[TERMINÉ] The day I choose to play | Avec MJ

Adelstan de Valoys

Roi de pacotille, roi fantoche, Adelstan n’a que trop conscience de n’être qu’un bel objet sur la doublure de la République Française. Un animal savant qui doit briller, faire des sourires et des courbettes, et bien présenter pour prouver que le Ministère des Affaires Magiques tient les rênes sans sacrifier la glorieuse culture française pluricentenaire. Un sujet de divertissement pour la plèbe à qui l’on permet de se réjouir de ses faits et gestes sans qu’il ait réellement son mot à dire, ni en retire la moindre rétribution.

Et il abhorre sa condition. Il abhorre ses enfants porteurs de la malédiction filiale et qui ploient si aisément au rôle qu’on leur destine. Il abhorre tout symbole de la République sorcière qu’on lui agite sous le nez comme autant de preuves de son impuissance. Dans le secret de son esprit, il ne rêve que de démolir chaque pierre du Ministère et d’abattre chacun de ses partisans. Alors lorsque Tarek Shafiq est venu lui offrir ses mots de miel, ses promesses d’un retour à la royauté, Adelstan l’a soutenu. Et le soutient encore, dans l’ombre.

Expert en politique et jeux de pouvoirs, Adelstan est un traditionaliste qui désire annuler toutes les sordides ‘avancées sociales’ implantées par la République, depuis le droit à l’héritage des femmes jusqu’aux droits des né-moldus qui ne devraient être pour lui que des serviteurs des ‘véritables sorciers’. Il a placé beaucoup d’espoir dans ses enfants, les voyant comme des outils providentiels et chaque mort ou faute a toujours été vécue comme une trahison envers lui, leur renvoyant une image froide et distante.

Bien qu’il ne soit pas un fervent partisan de la levée du Secret, il estime que celle-ci est désormais nécessaire pour remettre les moldus à leur place, et protéger le royaume.

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Les présents avaient été livrés le matin même et en les observant, une certaine satisfaction s’était formée sur les traits du souverain. Les Lestrange avaient toujours su le mettre dans de bonnes dispositions et il n’y avait aucune faute de goût dans ce qu’il avait reçu. Il pouvait cependant remarquer que même s’il reconnaissait la main de Crépus et Démétra Lestrange, celle d’Auguste était aussi prégnante. Preuve d’une volonté de ne pas s’effacer derrière la parenté.  

Quoiqu’il en était, la demande d’entrevue fixée avec Auguste Lestrange était réglée sur l’emploi du temps d’Adelstan depuis un certain temps. Nullement surpris et soupçonnant très bien les enjeux de cette entrevue officielle, le roi fit signe d’un geste de la main à son page de faire rentrer l’héritier Lestrange dans le salon des rencontres officielles.

Lorsque l’homme fut présenté, Adelstan darda ce dernier d’un regard fixe et sans grande chaleur. Un sans-faute jusqu’à présent mais Adelstan ne s’attendait de rien de moins de la part d’un rejeton de Crépus.

« Monsieur Lestrange. » le salua-t-il. Puis, après une courte pause, il reprit : « Relevez-vous. »

Il accompagne ses paroles d’un geste de la main. Laissant le temps à Auguste de se relever, Adelstan resta droit et le visage fermé.

« Je vous écoute. »

Adelstan de Valoys

Roi de pacotille, roi fantoche, Adelstan n’a que trop conscience de n’être qu’un bel objet sur la doublure de la République Française. Un animal savant qui doit briller, faire des sourires et des courbettes, et bien présenter pour prouver que le Ministère des Affaires Magiques tient les rênes sans sacrifier la glorieuse culture française pluricentenaire. Un sujet de divertissement pour la plèbe à qui l’on permet de se réjouir de ses faits et gestes sans qu’il ait réellement son mot à dire, ni en retire la moindre rétribution.

Et il abhorre sa condition. Il abhorre ses enfants porteurs de la malédiction filiale et qui ploient si aisément au rôle qu’on leur destine. Il abhorre tout symbole de la République sorcière qu’on lui agite sous le nez comme autant de preuves de son impuissance. Dans le secret de son esprit, il ne rêve que de démolir chaque pierre du Ministère et d’abattre chacun de ses partisans. Alors lorsque Tarek Shafiq est venu lui offrir ses mots de miel, ses promesses d’un retour à la royauté, Adelstan l’a soutenu. Et le soutient encore, dans l’ombre.

Expert en politique et jeux de pouvoirs, Adelstan est un traditionaliste qui désire annuler toutes les sordides ‘avancées sociales’ implantées par la République, depuis le droit à l’héritage des femmes jusqu’aux droits des né-moldus qui ne devraient être pour lui que des serviteurs des ‘véritables sorciers’. Il a placé beaucoup d’espoir dans ses enfants, les voyant comme des outils providentiels et chaque mort ou faute a toujours été vécue comme une trahison envers lui, leur renvoyant une image froide et distante.

Bien qu’il ne soit pas un fervent partisan de la levée du Secret, il estime que celle-ci est désormais nécessaire pour remettre les moldus à leur place, et protéger le royaume.

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Pour une jeune premier, Adelstan trouve qu’Auguste ne tremble pas. Le roi apprécie mais sait que ceux qui ne tremblent pas même s’ils n’en mênent pas large intérieurement sont ceux qu’il faut garder à l’œil. Si l’éducation de Crépus doit y être pour quelque chose, Adelstan sait que ce n’est pas que cela. Auguste en veut et cela aurait été décevant qu’un Lestrange ne veuille pas quelque chose. Le roi n’est pas surpris de la requête, ne le feint pas non plus. Mais il constate qu’il a à faire à quelqu’un qui ne cherche pas à enrober. Un semblant d’honnêteté ou de manipulation ?

Cette demande est un rappel cuisant des échecs de ses progénitures. Séléné est après tout l’héritière depuis cette stupide loi qui n’aurait jamais dû voir le jour. Qu’un Lestrange brigue la place de prince consort n’était pas étonnant. Imaginer un Lestrange comme beau-fils n’aurait été en soit pas si désagréable. Ce qui l’était était que sa fille était l’héritière au trône, et que, par conséquence, elle devait rester sous tutelle. Et Adelstan se devait de faire un choix qui lui permettrait d’avoir également la main sur cette tutelle.

Crépus avait ses alignements politiques clairs. Mais ceux d’Auguste, Adelstan n’en avait entendu aucun mot, et ce n’était pas Crépus qui demandait la main de sa fille quand bien même le nom Lestrange y était accolé, mais son fils.

« Les titres se donnent et se retirent, Monsieur. commence Adelstan. Votre statut de vicomté n’est qu’une rature et une correction à produire. »

S’il a l’air de balayer le sujet, Adelstan n’en menace pas moins également implicitement. Il a encore toute autorité sur les titres nobliaux qu’il peut donner ou retirer. La République, cette satané République, ne lui a pas retiré cela.

« Qu’en est-il de votre loyauté à vous ? Courtiser mon héritière, c’est courtiser la couronne et la France. Il ne s’agit plus de nom, de titre ou d’individus, mais du bien de la Nation et du peuple. Si je vous donne mon autorisation, Monsieur Lestrange, pensez-vous être en mesure d’être à la hauteur et d’avoir les bonnes loyautés indépendamment des individus ? »Loom of Fate | 2023

Adelstan de Valoys

Roi de pacotille, roi fantoche, Adelstan n’a que trop conscience de n’être qu’un bel objet sur la doublure de la République Française. Un animal savant qui doit briller, faire des sourires et des courbettes, et bien présenter pour prouver que le Ministère des Affaires Magiques tient les rênes sans sacrifier la glorieuse culture française pluricentenaire. Un sujet de divertissement pour la plèbe à qui l’on permet de se réjouir de ses faits et gestes sans qu’il ait réellement son mot à dire, ni en retire la moindre rétribution.

Et il abhorre sa condition. Il abhorre ses enfants porteurs de la malédiction filiale et qui ploient si aisément au rôle qu’on leur destine. Il abhorre tout symbole de la République sorcière qu’on lui agite sous le nez comme autant de preuves de son impuissance. Dans le secret de son esprit, il ne rêve que de démolir chaque pierre du Ministère et d’abattre chacun de ses partisans. Alors lorsque Tarek Shafiq est venu lui offrir ses mots de miel, ses promesses d’un retour à la royauté, Adelstan l’a soutenu. Et le soutient encore, dans l’ombre.

Expert en politique et jeux de pouvoirs, Adelstan est un traditionaliste qui désire annuler toutes les sordides ‘avancées sociales’ implantées par la République, depuis le droit à l’héritage des femmes jusqu’aux droits des né-moldus qui ne devraient être pour lui que des serviteurs des ‘véritables sorciers’. Il a placé beaucoup d’espoir dans ses enfants, les voyant comme des outils providentiels et chaque mort ou faute a toujours été vécue comme une trahison envers lui, leur renvoyant une image froide et distante.

Bien qu’il ne soit pas un fervent partisan de la levée du Secret, il estime que celle-ci est désormais nécessaire pour remettre les moldus à leur place, et protéger le royaume.

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Adelstan de Valoys

Roi de pacotille, roi fantoche, Adelstan n’a que trop conscience de n’être qu’un bel objet sur la doublure de la République Française. Un animal savant qui doit briller, faire des sourires et des courbettes, et bien présenter pour prouver que le Ministère des Affaires Magiques tient les rênes sans sacrifier la glorieuse culture française pluricentenaire. Un sujet de divertissement pour la plèbe à qui l’on permet de se réjouir de ses faits et gestes sans qu’il ait réellement son mot à dire, ni en retire la moindre rétribution.

Et il abhorre sa condition. Il abhorre ses enfants porteurs de la malédiction filiale et qui ploient si aisément au rôle qu’on leur destine. Il abhorre tout symbole de la République sorcière qu’on lui agite sous le nez comme autant de preuves de son impuissance. Dans le secret de son esprit, il ne rêve que de démolir chaque pierre du Ministère et d’abattre chacun de ses partisans. Alors lorsque Tarek Shafiq est venu lui offrir ses mots de miel, ses promesses d’un retour à la royauté, Adelstan l’a soutenu. Et le soutient encore, dans l’ombre.

Expert en politique et jeux de pouvoirs, Adelstan est un traditionaliste qui désire annuler toutes les sordides ‘avancées sociales’ implantées par la République, depuis le droit à l’héritage des femmes jusqu’aux droits des né-moldus qui ne devraient être pour lui que des serviteurs des ‘véritables sorciers’. Il a placé beaucoup d’espoir dans ses enfants, les voyant comme des outils providentiels et chaque mort ou faute a toujours été vécue comme une trahison envers lui, leur renvoyant une image froide et distante.

Bien qu’il ne soit pas un fervent partisan de la levée du Secret, il estime que celle-ci est désormais nécessaire pour remettre les moldus à leur place, et protéger le royaume.

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