence d'été.

    Ils n'étaient plus en été.

    Cela lui importait peu. Par deux fois Alessandro avait été blessé. La première, six jours plus tôt, d'une baguette violente. Et la seconde, au matin même, par il ne savait quel abrutit. Nul doute que son fils se tirerait comme un grand des griffes de la police. Ils ne porteraient pas plainte mais Pietro allait enquêter. Sur un cas de cet ampleur, c'était le meilleur qu'on envoyait.

    Les dents de Lorenzo étaient serrées, tellement serrées que sa machoire lui faisait mal. Et quand Pipo arrivait dans son pop si caractéristique, il n'eut le temps d'offrir le moindre reproche au maitre de maison que ce dernier vomissait son Où sont-ils ? grinçant. Car il était certain qu'Alessandro serait avec sa mère. Agnès ne pouvait passer à côté d'une telle occasion de souffler, à nouveau, le poison à l'oreille de l'héritier.

    Lorenzo s'en fichait bien. Il n'avait revu sa femme depuis la dernière fois. Quand elle levait sa baguette haut et, avec son sourire de sourie, offrait des compliments qui n'en étaient pas. Personne n'avait loupé l'information. Lui avait du pédaler, à contre courant. Peut-être, au fond, avait-elle accéléré sa relation avec Neith. Dire que la vieille, seulement, elle lui faisait perdre ses barrières. Elle l'entrainait à... Il préféra ne pas repenser à ce qu'ils avaient fait. Ce n'était la première fois. Se serait la dernière. Elle n'avait nulle droit d'avoir du pouvoir sur lui. Elle..

    Là n'était pas le moment. C'était Alessandro qui était au centre de toutes ses attentions. Et si Lorenzo était homme à sortir facilement de ses gongs, il n'y avait que deux véritables moyens de le rendre fou : toucher à ses enfants et toucher à la mafia. On ne s'en prenait pas à la famille d'un parrain. Ceux qui avaient fait ça allait le regretter. Le sang au bord des lèvres, la hargne jusqu'au plus profond de ces poings qu'il peinait à desserrer, le voilà revenu.

    La porte s'ouvrit, en fracas. Et le père, dans toute sa violence Saturnienne, s'approchait. Ce n'était le fils qui enjoindrait sa violence. Lorenzo n'avait porté poings sur ses enfants. C'était le monde entier qui brulerait quand on s'en était pris à ses petits.

    @Agnes de Medici &  @Alessandro de Medici
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    ❝ I could love you with my eyes closed, Kiss you with a blindfold,
    Figure you out.
    I might hold you with my hands tied and show you I'm the right guy❞
    Agnes de MediciATROPOS | THEN, LET IT BURN.
    Agnes de Medici
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    (#) Re: un seul de ces cheveux - agnes & alessandro

    missive rédigée par Agnes de Medici le

  • Un seul de ses cheveux

    An nescis, mi fili, quantilla prudentia mundus regatur - Theme

    Alessandro devait la rejoindre mais il était en retard. Quand à l’heure précise, Agnes s’était trouvée seule face au silence, son cœur s’était pressé. Vieilles angoisses. Sottises. Il n’allait pas l’abandonner comme son père avant lui. Non, non. Elle avait ravalé ses craintes, apposé à ses lèvres un sourire. Tout allait bien. Il n’y avait que Lorenzo qui lui en veuille pour son récent coup d’éclat, non ? Pas son fils. Pas le fils. Alors elle avait patienté. Douce Agnes, bonne Agnes, bonne poire, belle oie blanche qui si facilement pliait. Alors elle feignait. Son menton haut, son rictus vissé à ses lèvres, son regard plein d’assurance.

    Elle ferma ses yeux. Juste le temps de l’attente. Les paupières closes, le calme imposé à elle, elle ne craignait plus rien. Ses lèvres murmurant une prière silencieuse, Agnes s'apaisa, plongeant dans un état semi-méditatif.

    Et enfin, le bruit. Des pas. Agnes s’était levée, quittant son fauteuil pour entamer quelques pas vers celui qui arrivait. Mais elle n’eut qu’à tendre l’oreille pour deviner que ce n’était pas son fils, mais plutôt deux de ses comparses. Elle battit des cils en les regardant. Détailla leurs visages bien sûr moins beaux que ceux d’Alessandro – lui-même taillé dans le marbre – et elle n’eut qu’à humer leur odeur pour deviner que leur sang n’était pas aussi noble que le sien. De pauvres personnages secondaires qui s’accrochaient aux pieds du fils prodige pour tenter de grapiller la moindre miette de sa sainte grandeur.

    Agnes les laissa approcher avant qu’ils ne parlent et que leurs voix produisent à ses oreilles l’effet du verre brisé qu’on écrase sous sa semelle. Le sourire figé à ses lèvres se crispa en une bien laide grimace. Sa main se crispa de l’envie de gifler les deux sots qui se faisaient porteurs d’une si mauvaise nouvelle. Comment osaient-ils ? Pour qui se prenaient-ils ? Parler au nom d’Alessandro de Medici pour annoncer à la Mère qu’on avait blessé son petit.

    Son cœur se souleva dans sa poitrine, Agnes cria, se débattit, furie. Elle injuria et maudit le monde entier dans sa langue natale. Mais bon gré mal gré, on la convainquit de laisser Alessandro aux bons soins des médicomages, sans pouvoir la calmer pour autant : elle fit les cent pas. Encore, encore. Le pas rapide, tordant ses mains à s'en faire mal, grinçant des dents sans s’arrêter. Une colère furieuse s’élevait au fond d’elle comme un avis de tempête dans la promesse d’un orage terrible. Elle aurait déchaîné les foudres de Zeus sur la terre à elle seule. Ruiné le monde pour le fils.

    Elle le ressentit comme une punition. Une injustice. C’était comme si le monde lui était tombé sur la tête. Elle congédia les amis de son fils d’un rugissement de lionne et s’emprisonna dans un palais de rage solitaire. Elle ruminait son ire, envers ceux qui avaient osé lever la main sur Alessandro, puis envers les hommes, envers le monde. Envers Lorenzo.

    Et les secondes devinrent minutes puis les minutes des heures. Le temps fit son affaire et lui ramena son fils. Quand elle le vit, elle eut la sensation de pouvoir respirer à nouveau. Comme si elle avait été en apnée tout ce temps. Après tout, n’était-il pas la seule chose à compter réellement en ce monde ? Son oxygène, sa lumière dans l'obscurité, tout.

    Agnes se précipita contre lui. De deux mains, encercla son visage. Du pouce, caressa la joue et le menton. Joignit leurs fronts, retint ses larmes. Ses doigts fourrés dans les cheveux de son petit, elle croisa leurs regards. Il avait beau avoir été savamment réparé par les médicomages, elle croyait pouvoir entrevoir ses blessures. « Qui ? » Elle siffla entre ses dents. Sa voix se gorgeait de rage autant que d’amour pour son tout-petit. « Dis-moi qui, et je lui infligerai tes douleurs au centuple. » Sa magie vengeresse lui chatouillait les doigts.

    A peine sa phrase achevée, la porte derrière elle s’ouvrit. Le fracas ne mentait pas, Lorenzo était rentré. Agnes fit volte-face, d’un bras comme protégeant Alessandro tandis qu’elle jetait sur son époux un regard gorgé de haine. Dans ses clairs iris luisait une menace envers le parrain qui ne l’intimidait guère. Elle se fit volontiers assassine. « Où étiez-vous quand on a attenté à la vie de votre fils ? » Les hostilités étaient lancées, or ce jour, l’oie blanche avait délaissé le bec pour les crocs. « Votre héritier, s’il vous est si précieux, comment se fait-il qu’il ait si aisément été attaqué ? »

    Nul besoin de désigner un coupable dans cette affaire – pour Agnes il était déjà tout trouvé.

    Agnes de Medici ft. Lorenzo de Medici & Alessandro de Medici, le 26 octobre 1927 à l'hôtel di Medici, Paris

    @acheris




    Remember me when you do pray, that hope doth lead from day to day.